LE MONDE SELON LA PHYSIQUE ( PHYSICS WORLD COM ) JANVIER 2016 2ème PARTIE-2
Si je ne vous ai pas proposé de commentaires à la suite de ma traduction complète hier soir , je dois vous en donner la raison aujourd’hui ! Le forum qui commentait le travail de ASHTKAR et de l’équipe de PENN STATE ( et rapporté par Keith Cooper un science journalist de PHYSICS WORLD) était d’une telle richesse ( 14 intervenants) que j’ai « calé » !….. Le fond du problème est celui-là : tous les projets d interférométrie d’ondes gravitationnelles en cours se fondaient sur des calculs de RG qui ne prenaient en compte que les masses et énergies visibles !!!!
Imaginez que pour un physicien du Modèle standard de la Cosmologie l’observation du red shift ( à accoler nécessairement à la loi de HUBBLE et à une expansion de l’ESPACE-TEMPS ) a dû déjà nécessiter un effort explicatif sérieux …. ( Et je rappelle qu’ALBERT EINSTEIN a dû en avaler son chapeau !)……Imaginez en outre que les accélérations de cette expansion proposées par SAUL PERLMUTTER et ADAM RIESSS en 98 ont dû enclencher encore plus de buzz ( tumulte) ….Alors prenez un peu en considération les poignées de cheveux que les astronomes ont du s’arracher avant de publier de telles choses ! Après avoir inventé avec ZWICKY la matière noire en 33 , ils ont dû en rajouter avec l’énergie noire en 98 !!! Et depuis CA N’ARRETE PLUS ! Voici ce que déclare PERLMUTTER , de passage en France à FUTURA SCIENCES : « La communauté scientifique est actuellement ouverte à un grand nombre d’explications. Les théoriciens ont fait un excellent travail en explorant tout un paysage de théories possibles. Depuis près de douze ans il est publié presque un article par jour sur ce sujet par des théoriciens…… »
ALORS PRENEZ MOI EN PITIE ! Traduisez ce FORUM vous-même : il est trop long et surtout d’un niveau trop élevé pour figurer sur ce pauvre et modeste blog de banlieue ( qu’on vient de retirer par punition de la liste des plus lus) ! !
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1 :RESUME
Mini metal blanket foils lithium-battery freeze
Jan 25, 2016 1 comment
Cheap solution helps with power loss at sub-zero temperatures, allowing for "all-climate batteries
2:RESUME
Les batteries ont longtemps attiré les écologistes comme solution de stockage d'énergie idéale, mais leur perte de puissance dramatique à des températures inférieures au point de congélation a empêché leur utilisation dans des applications extérieures pratiques trop froides telles que par exemple les voitures électriques. Des chercheurs américains ont montré que l'intégration tout simplement d’ une feuille de métal dans les batteries lithium-ion leur permet de maintenir des températures optimales de fonctionnement par chauffage résistif.
Chao-Yang Wang à l'Université d'Etat de Pennsylvanie a passé 20 ans à travailler sur les batteries et les piles à combustible, et il remarque que le faible rendement à des températures inférieures à zéro a été de longue date un problème pour les batteries - les batteries lithium-ion inclus. Il ajoute qu'ils "ont essayé de nombreuses idées différentes, mais qu’à la fin nous avons été très surpris de voir que seulement un film métallique mince constituait la solution".
En effet, la solution de l'équipe ne nécessite rien de plus qu'une mince feuille de métal intégré dans la cellule lithium-ion avec un interrupteur. Lorsqu'il est allumé, le courant se propagera à travers la feuille, provoquant un chauffage résistif pour élever localement la température au-dessus de zéro, ….Et arrivé au dit point il peut être désactivé afin que le courant ne passe plus à travers la feuille.
Le composant de chauffage ajouté travaille environ 20-30 s. Tout en ajoutant seulement 1,5% au poids et 0,04% au coût de la batterie, il offre une augmentation de puissance de six fois à -30 ° C.
D'autres tentatives pour incorporer des caractéristiques qui récupéraient la perte de puissance à basse température dans des batteries au lithium ont eu recours à des appareils de chauffage extérieurs. Ceux-ci peuvent être coûteux, et utiliser beaucoup d'énergie, car ils augmentent la température du boîtier de la batterie avant de chauffer les composants de fonctionnement à l'intérieur.
Mon commentaire/Je trouve l idée très astucieuse : utiliser l’effet joule à partir de la batterie pour lui garder son potentiel ( sans avoir a risquer d enflammer le boitier par chauffage !). Et je ne m’étonne pas que son inventeur ait monté sa » petite entrprise ! Jele cite : « , EC Power, a company that he founded at Pennsylvannia State University in 2011, made all of the batteries used for the current study and is ready to take orders.”
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New type of atmospheric waves seen high above Antarctica
Jan 27, 2016
"Endless and uninterrupted" oscillations could affect climate and communications
2/RESUME
Une classe jusque-là inconnue de propagations ondulatoires atmosphériques vient d être découverte dans l'atmosphère de l'Antarctique par une équipe de chercheurs de l'Université du Colorado Boulder aux États-Unis. Ces nouvelles formes d ondes de gravités ou de poussées semblent être une présence constante et se révéler là à chaque fois que les chercheurs réalisent une étude sur cinq ans. L'équipe estime que ces phénomènes pourraient affecter les modèles météorologiques et climatiques ainsi que des systèmes de communication basés sur la Terre. La découverte a été faite en utilisant un système LiDAR de température Fe Boltzmann / Rayleigh à l'Observatoire des hauteurs Arrival près de la station McMurdo, en Antarctique
( J’ ajoute pour mes lecteurs qu un lidar est un dispositif detectant une distance par un calcul reposant sur l’envoi d un signal et son retour … Il y en a plusieurs types , en particulier les lidars à fluorescence résonnante …Plusieurs espèces non organiques de la haute atmosphère peuvent ainsi être caractérisées par leur spectroscopie de fluorescence dite résonnante, si elles sont excitées à la longueur d'onde d'une raie spectrale d'absorption/émission. On arrive à étudier ainsi les confins de la mésosphère où des espèces métalliques telles que le sodium et le fer sont constamment déposées par les météores, ou l'azote ionisé de l’ionosphère, malgré la distance (~100 km).
. Le système utilise des impulsions de lumière pour mesurer la température atmosphérique, et les observations de l'équipe ont été faites après que l'installation ait été « retoquée » en 2010 pour la rendre appropriée pour des mesures à l'année de la température atmosphérique, la composition et la dynamique.
"Bien que les observations dans le milieu de l'Antarctique et de la haute atmosphère puisse nous faire remonter aux années 1980 ou même plus tôt, ces ondes persistantes 3-10 h étaient inconnues avant la campagne….. McMurdo LiDAR a commencé à fournir à haute résolution, des mesures de température gamme résolue», explique l'équipe -Responsable Cao Chen.
MON COMMENTAIRE /Ces effets de vents periodiques à haute altitudes sont importants , bien entendu pour tout un tas de choses , navigation aerienne bien entendu
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ALPHA confirms antihydrogen is neutral as charged
Jan 28, 2016 2 comments
Latest result is 20 times more precise than previous measurements
3 RESUME
Les derniers résultats de l'expérience Antihydrogen Laser Physics Apparatus (ALPHA) au laboratoire CERN de physique des particules à Genève ont confirmé que la charge électrique de l'antihydrogène est en effet neutre. L'expérience a permis d'améliorer la précision de mesure de la charge d'antihydrogène - un antiproton lié a son positron - par un facteur de 20 par rapport aux résultats précédents. Parce que la charge de l'antiproton est déjà connue avec une précision similaire à celle de cette dernière mesure, le résultat permet également d'affiner la limite de la charge du positron.
Une des grandes questions restée sans réponse dans la physique est la raison pour laquelle notre univers contient bien plus matière que d'antimatière aujourd'hui, alors que des quantités égales de deux ont été considérées comme ayant formées après le Big Bang. Comme le modèle standard de la physique des particules ne peut offrir aucune explication pour cette antimatière manquante, mesurer d'infimes différences entre le comportement de la matière par rapport à de l'antimatière pourrait apporter de la lumière sur cette énigme cosmique.
Les théories actuelles disent que les particules d'antimatière sont identiques à leurs homologues de la matière, mais avec une charge opposée. Un atome d'hydrogène est constitué d'un proton chargé positivement et d un électron négativement chargé, et a une charge nette nulle. De même, un atome d'antihydrogène est constitué d'un antiproton chargé négativement et un positron chargé positivement, et devrait également être neutre. Une asymétrie entre matière et antimatière doit donc se trouver quelque part, et une différence possible est que l'antihydrogène présente une certaine charge globale nette mesurable quoique très subtile. Cependant, cela a été difficile à tester en raison des défis expérimentaux impliqués dans le piégeage et la tenue de l'antihydrogène pendant un temps suffisant pour effectuer des mesures précises de sa charge.
En 2010, ALPHA a été la première expérience capable de piéger 38 atomes d'antihydrogène pendant environ un cinquième de seconde. L'équipe a ensuite perfectionné son appareil et de la technique pour piéger un total de 309 atomes d'antihydrogène pendant 1000 s en 2011.
MON COMMENTAIRE / Voilà qui semble sur ! l hydrogène soit normal , soit anti , n a pas de charge globale et est neutre !
A SUIVRE
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