Le transfert d’ activité de l’auteur de ce site sur un pc mobile de vacances va produire
probablement des perturbations dont il s’ excuse par avance ( bugs informatiques et coquilles ou erreurs etc)..Mais
SCIENCE X continuant
de m’approvisionner journellement ne doutez
pas chers amis lecteurs que
la bonne marche de ce site finira
par survenir à la fin de la
transition !
J’en
profite alors pour vous proposer un thème de recherches déjà abordé ici : l’énigme de la structure des quarks
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Je
rappelle que j’ai vécu en tant que physicien
une période extraordinaire quoique assez paradoxale dans les années 1995 – 2005 : la découverte
théorique des constituants du proton et
du neutron ( les 6 types de quarks , u,d,s,c ;b et t) qui ont été ensuite détectés et caractérisés par les grosses installations internationales d’accélérateurs de particules … Mes
lecteurs du Nouvel OBS
se rappellent peut-être
de mes articles publiés depuis Princeton , lors des 2 conférences de David Goss , co inventeur aveC H. David Politzer et
Frank Wilczek, de la théorie expliquant
la structure des protons et des neutrons ?
Lors des exposés qu’il nous fit , trois
concepts m’ avaient passionné :
1° ,la description succincte de la théorie des Cordes ;2°,la liberté asymptotique ;3°,
les charges électriques fractionnaires
des quarks ….. Je dois
reconnaitre que les calculs d’Ed Witten
sur la théorie M ont depuis
refroidi mon interet pour le 1 ° !!
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Mais
mon interet pour le 3° n’a
pas faibli et je vous en ai fait
part dans une série d’ articles publiés ici en 2020 sur
GOOGLE/BLOGGER :Comment la Nature
peut-elle s’écarter en
apparence du principe de la charge
électrique élémentaire ,
celle de l électron ???Pour ceux qui ne m’ont pas lu je rappelle que le concept
de charges fractionnaires apparu déjà il y
a 20 ans pour expliquer les valeurs de
la conductivité dans certains solides, les théoriciens ont proposé l'existence
de porteurs de charge
qui serait égale à une fraction
de celle de l'électron. L
La communauté des physiciens avait accueilli cette
hypothèse avec scepticisme, mais pour
les charges fractionnaires des quarks il
s semblait que ce n’était pas le cas ….Il
faut dire que les manips avaient montré que dans un assemblage de chaîne linéaire de polyacétylène, les
physiciens mesurant l une conduction des chaînes , pour expliquer les
valeurs obtenues avaient élaboré un modèle où si l'espace est réduit , lorsque les électrons se déplacent dans la
molécule, une partie de leur charge semble rester «accrochée» aux atomes, si bien que tout se
passe comme si une fraction de la charge
paraissait absente voire dissimulée cachée :( modèle de R. Schrieffer et W. Pei Su,)
Pour moi le problème des charges des
quarks restait donc à résoudre et c’ est
ce que je vais vous proposer comme
sujet à suivre dans mon nouvel espace a vivre !!!
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerJ'ai modifié à cause d'une erreur :
RépondreSupprimerDHL n'est ni un modèle ni un principe mais une loi, car elle résout 53 énigmes physiques mesurables avec avec un minimum de prémisses.
Au sujet des quarks, cette loi dit clairement que l'on continue (depuis des siècles) à confondre les causes et les effets. Les quarks sont des entités induites par les intervalles polarisés entre les groupes neutres des couches d'électrons et positrons. DHL a montré pourquoi le muon n'a pas de quark.
En effet, dans les baryons à 4 groupes (3 intervalles) les charges fractionnaires reviennent au "reflet" de la charge entière de l'entité célibataire (électron ou positron) qui donne la charge + ou -.
Le terme de "charge cachée" est un pas encourageant vers cette réalité physique. En raisonnant en terme de LOCALITÉ on distingue clairement que les créations locales sont toujours instables. Les quarks sont des EFFETS et non des CAUSES sous forme de créations locales et confinées et donc instables à l'état libre. Ce sont des faits avérés.
La dichotomie {locale ↔ non locale} n'est généralement pas vue comme étant strictement liée à la STABILITÉ. Cet oubli est une des grandes erreurs du modèle standard bâti sur le seul credo du réductionnisme ignorant ainsi le principale, soit la saine dualité {holisme ↔ réductionnisme}.