dimanche 25 décembre 2016

  • Le Pouvoir de l ' Imaginaire (508) :ERRANCES PERSONNELLES....OU ERREURS A VENIR ??? SUITE 3

      
    Dans les dialogues précédents , il m’est arrivé de ne pas assez expliquer  à MR  TOUT LE MONDE   les  ruminations par lesquelles  j’ai dû passer pour expliquer mes questionnements .J ‘en suis désolé mais ne peux prendre à mon compte la remise à niveau de mes lecteurs …. ça risque d’ailleurs d’être de pire en  pire !
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    -« Je crois avoir enfin compris pourquoi PAPY  tu es venu chercher  les énergies les plus faibles de notre UNIVERS  VISIBLE  dans  les vides de l’Espace …..Mais explique-moi maintenant pourquoi tu ne vas pas les chercher aussi dans ces matières noires et ces énergies noires dont les plus connus de nos physiciens et astronomes actuels  se servent pour  le peupler cet Espace ….    Ca n’est pas un problème plus grave pour toi de savoir  que face à  4 ,9 % de matière visible on calcule la présence de  26 ,8 de matière noire  et 68 ,3 %d’énergie noire  ???  Je m’aperçois que nous ne connaissons ainsi qu’ un tout  petit bout minable  de notre Réalité !!!!!!
    Pourquoi n’irais-tu pas chercher tes  ondes d’énergies si microscopiques mais de toutes tailles  dans ces « machins inconnus et si sombres » ???????
    -«  Tu es injuste  avec moi CLARA !  j’ai proposé  sur ces points en avril  2016  les  cinq articles  suivants :Le Pouvoir de l'Imaginaire (461) :"Matière noire… ou science schizophrène?" /Le pouvoir de l’imaginaire  (462) :Matière noire …ou science indécise ..?/Le pouvoir de l’ imaginaire (463) :Matière noire ou… science aventurière ?/.?Le Pouvoir de l'Imaginaire(464):Matière noire ....Ou Science extravagante ??/Le pouvoir de l’imaginaire   (465) :matière noire…  ou science de l’ invisible,(censurée par cette  c…. de m…. pour une photo de l «  homme invisible de H.G.WELLS !!!!!!)
    Et concernant l’énergie noire j’ai rajouté  en septembre   :Le pouvoir de l’imaginaire :  ENERGIE NOIRE OU ..Fumeuses hypothèses? » depuis  le n° 483  jusqu’ à 500 !!!
    Alors est ce de ma faute à moi  si on ne trouve aucune particule  ou aucune axion   expérimentalement complétement  sures ( les manips de  DAMA   ne le sont pas encore ) ????
    Pourquoi suis-je allé chercher des  mini ou des sub- gravitons dans les théories du vide quantique ,me demandes tu  CLARA  ?? Je vais être franc avec toi : je n’y croyais pas  !La plupart des théories contenant des gravitons souffrent de problèmes graves. Les tentatives d'extension du modèle standard ou d'autres théories de champ quantiques en  les accompagnant  de gravitons se heurtent à de sérieuses difficultés théoriques à des énergies proches ou supérieures à l'échelle de Planck. C'est , semble - t-il à cause des infinis découlant des effets «  éruptifs  » quantiques …On ne sait pas les maitriser !Techniquement, la gravitation n'est pas renormalisable. Combien de fois faudra-t-il répéter que  la relativité générale classique et la mécanique quantique semblent incompatibles à de telles énergies ?
    -«    Ce qui m’étonne  PAPY  c’est l’obstination des physiciens   cherchant alors à les marier !
    -«  Je vais précisément revenir   sur ces points la prochaine fois   CLARA  et te donner les raisons de leur entêtement !Mais il y aura aussi ,  des quasi –réussites !!!
    -«  PAPY ! J’imagine   que tu vas me parler encore de  « publish or perish ! »  L’ORGUEIL DES PHYSICIENS  A-T-IL  UNE LIMITE                ?
     A suivre


mercredi 21 décembre 2016

  • Le Pouvoir de l ' Imaginaire (507) :ERRANCES PERSONNELLES....OU ERREURS A VENIR ??? SUITE 2

      
    En théorie  gravitationnelle le rôle de h disparaitrait donc ??? Ne concluons pas encore TROP VITE ……..
    Pour essayer   de gagner un peu plus de confiance encore   sur ce point , l’idée m’a pris   de faire  recours à une autre direction de recherche  et je suis allé me re -mesurer aux  diverses définitions de l’énergie du vide   ….MAIS ce faisant   , compte tenu de la difficulté du sujet , que j’ai déjà traité sous plusieurs aspects  ici , j’ai préféré  orienter mes explications   vers l’utilisation   d’un dialogue  questions –réponses   avec ma petite fille  ( en thèse à RUTGERS UNIV TY) .Il me semble que c’est plus  distrayant  pour les lecteurs   !!!
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    -«  Peux-tu me dire  PAPY  quelle lubie t’a pris  d’aller chercher des arguments  pour ou contre  les limites  «  basses » de l’énergie  et leur quantification éventuelle   , dans un  Espace où par définition  tu ne mettrais que du vide ???!!!!
    -«  CLARA   , pour commencer à te répondre , j’espère que tu te rappelles  que  dans une suite d’articles publiées l’an dernier   (  dont LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE  N° 444 : »Et si on mettait PARIS en bouteille ? »   j’ai déjà proposé   un  graphique   qui a été largement  repris   ailleurs.

    -«  Je m’en souviens   ainsi que de la controverse qui t’ a opposé à DOMINIQUE MAREAU à ce sujet ! Dans ton graphique  xy cartésien   tu pars  à la base du Néant  ,x=0,y=0 , pour lequel   s’ il est définitif  , il n’est requis  ni énergies  ( ondes) ni  matières  dedans !
    -« Oui CLARA   et j’essaie ensuite de voir  s’il existe quelque échelon  « de plus » , qui  reste   toujours sans présence d’énergies ou de masses   et je le définis comme seulement   l’ «  IDEE DE L’ ESPACE » !A savoir ce qu’un mathématicien    particulièrement  fertile      crée dans son imaginaire   en y voyant  se déployer 1,2,3 ….N dimensions !
    -«  Ou bien tu triches  dans  la  précision de la définition de ton concept   ,PAPY , ou bien  tu pars dans la philosophie  d’  un pur esprit  désincarné imaginant de tels espaces    ;je n’ose plus parler du doigt de DIEU  depuis HAWKING !  Mais j’admets  pour te faire plaisir qu’ on puisse accoucher sans douleur  l’idée d’un tel espace  dans un livre de géométrie créative  !!!
    -«  J  ‘introduis ensuite CLARA   dans ma graduation  non plus le concept mais la réalité de cet Espace  toujours complètement vide  et je m’y retrouve en compagnie d’un certain ISAAC NEWTON  .Il  s’agit pour lui  d’un Espace permanent  et sans trous  que je qualifierai de «  BRUT »
    -« Et là ou j’espère te coincer  PAPY  , c’est dans la réponse que tu vas me donner  quant au «  prix à payer »   pour le  créer cet espace «  BRUT » ….. Partant du NEANT  tes poches sont vides en énergies ou en matières ! Et la  Thermodynamique est là qui te demande  qui paye les mètres cubes de   cet espace ?Le doigt de  DIEU  encore ???? Et combien  de dollars/Joules / Calories ETC …à l’unité ???

    Image.jpg
    -«  Je ne sais pas répondre a cette question  CLARA ou alors te répond ex abrupto que c est impossible sauf pour un  DIEUI !!!! …Mais surtout j’ignore si un tel type d’Espace  avec un  vrai vide absolu existe  .  Au-delà de cet échelon , de cet Espace  Brut  il faut imaginer  que pour « l’occuper » il faut soit un énergie ou une masse qui s y introduise……. OU alors une énergie ou une masse « dormante »  qui s’y réveille …….Et c est là que  le   modèle  OSCAR  vient se proposer avec un  état stochastique de l’univers : un espace déstructuré  qu’une certaine « pichenette » va resynchroniser …Je cite le copier coller  partiel des 2 commentaires de DOMINIQUE MAREAU en référence  à mon article ci-dessus  : « La notion d'espace brut ne fonctionne pas non plus dans l'état stochastique d'univers car on a zéro M,L,T.
    Cela veut dire que l'extension infini des nombres (de tachyons) ne se manifeste pas en terme d'extension spatiale. Ils sont donc naturellement superposés mais pas (encore) synchronisés. Même un seul de ces tachyon duaux n'a pas d'espace (même 1D) puisque les cordes qui s'opposent en son sein, s'annulent. Il n'y a que l'attracteur de synchronisation qui "refroidit" tout cela et forme un BEC. J'ai montré pourquoi ce BEC fossile est forcément saturé et débouche donc sur la mitose. Ensuite les bulles-BECs s'entremêlent et forment l'espace-temps cosmologique élastique. Mais comme elles sont en nombre limité, il existe un rayon max qui correspond exactement à la formulation d'Eddington (et deux autres voies identiques). Autrement dit, la vue séparée d'une seule corde (1/2 oscillateur) est impossible sans évoquer une existence injustifiée d'énergie »…. 
    « Cela étant dit, s'il est vrai que les lois de la thermodynamique sont bien vérifiées, elles ne sont qu'une conséquence des causes structurelles. Ces causes structurelles font passer de l'état de néant (structure à désordre caché), à l'état d'ordre, visible et froid, du premier BEC.
    Voyez-vous c'est comme :
    - l'idée d'un univers basé sur les relations d'Einstein (densité → courbure). Ces dernières, juste induites, ne structurent pas l'univers.
    - les quarks qui disparaissent hors du confinement, ne structurent pas les baryons, ne sont que des effets induits ».
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    -« J’imagine  PAPY   que si tu cites si longuement  le modèle  OSCAR      c’est parce qu’ il y a d’autres  systèmes d’explication du faux vide    …Alors  je veux bien que tu ailles trouver des énergies sous quantiques là ou ailleurs    mais permets que   je te ramènes à ton sujet ! POURQUOI  ALLER CHERCHER  LE GRAVITON  dans du faux vide ?????
    -«Très simple  CLARA ! En cosmologie, le problème  constant est le désaccord entre les valeurs mesurées de la densité d'énergie sous vide (la petite valeur de la constante cosmologique Λ) et l'énergie de point zéro suggérée par la théorie des champs quantiques.Alors laquelle choisir ??????
    Selon les hypothèses, l'écart varie de 40 à plus de 100 ordres de grandeur, un état de choses décrit par Hobson et Efstathiou  comme «la plus mauvaise prédiction théorique de l'histoire de la physique» . La discordance est  EFFRAYANTE !
     Mais  il faut reconnaitre  que  le  problème fondamental d'une énergie de vide produisant un effet gravitationnel avait  été identifié dès 1916 par Walther Nernst . Après le développement de la théorie des champs quantiques  le premier à aborder les contributions de fluctuations quantiques à la constante cosmologique était Zeldovitch (1967, 1968).  La valeur de la constante  a été mesurée en 1998, ( et encore depuis ) mais on se doutait déjà qu'elle était nulle ou très petite…
    Une autre difficulté a surgi   quand a vec  les années 1980,  le développement de la cosmologie  a présenté l'inflation cosmique  comme une conséquence possible   de  l'énergie du vide…
     Actuellement les différences dans la modélisation de l'énergie du vide conduisent  à des différences énormes dans les cosmologies résultantes. Comme  je te l’ai cent fois répété  la valeur forte  déduite des hypothèses d’apparition  fugitive de particules  en  MQ  rendraient la courbure de l’Espace  tellement déformante  que tu ne verrais pas le bas de ta jambe !
    Par conséquent, le problème est devenu de plus en plus central en tant qu'obstacle au progrès théorique  et a été baptisé «puzzle inexpliqué», «véritable crise» et «le problème le plus frappant de la physique fondamentale contemporaine».
    -«  Inversement  PAPY   si l’énergie du vide einsteinien   est quasi nulle  , cela favorise  ton hypothèse  d’ondes gravitationnelles  de toutes tailles mais en général   minuscules   et pas obligatoirement reliées à la MQ   ….Comment choisir ?Tu as une préférence ?
      A suivre  

lundi 19 décembre 2016

  • Le Pouvoir de l ' Imaginaire (507) :ERRANCES PERSONNELLES....OU ERREURS A VENIR ??? SUITE 1

      
    Il me semble délicieux de laisser vagabonder mon imaginaire   , mais en l’accrochant mathématiquement  à quelques définitions physiques précises  et avec des symboles clairs ….
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    AVANT-HIER je me suis  libéré  (en quelque sorte)  de ce concept  de grain d’énergie  minimal quantique  et surtout EMG/HERTZIEN  ….Voyons ce que je vais vous proposer aujourd’hui avec la gravitation et avec ce graviton….. !!!!!
    C’est simple, me suis-je dit, puisque ,en physique classique, l'énergie potentielle gravitationnelle est l'énergie potentielle associée au champ gravitationnel. Il suffit   alors d’imaginer   le plus petit déplacement Δx Δ y Δz  d’un corps de masse M   tel que  Δ EP   la variation d’énergie potentielle  soit inférieure   au quantum minimal EMG …..Ou même la plus petite variation d’énergie  cinétique  Δ ( ½ mv² ) puisque  l’Espace étant sans trou structurel    , il présente la puissance du continu   et Δx  Δy  Δz  peuvent être choisis aussi petits que l’on veut ……Donc il n’y aurait  pas de  concept de quantum nécessaire en  énergie  mécanique …..
    Mais c’est alors  que je me suis demandé si je devais en profiter pour  rappeler  quels étaient le rapport de valeur  entre les  champs de la  mécanique quantique et du champ EMG  et le champ gravitationnel ……  Réponse :  l’interaction gravitationnelle  est la plus faible de toutes les interactions, 10 puissance 38 fois plus faible que l'interaction nucléaire forte (c'est-à-dire cent milliards de milliards de milliards de milliards de fois plus faible) ….Et pourtant on l’a mesuré  indirectement   à  L’ILL/GRENOBLE  sur des neutrons  : Ces particules  me tombent  sur ma tête tout comme les pommes ! !
    Arrivé alors à ce point , je me  suis demandé si   compte tenu  de cette  différence  de valeurs dans les énergies mises en jeu  , il ne serait pas utile de fermer un moment   les saintes icones  de la  Mécanique quantique   , de  se débarrasser  de ces concepts de quanta et d’unités de  PLANCK   et de  rechercher si dans ce si   faiblard monde  des interactions gravitationnelles  on était en mesure  de rencontrer   un  beaucoup  plus «  petit pavé d’énergie » voire pas de pavé du tout  !!!! ( imaginez ce petit aimant de frigo qui  contrebalance  ET SURPASSE  l’attraction de toute la  TERRE  sur ce gros clou !!!)
    Bien entendu , ne commencez pas à croire que je vais vous forcer à reparler de micro  gravité quantique à boucles et des  recherches de LEE SMOLIN/Ashtekar/Carlo Rovelli/ Roger Penrose ETC  
    Pas davantage ,je ne devrais  chercher à vous « refiler » illico presto    les  toutes dernières ruminations des gens qui publient sur arXiv des  articles sur le  mythique graviton , ce grain d’énergie  élémentaire hypothétique vecteur  de l'interaction gravitationnelle.( Le terme graviton est vieux et a été proposé  en  1934 par  des physiciens soviètiques  Dmitrii Blokhintsev  et  F. Gal'perin.) mais puisque j’ai parlé  en titre de divagations , alors tant pis :parlons-en et divaguons ensemble !
     De masse nulle, neutre électriquement, cette particule serait l'équivalent du photon … Son échange entre deux particules massives exprimerait l'attraction gravitationnelle. Ses propriétés  impliqueraient qu’il  soit un tenseur  local  c'est-à-dire qu'il ait un moment angulaire intrinsèque (ou spin) égal à h/π, soit le double de celui du photon 2.
    OH ENCORE !!!! Allons  me suis-je dit …..Que j’arrête de me laisser intoxiquer par  les concepts mal « fagotés »  de cette pesante mécanique quantique   et sortons de  ses paradigmes…Libérons nous encore davantage  et admettons qu’il    n’y ait  pas de limite à la taille de cette interaction gravitationnelle ….. Et alors  comme  je l’imagine variant continument …. ce grain unitaire  d’énergie  «  graviton » n’existera plus lui aussi  !
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    PARTIR A LA RECHERCHE DE PREUVES ………
    Trouver  des formes  d’énergies  de caractère gravitationnel  n’est pas difficile ,me suis-je dit , puisque  toute masse présente  est là pour  témoigner de leur existence , mais  discriminer  les rôles du  graviton et  de cette sorte de « résidu   de la MQ/TQC »  qu’ est le boson de  HIGGS  est déjà plus subtil    et surtout  préciser   le  caractères  non granulaire de l’un et pas de l’autre  (ou l’inverse)  , va m’être difficile ….. Comment faire ?
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     J’AI ALORS  REPENSE AUX  ONDES GRAVITATIONNELLES :Point besoin de vous rappeler les résultats de l’appareillage  LIGO  de l’été 2016 ???
    Si peut-être ! ????Le succès des détecteurs interférométriques à détecter un déplacement maximal de  2.10^{-18}}  m (en 2016), permet d'espérer un élargissement du spectre d'observation avec les développements techniques à venir …..
    L’ex -expérimentateur que je suis , va essayer d’aller  chercher alors la petite bête dans ce résultat  rendu tonitruant l’été dernier  par toutes sortes de média …….Evidemment je trouve extraordinaire qu’ on puisse détecter un déplacement  de l’espace- temps  d’une aussi minime quantité …J’ai eu recours aux résultats publiés de la mission  LIGO  pour extraire de  leurs enregistrements  graphiques ce qui m’intéressait …. Mes photos vous montrent  ces deux manifestations dénommées GW150914et GW151226,
    J’avais applaudi moi aussi ….. mais depuis j’ai  dû aller rechercher les détails  ;je rappelle à mes lecteurs  qu’ il n’est pas nécessaire  de faire intervenir  une catastrophe  galactique pour qu’ une onde gravitationnelle soit émise .  Bien sûr, si  un trou noir en «  gobe » un autre  , avec tout ce qu’ il y a à dissiper  ,il  va propager l’onde pendant des milliards de km !!!!!! Mais d’autres types de phénomènes bien plus insignifiants en produisent    ; en termes généraux, les ondes gravitationnelles sont rayonnées par des objets dont le mouvement implique  une accélération et une variation  .Or tout cela n’est pas  si extraordinaire dans l’Espace ! Pourvu que le mouvement ne soit pas parfaitement sphérique symétrique (comme une sphère en expansion ou en contraction) ou  pas symétrique en rotation (comme un disque ou une sphère tournant) il y aura un rayonnement , (comme dans le cas de deux planètes  ou de deux étoiles  proches en orbite l'une de l'autre et de masses inégales) . Plus la différence sera grande , plus rapide sera l’évolution orbitale  et plus l’onde gravitationnelle  le montrera …Mais un autre cas est intéressant :si elles possèdent un certain degré de non-asymétrie, les étoiles à neutrons émettent une onde gravitationnelle monochromatique à la fréquence double de la fréquence de rotation de l’étoile. L'émission étant permanente, constante en fréquence et amplitude, on peut alors « intégrer » le signal pendant plusieurs mois afin de le distinguer du bruit instrumental( et oui la Terre tremblote tout le temps !)
    Mais me direz-vous  comment allez-vous de tout cela pouvoir tirer une preuve que le grain de graviton  soit unique  et bien «  calibré » ou bien   en quelque sorte « acteur » en une valeur quelconque :Le rapport sur la découverte des ondes gravitationnelle de GW150914 a spécifié, en ce qui concerne les gravitons, que "en supposant une relation de dispersion modifiée pour les ondes gravitationnelles, les observations contraignent la longueur d'onde Compton : 2П h  bar /m(g)c      du graviton à λg> 10 puissance 13 km, ce qui pourrait être interprété comme à relier à une  masse de graviton m(g) <1,2 x 10 puissance -22 Cette relation entre la longueur d'onde et l'énergie est calculée d’après  la sempiternelle  relation de Planck-Einstein,  qui relie la longueur d 'onde EMG d’ un photon à son  énergie….Relation  que je remets en question !!!
     Mais c’est là où le bât me  blesse ! Si ces gravitons représentent les «  quanta »  correspondants  des ondes gravitationnelles, qui nous dit que cette  relation entre leur longueur d'onde et leur énergie  ne soit pas fondamentalement différente pour les gravitons que pour les photons,( surtout  si la longueur d'onde Compton du graviton n'est pas égale à la longueur d'onde de l'onde gravitationnelle) ????? Qui nous interdit de penser que nous  n’ayons  pas changé d’échelle mais surtout  de phénomène  dans notre univers 3D+T seulement gravitationnel ?????
     Or , il apparait que la longueur d'onde de Compton d’un  graviton quantique théorique  ,d’après GW150914 serait  en  borne inférieure  5 × 10 puissance 9 fois plus grande que la longueur d'onde  gravitationnelle pour l'événement GW150914, qui  a été proposée à   environ de 2 10 puissance 6 m ( au lieu de 10 puissance 13 )!!!Personnellement , j’ignore comment traiter les 8 à 10 signaux de GW 1502914   reçus sur 0 ,2 sec ….. Alors pouvons-nous imaginer un «  paquet d’énergie » qui soit  en gros  10 puissances 6 fois plus petit que le quantum électromagnétique minimal  ????? 
    Résultats de recherche d'images pour « gravitational waves »
    Je propose alors  à mes lecteurs   de ne retenir( pour l’instant   ) de GW150614 et GW151226 pour le graviton  en mouvement   que sa  masse au repos  varie entre la valeur 0+ε  ET  soit  inférieure à  la valeur 1,2 x 10 puissance -22   eV / c². En outre  je  lance l’hypothèse que sa vitesse    reste  indéterminée  dans des espaces 3D+T  selon qu’ ils soient pleins ou vides de matière et pleins ou vides d’énergies  EMG  etc …Et ma justification est soit  celle-ci : »If gravitation is propagated by a massive field, then the velocity of gravitational waves (gravitons) will depend upon their frequency as (vg/c)2=1-(c/fλg)2, and the effective Newtonian potential will have a Yukawa form ~r-1exp(-r/λg), where λg=h/mgc is the graviton Compton wavelength. » ? …… Soit que la gravitation se partage sur des dimensions d’espace  de valeur  supérieure  à 3 (LISA RANDALL /JUAN  MALDECENA etc )
      A SUIVRE

samedi 17 décembre 2016

Le Pouvoir de l ' Imaginaire (506) :ERRANCES PERSONNELLES....OU ERREURS A VENIR ???

  
AVERTISSEMENT
Il me semble permis,  puisque j’ai  hébergé  ici et donné souvent la parole à des  propositions de lecteurs s’écartant des Modèles  Standards ,  de  sortir  moi aussi  , pour quelques articles hors    des  paradigmes de la Physique contemporaine  …. Ce  ne  sera pas la première fois que vous me verrez   CHERS  LECTEURS partir  «  to take a walk in the wild side  of the road » …….Et si vous pensez que je verse dans le fossé tant pis !
La motivation est venue une fois de plus  des observations    , lors de  mes traductions du « LE MONDE SELON LA PHYSIQUE » faites sur  la «  grenaille »    ( du « bruit »)  des ondes électromagnétiques  arrivant des  fonds des 4 coins de l’Univers …..
Bien entendu mes lecteurs vont penser  que je veux encore une fois ajouter mon grain de sel  aux  observations faites sur le fond cosmique  microondes ,( le CMB  ou encore   le   Cosmic   microwave background )….Mais en fait il n’en est rien  , puisque  dans mes prochains  questionnements ,  je désire  me  situer bien plus bas  dans les échelles de valeurs de l’énergie .
Et ,en passant  ,je  dévoilerai quelques expériences personnelles……..
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1/ Existe-t-il un minimum  pour toutes les formes d’énergies ?Est-ce le même ?
1-1/Energie électromagnétique EMG :
Lorsqu’ on pose cette question  à un physicien du Modèle Standard des particules  il excipe immédiatement  de ne  surtout pas déroger  à  la valeur  de  la constante  de PLANCK  h .Or cette  dernière n’a pas l’équation aux dimensions d’une énergie ou d’un travail (  ML²T-²  )  mais celles du produit d’une énergie  par  une durée T ; d’où h<> (ML²T-1 ) . Les calculs les plus récents donnent h=6,626076*10-34 m2.kg.s-1 et en  se glissant dans le systèmes d’unités de PLANCK   ( constantes fondamentales normalisées à la valeur 1)  , le « grain » d’énergie  de PLANCK  est de 10 puissance 19 GeV = 1,956×10 puissance 9 J
Si je vous ai raconté tout cela  , c’est  pour vous rappeler  qu’une onde électromagnétique  de fréquence  1 Hertz  et de longueur d’onde 300000km  est au fond  la meilleure image qui se puisse donner   du minimum possible de cette forme d’énergie ….En somme c’est  le «  quantum hertzien » !

Au demeurant ,malgré l’étalement d’une si petite énergie sur une si grande longueur ,   est-ce que c’est déjà  du bruit  ,ce quantum hertzien exténué  (N=1 Hertz) ??? Réponse : non !
Bien que cela ait fait partie  de ce qu’ on a essayé de m’apprendre autrefois , en Physique Générale   et que j’avais depuis longtemps oublié   ,je me suis longtemps  demandé  ce qu’on savait exactement sur les lois de déperdition  de puissance des ondes radio …. Et , comme digression ,je ne crois pas vous avoir raconté   que mon âge d’ancêtre  m’ a permis d’écouter  souvent la radio de la  France Libre ,émise  de  LONDRES , chez mon  petit cousin  , le défunt (Cdt) MARCEL MARCUS …un des chefs de la Résistance  du Tarn et Garonne .Il était ingénieur de  Centrale  et je tentais de me faire expliquer comment les Allemands réalisaient ce brouillage   ondulant si  caractéristique  (surnommé "la moulinette » ) qu’ on ne pourra  plus jamais oublier ……   Et qui plus tard , est devenu dans les films  un symbole de la vie en France sous l'Occupation ….Il me répondait qu’il fallait  rajouter des ondes SUR LES  ondes pour les faire interférer ….Je ne comprenais pas complètement cette sorte d’effacement par ajout  …..
Bien plus tard j’ai appris que  les ondes hertziennes peuvent être  modulées de diverses façons , en amplitude,  en fréquence ,en phase  ou encore  en impulsion  , que leur déperdition d’énergie dans leur parcours  dépendait  des lois de  Maxwell et Friis  ,et  de ce qu’ elles rencontraient en chemin ( et qui provoquait éventuellement  diffusion , réfraction , réflexion , réfraction  , absorption , atténuation ,interférence  etc )….. La perte d’amplitude de l’onde avec l’éloignement de la source  ( en 1/d² ) n’est pas à proprement parler une atténuation puisque sans aucun rapport avec une perte d’énergie ; pour cette raison on adopte le terme « dispersion d’amplitude ».
Alors me  direz-vous ,   si une onde hertzienne  extrême (N=1)  disparait  par un ou plusieurs  de ces processus  ,  c’est qu’ il existe « quelque chose » qui recueille  l’énergie  de ce photon hertzien qui s’en va ailleurs  …Donc   peut-être  une forme d’énergie   où la notion de quantum minimal   n’existerait  pas!(Quelle délivrance !)
1-2 / Quelle  autre énergie ?
La masse évidemment  ,( me dites vous )puisque  pour tout béotien du 20 ème siècle   E=mc²    lui  vient à la bouche !
Alors pour commencer ,il me prends fantaisie  de vous présenter ce tableau  
Capture.PNG longueur compton.PNG

La relation entre les propriétés de la «  masse » et ses constantes physiques associées. On y présume   que chaque objet massif présente toutes cinq propriétés. Toutefois, en raison de constantes extrêmement grandes ou extrêmement petites, il est généralement impossible de vérifier plus de deux ou trois propriétés pour n'importe quelle valeur de masse .
-Le rayon de Schwarzschild (rs) représente la capacité de la masse à provoquer une courbure dans l'espace et le temps.
-Le paramètre gravitationnel standard (μ) représente la capacité d'un corps massif à exercer des forces gravitationnelles newtoniennes sur d'autres corps.
-La masse inertielle (m) représente la réponse newtonienne de la masse aux forces.
-L'énergie de repos (E0) représente la capacité de la masse à être convertie en d'autres formes d'énergie.
-La longueur d'onde de Compton (λ) représente la réponse quantique de la masse à la géométrie locale
  A SUIVRE

mardi 13 décembre 2016

  • LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/PHYSICS WORLD/ DEC 2016-2

      
    Voici les presque derniers arrivages  de la fin de l’année .  j’en profite pour vous signaler à nouveau que j’élimine dans la revue anglaise  les nominations , les deuils , les mutations  , les articles  à dominance politique  ou philosophique   , les prix  scientifiques etc.  
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    1
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    Earthquake-aftershock puzzle solved, say physicists


    L'idée que des tremblements de terre plus petits (  que les journalistes baptisent répliques) suivent des tremblements de terre majeurs est un concept bien établi en géophysique. Cependant, les répliques ne sont pas expliquées par le modèle surnommé «  d'avalanche » qui est employé pour décrire des tremblements de terre et des phénomènes semblables tels que la fissuration des matériaux solides. Le modèle classique  dicte que les événements tels que les tremblements de terre sont aléatoires et donc il ne devrait y avoir aucune corrélation entre les séismes successifs. Or, Sanja Janićević, Lasse Laurson et ses collègues de l'Université d'Aalto en Finlande ont montré que cet écart pouvait être simplement le résultat de la mesure des répliques. En écrivant dans Physical Review Letters, les physiciens décrivent des expériences dans lesquelles ils ont surveillé le craquage d'un matériau solide. Ils ont constaté que lorsqu'ils fixaient le seuil de détection de leur appareil à des valeurs élevées - pour éviter de mesurer le bruit - un événement d'avalanche individuel apparaissait comme une séquence d'événements apparemment non liés. Cependant, quand ils ont réduit le seuil de détection, ce qui avait apparemment été répliques étaient en fait partie de l'événement principal avalanche.
    MON COMMENTAIRE /Il est banal en mesures physiques   de positionner  l’appareil  sur la sensibilité maximale  et de chercher à discriminer  du bruit   les valeurs d’un seuil  significatif….. Il se peut  ensuite que  la  détection du suivi du phénomène    ne corresponde pas au même rapport  initial signal sur bruit  …..La théorie des séismes en  modèle d’avalanche   n est peut être qu’un approximation   …JE RAPPELLE QU IL N EXISTE  A CE JOUR AUCUN MODELE DE PREVISION A HEURE DITE DES SEISMES
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    Nuclear pasta boosts supernova neutrino emission


    Les « pâtes » nucléaires qui se forment dans les supernovae devraient stimuler le nombre de neutrinos tardifs émis par les étoiles  alors en explosion - ce qui rend plus probable que de tels événements pourraient être vus par les détecteurs de neutrinos sur Terre. Se  formant juste avant que le noyau d'une étoile  ne  s'effondre  et atteigne la densité nucléaire, les pâtes nucléaires comprennent des tubes, des feuilles et d'autres structures semblables à des pâtes fabriquées à partir de neutrons et de protons. Charles Horowitz de l'Université d'Indiana et ses collègues ont utilisé des simulations de dynamique moléculaire pour calculer comment les neutrinos produits dans une supernovæ diffusent ces pâtes nucléaires et ont constaté que les pâtes augmentent considérablement le nombre de neutrinos émis 10 secondes ou plus après l'effondrement du noyau. En rédigeant un pré-imprimé d'arXiv, l'équipe affirme que les neutrinos à retardement d'une supernova dans la Voie Lactée devraient être clairement visibles aux détecteurs de neutrinos tels que SuperKamiokande au Japon. La détection de ces neutrinos pourrait fournir des informations importantes sur l'effondrement des étoiles pour former des supernovae
    MON COMMENTAIRE/ J’ai publié ici  il y a longtemps des simulations mathématiques  et photographiques de ce style  d’études  et je ne crois pas que les physiciens puissent  donner des indications assez précises aux ordinateurs  pour tracer l’image exacte et précises de réalités  aussi chaotiques qu’un effondrement gravitationnel d’étoile ……
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    Tiny device pumps out one electron at a time

    Research paves the way to a new definition of the ampere
    Les physiciens devraient enfin pouvoir se débarrasser de la définition lourde et inexacte de l'ampère. C'est la prétention affichée des métrologistes en Allemagne, qui ont mesuré le courant électrique en comptant les électrons simples voyageant le long d'un fil microscopique. Les chercheurs disent que leur technique permettra aux scientifiques dans un certain nombre de disciplines différentes de faire de meilleures mesures  sur des courants minuscules.
    Le changement pour  modernisation de l'ampère fait partie d'une refonte plus générale du système SI des unités. Il est prévu que les sept unités de base - l'ampère, la seconde, le mètre, le kilogramme, le kelvin, la mole et la candela - seront ancrées dans des constantes de la nature. En particulier, les scientifiques sont impatients de redéfinir le kilogramme, qui est actuellement basé sur la masse d'un morceau spécifique de platine-iridium  dans un coffre-fort de Paris et lentement en train de  perdre des atomes.
    C'est en partie pour rompre son lien avec le kilogramme que les métrologistes sont désireux de redéfinir l'unité de courant électrique. Actuellement, un ampère est défini comme le courant circulant dans deux conducteurs parallèles étroits, infiniment longs placés à un mètre de distance dans un vide qui génère entre eux une force de 2 × 10-7 N pour chaque mètre de longueur. Cette formulation est  en soi un problème car elle signifie que l'ampère est défini en termes de kilogramme (ainsi que le mètre et la seconde) parce que la force est égale à la masse fois l'accélération. En outre, rien ne peut être infiniment long, donc cette exigence doit être approchée en quelque sorte.
    Le dernier travail réalisé par Frank Hohls et ses collègues à l'Institut National de Métrologie (PTB) de Braunschweig  vise à définir l'ampère en termes d'un certain (grand) nombre d'électrons simples traversant un canal conducteur dans un  temps unitaire. Au centre de la proposition est la construction d'une "pompe à un seul électron", un transistor-comme dispositif qui transmet juste un électron lorsqu'il est activé par une tension de grille. Avec la tension oscillant peut-être plusieurs milliards de fois par seconde, le dispositif génère un courant suffisamment grand pour calibrer un ampèremètre - ce qui révèle la précision de l'instrument.
    L'équipe a fabriqué des pompes à un  électron unique à partir de points quantiques - ces surfaces conductrices de taille submicronique gravées sur des substrats semi-conducteurs. En utilisant les pompes à des températures de l’ordre du  milli kelvin, ils appliquent une tension de grille d'environ 0,5 GHz et une seconde tension fixe sur chaque point pour établir un puits de potentiel variable dans le temps qui capte brièvement puis éjecte des électrons un par un . Pour établir la précision de leurs dispositifs, les chercheurs utilisent un amplificateur spécialement développé qui convertit le courant qui le traverse en une tension, qui est mesurée par un voltmètre calibré à l'aide de deux autres phénomènes quantiques - l'effet Hall quantique et l'effet Josephson.
    Les chercheurs ont pu mesurer le courant transmis par les pompes avec une précision de 0,16 parties par million. Cela est nettement meilleur qu'avec une version antérieure de leur appareilréalisée l'année dernière, ce qui correspond à la précision des mesures qui peuvent être effectuées en utilisant la définition de force existante de l'ampère - 0,2 parties par million. Les nouvelles mesures ont également été effectuées plus rapidement - nécessitant seulement 21 heures, plutôt que les plusieurs jours employés il y a un an. "Le dispositif de mesure utilisé dans cette expérience représente l'état de l'art dans la métrologie à petit-courant", explique le membre du groupe Hansjörg Scherer.
    Selon Scherer, qui a dirigé l'effort PTB pour concevoir le nouvel amplificateur, des mesures plus précises rendues possibles par les pompes pourraient s'avérer utiles dans un certain nombre de domaines. Parmi eux, dit-il, il y a  la détermination des niveaux de radioactivité dans les chambres d'ionisation et le comptage des particules d'aérosol dans l'air.
    Ian Mills, un expert en métrologie à l'Université de Reading au Royaume-Uni, loue le "travail précieux et excellent" qui est fait sur ce comptage d'électrons à la PTB. Mais il croit qu'une meilleure définition de l'ampère peut être obtenue simplement en utilisant la valeur la plus précise pour la charge d'électrons disponible aujourd'hui - qui est basée sur d'autres mesures, y compris celle de la constante de structure fine. Cette valeur de l'ampère a une précision d'environ 20 parties en milliard et devrait être , dit-il, très probablement utilisée dans la nouvelle définition de l'ampère qui devrait être approuvée par la Conférence générale sur les poids et mesures - Autoriser les changements au système SI. «Je pense que les expériences de comptage d'électrons sont fascinantes», dit-il, «mais elles ne sont pas encore suffisamment précises pour entrer dans la compétition ».
    François Piquemal, du Laboratoire National de Métrologie et d'Essais (LNE) de Paris, adopte un point de vue légèrement différent, arguant que le comptage d'électrons offre un moyen de réaliser l'ampère dans la pratique plutôt que de le définir. Il soutient que les pompes à un seul électron sont les mieux adaptées pour mesurer des courants jusqu'à environ un nano ampère , tandis que l’ autre approche - impliquant la combinaison des standards quantiques Hall et Josephson par la loi d'Ohm - est préférable pour les courants plus importants. "
    The research is described in a paper that will be published in Metrologia.
    About the author :Edwin Cartlidge is a science writer based in Rome
     Mon commentaire : très saine compétition !Bravo !
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    Vibrots tumble and turn


    Les vibrateurs sont des dispositifs minuscules qui convertissent les vibrations linéaires en mouvement de rotation et sont d'un grand intérêt pour les scientifiques qui étudient les mouvements collectifs des particules en physique, en biologie et en chimie. Dans cette dernière étude, Christian Scholz, Sean D'Silva et Thorsten Pöschel de Friedrich-Alexander-Universität Erlangen-Nürnberg en Allemagne ont créé un vibrateur  qui est alimenté par un sol vibrant - quelque chose qui est commun dans le traitement des matériaux granulaires, où le mouvement collectif peut émerger. Le dispositif cylindrique a environ 1 cm de diamètre et est soutenu par sept pieds, qui sont tous pliés au même angle (voir figure). Les jambes sont élastiques et cela pousse le vibrateur à tourner lorsqu'il est soumis à des vibrations verticales. Dans ce dernier travail, Scholz et ses collègues ont identifié deux manières distinctes dans lesquelles ce mouvement  se produit: en anglais  le  «ratcheting» et  le «tumbling». Le mode à cliquet ( ratcheting) se produit à des amplitudes de vibration relativement faibles. Les jambes du vibrateur  se déplacent en synchronisation avec la base  vibrant de haut en bas, avec ce  dispositif  avançant  en  rotation à chaque cycle vibrationnel - tout comme un cliquet. Le mode tumbling se produit  lui à des amplitudes vibratoires plus élevées et n'implique pas le mouvement synchrone des jambes. Dans ce mode, les jambes tendent à rester dans l'air pendant plus d'un cycle de la vibration. Bien que le vibrateur  tourne en mode tumbling, il le fait d'une manière très irrégulière avec des fluctuations chaotiques. La recherche est décrite dans New Journal of Physics.
     MON COMMENTAIRE :je suis revenu à la publication  de Physics  pour comprendre l’usage  COMMUN  de cet étrange  bidule ! je vous conseille la vision de you TUBE   sur une application de ces zizi pan pans ! ces jeunes enfants vont vous charmer  avec leur jouets !!!!

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    Fully integrated microwave communications device is a first


    Le premier appareil photonique pour signaux micro-ondes avec tous les composants nécessaires intégrés sur une seule puce vient d’être  produit par des chercheurs en Espagne. La conception pourrait avoir des implications importantes pour la prochaine génération de la technologie de communication sans fil, où les exigences accrues pour la capacité de données nécessiteront l'utilisation de signaux multiplexés plus fréquents que l'électronique traditionnelle ne peut pas traiter efficacement aux vitesses requises. Le traitement des signaux optiques constitue une solution évidente, mais le coût des composants requis s'est jusqu'à présent révélé prohibitif pour les applications de télécommunications. Les chercheurs ont tenté de réduire les coûts, ainsi que la taille physique et les besoins en énergie, en intégrant de plus en plus de composants sur des puces simples, bien que cela  se soit révélé difficile. José Capmany Francoy et ses collègues de l'Université Polytechnique de Valence ont pressé tous les composants nécessaires pour un filtre hyperfréquence sur un seul morceau de phosphure d'indium - y compris un laser, un filtre optique accordable et des photodétecteurs. Le filtre optique est réglé en changeant sa température - ce qui peut être obtenu en appliquant des tensions aux broches spécifiques de la puce pour alimenter un réchauffeur interne. Le dispositif a souffert de graves problèmes: par exemple, les chercheurs ont dû mesurer la sortie optiquement en raison de l'interférence lors de la mesure de la sortie  en tant que signal électrique. Néanmoins, ils croient que les améliorations de la conception technique et l'élimination des imperfections de fabrication devraient corriger ces problèmes, permettant aux chercheurs de pousser vers leur objectif d'un processeur de micro-ondes photonique entièrement intégré et programmable. La puce est décrite dans Nature Photonics.
     MON COMMENTAIRE  Ils parlent de leur difficultés mais je ne leur ferai pas l’offense de ne pas connaitre la loi de MOORE …Leur appareil est une extrapolation quasi inutile actuellement
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    Robust structural colour is inspired by a tropical bird

    Self-assembling, random network of pores creates a wide range of colours
    Une nouvelle façon de produire des couleurs structurelles - inspirées par les plumes nano poreuses d'un oiseau sud-américain aux couleurs vives -  vient d’être développée par des chercheurs aux États-Unis, en Suisse et en Arabie Saoudite. La technique repose sur un réseau aléatoire auto-assemblé de pores de  sub-longueurs d'onde dans un alliage métallique pour produire une large gamme de couleurs. Selon les chercheurs, leur technique est plus robuste et plus facile à mettre à l'échelle pour la fabrication commerciale, et pourrait être utilisée dans une gamme d'applications, y compris les revêtements légers pour les voitures et les avions.
    Les animaux utilisent les couleurs pour un éventail de fonctions, depuis  l'affichage de cour jusqu’àu camouflage. Bien que beaucoup de ces couleurs soient produites par des pigments, d'autres sont produites par des structures de surface qui interagissent avec la lumière et reflètent des longueurs d'onde spécifiques. Les chercheurs s'intéressent depuis longtemps à cette coloration structurale en raison de sa durabilité et de nombreuses applications potentielles.
    "Les pigments s'effacent sur des temps relativement courts, alors que la coloration structurale peut persister dans le temps, car elle repose sur une structure", explique Andrea Fratalocchi, ingénieur de l'Université King Abdullah de Science et Technologie en Arabie Saoudite. "Les fossiles de coléoptères datant de millions d'années conservent encore les couleurs." Il ajoute que, comme les couleurs structurales peuvent être dynamiquement modifiées par des modifications structurelles, elles pourraient être utilisées pour de nouveaux matériaux intelligents avec des propriétés de camouflage adaptatif. Jusqu'à présent, l'applicabilité réelle des surfaces conçues avec des cristaux photoniques ou des métamatériaux pour produire des couleurs structurelles a été limitée, malgré tout , en raison de problèmes de robustesse, de coût et d'évolutivité.

    Une grande partie de la couleur structurale dans la nature est également produite par des cristaux photoniques ou des rangées hautement ordonnées de nano fibres, mais le cotinga du  prunier (Cotinga maynana), est différent. Les plumes bleues vibrantes de l'oiseau tropical sont produites par un réseau nanoporeux désordonné de kératine. Le réseau de pores, qui est typiquement inférieur à 200 nm, interagit avec la lumière de telle sorte que seules certaines longueurs d'onde de lumière bleue sont réfléchies.
    Pour créer un réseau nano poreux similaire dans un alliage à base de platine et d'aluminium, Fratalocchi et ses collègues de l'ETH de Zurich et de l'Université de Harvard ont utilisé un procédé de défaisance d’alliage. Ils ont placé l'alliage sur un substrat approprié puis l'ont immergé dans une solution d'hydroxyde de sodium. Cela a enlevé la plupart de l'aluminium, en laissant le platine pour former un réseau poreux.
    Le chercheur principal Henning Galinski, physicien de l'ETH de Zurich et de l'Université de Harvard, a déclaré à Physics World que les plumes et l'alliage métallique poreux partagent «la même idée de conception» avec des structures sub -longueur d'onde et «réalisés par auto assemblage». Il ajoute: «La différence principale est que les barbes de plumes continga sont faites de kératine."
    Pour contrôler la couleur produite, l'alliage poreux a été revêtu d'une couche ultra-mince et transparente d'oxyde d'aluminium. Sans ce revêtement, le matériau apparaît sombre. Mais lorsque le revêtement a été ajouté et a  augmenté d'épaisseur, la couleur a changé, passant du jaune à orange, rouge et, enfin, au  bleu.
    "Nos réseaux semblent désordonnés et aléatoires, mais d'un point de vue réseau, ils sont assez réguliers, ce qui signifie que chaque nano fil ou barre dans le réseau est, en moyenne, relié au même nombre de nano fils", explique Galinski. «La connectivité peut être contrôlée en modifiant le processus de fabrication. Dans ce travail, nous avons décidé de maintenir la connectivité constante et d'altérer l'interaction de la lumière avec le matériau en ajoutant une couche de céramique ultra-mince. Il ajoute: «L'augmentation de cette couche par étapes de 7 nm à 53 nm, nous a permis d'améliorer le couplage pour une longueur d'onde spécifique de la lumière, ce qui entraîne la formation de couleurs structurelles vibrantes.
    Les chercheurs ont constaté que lorsque la lumière frappe la surface de leur matériau, elle se couple avec des plasmons de surface - excitations collectives des électrons - qui se retrouvent piégés dans la surface désordonnée. Cela crée des régions où la permittivité électrique est proche de zéro, séparées par des zones d'indice de réfraction élevé. Le film d'oxyde d'aluminium change cette dynamique et augmente la réflexion de différentes longueurs d'onde de lumière, selon son épaisseur.

    Galinski explique que, parce que la technique est «basée sur la simple chimie humide et les technologies de revêtement», elle peut «produire des couleurs robustes sur de grandes échelles spatiales». Fratalocchi ajoute: «Les approches précédentes se concentrent sur la création de couleurs structurales en assemblant des tableaux de blocs de construction identiques ou des cellules unitaires. Cette approche ne fonctionne que sur de très petites échelles et est totalement inadaptée pour des applications industrielles et à grande échelle. Basée sur le désordre, elle est  totalement évolutive,  vers l'ouverture de cette technologie au monde réel et  les applications commerciales. "
    Galinski affirme que les couleurs structurales ont «un large potentiel comme technologie d'impression future pour diverses applications, allant des tissus bio-mimétiques aux matériaux de camouflage adaptatif». Il ajoute que la technique décrite étant mécaniquement robuste et extrêmement légère, elle est «adaptée aux applications industrielles du monde réel, comme les véhicules automobiles ou les avions dont le poids est directement lié à l'économie de carburant».
    Le nouveau matériel est décrit dans Light: Science & Applications.
    A propos de l'auteur
    Michael Allen est un écrivain scientifique basé à Bristol, Royaume-Uni
    MON COMMENTAIRE /  TRES INTERESSANT ! bien entendu , c est la maitrise de  la  dimension des pores qui détermine les fréquences  et l’ancien de la séparation  isotopique de l’uranium  en sait quelque chose
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    Sonic Lamb shift detected in ultracold atoms

    Phononic effect puts quantum electrodynamics to the test
    La minuscule influence que les ondes sonores quantifiées appelées phonons ont sur les niveaux d'énergie atomique a été mesurée pour la première fois par des physiciens de l'Université de Heidelberg en Allemagne. Connu sous le nom de «changement phononique Lamb", l'effet est prédit par la théorie de l'électrodynamique quantique (QED), qui décrit comment les particules chargées interagissent avec les quanta de la lumière. Markus Oberthaler et ses collègues disent que leurs techniques expérimentales - qui utilisent des condensats de Bose-Einstein (BEC) pour simuler le comportement des phonons plutôt que des phonons classiques dans un réseau cristallin - pourraient être étendues pour tester d'autres prédictions de QED.
    Le changement Lamb phononique est une variation sur le déplacement Lamb  d'origine, un changement minuscule d'énergie trouvée entre deux niveaux d'énergie atomique-hydrogène dans un vide. D'abord mesuré en 1947 par le physicien américain Willis Lamb, ce changement a défié la compréhension classique de l'espace vide, qui prédisait que ces deux niveaux devraient avoir la même énergie.
    QED a expliqué plus tard pourquoi la compréhension classique était fausse: dans le vide, les paires électron-positron virtuelles entrent et sortent de l'existence. «Le mot« vide »semble vide, mais ce n'est pas le cas, dit Oberthaler. Ces particules virtuelles perturbent l'électron unique de l'hydrogène, ce qui entraîne un léger changement dans les niveaux d'énergie.

    Dans le changement phononique Lamb, phonons  vont perturber l'atome au lieu d'électrons virtuels et  de positrons. Dans leur expérience, le changement d'énergie dû aux phonons est environ 10 000 fois plus petit que l'espacement entre les principaux niveaux d'énergie de l'atome, dit Oberthaler.
    Pour effectuer cette mesure, le groupe n'a pas utilisé de phonons réels dans un réseau cristallin pour perturber leurs atomes. Ils ont utilisé plutôt, des excitations dans un BEC, qui est un ensemble ultrafroid  d'atomes qui sont tous dans le même état quantique. Ces excitations se comportent de façon analogue aux phonons classiques. Le groupe a utilisé des lasers pour piéger et mélanger plusieurs milliers d'atomes de lithium avec un BEC composé d'environ un million d'atomes de sodium, le tout à des températures presque prés du  zéro absolu-.
    Les atomes de lithium interagissent collectivement avec les excitations BEC pour créer une quasiparticule appelée polaron. En utilisant une technique connue sous le nom de spectroscopie de Ramsey, l'équipe a mesuré les deux états d'énergie de mobilité  les plus bas du polaron et les a comparés aux mêmes états d'énergie des atomes de lithium en l'absence du BEC.
    Mathématiquement parlant, les interactions entre les atomes de lithium et les excitations dans le BEC sont équivalentes aux électrons interagissant avec les phonons du réseau cristallin, respectivement. Mais étudier les atomes ultra-froids et les BEC est expérimentalement beaucoup plus facile que l'étude de  phonons  se propageant dans un réseau cristallin, Oberthaler dit. «Pour mesurer l'effet, nous mettons ou non des atomes de lithium dans un condensat de sodium», dit-il. - Et puis on compare les résultats des deux cas. L'expérience analogue dans un système à l'état solide serait de piéger un électron dans un cristal tout en réglant  les vibrations du réseau à volonté et à volonté - ce qui n'est pas actuellement faisable.
    Oberthaler dit que le travail ouvre la voie à des tests plus expérimentaux de QED en utilisant  ces BECs. Il a été difficile de confirmer expérimentalement les phénomènes QED prédits, explique-t-il, car beaucoup de ses prédictions s'appuient sur des mécanismes physiques que les expérimentateurs ne peuvent pas contrôler. Par exemple, on ne peut pas expérimentalement désactiver les fluctuations de vide quantique. Les BEC offrent une alternative expérimentale, dit Oberthal. Au lieu d'étudier les fluctuations elles-mêmes, les physiciens peuvent simuler un comportement analogue dans les BEC, où ces comportements peuvent être contrôlés et manipulés pour tester la théorie.
    Vera Guarrera de l'Université de Birmingham suggère qu'ils pourraient utiliser des méthodes expérimentales semblables pour étudier l'effet Casimir, un phénomène QED où deux plaques chargées de façon neutre placées à des nanomètres de distance exercent  une légère force entre eux due aux fluctuations quantiques. En outre, les techniques pourraient être utilisées pour étudier d'autres phénomènes physiques de nombreux corps tels que la supraconductivité, at-elle souligné.
    A propos de l'auteur
    Sophia Chen est une écrivaine scientifique basée à Tucson, en Arizona
     MON COMMENTAIRE /LA PUBLICATION  m’a beaucoup intéressé car si la propagation de phonons est  possible a l’intérieur de l atome  ou dans une configuration où le «  vide quantique » n’est VRAIMENT  jamais vide   , elle reste strictement impossible en vide  galactique    EN L ABSENCE DE MATIERE   , car à quoi les accrocher alors ces phonons ?????
      A SUIVRE