Notre discussion hier s’alourdit d ‘un problème philosophique ; comment un phénomène physique est il en mesure d’ etre provoqué sans cause ? Et Mr PEPPER nous propose les fluctuations quantiques comme example de tels cas ...Ecoutons le un peu aujourd’hui essayer d ‘étayer son argumentation ..
’’Vous m ‘avez présenté hier OLIVIER un chercheur français expliquant les trous de vides de l ‘espace cosmique à partir de telles fluctuations quantiques dans l ‘espace temps du ‘’début .d univers’’..Pour lui en somme l ‘‘espace est comme une pate à pain qu’on met a cuire : les trous s’y développent losqu’elle cuit et enfle
-’’OLIVIER !Laissez moi présenter aux lecteurs quelques chercheurs de langue anglaise à mon tour ….
-’’OK PEPPER mais je présume que j ‘ai déjà présenté aux lecteurs les principaux en particulier Paul GUTH et Andrei Linde
-’’ Ce n ‘est pas tellement sur ces phénomène sans cause qu’ils ont travaillé mais surla’OMM2 big bang’mousse cosmis qui se crée par inflation ultra rapide de l’ espace-temps suroommé BIG BANG!
Cette physique sans ccause apparente qui vous tarabuste tant l ‘esprit c’est au fond tout ce que l’inégalité de Heisenberg permet , Delta W.Delta t >ou = à ½ hnu barre ...Et il ne faut pas en faire une énigme car la fluctuation quantique les physiciens actuels s’en servent comme d’une rustine instantaée à chaque fois qu ‘il s agit de fermer un trou et d’expliquer et de réparer l inexplicable !!! À savoir : ‘’La transtion pré big bang,l ’apparition de particules virtuelles , , le brouillard quantique , ; les effets stochastiques ‘’inévititables’’ ,le zitterbewegung , les fluctuations de champ et meme l effet Casimir,,,,etc.
-’’Vous avez raison PEPPER si vous pensez que les fluctuations quantiques c ‘est un peu le méédicament que les physiciens ont trouvé pour se passer de causes bien explicites ...Mais je crois moi qu ‘on se retrouve encore dans le célèbre dialogue entre ALBET EINSTEIN et NIELS BOHR...Le dilemme n ‘et pas de savoir ce que DIEU ou les lois de la Phsyque “”décident”” mais si la représentation que noous nous faisons de l’Univers peut etre d’ores et déjà préscsé par le peu de sciences que nous nous pésentons actuellement .. C’est d ‘ailleurs le meme doute qui m‘assiège à propos de la théorie des super cordes !
A SUIVRE
Si on n'aborde pas le problème sous l'angle de la dualité universelle, alors on n'aboutit à ce que l'on constate à savoir, la multiplication des énigmes relatives au modèle standard.
RépondreSupprimerDonc il existe 2 états d'univers : a) le premier contient une infinité d'oscillateurs dipolaires (Bodys) qui matérialise le zéro physique : pas d'espace, pas de temps, pas de masse car dans chacun, les deux entités contraires s'annulent strictement. Cet état à entropie de désordre maximale(au sens de Boltzmann) est lié à un nombre infini de zéros; b) son dual est matérialisé par un nombre limité (mais grand quand même) où l'entropie de désordre est quasi nulle (synchronisation en phase, en amplitude, avec partage du point zéro).
C'est le BEC-fossile sphérique, macroscopique et oscillant. Il y a une dualité d'influence entre la "bulle" BEC et le désordre qui l'entoure. Quand la densité relative est gagnée par le BEC, le flux de synchronisation s'accélère jusqu'à saturation. Selon les lois physiques des BECS, il "explose" et sépare une partie (1 couche sur 10^33) des entités qui s'annulaient auparavant. Séparées, elles ne s'annulent plus et donc se révèlent comme électrons et positrons. Ils fusionnent en protons-neutrons en groupes neutres + 1 positron célibataire (charge du proton. Ce célibataire est condamné à l'être (une chance sur deux généralisée au départ).
Ainsi le temps propre à chaque unité se généralise et devient le temps cosmique (relativement à la racine carrée des masses) comme il se doit. La grande majorité des Bodys synchronisés restent à l'état et représente le subquantique. Les oscillations stochastiques mesurées ne sont que des sous-harmoniques des Bodys dues aux perturbations ou couplage créant une légère asymétrie de l'espace-temps. Le spin appartient autant aux Bodys (non locaux) qu'aux particules. Ce n'est pas étonnant de cosntanter la non-localité des spins intriqués. La flèche du temps signe la progression de l'entropie de désordre et le retour à l'état stochastique. La dualité de localité implique une hypersymétrie qui vérifie, du point de vue holiste, la nullité des paramètres physiques. Le zéro physique n'a rien à voir avec le naïf zéro absolu des maths, influencé par le monothéisme. La seule voie du réductionnisme ne mène à rien !
La clé pour arriver à cela est l'extension hyper fertile, aux nombres entiers, de la loi de KOIDE.
Pourtant le grand DIRAC, avec son "impulsion de Dirac" a montré sans le savoir le duel fondamental de la nature, entre l'impossible zéro absolu et l'infinité de cas l'approchant. C'est juste la clé du paradoxe de l'existence stochastique. La nature possède un déterminisme: sauver le zéro physique sous la forme du zéro symétrique. Ce paradoxe est donc résolu par la présence infinie d'oscillateurs dipolaires représentant chacun et globalement, le zéro physique.