vendredi 30 octobre 2020

SCIENCES.ENERGIES..ENVIRONNEMANT/ LE MONDE SELON LA PHYSIQUE /WEEK 45 /P6

 

Puisque les évènements   ne cessent de nous contraindre, je suis privé de mon fils franco-américain ce mois-ci   ! Mais vous connaissez  la célèbre exode : «  Si u ne viens pas à LAGARDAIRE ..Ce sera LAGARDERE   qui ira à toi !!!! »

 Je vais donc vous proposer  de reprendre  mot  avec  PEPPER    resté à PRINCETON   avec lui ……..

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-« Nous abandonnons chaque fois OLIVIER  nos sujets de discussion  pour laisser partir  vos  traductions de PHYSOG/SCIENE  X ; les lecteurs  vont finir par nous prendre pour des girouettes !!!

-«  C’est vrai  PEPPER ! Toutefois vous n’ignorez pas  que seuls GOOGLE et TWITTER  me diffusent ….Et lorsque mon seul titre  sur le diesel a fusion nucléaire pour TITAN   m’a valu  1290  visites   je e peut pas les laisser tomber : dur de contenter tout le monde !

-« Admettons ! Sur quel  vieux chemin   voulez-vous repartir cette fois ci

-« Précisément PEPPER  c’est l’une de ces traductions sur une nouvelle théorie sur l’origine  de la matière noire   qui m’a valu le commentaire de DOMINIQUE MAREAU et     qui va nous servir de point de départ : « La DM  ( la matière noire)n'est pas représentée par une particule (brique) mais par l'absence de particule (gravats) !On ne construit rien avec des gravats mais ils s'entassent comme le reste ! »

-« Je sais que vous  avez plusieurs fois signalé cette présentation et  en avez apprécié la pédagogie.. Mais où situez-vous ces «  gravats »  sur la présentation officielle du diagramme global des hypothèses présenté par le CERN, ci-dessous ????

 


 

 A SUIVRE

 

jeudi 29 octobre 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/WEEK45/P3

 

VoicI la troisième traducution promise de PHYS ORG/SCOIENCE X  / Einstein's theory of relativity, critical for GPS, seen in distant stars

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La théorie de la relativité d'Einstein, critique pour le GPS, vue dans des étoiles lointaines

par Chandra X-ray Center


 

PHOTO Le système intrigant connu sous le nom de 4U 1916-053 contient deux étoiles sur une orbite remarquablement proche. L'un est le noyau d'une étoile dont les couches externes ont été dépouillées, laissant une étoile beaucoup plus dense que le Soleil. L'autre est une étoile à neutrons, un objet encore plus dense créé lorsqu'une étoile massive s'effondre dans une explosion de supernova. L'étoile à neutrons (grise) est représentée dans cette impression d'artiste au centre d'un disque de gaz chaud éloigné de son compagnon (étoile blanche à gauche). Crédit: Spectrum: NASA / CXC / Université du Michigan / N. Trueba et al .; Illustration: NASA / CXC / M. Weiss

Qu'ont en commun Albert Einstein, le système de positionnement global (GPS) et une paire d'étoiles à 200 000 milliards de kilomètres de la Terre?

 

 

La réponse est un effet de la théorie générale de la relativité d'Einstein appelé le «redshift gravitationnel», où la lumière est déplacée vers des couleurs plus rouges à cause de la gravité. En utilisant l'observatoire de rayons X Chandra de la NASA, les astronomes ont découvert le phénomène dans deux étoiles en orbite autour de notre galaxie à environ 29 000 années-lumière (200 000 milliards de miles) de la Terre. Bien que ces étoiles soient très éloignées, les décalages gravitationnels vers le rouge ont des impacts tangibles sur la vie moderne, car les scientifiques et les ingénieurs doivent les prendre en compte pour permettre des positionnements  précises pour le GPS.

 https://youtu.be/TY_9F8v6Tws

Alors que les scientifiques ont trouvé des preuves incontestables de décalages gravitationnels vers le rouge dans notre système solaire, il a été difficile de les observer dans des objets plus éloignés à travers l'espace. Les nouveaux résultats de Chandra fournissent donc  des preuves convaincantes des effets de décalage vers le rouge gravitationnels en jeu dans un nouveau cadre cosmique.

 

Le système intrigant est  connu sous le nom de 4U 1916-053

 

Ces deux étoiles compactes ne sont distantes que d'environ 215 000 miles, soit à peu près la distance entre la Terre et la Lune. Alors que la Lune tourne autour de notre planète une fois par mois, l'étoile compagne dense en 4U 1916-053 tourne autour de l'étoile à neutrons et complète une orbite complète en seulement 50 minutes.

Dans le nouveau travail sur 4U 1916-053, l'équipe a analysé les spectres de rayons X - c'est-à-dire les quantités de rayons X à différentes longueurs d'onde - de Chandra. Ils ont trouvé la signature caractéristique de l'absorption de la lumière des rayons X par le fer et le silicium dans les spectres. Dans trois observations distinctes avec Chandra, les données montrent une forte baisse de la quantité détectée de rayons X près des longueurs d'onde où les atomes de fer ou de silicium devraient absorber les rayons X. L'un des spectres montrant l'absorption par le fer - les creux à gauche et à droite - est incluse dans le graphique principal. Un graphique supplémentaire montre un spectre d'absorption par le silicium. Dans les deux spectres, les données sont affichées en gris et un modèle informatique en rouge.

 

 

 

Cependant, les longueurs d'onde de ces signatures caractéristiques du fer et du silicium ont été décalées vers des longueurs d'onde plus longues ou plus rouges par rapport aux valeurs de laboratoire trouvées ici sur Terre (indiquées avec la ligne verticale bleue pour chaque signature d'absorption). Les chercheurs ont découvert que le décalage des caractéristiques d'absorption était le même dans chacune des trois observations de Chandra, et qu'il était trop important pour être expliqué par un mouvement s’éloignant de nous. Au lieu de cela, ils ont conclu que cela était causé par un redshift gravitationnel.

 

Comment cela se connecte-t-il avec la relativité générale et  notre GPS? Comme le prédit la théorie d'Einstein, les horloges sous la force de gravité fonctionnent à un rythme plus lent que les horloges vues d'une région éloignée subissant une gravité plus faible. Cela signifie que les horloges sur Terre observées à partir de satellites en orbite fonctionnent à un rythme plus lent. Pour avoir la haute précision nécessaire au GPS, cet effet doit être pris en compte  sinon il y aura de petites différences de temps qui s'additionneraient rapidement, calculant des positions inexactes.

 

Tous les types de radiations , y compris les rayons X, sont également affectés par la gravité. Une analogie est celle d'une personne qui monte un escalier mécanique qui descend. En faisant cela, la personne perd plus d'énergie que si l'escalier roulant était stationnaire ou montant. La force de gravité a un effet similaire sur la lumière, où une perte d'énergie donne une fréquence plus basse. Parce que la lumière dans le vide se déplace toujours à la même vitesse, la perte d'énergie et une fréquence plus basse signifie que la lumière, y compris les signatures du fer et du silicium, passe à des longueurs d'onde plus longues.


 

C'est la première preuve solide que les signatures d'absorption sont déplacées vers des longueurs d'onde plus longues par gravité dans une paire d'étoiles qui a une étoile à neutrons ou un trou noir. Des preuves solides de décalages gravitationnels dans l'absorption ont déjà été observées à partir de la surface des naines blanches, avec des décalages de longueur d'onde généralement seulement environ 15% de ceux de 4U 1916-053.

 

 

Les scientifiques disent qu'il est probable qu'une atmosphère gazeuse recouvrant le disque près de l'étoile à neutrons (représentée en bleu) a absorbé les rayons X, produisant ces résultats. (Cette atmosphère n'est pas liée au renflement de gaz rouge dans la partie externe du disque qui bloque la lumière de la partie interne du disque une fois par orbite.) La taille du décalage dans les spectres a permis à l'équipe de calculer jusqu'où cette atmosphère est loin de l'étoile à neutrons, en utilisant la Relativité Générale et en supposant une masse standard pour l'étoile à neutrons. Ils ont constaté que l'atmosphère est située à 1500 miles de l'étoile à neutrons, à environ la moitié de la distance de Los Angeles à New York et équivalente à seulement 0,7% de la distance entre l'étoile à neutrons et son compagnon. Il s'étend probablement sur plusieurs centaines de kilomètres de l'étoile à neutrons.

 

Dans deux des trois spectres, il existe également des preuves de signatures d'absorption qui ont été décalées vers des longueurs d'onde encore plus rouges, correspondant à une distance de seulement 0,04% de la distance de l'étoile à neutrons au compagnon. Cependant, ces signatures sont détectées avec moins de confiance que celles plus éloignées de l'étoile à neutrons.

 

Les scientifiques se sont vu octroyer plus de temps d'observation de Chandra au cours de l'année à venir pour étudier ce système plus en détail.

 

Un article décrivant ces résultats a été publié dans le numéro du 10 août 2020 de The Astrophysical JouRMAL

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 Explore further

 

Fastest star ever seen is moving at 8% the speed of light

More information: Nicolas Trueba et al. A Redshifted Inner Disk Atmosphere and Transient Absorbers in the Ultracompact Neutron Star X-Ray Binary 4U 1916–053, The Astrophysical Journal (2020). DOI: 10.3847/2041-8213/aba9de , arxiv.org/abs/2008.01083

Journal information: Astrophysical Journal

Provided by Chandra X-ray Center rna

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MEES COMMENTAIRES

Je ne crois pas que notre bon vieux système GPS   souffre gravement  de ce point de vue plus distancié  et un peu spécial  , maintenant  que les résultats de  CHANDRA sont pris escompte ;mais j’adresse une question  aux  utilisateurs de GALILEO : lequel des deux se montre dans l état actiel le plus précis ??????  


reponse internet de ce vendredu :Galileo est capable d'avoir une précision métrique là où le GPS, du fait de son ancienneté (il a été mis en place entre 1973 et 1995), donne une localisation à dix mètres près (le GPS est plus fin dans le cas d'un usage militaire).F

mercredi 28 octobre 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/WEEK45/P2 PASSIONNANT!!!

 

Voici la 2 ème traduction promise  pour la semaine 45

Spacecraft design could get to Titan in only 2 years using a direct fusion drive

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Lune certaine  conception d'engin spatial pourrait  permettre  d’arriver à Titan en seulement 2 ans en utilisant un entraînement à fusion directe

par Andy Tomaswick, Univers aujourd'hui


 

PHOTO/Conception artistique du Direct Fusion Drive. Crédit: Princeton Satellite Systems

La puissance de  la fusion nucléaire  est la technologie qui existera dans 30 ans et le  restera toujours, du moins selon les sceptiques. Malgré sa transition difficile vers une source d'énergie fiable, les réactions nucléaires qui alimentent le soleil ont une grande variété d'utilisations  potentielle dans d'autres domaines. Le plus évident est dans les armes; les bombes à hydrogène sont à ce jour les armes les plus puissantes que nous ayons jamais produites. Mais il existe un autre cas d'utilisation qui est beaucoup moins destructeur et pourrait s'avérer beaucoup plus intéressant: les lecteurs d'espace.

 

 

Le concept d'entraînement à fusion, appelé entraînement à fusion directe (ou DFD), est en cours de développement au Laboratoire de physique des plasmas de Princeton (PPPL). Les scientifiques et ingénieurs là-bas, dirigés par le Dr Samuel Cohen, travaillent actuellement sur la deuxième itération de ce dernier concept, connue sous le nom de configuration inversée du champ de Princeton-2 (PFRC-2). Finalement, les développeurs du système espèrent le lancer dans l'espace pour le tester, et éventuellement devenir le principal système d'entraînement des vaisseaux spatiaux voyageant dans le système solaire.

 

Il y a déjà une cible particulièrement intéressante dans le système solaire externe qui est similaire à la Terre à bien des égards: Titan. Ses cycles liquides et son potentiel à abriter la vie ont fasciné les scientifiques depuis qu'ils ont commencé à collecter des données à ce sujet. Et si nous utilisions correctement le DFD, nous pourrions y envoyer une sonde dans un peu moins de deux ans, selon des recherches effectuées par une équipe d'ingénieurs aérospatiaux du département de physique du New York City College of Technology, dirigée par le professeur Roman Kezerashvili et rejoints par deux boursiers du Politecnico di Torino en Italie - Paolo Aime et Marco Gajeri.

 

 https://youtu.be/rzg78ySwIn4

PHOTO /Crédit: Princeton Satellite Systems

Bien que toujours en développement, le moteur lui-même exploihttps://youtu.be/hggqvB5I95Ite de nombreux avantages de la fusion neutronique, notamment un rapport puissance / poids extrêmement élevé. Le carburant d'un entraînement DFD peut varier légèrement en masse et contient du deutérium et un isotope d'hélium-3. Même avec des quantités relativement faibles de carburant extrêmement puissant, le DFD peut surpasser les méthodes de propulsion chimique ou électrique couramment utilisées aujourd'hui. L'impulsion spécifique du système, qui est une mesure de l'efficacité avec laquelle un moteur utilise le carburant, est estimée comparable aux moteurs électriques, les plus efficaces actuellement disponibles. De plus, le moteur DFD fournirait 4-5 N de poussée en mode basse puissance, seulement légèrement moins que ce qu'une fusée chimique produirait sur de longues périodes de temps. Essentiellement, le DFD prend l'excellente impulsion spécifique des systèmes de propulsion électrique et la combine avec l'excellente poussée des fusées chimiques, pour une combinaison qui allie le meilleur des deux systèmes de vol.

Toutes ces spécifications améliorées sont excellentes, mais pour être utiles, elles doivent en fait amener un vaisseau spatial quelque part avec interet . Les auteurs de l'article ont choisi Titan, en grande partie parce qu'il est relativement éloigné, mais aussi extrêmement intéressant en raison de ses cycles liquides et de ses abondantes molécules organiques. Afin de tracer la meilleure route vers la plus grande lune de Saturne, l'équipe italienne a collaboré avec les développeurs du DFD à PPPL et a eu accès aux données de performance du moteur de test. Ils ont ensuite obtenu des données supplémentaires sur les alignements planétaires et ont commencé à travailler sur la mécanique orbitale adéquate aza mettre en jeu  Cela a abouti à deux chemins potentiels différents, l'un où la poussée constante n'était appliquée qu'au début et à la fin du voyage (appelé profil poussée-côte-poussée - TCT -) et l'autre dans lequel la poussée était constante pendant toute la durée du trajet. périple.

 

 

 

Les deux  types de voyages impliquaient de changer la direction de la poussée pour ralentir le vaisseau spatial pour entrer dans le système saturnien. Fournir une poussée constante mettrait le voyage à un peu moins de deux ans, tandis que le profil TCT entraînerait une durée totale de voyage de 2,6 ans pour un vaisseau spatial beaucoup plus grand que Cassini. Ces deux chemins ne nécessiteraient aucune assistance gravimétrique, dont les vaisseaux spatiaux se déplaçant vers les planètes extérieures ont régulièrement bénéficié.

 

 

Pourquoi il est important d’explorer Titan. Crédit: Univers aujourd'huihttps://youtu.be/rzg78ySwIn4https://youtu.be/rzg78ySwIn4

PHOTO/Image du lecteur DFD PFRC-2 au travail. Crédit: Utilisateur Wikipedia Cswancmu / PPPL

Cassini, la dernière mission célèbre à visiter le système saturnien, a utilisé une série d'aides gravitationnelles entre Vénus et la Terre pour atteindre sa destination, un voyage qui a duré près de sept ans. Une chose importante à noter, dit Marco Gajeri, l'auteur correspondant de l'article, est que la fenêtre qui rend ces courts trajets les plus efficaces s'ouvre vers 2046. Bien que située  dans 30 ans à peine, cela donne à l'équipe de PPPL un beaucoup plus de temps pour améliorer leur conception actuelle.

 

Cependant, d'autres défis surviennent une fois qu'une sonde compatible DFD atteint ce système saturnien. Orbiter autour de la deuxième plus grande planète du système solaire est relativement facile. Transférer des orbites vers sa plus grande lune est beaucoup plus difficile. Pour résoudre ce problème, il faut s'attaquer au  célèbre problème des trois corps, un problème de mécanique orbitale notoirement difficile qui consiste à résoudre les orbites de trois corps orbitaux différents (c'est-à-dire le vaisseau spatial, Saturne et Titan).

 

Avec toute la mécanique orbitale à l'écart et le vaisseau spatial en toute sécurité sur l'orbite de Titan, il peut commencer à profiter d'un autre des avantages du DFD - il peut fournir une alimentation directe aux systèmes du vaisseau spatial. La plupart des missions du système solaire externe reposent sur des générateurs thermiques à radio-isotopes (RTG) pour leur source d'énergie. Mais un DFD est, en fait, une source d'énergie en plus d'être une source de poussée. S'il est conçu correctement, il pourrait fournir toute la puissance dont un vaisseau spatial a besoin pour une durée de vie prolongée de la mission.

 

Cette durée de vie prolongée de la mission signifie que le DFD pourrait être utile dans un large éventail de missions. Les auteurs qui ont étudié la mission précédente  sur Titan ont également examiné le potentiel d'une mission sur les objets trans-neptuiens, qui jusqu'à présent n'ont été visités que par New Horizons, qui a mis neuf ans pour atteindre Pluton. Inutile de dire qu'un DFD réduirait considérablement le temps nécessaire pour effectuer ce trajet. Et s'il s'avère opérationnel dans les 30 prochaines années, il peut commencer à servir de moteur pour toutes sortes de nouvelles missions d'exploration.

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Researcher calculates optimal trajectories to Mars and Mercury for a spacecraft with electric propulsion

More information: Trajectory design for a Titan mission using the Direct Fusion Drive: webthesis.biblio.polito.it/15184/1/tesi.pdf

Provided by Universe Today

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MES COMMENTAIRE

Je suppose que même mes lecteurs las moins avertis  ont compris qu’il n’est pas question d’équiper un pied de fusée avec une bombe  à hydrogène militaire  !!!!!Il ne s’agit pas davantage de transporter un tokamak ou un   Stellarator dans les versions actuellement réalisées…..

Cet article, absolument passionnant   nous invite à  supposer  que les réflexions des petits génies de  Princeton  se sont mis sur la voie d’un  moteur a explosion de type fusion nucléaire  ultra maitrisé !!!!!!!Il ne s’agira plus  d’un 6 cylindres  a explosion  d’octane   mais d’une sorte de diesel a caburant  fusionnel     (H /D/He 3   ETC )   très précisément réglé  sur deux types  d’exploration possible

Bien entendu pour l’approche et la pose sur les glaces de  TITAN    une modulation très pointue sera nécessaire  avec  , d’une part du carburant  plus maitrisable et peut être conventionnel   et d’autre part un outil informatique  capable de pousser ls calculs d’ HENRI POINCARE   sur les trois  corps  là où il a du s arreter …

lundi 26 octobre 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/ SEMAINE 45 / 45 /P1

 Puisquec la semaibe 45  vient d arriver  je vous propose les titres des publications  que je traduirai :

1;"Einstein's theory of relativity, critical for GPS, seen in distant stars

2:Spacecraft design could get to Titan in only 2 years using a direct fusion drive

3:Smile, wave: Some exoplanets may be able to see us, 4:New theory on the origin of dark matter

Et je vais vous proposer de commencer par la dernière

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New theory on the origin of dark matter

Nouvelle théorie sur l'origine de la matière noire

par Lito Vilisoni Wilson, Université de Melbourne


PHOTO /Alors que certaines parties du travail ont été réalisées à la main, grâce à une série d'approximations simplificatrices, les résultats de l'étude ont été validés par des calculs informatiques sophistiqués. Crédits: Michael Baker


Une étude récente de l'Université de Melbourne propose une nouvelle théorie sur l'origine de la matière noire, aidant les expérimentateurs en Australie et à l'étranger dans la recherche de la nouvelle matière mystérieuse.



Le travail a été publié dans Physical Review Letters et décrit comment l'expansion des bulles dans l'univers primitif peut être la clé pour comprendre la matière noire.


"Notre mécanisme proposé suggère que l'abondance de la matière noire peut avoir été déterminée dans une transition de phase cosmologique", a déclaré le Dr Michael Baker, chercheur postdoctoral à l'Université de Melbourne et l'un des auteurs.


"On s'attend à ce que ces transitions de phase aient eu lieu dans l'univers primitif et peuvent être similaires à des bulles de gaz se formant dans l'eau bouillante. Nous montrons qu'il est naturel de s'attendre à ce que les particules de matière noire trouvent très difficile d'entrer dans ces bulles, ce qui donne un nouvelle explication de la quantité de matière noire observée dans l'univers. "


Bien que de nombreuses expériences aient recherché des particules de matière noire, aucune n'a encore réussi. La plupart des expériences ont principalement recherché des particules massives à faible interaction, ce qui a  constitué candidat préféré de la matière noire pendant des décennies. Cependant, ces expériences n'ont encore rien vu, ce qui motive vraiment les théoriciens à sortir des sentiers battus.


«Nous savons que la matière noire existe, mais nous ne savons pas grand-chose d'autre», a déclaré le Dr Baker. «Si c'est une nouvelle particule, il y a de fortes chances que nous puissions la détecter dans un laboratoire. Nous pourrions alors identifier ses propriétés, comme sa masse et ses interactions, et apprendre quelque chose de nouveau et de profond sur l'univers.


La recherche, qui a été menée en collaboration avec le professeur assistant Andrew Long de l'Université Rice, Texas, et le professeur Joachim Kopp du CERN et de l'Université de Mayence, ouvre la voie à de nouvelles stratégies expérimentales pour la recherche de la matière noire.


«L'un des aspects passionnants de cette idée est qu'elle fonctionne pour les particules de matière noire qui sont beaucoup plus lourdes que la plupart des autres candidats, comme les fameuses particules massives à faible interaction, sur lesquelles la plupart des recherches expérimentales dans le passé se sont concentrées», a déclaré le professeur Kopp. "Notre travail motive donc l'extension des recherches de matière noire vers des masses plus lourdes."


Les résultats pourraient être particulièrement importants pour l'avenir des recherches expérimentales de matière noire en Australie.


Le laboratoire souterrain de physique de Stawell, qui est actuellement en construction dans la région de Victoria, à un kilomètre sous terre dans une mine d'or désaffectée, sera le premier laboratoire souterrain de physique des particules dans l'hémisphère sud et abritera plusieurs expériences de recherche de matière noire au cours des années. venir.


De nouvelles propositions théoriques aideront à conduire des expériences de conception capables de tester le plus large éventail de candidats à la matière noire, donnant aux scientifiques les meilleures chances de découvrir le mystère de la matière noire.

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New theory on the origin of dark matter

More information: Michael J. Baker et al. Filtered Dark Matter at a First Order Phase Transition, Physical Review Letters (2020). DOI: 10.1103/PhysRevLett.125.151102

Journal information: Physical Review Letters 

Provided by University of Melbourne 

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MES COMMENTAIRES

Il ya dans ce travail une partie expérimentale  qui met à profit une vieille mine d or  pour y installer comme en ITALIE  des detecteurs de paticules  de divers modèles ; Saluons l esprit pragmatique et économe des australiens  pour  s 'épargner la fabrication de ces souterrains !!!

L autre partie  est encore une de ces propositionses  sur la matière noire  déjà crée  lors du big bang  ....je vous avouerai que leur démonstration    n'est  recevable que si l argumentation initiale  l est déjà!

Cela me  fait irresistiblement  penser   a cette  curieuse histoire  vraie  de  femelle de canidés  qui  ayant produit une dizaibe de chiots moitiè tout noirs  tout  moitié blances  les vooyait se transformer peu a peu endant leur adolescence   en chiots presue tous noirs ou pl du moins  bien plus cés!!!!!!





 


samedi 24 octobre 2020

ciences;energies;environnement::le monde selon la physique:seùaine 42:redemarrage!

 

En dépit de ses soucis personnels l’auteur s’efforce  de suivre le morceau des publications mondiales  qu il reçoit  chaque jour des ETATS UBIS  ….Mais je ne dispose ni des cerveaux ni des moyens informatiques  de mon é assembleur  PHYS ORG / NEWSPAPER SCIENCE x      .Je ne puis même pas   distribuer mes traductions ou mes articles de critiques  a des abonnés  , ne disposant  plus de site en mon nom propre sur OVH et internet  .Heureusement  il y a GOOGLE/BLOGGER  pour diffuser mes articles  et dans une moindre mesure FACEBOOK et TWITTER pour en diffuser les titres .  Ceci vous explique pourquoi  je me limite  à attendre chaque semaine les sélections du lundi matin  dans les domaines  physique chimie astronomie  énergie  et environnement

 Cela dit  je regrette qu il n’existe pas l’équivalent en français   de mon assembleur américain ou de mon assembleur anglais  PHYSICS WORLD …….Mais a ceci,  Mister  PEPPER   me réplique  alos par  plusieurs arguments … : « Tout d’abord la recherche mondiale   n’est pas complétement ouverte à la publication universitaire immédiate  car la compétition commerciale joue entre firmes et même entre  états  …Et comme elle est féroce  , tout ce qui est  monnayable passe  d’abord par des prises de brevets …. »

 

…. Et PEPPER   ne manque pas de me rappeler  lui avoir raconté ma surprise  , quand revenant de guerroyer en ALGERIE et entrant au département de CLAUDE  FREJACQUES  à  Saclay  en 61 je découvris que les matériaux  spécifiques  des barrières  de séparation  de l’uranium  découlaient de mes courbes expérimentales  de thermolyses  sous vide  de ma propre thèse  ,publiées  5  ans plus tôt !!!!!

-«  « OLIVIER , a votre Age vous n’ignorez plus que  toute bonne idée se copie  et qu’ on ne le crie pas sue  les toits !!! »

-« Ah PEPPER    si vous saviez  comme les labos de la fac étaient pauvres dans les années 50 -60…Je n’ai découvert l’azote liquide qu’en arrivant au CEA     e!!!! J’en étais réduit a piéger  les pyrolyses de mes sulfates   au mélange éthanol-carboglace !!!! »

-« Mais OLIVIER  non obstant ce manque de moyens  ,  pourquoi  croire  que la créativité  et  la science humaine  aient le pouvoir  chaque semaine  de délivrer ses  lois de  type NEWTON  pour la matière noire ou  l’énergie noire !!!!

-«   Voilà une bonne  raison  PEPPER pour que je  ne vous traduise pas l’article reçu de ce matin ; « Precision metrology closes in on dark matter ( dont voici l abstract )

« Optical clocks are so accurate that it would take an estimated 20 billion years—longer than the age of the universe—to lose or gain a second. Now, researchers in the U.S. led by Jun Ye's group at the National Institute of Standards and Technology and the University of Colorado have exploited the precision and accuracy of their optical clock and the unprecedented stability of their crystalline silicon optical cavity to tighten the constraints on any possible coupling between particles and fields in the standard model of phys


ics and the so-far elusive components of dark matter.”

vendredi 23 octobre 2020

SCIENCES.EBERGIES.ENVIRONNEMENT /ah qu il est doux de ne rien faire quand tout sagite autour de soi.....

 Mal à la gorge et fièvre légère ...tiens .....tie,ns !!!! ????

 


L auteur  au milieu de sa verrière entre ses banbous , ses cactus géants  et ses orchydées ......

mercredi 21 octobre 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/WEEK 42 / GRAND SUCCES NASA HIER!

 

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Grand succès !  traduction de National Geographic il y a 15 h ! : «Une mission audacieuse de la NASA OSIRIS-REx

 vient de se poser  sur un astéroïde et attend la confirmation de  prélèvement de l’échantillon !!!!!

 PHOTO  NASA FROM GOOGLE  STUFF


La tentative historique d'échantillonner l'astéroïde  101955 Benu pourrait fournir des indices sur les origines de notre système solaire - et de la vie elle-même »photo :

 Néanmoins ils ne sont pas les premiers a réussir ce couip : Une mission japonaise audacieuse  lancée en 2014 avait atteint l'astéroïde inexploré Ryugu en 2018

Hayabusa-2 avait plané  au-dessus de sa cible et relâché quatre sondes d'atterrissage avant de se poser pour collecter des échantillons pour retourner sur Terre. 7 gr ont été prélevés ; retour prévu pour decembre 2020

 La NASA  en prévoit 10 fois plus

 Ce n' est plus tellement  la présence de l’eau dans les échantillons que l’on recherche  mais plutôt la présence de composés organiques  et surtout les amino- acides  …Il faudra jouer  au jeu de la « fronde planétaire » pour ramener les prélèvements ; retour prévu pour 2024

 

mardi 20 octobre 2020

SCIEBCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELOB LA PHYSIQUE / WEEK 42P3

 

Pour le 3 eme article de PHYS ORG  que j avais signalé a mes lecteurs ,à savoir : : «  Climate change likely drove early human species to extinction, modeling study suggests »je n’ai pas les connaissances  d’un paléo- anthropologue , aussi après l’avoir traduit pour moi-même  ai-je laissé a mes lecteurs anglophones  le soin de le traduire pour eux-mêmes . Seul au fond m’intéressait  leu conclusion sur  la  faible résistance des  diverses variétés d’ hommes  fossiles  aux changements climatiques  survenus ce dernier millions d’années …La plupart  est allé vers la régression  territoriale  puis vers  l’extinction  

 La conclusion de l’auteur  est un avertissement ;qu’ils soient chasseurs ou  cueilleurs  ou pécheurs ,anthropophages ou  charognards de prédateurs plus forts qu’eux ……qu ils marchent droit ou courbés  etc mais avec des territoires sans frontières ni gendarmes  ,leurs migrations  ne les ont pas protégés des  hauts et bas climatiques …

Et les auteurs en déduisent que ce qui nous pend sur la tête pourrait être bien pire  ….Et je rajoute  surtout compte tenu  de la démographie actuelle et des peu d’efforts que nous faisons coté CO2 ….Brf l homo sapiens actuel qui a frisé l extinction de peu pourrait bie remettre çà!!


Climate change likely drove early human species to extinction, modeling study suggests

climate change
Credit: CC0 Public Domain

Of the six or more different species of early humans, all belonging to the genus Homo, only we Homo sapiens have managed to survive. Now, a study reported in the journal One Earth on October 15 combining climate modeling and the fossil record in search of clues to what led to all those earlier extinctions of our ancient ancestors suggests that climate change—the inability to adapt to either warming or cooling temperatures—likely played a major role in sealing their fate.

"Our findings show that despite technological innovations including the use of fire and refined stone tools, the formation of complex social networks, and—in the case of Neanderthals—even the production of glued spear points, fitted clothes, and a good amount of cultural and genetic exchange with Homo sapiens, past Homo species could not survive intense ," says Pasquale Raia of Università di Napoli Federico II in Napoli, Italy. "They tried hard; they made for the warmest places in reach as the climate got cold, but at the end of the day, that wasn't enough."

To shed light on past extinctions of Homo species including H. habilis, H. ergaster, H. erectus, H. heidelbergensis, H. neanderthalensis, and H. sapiens, the researchers relied on a high-resolution past climate emulator, which provides temperature, rainfall, and other data over the last 5 million years. They also looked to an extensive fossil database spanning more than 2,750 archaeological records to model the evolution of Homo species' climatic niche over time. The goal was to understand the climate preferences of those early humans and how they reacted to changes in climate.

Their studies offer robust evidence that three Homo species—H. erectus, H. heidelbergensis, and H. neanderthalensis—lost a significant portion of their climatic niche just before going extinct. They report that this reduction coincided with sharp, unfavorable changes in the global climate. In the case of Neanderthals, things were likely made even worse by competition with H. sapiens.

"We were surprised by the regularity of the effect of climate change," Raia says. "It was crystal clear, for the extinct species and for them only, that climatic conditions were just too extreme just before extinction and only in that particular moment."

Raia notes that there is uncertainty in paleoclimatic reconstruction, the identification of fossil remains at the level of species, and the aging of fossil sites. But, he says, the main insights "hold true under all assumptions." The findings may serve as a kind of warning to humans today as we face unprecedented changes in the climate, Raia says.

"It is worrisome to discover that our ancestors, which were no less impressive in terms of mental power as compared to any other species on Earth, could not resist climate change," he said. "And we found that just when our own species is sawing the branch we're sitting on by causing climate change. I personally take this as a thunderous warning message. Climate change made Homo vulnerable and hapless in the past, and this may just be happening again."


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The temporal lobes of Homo erectus were proportionally smaller than in H. sapiens

More information: Pasquale Raia et al. Past Extinctions of Homo Species Coincided with Increased Vulnerability to Climatic Change. One Earth. Published:October 15, 2020. DOI: 10.1016/j.oneear.2020.09.007
Journal information: One Earth 

Provided by Cell Press  

Bref  l"homo  sapiens actuel a frisé l’extinction  de peu  mais il pourrait  bien   remettre çà !


 

 

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/WEEK 42 /P2

 Pour aujourd’hui je choisis l’article  dont l’importance industrielle et scientifique est  primordiale  et mon commentaire  à ma traduction de l’article de PHYS ORG/ SCIENCE X  vous en détaillera l’extrême interet

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 : Researchers synthesize room temperature superconducting material

Des chercheurs synthétisent un matériau supraconducteur à température ambiante

par University of Rochester

 

PHOTO /Le but des nouvelles recherches menées par Ranga Dias, professeur assistant de génie mécanique et de physique et astronomie, est de développer des matériaux supraconducteurs à température ambiante. Actuellement, un froid extrême est nécessaire pour atteindre la supraconductivité, comme le montre cette photo du laboratoire de Dias, dans laquelle un aimant flotte au-dessus d'un supraconducteur refroidi à l'azote liquide. Crédit: Université de Rochester / J. Adam Fenster



En compressant des solides moléculaires simples avec de l'hydrogène à des pressions extrêmement élevées, les ingénieurs et physiciens de l'Université de Rochester ont, pour la première fois, créé un matériau supraconducteur     ( même ) à température ambiante.

 

 

Présenté comme article de couverture dans la revue Nature, le travail a été mené par le laboratoire de Ranga Dias, professeur adjoint de physique et de génie mécanique.

 

Dias dit que le développement de matériaux supraconducteurs - sans  aucune résistance électrique et sans expulsion de champ magnétique à température ambiante - est le «Saint Graal» actuel  de la physique de la matière condensée. Recherchés depuis plus d'un siècle, ces matériaux «peuvent définitivement changer le monde tel que nous le connaissons», insiste Dias.

 

En établissant le nouveau record, Dias et son équipe de recherche ont combiné l'hydrogène avec du carbone et du soufre pour synthétiser photochimiquement de l'hydrure de soufre carboné d'origine organique simple dans une cellule à enclume en diamant, un dispositif de recherche utilisé pour examiner de minuscules quantités de matériaux quand ils sont  soumis pression extraordinairement élevée.

 

L'hydrure de soufre carboné présentait une supraconductivité à environ 58 degrés Fahrenheit et sous une pression d'environ 39 millions de psi. C'est la première fois qu'un matériau supraconducteur est observé à température ambiante.

 

"En raison des limites imposées pour  l’obtention  de basses températures, des matériaux aux propriétés aussi extraordinaires n'ont pas jusqu’à présent  tout à fait transformé le monde comme beaucoup auraient pu l'imaginer. Cependant, notre découverte fera tomber ces barrières et ouvrira la porte à de nombreuses applications potentielles", déclare Dias , qui est également affilié aux programmes de science des matériaux et de physique à haute densité d'énergie de l'Université.


Les applications incluent:

 

Les réseaux électriques qui transmettent de l'électricité sans perdre jusqu'à 200 millions de mégawattheures (MWh) d'énergie , ce  qui se produit maintenant en raison de la résistance dans les fils.

Une nouvelle façon de propulser des trains en lévitation et d'autres modes de transport.

Imagerie médicale et techniques de numérisation telle que l'IRM et la magnéto cardiographie

Une électronique plus rapide et plus efficace pour la logique numérique et la technologie des dispositifs de mémoire.

"Nous vivons dans une société des semi-conducteurs, et avec ce type de technologie, vous pouvez l’ amener  dans une société supraconductrice où vous n'aurez plus jamais besoin de choses comme des batteries", déclare Ashkan Salamat de l'Université du Nevada à Las Vegas, co-auteur de la Découverte.

 

 

 

La quantité de matériau supraconducteur créé par les cellules  à enclume de diamant est mesurée en picolitres - environ la taille d'une seule particule de jet d'encre.

 

Le prochain défi, dit Dias, est de trouver des moyens de créer des matériaux supraconducteurs à température ambiante à des pressions plus basses, de sorte qu'ils restent  économiques à produire en plus grand volume. Par rapport aux millions de livres de pression créées dans les cellules à enclume de diamant, la pression atmosphérique de la Terre au niveau de la mer est d'environ 15 PSI.

 

 

Pourquoi la température ambiante est importante

 

Découverte pour la première fois en 1911, la supraconductivité confère aux matériaux deux propriétés clés. La résistance électrique disparaît. Et tout semblant de champ magnétique est expulsé, en raison d'un phénomène appelé effet Meissner. Les lignes de champ magnétique doivent passer autour du matériau supraconducteur, ce qui permet de faire léviter ces matériaux, ce qui pourrait être utilisé aussi  pour les trains à grande vitesse sans frottement, appelés trains maglev. ( magnetic levitation)

 

Les électroaimants supraconducteurs puissants sont déjà des composants essentiels des trains maglav, des machines d'imagerie par résonance magnétique (IRM) et de résonance magnétique nucléaire (RMN), des accélérateurs de particules et d'autres technologies de pointe, y compris les premiers supercalculateurs quantiques.

 

Mais les matériaux supraconducteurs utilisés dans les appareils ne fonctionnent généralement qu'à des températures extrêmement basses, inférieures à toutes les températures naturelles sur Terre. Cette restriction les rend coûteux à entretenir et trop coûteux à étendre à d'autres applications potentielles. «Le coût de conservation de ces matériaux à des températures cryogéniques est si élevé que vous ne pouvez pas vraiment en tirer pleinement parti», déclare Dias.

 

Auparavant, la température la plus élevée pour un matériau supraconducteur était atteinte l'année dernière dans le laboratoire de Mikhail Eremets au Max Planck Institute for Chemistry à Mayence, en Allemagne, et du groupe Russell Hemley à l'Université de l'Illinois à Chicago. Cette équipe a signalé une supraconductivité de -10 à 8 degrés Fahrenheit en utilisant du superhydride de lanthane.

 

Les chercheurs ont également exploré les oxydes de cuivre et les produits chimiques à base de fer comme candidats potentiels pour les supraconducteurs à haute température ces dernières années. Cependant, l'hydrogène - l'élément le plus abondant de l'univers apporte  une base solide  prometteuse

 

 

 

Pour avoir un supraconducteur à haute température, vous voulez des liaisons plus fortes et des éléments légers. Ce sont les deux critères de base », dit Dias.« L'hydrogène est le matériau le plus léger et la liaison hydrogène est l'une des plus fortes.

 

«L'hydrogène métallique solide est théorisé pour avoir une température Debye élevée et un fort couplage électron-phonon , ce qui est nécessaire pour la supraconductivité à température ambiante», dit Dias.

 

Cependant, des pressions extrêmement élevées sont nécessaires juste pour amener l'hydrogène pur à un état métallique, ce qui a été réalisé pour la première fois dans un laboratoire en 2017 par Isaac Silvera et Dias, professeur à l'Université Harvard, puis post-doctorant dans le laboratoire de Silvera.

 

Un `` changement de paradigme ''

 

Et ainsi, le laboratoire de Dias à Rochester a poursuivi  ce  «changement de paradigme» dans son approche, en utilisant comme alternative des matériaux riches en hydrogène qui imitent la phase supraconductrice insaisissable de l'hydrogène pur, et peuvent être métallisés à des pressions beaucoup plus basses.

 

Tout d'abord, le laboratoire a combiné l'yttrium et l'hydrogène. Le superhydrure d'yttrium résultant présentait une supraconductivité à ce qui était alors une température record d'environ 12 degrés Fahrenheit et une pression d'environ 26 millions de livres par pouce carré.

 

Ensuite, le laboratoire a exploré les matériaux dérivés organiques covalents riches en hydrogène.

 

Ces travaux ont abouti à l'hydrure de soufre carboné. "Cette présence de carbone est d'une importance capitale ici", rapportent les chercheurs. Un "réglage de composition" supplémentaire de cette combinaison d'éléments peut être la clé pour atteindre la supraconductivité à des températures encore plus élevées, ajoutent-ils.

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On the road to conductors of the future

More information: Room-temperature superconductivity in a carbonaceous sulfur hydride , Nature (2020). DOI: 10.1038/s41586-020-2801-z

Journal information: Nature

Provided by University of Rochester

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Mes commentaires

Bien entendu mon jugement est très positif sur les résultats de ces manips labo …..Toutefois  vous pourriez vous mettre le doigt dans l’œil  si vous croyez pouvoir travailler à des pressions d’hydrogène aussi énormes  et  avec ce composé soufré  carboné biscornu !!! Travailler  à  très haute pression  d’hydrogène  et en enclume de diamants même industriels est à comparer  sans tricherie  au prix des supraconducteurs   a très basse temp

lundi 19 octobre 2020

SCIENCES.ENERGIIES.ENVORONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE /SEMAINE 42 /P1

 

PHYSORG/SCIENCE X m’a envoyé ce matin sa sélection de la semaine 42    et j’en ai extrait les titres des publications  qui m’interpellent   .en voici la liste :

1: The spin of the supermassive black hole in the Milky Way

2: Researchers synthesize room temperature superconducting material

3: Physicists successfully carry out controlled transport of stored light

 Mais comme  cette liste est très courte   car je suis exigeant sur la novation de la publication   , j’ai rajouté un article  sue le  passé  calculable de notre  vieille Terre .Cela vous conduira peut être à méditer    sur l’incertitude   dont nous aggravons notre futur ! :

4 : Climate change likely drove early human species to extinction, modeling study suggests

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  J ‘ai choirs la 1:

Le spin du trou noir supermassif de la Voie lactée

par Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics

 

PHOTO Un schéma montrant les mouvements des étoiles autour du trou noir supermassif au centre de notre galaxie. Les étoiles se trouvent dans un plan en  bord à bord, et les astronomes ont utilisé cette contrainte pour déduire que le spin du trou noir doit être inférieur à environ 0,1. Crédit: Barker, Patterson et Spivey; U. Ill. Laboratoire de visualisation avancée NCSA


Une fois qu'un trou noir se forme, son champ gravitationnel intense produit une surface au-delà de laquelle même la lumière ne peut pas s'échapper, et il apparaît noir aux exterieurs. Tous les détails du mélange complexe de matière et d'énergie de son passé sont perdus, le laissant si simple qu'il peut être complètement décrit par seulement trois paramètres: la masse, le spin et la charge électrique. Les astronomes peuvent mesurer les masses des trous noirs de manière relativement simple en observant comment la matière se déplace à leur voisinage (y compris d'autres trous noirs) sous l'influence de leurs champs gravitationnels.

 

 

On pense que les charges des trous noirs sont insignifiantes lorsque les charges positives et négatives  qui y sont entrées sont équilibrées en nombre. Les spins des trous noirs sont difficiles à déterminer; ils sont généralement déterminés en interprétant l'émission de rayons X du bord intérieur chaud du disque d'accrétion autour du trou noir. Le spin est quantifié par un nombre compris entre zéro et un, et les spins des trous noirs ont été mesurés avec des résultats allant de quelques dixièmes à près de un.

 

La galaxie de la Voie lactée abrite un trou noir supermassif (SMBH) en son centre, le Sagittaire A, avec environ quatre millions de masses solaires. À une distance d'environ vingt-sept mille années-lumière, c'est de loin l'objet le plus proche de nous, et même s'il n'est pas aussi actif ou lumineux que d'autres noyaux galactiques supermassifs, sa proximité relative offre aux astronomes une opportunité unique. pour sonder ce qui se passe près du «bord» d'un trou noir massif. Le centre galactique SMBH est entouré d'un amas d'étoiles et d'amas de matériaux faiblement lumineux, et ces dernières années, les astronomes ont pu pousser les tests de relativité générale jusqu’  de nouvelles limites en mesurant et en modélisant les mouvements de ces amas lorsqu'ils se balancent autour du SMBH. . La rotation du trou noir, cependant, n'a pas été déterminée de manière cohérente, mais sa valeur aiderait à contraindre les modèles d'activité éventuelle de jets ( émissifs )

 

Les astronomes de la CfA Giacomo Fragione et Avi Loeb ont réalisé que la distribution spatiale d'un groupe d'objets en amas, les soi-disant étoiles S, pouvait être utilisée pour sonder le spin du troui noir . Il y a actuellement une quarantaine d'étoiles S connues qui orbitent autour du SMBH en aussi proches de lui   que 9,9 années lumière , et des analyses récentes affirment que, collectivement, elles se trouvent dans deux disques presque latéraux, les étoiles de chaque disque tournant autour du trou noir mais en directions de  sens inverse.. Les deux astronomes se sont rendu compte que cette géométrie inhabituelle pouvait permettre une mesure estimée du spin. L'une des prédictions les plus curieuses et non intuitives de la relativité est que l'espace n'est pas seulement déformé par la gravité d'un corps si  massif, il est également déformé (bien qu'à un moindre degré) par la rotation d'un tel  corps. Il s'agit du soi-disant «effet de glissement d'image», un petit phénomène difficile à mesurer (qui, cependant, a été confirmé). Les deux astronomes montrent que dans le cas de SgrA, le glissement de trame aura un effet appréciable sur les orbites des étoiles S dans ces disques. En supposant que les plans orbitaux des étoiles S sont stables dans le temps, ils sont capables de montrer que le spin du SMBH dans la Voie lactée doit être inférieur à environ 0,1.

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Measuring the spin of a black hole

More information: Giacomo Fragione et al. An Upper Limit on the Spin of SgrA* Based on Stellar Orbits in Its Vicinity, The Astrophysical Journal (2020). DOI: 10.3847/2041-8213/abb9b4

Journal information: Astrophysical Journal

Provided by Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics

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 MES CO0MMENTAIRES

Le résultat est intéressant , d’une part parce qu’ il est unique ( c’es le trou noir centro galactique  de notre galaxie  , donc le seul très proche ) ; d’autre part   parce  que rotation  propre ou  spin, de 0 ,1   cela signifie   qu il ne tourne quasiment pas  ….Mais  donc qu il  pourrait indiquer  le mouvement général de la direction de la galaxie elle  meme  …..dans l’amas dont elle constitue un des composants