lundi 28 juin 2021

SCIENCES .ENERGIES ETC /2021 W 270 /PARTONS A LA DECOUVERTES DES QUARKS :!

 

 Les lecteurs  aynt  compris  que je ne pourrai reprendre  les traductions de PHYS ORG/SCIENCE X   qu’une fois re-installé dans l’ile de  RE ,je leur propose de continuer  à examiner les propositions de physiciens  utilisant le concept  des dipoles  electron-positon  pour essayer de comprendre   le modèle actuel des quarks  et de leur instabilité   totale   lorsqu’ ils se retrouvert solitaires  ou,en duos comme  pions ou en mésons   (paires quarks –antiquarks ) ……

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Au demeurant  il reste à se poser des questions persistantes :

1 : Le mystère de l’ antimatière :où sont passés les positons les antiprotons  ?Réponse : l'antimatière a  semble –t-il presque totalement disparu.  On en détecte quelques indices  faibles  dans les rayons cosmiques ou dans les machines du  Cern !!! 2

2 :   A quoi attribuent- on   cette sitation ?Réponse :

   Pour des raisons de symétrie et de statistique    en   très haut niveau d’énergie  ( et indépendamment de toute hypothède de BIG BANG)  les lois de  l’univers  devraient avoir produit  autant d'antimatière que de matière ...   Expérimentalement les particules de matière et d'antimatière sont toujours apparues  par paire … .Les particules d’antimatière ont la même masse que leurs homologues de matière, mais des caractéristiques opposées, notamment la charge électrique. Ainsi,   SI les particules de matière et d'antimatière sont  en contact les une avec Les autre,   SOIT 1°/   elles disparaissent  en laissant leur énergie  d’ annihilation   se dissiper  dans l’espace , ,SOIT 2°/    elles   se recréent   par un sursaut local    de niveau d’énergie    , SOIT 3°/   un mécanismes  physique ( inconnu )  provoque une   dissymétrie    lors de   la baisse globale de niveau d’énergie , SOIT 4°/ elles ne disparaissent pas   et  deviennent des  paires electrons –positons   ‘’ congelées’’  sous forme de ces structures  de multipoles 3 D  de groupe de symétrie octaédrique   associés  tels que je vous les ai présentés dans mon dernier billet    ( voir figure )   

 L e 5°/    exisiste  car d’aurès théories ont été proposées faisant appel   au  modèle DHL (Dualité Hypersymétrique de Localité)

…Par conséquent notre vision de cette disparition de l’ anti matière  et des positons pourrait être fausse  : selon le 4°/ elle est toujours présente  mais sous forme de dipoles ou de multipoles  confinés ou gelés !!!

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Reevenons à la structures  du proton , du neutron  , des quaks  préentée par la théorie  QCD  (  Quantum chromodynamics )  à grands renforts se supercalculateurs  et  regardons  leurs valeurs de masses en regard avec la masse d’ un dipole eelectron –positon .

-Masse de l’ electron : 9,1094 10-31 kg   = 511 keV/c2, c

  -Masse du proton :16726, 2192369×10−31kg =938 MeV/c

-Masse du neutfon :. 1,6749 10-27 kg10-27 kg = 940 MeV/c

-Masse d’ un dipole electron-positon :18,218

- Nombre de dipoles   possibles  dans le proton :824

-Nombtre  de dipoles possibles dans un neutron :

825

-Masses estimées des quarks  les plus legers  u,d,s :    up :2.3±0.7 ± 0.5/down :4.8±0.5 ± 0.3/S : strange       ,95±5 ( en unités  (MeV/c2) avec 1 Ev/C² = 1 ;783 .10 - 36  Kg

Dans ce réseau d octaedres  chaque shére  est alternativement un electron ou un positon  .( lttice  presumed in zero pont energy  state )

   A SUIVRE

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

dimanche 27 juin 2021

SCIENES.ENERGIES ETC ! 2021 w27 :De la physique avant toue chose ! Et pour cela préfére le pair : VERLAINE BIS !

 

  La suite de l’article d’hier  reprend une partie de texte   pour permettre   d’en suivre le fil conducteur :   je rappelle   que les caractérisés   des quarks   ont été  acquises par les grosses installations   internationales  d’accélérateurs de particules … Mes lecteurs   du  Nouvel OBS    se  rappellent  peut-être  de   mes  articles    publiés    depuis Princeton , lors  des 2 conférences de   David Goss   , co inventeur aveC H. David Politzer et Frank Wilczek,  de la théorie  expliquant   la structure  des protons  et des neutrons ?

Lors  des exposés qu’il nous fit ,  trois  concepts  m’ avaient passionné : 1°  ,la description succincte  de la théorie des  Cordes ;2°,la liberté asymptotique ;3°, les charges électriques fractionnaires  des quarks …..    Je dois reconnaitre  que les calculs d’Ed Witten sur la théorie M  ont depuis refroidi  mon interet  pour le 1 ° !!

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 Mais  mon interet  pour le    n’a pas faibli   et je vous en ai fait part  dans une série  d’ articles publiés    ici   en 2020 sur  GOOGLE/BLOGGER :Comment la Nature  peut-elle  s’écarter en apparence  du principe  de la charge  électrique  élémentaire   , celle de l électron ???Pour ceux qui ne m’ont pas lu  je rappelle que  le concept   de  charges fractionnaires  apparu   déjà il y a 20 ans  pour expliquer les valeurs de la conductivité dans certains solides, les théoriciens ont proposé l'existence de porteurs  de  charge  qui  serait égale à une fraction de celle de l'électron. L

 La communauté des physiciens avait accueilli cette hypothèse avec scepticisme, mais  pour les charges fractionnaires des quarks   il s semblait  que ce n’était pas le  cas   ….Il faut dire  que les manips    avaient montré  que  dans un assemblage  de  chaîne linéaire de polyacétylène, les physiciens    mesurant  l une  conduction des chaînes , pour expliquer les valeurs  obtenues   avaient élaboré un modèle où si  l'espace est réduit  , lorsque les électrons se déplacent dans la molécule, une partie de leur charge semble  rester  «accrochée» aux atomes, si bien que tout se passe comme si une fraction de la charge  paraissait absente voire  dissimulée  cachée :(  modèle de R. Schrieffer et W. Pei Su,)

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 Si les théoriciens   doivent chercher  une  cause   à la charge fractionnaire des quarks   ils  doivent  donc partir sur une piste différente  et certains ont fait appel  aux  propriétés du dipôle  electron – positon.Ce dernier   ne demande  malheureusement qu’à disparaitre    très rapidement suivant  la rection nucléaire bien connue  , l'annihilation ,  qui se produit lors de leur  collision. Aux basses énergies, il y a  création de photons énergétiques : e⁻ + e⁺ → γ + γ Aux hautes énergies, d'autres particules, B ou les W et Z bosons …. Mais que se passerait- il  à très bas niveau  d’énergie ???   La littérature  scientifique  nous apporte  déjà une moitié de réponse :   la force d’ attraction  que subit un  électron   de la part d’ un positon   ( f= qq’/D² )   doit etre   rendue nulle  par les autres attractions environnantes   de signe opposé  ….  Cette condition  s’exprime  mathématiquement puis physiquement  par un  arrangement géometrique   3 D  alterné d’électrons- positons    illimité   suivant le groupe de symétrie  du trirectangle cartésien     ) 

  Dans une telle  disposition   toute particule de chage plus ou moins 1  se voit  entourée  de  6 autres particules    dont  la disponible de charge est de 1 /6  et de signe opposé   sur chacun des axes xyz   ….  Cette  structure correspond  à  celle  hyper stable d’ un  ‘’ cristal d’ electros-positons ‘’ où chacun des éléments   serait remplacé  alternativement soit par un électron ou un positon  ….  Elle ne peut se concevoir  que dans  le  niveau d’ énergie   dite  ‘’ du point  zéro   ‘’ donc  à très basse température   ou dans un confinement forcé   du cristal  ….

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  Nous verrons  demain  quelles seraient les conditions  de l 'application de  ces résultats  a la structure des  6  types de quarks  et ce qui résulterait des caractérstiques des gluons   et  de la fameuse ‘’ liberté ‘’ asymptorique ‘’ des quarks

  

 

 

 

 

 

samedi 26 juin 2021

SCIENCES .ENERGIES.ENVIRONNEMENT /W 27 QUARKS A PROBLEMES!!

 




Le  transfert d’ activité  de l’auteur de ce site  sur un pc mobile  de vacances  va produire   probablement   des perturbations  dont il s’  excuse par avance ( bugs informatiques et  coquilles ou erreurs  etc)..Mais   SCIENCE  X  continuant  de m’approvisionner  journellement  ne doutez  pas chers amis lecteurs  que la  bonne marche de ce site  finira  par  survenir à la fin de la transition !

J’en profite  alors pour vous proposer  un thème de recherches  déjà abordé ici : l’énigme  de la structure des quarks

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Je rappelle  que j’ai vécu en tant que physicien une période  extraordinaire   quoique assez paradoxale  dans les années 1995 – 2005 : la découverte théorique des constituants  du proton et du neutron  ( les 6  types de quarks , u,d,s,c ;b et t)  qui ont été ensuite   détectés et caractérisés  par les grosses installations   internationales  d’accélérateurs de particules … Mes lecteurs   du  Nouvel OBS    se  rappellent  peut-être  de   mes  articles    publiés    depuis Princeton , lors  des 2 conférences de   David Goss   , co inventeur aveC H. David Politzer et Frank Wilczek,  de la théorie  expliquant   la structure  des protons  et des neutrons ?

Lors  des exposés qu’il nous fit ,  trois  concepts  m’ avaient passionné : 1°  ,la description succincte  de la théorie des  Cordes ;2°,la liberté asymptotique ;3°, les charges électriques fractionnaires  des quarks …..    Je dois reconnaitre  que les calculs d’Ed Witten sur la théorie M  ont depuis refroidi  mon interet  pour le 1 ° !!

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 Mais  mon interet  pour le    n’a pas faibli   et je vous en ai fait part  dans une série  d’ articles publiés    ici   en 2020 sur  GOOGLE/BLOGGER :Comment la Nature  peut-elle  s’écarter en apparence  du principe  de la charge  électrique  élémentaire   , celle de l électron ???Pour ceux qui ne m’ont pas lu  je rappelle que  le concept   de  charges fractionnaires  apparu   déjà il y a 20 ans  pour expliquer les valeurs de la conductivité dans certains solides, les théoriciens ont proposé l'existence de porteurs  de  charge  qui  serait égale à une fraction de celle de l'électron. L

 La communauté des physiciens avait accueilli cette hypothèse avec scepticisme, mais  pour les charges fractionnaires des quarks   il s semblait  que ce n’était pas le  cas   ….Il faut dire  que les manips    avaient montré  que  dans un assemblage  de  chaîne linéaire de polyacétylène, les physiciens    mesurant  l une  conduction des chaînes , pour expliquer les valeurs  obtenues   avaient élaboré un modèle où si  l'espace est réduit  , lorsque les électrons se déplacent dans la molécule, une partie de leur charge semble  rester  «accrochée» aux atomes, si bien que tout se passe comme si une fraction de la charge  paraissait absente voire  dissimulée  cachée :(  modèle de R. Schrieffer et W. Pei Su,)

Pour moi le problème des charges des quarks restait donc à résoudre  et c’ est ce que je vais vous proposer  comme sujet  à suivre  dans mon nouvel espace a vivre !!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

vendredi 25 juin 2021

SCIENCES .ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUES/W26 / LES RAYONS COSMIQUES

 

La traduction du jour :’’ New research adds a wrinkle to our understanding of the origins of matter in the Milky Way’’

by University of Maryland Baltimore County

est encore  vouée à l ‘astronomie !  N’y a-t-il plus  que  ce champ de recherches  qui passionne PHYS ORG/SCIENCE X ?

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De nouvelles recherches ajoutent une ride à notre compréhension des origines de la matière dans la Voie lactée

par l'Université du Maryland Comté de Baltimore


 

Crédit : CC0 Domaine public

De nouvelles découvertes publiées cette semaine dans Physical Review Letters suggèrent que les rayons cosmiques du carbone, de l'oxygène et de l'hydrogène voyagent à travers la galaxie vers la Terre d'une manière similaire, mais, étonnamment, que le fer arrive sur Terre différemment. En savoir plus sur la façon dont les rayons cosmiques se déplacent à travers la galaxie aide à répondre à une question fondamentale et persistante en astrophysique : comment la matière est-elle générée et distribuée dans l'univers ?

 

 

« Alors, que signifie cette découverte ? » demande John Krizmanic, scientifique principal au Centre des sciences et technologies spatiales (CSST) de l'UMBC. "Ce sont des indicateurs de quelque chose d'intéressant qui se passe. ….Et ce que quelque chose d'intéressant est que nous allons devoir examiner"

 

Les rayons cosmiques sont des noyaux atomiques - des atomes dépouillés de leurs électrons - qui traversent constamment l'espace à une vitesse proche de la vitesse de la lumière. Ils pénètrent dans l'atmosphère terrestre à des énergies extrêmement élevées. Les informations sur ces rayons cosmiques peuvent donner aux scientifiques des indices sur leur origine dans la galaxie et sur le type d'événement qui les a générés.

 

Un instrument de la Station spatiale internationale (ISS) appelé le télescope calorimétrique électronique (CALET) collecte des données sur les rayons cosmiques depuis 2015. Les données incluent des détails tels que le nombre et les types d'atomes qui arrivent, et la quantité d'énergie qu'ils  recèlent en  arrivant avec. Les équipes américaines, italiennes et japonaises qui gèrent CALET, y compris Krizmanic de l'UMBC et le post doctorant Nick Cannady, ont collaboré à la nouvelle recherche.

 

Repassez en mouvement

Les rayons cosmiques arrivent sur Terre  venant d'ailleurs dans la galaxie associés à une vaste gamme d'énergies, allant de 1 milliard de volts à 100 milliards de milliards de volts. L'instrument CALET est l'un des rares dans l'espace à pouvoir fournir des détails précis sur les rayons cosmiques qu'il détecte. Un graphique appelé spectre de rayons cosmiques montre combien de rayons cosmiques arrivent au détecteur à chaque niveau d'énergie. Les spectres des rayons cosmiques du carbone, de l'oxygène et de l'hydrogène sont très similaires, mais la principale conclusion du nouvel article est que le spectre du fer est très différent.

 

Il existe plusieurs possibilités pour expliquer les différences entre le fer et les trois éléments plus légers. Les rayons cosmiques pourraient accélérer et voyager différemment à travers la galaxie, bien que les scientifiques croient généralement comprendre ce dernierpoint , dit Krizmanic.

 

"Il faut souligner que la façon dont les éléments nous parviennent depuis leurs sources est différente, mais il se peut que les sources soient également différentes", ajoute Michael Cherry, professeur de physique émérite à la Louisiana State University (LSU) et un co-auteur sur le nouveau papier. Les scientifiques pensent généralement que les rayons cosmiques proviennent d'étoiles en phase d’ explosion (supernovae), mais les étoiles à neutrons ou les étoiles très massives pourraient être d'autres sources potentielles.

Précision de niveau supérieur

 

Un instrument comme CALET est important pour répondre aux questions sur la façon dont les rayons cosmiques accélèrent et voyagent, et d'où ils viennent. Les instruments au sol ou les ballons volant haut dans l'atmosphère terrestre étaient la principale source de données sur les rayons cosmiques dans le passé. Mais au moment où les rayons cosmiques atteignent ces instruments, ils ont déjà interagi avec l'atmosphère terrestre et se sont décomposés en particules secondaires. Avec des instruments basés sur Terre, il est presque impossible d'identifier avec précision combien de rayons cosmiques primaires et quels éléments arrivent, ainsi que leurs énergies. Mais CALET, étant sur l'ISS au-dessus de l'atmosphère, peut mesurer les particules directement et distinguer les éléments individuels avec précision.

 

Le fer est un élément particulièrement utile à analyser, explique Cannady, postdoctorant à la CSST et ancien Ph.D. étudiant avec Cherry à LSU. Sur leur chemin vers la Terre, les rayons cosmiques peuvent se décomposer en particules secondaires, et il peut être difficile de faire la distinction entre les particules originales éjectées d'une source (comme une supernova) et les particules secondaires. Cela complique les déductions sur l'origine des particules.

 

"Au fur et à mesure que les choses interagissent sur leur chemin vers nous, vous obtiendrez essentiellement des conversions d'un élément à un autre", explique Cannady. "Le fer est unique, car étant l'une des choses les plus lourdes qui peuvent être synthétisées dans l'évolution stellaire régulière, nous sommes à peu près certains qu'il s'agit à peu près de tous les rayons cosmiques primaires. C'est le seul rayon cosmique primaire pur …..

 

"Faits  de poussière d'étoile"

La mesure des rayons cosmiques donne aux scientifiques une vue unique sur les processus à haute énergie qui se déroulent très, très loin. Les rayons cosmiques arrivant à CALET représentent "la matière dont nous sommes faits. Nous sommes faits de poussière d'étoile", dit Cherry. "Et les sources énergétiques, des choses comme les supernovas, éjectent ce matériau de leur intérieur, dans la galaxie, où c’ est distribué, et forme de nouvelles planètes, des systèmes solaires et... nous."

 

"L'étude des rayons cosmiques est l'étude de la façon dont l'univers génère et distribue la matière, et comment cela affecte l'évolution de la galaxie", ajoute Krizmanic. "Donc, c'est vraiment l'étude de l'astrophysique de ce moteur que nous appelons la Voie lactée qui projette tous ces éléments."

 

Un effort mondial

 

L'agence spatiale japonaise a lancé CALET et dirige aujourd'hui la mission en collaboration avec les équipes américaine et italienne. Aux États-Unis, l'équipe CALET comprend des chercheurs de LSU; Centre de vol spatial Goddard de la NASA ; UMBC ; Université du Maryland, College Park; Université de Denver ; et l'Université de Washington. Le nouvel article est le cinquième de cette collaboration internationale très réussie publiée dans PRL, l'une des revues de physique les plus prestigieuses.

 

CALET a été optimisé pour détecter les électrons des rayons cosmiques, car leur spectre peut contenir des informations sur leurs sources. C'est particulièrement vrai pour les sources qui sont relativement proches de la Terre en termes galactiques : à moins d'un trentième de la distance à travers la Voie lactée. Mais CALET détecte aussi très précisément les noyaux atomiques des rayons cosmiques. Maintenant, ces noyaux offrent des informations importantes sur les sources des rayons cosmiques et comment ils sont arrivés sur Terre.

 

"Nous ne nous attendions pas à ce que les noyaux - le carbone, l'oxygène, les protons, le fer - commencent vraiment à montrer certaines de ces différences détaillées qui indiquent clairement des choses que nous ne savons pas", a déclaré Cherry.

 

La dernière découverte crée plus de questions qu'elle n'apporte de réponses, soulignant qu'il reste encore beaucoup à apprendre sur la façon dont la matière est générée et se déplace dans la galaxie. « C'est une question fondamentale : comment faites-vous de la matière ? dit Krizmanic. Mais, ajoute-t-il, "C'est tout l'intérêt de la raison pour laquelle nous nous sommes lancés dans cette entreprise, pour essayer de mieux comprendre le fonctionnement de l'univers."

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Explore further

 

Most precise measurements of cosmic ray proton and helium spectra above TeV

More information: O. Adriani et al, Measurement of the Iron Spectrum in Cosmic Rays from 10 GeV/n to 2.0 TeV/n with the Calorimetric Electron Telescope on the International Space Station, Physical Review Letters (2021). DOI: 10.1103/PhysRevLett.126.241101

Journal information: Physical Review

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MON COMMENTAIRE

J’ai trouvé cet article interessant et il m’ a rappelé ce que l’une de mes équipes  de chercheurs  avait réalisé  au CEA/CEN SACLAY  dans les années 1970-1980    avec Paul Barberi  et Alain  Paillet  avec un microcalorimètre associé  à une mesure des poids en balance  Mc Baun .  Mais ce  n’est ce genre de dispositif qui permettrait  de  mesurer les masse  dez la paricule  car elle est trop légère  et il faut associer  mesure  thermique  et de spectrometrie  optique ou de masse plus sensible  ….   Ma question etait: vu toute la gamme d’éléments chimiques dispersés par une super nova  ou passent tous les autres éléments de Z divers   autres  que  O ,C  et  H ??? Le graphique du papier original m’a répondu ;voir graphique  ci- âpres ;


Le thème ‘’ Nous sommes de la poussière d’étoiles  a été développé par Hubert  Reeves

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

jeudi 24 juin 2021

Sciences.Energies.Environnement /Le monde selon la physique /Les énigmes post big bang


 C e main je pars dans la traduction de ;’ Study points to a seed black hole produced by a dark matter halo collapse

by Iqbal Pittalwala, University of California – Riverside

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‘’ Une étude indique  que la ‘’semence’’  d’un trou noir  produit  un effondrement de halo de matière noire

par Iqbal Pittalwala, Université de Californie - Riverside


 

Crédit : Collaboration avec le télescope Event Horizon

Les trous noirs supermassifs, ou SMBH, sont des trous noirs dont la masse est plusieurs millions à plusieurs milliards de fois la masse de notre soleil. La Voie lactée abrite un SMBH dont la masse est plusieurs millions de fois la masse solaire. Étonnamment, les observations astrophysiques montrent que les SMBH existaient déjà lorsque l'univers était très jeune. Par exemple, un milliard de trous noirs de masse solaire ont été découverts alors que l'univers n'avait que 6 % de son âge actuel, soit 13,7 milliards d'années. Comment naissent ces SMBH  aussi précisément dans l'univers primitif ?

 

 

Une équipe dirigée par un physicien théoricien de l'Université de Californie, Riverside, a proposé une explication : c’est ce genre de  un trou noir massif que l'effondrement d'un  super halo de matière noire pourrait produire.

 

Le halo de matière noire est le halo de matière invisible entourant une galaxie ou un amas de galaxies. Bien que la matière noire n'ait jamais été détectée dans les laboratoires, les physiciens restent convaincus que cette matière mystérieuse qui constitue 85 % de la matière de l'univers existe. Si la matière visible d'une galaxie n'était pas incrustée dans un halo de matière noire, cette matière volerait en éclats.

 

"Les physiciens se demandent pourquoi les SMBH dans l'univers primitif, qui sont situés dans les régions centrales des halos de matière noire, se développent si massivement en peu de temps", a déclaré Hai-Bo Yu, professeur agrégé de physique et d'astronomie à l'UC Riverside, qui a dirigé l'étude publiée dans Astrophysical Journal Letters. "C'est comme un enfant de 5 ans qui pèse, disons, 200 livres. Un tel enfant nous étonnerait tous parce que nous connaissons le poids typique d'un nouveau-né et à quelle vitesse ce bébé peut grandir. En ce qui concerne les trous noirs, les physiciens ont des attentes générales concernant la masse d'un trou noir de graine ( naissance ) et son taux de croissance. La présence de SMBH suggère que ces attentes générales ont été violées, nécessitant de nouvelles connaissances. Et c'est excitant. "

 

Un trou noir de naissance  est un trou noir à son stade initial, semblable au stade de bébé dans la vie d'un humain.

 

"Nous pouvons penser à deux raisons", a ajouté Yu. "La graine – ou le  " bébé " - le trou noir est soit beaucoup plus plus massif,soit  il pousse beaucoup plus vite que nous le pensions, ou les deux a la fois . La question qui se pose alors est de savoir quels sont les mécanismes physiques permettant de produire un trou noir de naissance  suffisamment massif ou d'atteindre un taux de croissance suffisamment rapide ?"

 

"Il faut du temps pour que les trous noirs deviennent massifs en accrétant la matière environnante", a déclaré le co-auteur Yi-Ming Zhong, chercheur postdoctoral à l'Institut Kavli de physique cosmologique de l'Université de Chicago. "Notre article montre que si la matière noire a des auto-interactions, l'effondrement gravitique et thermique d'un halo peut conduire à un trou noir suffisamment massif. Son taux de croissance serait alors plus conforme aux attentes générales."

 

 

 

En astrophysique, un mécanisme populaire utilisé pour expliquer les SMBH est l'effondrement du gaz primitif dans les protogalaxies de l'univers primitif.

 

"Ce mécanisme, cependant, ne peut pas produire un trou noir de graine suffisamment massif pour accueillir les SMBH nouvellement observés, à moins que le trou noir de graine n'ait connu un taux de croissance extrêmement rapide", a déclaré Yu. "Notre travail fournit une explication alternative : un halo de matière noire à interaction automatique subit une instabilité gravothermique et sa région centrale s'effondre dans un trou noir de graine."

 

L'explication que Yu et ses collègues proposent fonctionne de la manière suivante :

 

Les particules de matière noire se regroupent d'abord sous l'influence de la gravité et forment un halo de matière noire. Au cours de l'évolution du halo, deux forces concurrentes, la gravité et la pression, opèrent. Alors que la gravité attire les particules de matière noire vers l'intérieur, la pression les freine et  les  pousse vers l'extérieur. Si les particules de matière noire n'ont pas d'auto-interactions, alors, à mesure que la gravité les attire vers le halo central, elles deviennent plus chaudes, c'est-à-dire qu'elles se déplacent plus rapidement que la pression augmente efficacement et qu'elles rebondissent. Cependant, dans le cas de la matière noire auto-interagissant, les auto-interactions de la matière noire peuvent transporter la chaleur de ces particules « plus chaudes » vers des particules plus froides à proximité. Cela rend difficile le rebond des particules de matière noire.

 

Yu a expliqué que le halo central, qui s'effondrerait dans un trou noir, a un moment angulaire, ce qui signifie qu'il tourne. Les auto-interactions peuvent induire une viscosité, ou un "frottement", qui dissipe le moment angulaire. Pendant le processus d'effondrement, le halo central, qui a une masse fixe, rétrécit en rayon et ralentit en rotation en raison de la viscosité. Au fur et à mesure que l'évolution se poursuit, le halo central finit par s'effondrer dans un état singulier : un trou noir de graine. Cette graine peut devenir plus massive en accrétant de la matière baryonique - ou visible - environnante telle que le gaz et les étoiles.

 

"L'avantage de notre scénario est que la masse du trou noir germe peut être élevée car elle est produite par l'effondrement d'un halo de matière noire", a déclaré Yu. « Ainsi, il peut devenir un trou noir supermassif dans un délai relativement court. »

 

Ce nouveau travail est nouveau en ce sens que les chercheurs identifient l'importance des baryons - des particules atomiques et moléculaires ordinaires - pour que cette idée fonctionne.

"Tout d'abord, nous montrons que la présence de baryons, tels que le gaz et les étoiles, peut accélérer considérablement le début de l'effondrement gravothermique d'un halo et qu'un trou noir pourrait être créé suffisamment tôt", a déclaré Wei-Xiang Feng, étudiant diplômé de Yu. et un co-auteur sur le papier. "Deuxièmement, nous montrons que les auto-interactions peuvent induire une viscosité qui dissipe le reste de moment angulaire du halo central. Troisièmement, nous développons une méthode pour examiner la condition de déclenchement de l'instabilité relativiste générale du halo effondré, ce qui garantit qu'un trou noir pourrait forme si la condition est remplie.

 

Au cours de la dernière décennie, Yu a exploré de nouvelles prédictions sur les auto-interactions de la matière noire et leurs conséquences observationnelles. Ses travaux ont montré que la matière noire à interaction automatique peut fournir une bonne explication du mouvement observé des étoiles et du gaz dans les galaxies.

 

"Dans de nombreuses galaxies, les étoiles et le gaz dominent leurs régions centrales", a-t-il déclaré. "Ainsi, il est naturel de se demander comment la présence de cette matière baryonique affecte le processus d'effondrement. Nous montrons que cela accélérera le début de l'effondrement. Cette caractéristique est exactement ce dont nous avons besoin pour expliquer l'origine   S si précoce des trous noirs supermassifs dans l'univers primitif. Les auto-interactions conduisent également à une viscosité qui peut dissiper le moment angulaire du halo central et aider davantage le processus d'effondrement. "

 

Le document de recherche est intitulé « Semer des trous noirs supermassifs avec de la matière noire à interaction automatique : un scénario unifié avec des baryons ».

 

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Explore further

 

New study suggests supermassive black holes could form from dark matter

More information: Wei-Xiang Feng et al, Seeding Supermassive Black Holes with Self-interacting Dark Matter: A Unified Scenario with Baryons, The Astrophysical Journal Letters (2021). DOI: 10.3847/2041-8213/ac04b0

Journal information: Astrophysical Journal Letters

Provided by University of California – Riverside

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 Mon commentaire

Autant les auteurs de ma traduction précédant  remettaient en question l’existence de la matière noire , autant les auteurs  de cette communication-ci  n’ en doutent pas un instant !!!

Je rappelle d’ abord  que la datation des trous noirs supermassifs  est d’autant plus incertaine  que l’ on cherche à remonter  dans le temps de vie de l’ univers  …Et  faire l’ hypothèse  que peu après la sortie   des 380000 ans d’’ages obscurs’’ post bigbang  il ait existé  déjà  des nuages  de matière noire  est une allégation ,nullement basée sur une observation quelconque !!!  A partir de là  construire des scénarios  d’effondrement  de telles masses noires  et jouer avec la thermicité  et la ppression d’une particule dont on ignore le statut quantique (la fonction d’onde)  et la fonction thermodynamique d état  macroscopique (p ,v .T  etc) relève selon moi presque de la science-fiction pseudo mathématique  !!!! ( publish or perish !!)

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

mercredi 23 juin 2021

SCIENCES .ENERGIE.ENVIRONNEMENT /LE MONDE SELON LA PHYSIQUE /WEEK 26 /Matiére noire :théorie fausse ou incertaine ????


Le titre  sobre  de ma traduction  du jour  cache qu’il s’ agit d’ une publication    qui met à mal  l’existence de la matière noire ……  et  derechef  va soulever  polémique et tumulte !!!!!!

 

 

 

’’ Hubble data confirms galaxies lacking dark matter

by Lee Sandberg, Institute for Advanced Study:

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Les données de Hubble confirment que les galaxies manquent de matière noire

par Lee Sandberg, Institut d'études avancées


 

NGC1052-DF2. Crédit : NASA, ESA, Z. Shen et P. van Dokkum (Yale University), et S. Danieli (Institute for Advanced Study)

La mesure de distance la plus précise à ce jour de la galaxie ultra-diffuse (UDG) NGC1052-DF2 (DF2) confirme sans l'ombre d'un doute qu'elle manque de matière noire. La distance nouvellement mesurée de 22,1 +/- 1,2 mégaparsecs a été obtenue par une équipe internationale de chercheurs dirigée par Zili Shen et Pieter van Dokkum de l'Université de Yale et Shany Danieli, membre Hubble de la NASA à l'Institute for Advanced Study.

 

 

« Déterminer une distance précise jusqu'à DF2 a été essentiel pour étayer nos résultats antérieurs », a déclaré Danieli. "La nouvelle mesure rapportée dans cette étude a des implications cruciales pour estimer les propriétés physiques de la galaxie, confirmant ainsi son manque de matière noire."

 

Les résultats, publiés dans Astrophysical Journal Letters le 9 juin 2021, sont basés sur 40 orbites du télescope spatial Hubble de la NASA, avec une imagerie de l'Advanced Camera for Surveys et une analyse de la « pointe de la branche de la géante rouge » (TRGB), l'or norme pour ces mesures raffinées. En 2019, l'équipe a publié des résultats mesurant la distance par rapport à l'UDG NGC1052-DF4 (DF4) voisin sur la base de 12 orbites de Hubble et de l'analyse TRGB, qui ont fourni des preuves convaincantes de l'absence de matière noire. Cette méthode préférée s'étend sur les études de l'é
l'équipe de 2018 qui s'appuyaient sur les "fluctuations de la luminosité de la surface" pour mesurer la distance. Les deux galaxies ont été découvertes avec le Dragonfly Telephoto Array à l'observatoire New Mexico Skies.

 

"Nous avons pris des risques avec nos premières observations Hubble de cette galaxie en 2018", a déclaré van Dokkum. "Je pense que les gens avaient raison de le remettre en question parce que c'est un résultat tellement inhabituel. Ce serait bien s'il y avait une explication simple, comme une mauvaise distance. Mais je pense que c'est plus amusant et plus intéressant s'il s'agit en fait d'une galaxie étrange. "

 

En plus de confirmer  lesdistance antérieures découvertes , , les résultats de Hubble ont indiqué que les galaxies étaient situées légèrement plus loin qu'on ne le pensait auparavant, renforçant ainsi le fait qu'elles contiennent peu ou pas de matière noire. Si DF2 était plus proche de la Terre, comme le prétendent certains astronomes, elle serait intrinsèquement plus faible et moins massive, et la galaxie aurait besoin de matière noire pour expliquer les effets observés de la masse totale. La matière noire est largement considérée comme un ingrédient essentiel des galaxies, mais cette étude apporte une preuve supplémentaire que sa présence n'est peut-être pas inévitable. Alors que la matière noire n'a pas encore été observée directement, son influence gravitationnelle est comme une colle qui maintient les galaxies ensemble et régit le mouvement de la matière visible. Dans le cas de DF2 et DF4, les chercheurs ont pu expliquer le mouvement des étoiles en se basant uniquement sur la masse stellaire, suggérant un manque ou une absence de matière noire. Ironiquement, la détection de galaxies déficientes en matière noire contribuera probablement à révéler sa nature déroutante et à fournir de nouvelles informations sur l'évolution galactique.

 

 

 

Alors que DF2 et DF4 sont tous deux comparables en taille à la galaxie de la Voie lactée, leurs masses totales ne représentent qu'environ un pour cent de la masse de la Voie lactée. Ces galaxies ultra-diffuses se sont également avérées avoir une grande population d'amas globulaires particulièrement lumineux.

 

Cette recherche a suscité un grand intérêt scientifique, ainsi qu'un débat énergique parmi les partisans de théories alternatives à la matière noire, telles que la dynamique newtonienne modifiée (MOND). Cependant, avec les découvertes les plus récentes de l'équipe, y compris les distances relatives des deux UDG à NGC1052, de telles théories alternatives semblent moins probables. De plus, il y a maintenant peu d'incertitude dans les mesures de distance de l'équipe étant donné l'utilisation de la méthode TRGB. Basée sur la physique fondamentale, cette méthode repose sur l'observation d'étoiles géantes rouges qui émettent un éclair après avoir brûlé leur réserve d'hélium qui se produit toujours à la même luminosité.

 

« Il y a un dicton selon lequel les allégations extraordinaires nécessitent des preuves extraordinaires, et la nouvelle mesure de distance soutient fortement notre conclusion précédente selon laquelle DF2 manque de matière noire », a déclaréShen. "Maintenant, il est temps d'aller au-delà du débat sur la distance et de se concentrer sur la façon dont ces galaxies ont vu le jour."

 

Avancer : les chercheurs continueront à chasser davantage de ces galaxies étranges, tout en considérant un certain nombre de questions telles que : Comment se forment les UDG ? Que nous disent-ils sur les modèles cosmologiques standards ? Quelle est la fréquence de ces galaxies et quelles autres propriétés uniques ont-elles ? Il faudra découvrir de nombreuses autres galaxies dépourvues de matière noire pour résoudre ces mystères et la question ultime de ce qu'est réellement la matière noire.

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Explore further

 

The smallest galaxies in our universe bring more about dark matter to light

More information: Zili Shen et al, A Tip of the Red Giant Branch Distance of22.1 ± 1.2 Mpc to the Dark Matter Deficient Galaxy NGC 1052–DF2 from 40 Orbits of Hubble Space Telescope Imaging, The Astrophysical Journal Letters (2021). DOI: 10.3847/2041-8213/ac0335
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Journal information: Astrophysical Journal Letters 
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MON COMMENTAIRE 
 Dans l’équation  classique de  Newton  si la valeur  de r (  distance  du centre de gravité galactique  a l’ Etoile périphérique   mesuré en  distance ) est mal faite  ou trop imprécise  , c’est automatiquement  sur  la valeur de  v  ( la valeur  de  sa vitesse périphérique  )  sur laquelle  vous allez vous  tromper !!!Et les auteurs  ne se gênent pas pour le dire :  ‘’ Ils ont inventé des masses ‘’noires’’qui n’ existent peut-etre  pas  et des particules qu’on n’arrive pas à retrouver  en labo  parce qu’ils  ont mesuré les distances  incorrectement !!! Je jubile si l’on commence a trouver  des tas d’autres galaxies  du type DEF2 !!!!!