Comme il me
serait difficile d’interroger les chercheurs
d’ESO qui ont présenté l’article que je vous ai récemment traduit ….. et
que j’ai des souvenirs trop anciens sur ces questions de résonance d’orbites de planète, je suis
allé demander secours aux Princeton ‘guy’s
et en particulier auprès de Mr
Pepper !
« Puzzling six-exoplanet system with rhythmic movement challenges theories of how planets form''
par ESO/ . The European Southern Observatory i
888888888888888888888888888
-«
Cher Pepper j’ai été assez surpris
de cette curieuse danse de
Saint-Guy entre cette collection de planètes et je me suis posé la question
a la façon Isaac Newton :
l’orbite d’une planète est assez
rigidement définie …Comment ces
phénomènes peuvent-ils alors se produire ???
_ «
Ne commencez pas alors par être injuste Olivier !
Les orbites
de planètes ont d’abord été décrites par les trois lois de Kepler , mais à l’époque les
lois étaient descriptives et non
explicatives et surtout le règles du calcul différentiel et
intégral n’avaient pas été découvertes …Le
rôle de Newton a été d’abord
de corriger et compléter Képler puis
de tout expliquer par ses 3 lois reliant
mouvements , forces , masses pesantes et inertielles et surtout constante de gravitation G
-«
Mais tout cela je me le rappelas Pepper ;par contre pour nos lecteurs je me demande s’il ne serait pas bon de présenter
une petite touche de maths
pour leur donner une sorte de tremplin basique d’explication ????
_ « Mais
qui croyez-vous vient vous lie Olivier ????En dehors des queues physiciens pro ou marginaux qui suivent vos traductions des
découvertes publiées du
jour ( et qui n’ont rien à apprendre en maths ), , ceux qui vous lisent sont des curieux d’astronomie – cosmologie et ceux – là , la vue d’une équation leur
donne illico une crise d’urticaire !Allons ! Rappelez-vous vos
temps du
NOUVEL OBS où vous receviez des paquets de questions « nunuches » !
-« Pourquoi être si agressif avec les curieux ou les naifs ?Rappelez-vous les plus splendides vers de Victor Hugo :
'' ...Tout reposait dans Ur et dans
Jérimadeth ;
Les astres
émaillaient le ciel profond et sombre ;
Le croissant
fin et clair parmi ces fleurs de l'ombre
Brillait à
l'occident, et Ruth se demandait,
Immobile,
ouvrant l'œil à moitié sous ses voiles,
Quel dieu,
quel moissonneur de l'éternel été,
Avait, en
s'en allant, négligemment jeté
Cette
faucille d'or dans le champ des étoiles. "
A SUIVRE
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