jeudi 11 novembre 2021

Sciences-énergies-environnement /Le monde selon la physique/week 45 p5

Voir sur GOOGLE le site ‘’SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT’’L traduction de ce jour est :’’ Strengthening the second law of thermodynamics by Santa Fe Institute xxxxxxxxxxxxxxxxxx ‘’Renforcer la deuxième loi de la thermodynamique Selon la deuxième loi de la thermodynamique, l'entropie totale d'un processus fermé peut augmenter ou rester la même, mais ne jamais diminuer. La deuxième loi garantit, par exemple, qu'un œuf peut tomber d'une table et laisser un désordre sur le sol, mais qu'un tel désordre ne reformera jamais spontanément un œuf qui rebondira sur la table. Ou bien cet air s'échappera d'un ballon mais ne le regonflera jamais de lui-même. Depuis au moins le 19e siècle, les physiciens étudient le rôle de l'entropie dans la théorie de l'information, en étudiant les transactions énergétiques de l'ajout ou de l'effacement de bits d'ordinateurs, par exemple.’’ xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx Explore further Thermodynamics of computation: A quest to find the cost of running a Turing machine More information: Artemy Kolchinsky et al, Entropy production given constraints on the energy functions, Physical Review E (2021). DOI: 10.1103/PhysRevE.104.034129 Journal information: Physical Rev iew E Provided by Santa Fe Institute Xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx MES COMMENTAIRES La thermodynamique se rapportant aux protoles de calcul est un sujet de recherche du corps professoral r de la SFI David Wolpert, avec Artemy Kolchinsky…Il s agit de comprendre le lien entre la thermodynamique et le traitement de l'information dans le calcul. . Les systèmes informatiques sont en effet conçus spécifiquement pour perdre des informations sur leur passé au fur et à mesure qu'ils évoluent Si vous saisissez « 2+2 » dans une calculatrice, puis appuiez sur « entrée », l'ordinateur affiche la réponse : 4. Mais dans le même temps, la machine perd des informations sur l'entrée puisque non seulement 2+2 mais aussi 3+1 (et biend'autres paires de nombres si vous utilisez des nombres négatifs ) peuvent produire la même sortie. À partir de la seule réponse, la machine ne peut pas indiquer quelle paire de nombres a servi d'entrée. En 1961, le physicien d'IBM Rolf Landauer a découvert que lorsque des informations sont effacées, comme lors d'un tel calcul, l'entropie de la calculatrice diminue (par perte d'informations), ce qui signifie que l'entropie de l'environnement doit augmenter. Le travail des deux auteurs es long à résumer mais il montre que si vous effacez un peu d'informations, vous devez générer et dissiper un peu de chaleur. En voulant savoir quel est le coût énergétique de l'effacement des informations pour un système donné Landauer avait dérivé une équation pour la quantité minimale d'énergie produite pendant l'effacement, mais le duo a constaté que la plupart des systèmes produisent en fait plus.Il y a un coût qui apparaît au-delà de la limite de Landauer Dans un sens, ils ont renforcé la deuxième loi de la thermodynamique et montré un lien subtil entre la physique et la théorie de l’information

12 commentaires:

  1. Bonjour JIHEMS
    Dans votre réponse à ma suggestion d’analyse dimensionnelle de la charge électrique et de la charge magnétique vous vous êtes interrogé sur le pouvoir de l’intuition que j’avais aussi mentionné… Pour tomber dans les détails , en fait ,je vous suggérais de partir d’une réflexion sur l’ étonnant parallélisme entre la loi en F(q)= qq’/D² et la loi F(m) =mm’/D² dont il me semble possible de tirer des informations …Par exemple je peux comparer les forces entre deux charges ponctuelles de même valeur 1 C, et de même masse 1 kg, placées à une distance d'un mètre. La force électrostatique a donc une valeur de l'ordre de 9 × 10^9 N, alors que pour la force gravitationnelle vaut environ 6,7 × 10^−11 N, soit une différence de vingt ordres de grandeur !!

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    1. suite du commentaire :Même en prenant des valeurs de charges et de masse plus réalistes, cet exemple montre clairement la différence d'intensité majeure entre les deux forces. Et ceci pourrait suggérer dans une représentation mathématique et physique ( Th des Ciordes ) d’abord que les deux forces sont dues a des mouvements et ensuite dues a des ondes de nature et origine différentes dans la mémé particule élémentaire
      Très corddialement
      olivier

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    2. Cher Olivier

      Avant de vous répondre, je voudrais d'abord vous demander votre avis, justement à propos de la gravitation.

      Einstein dit qu'elle résulte d'une "courbure" de l'espace, c'est-à-dire une déformation de l'espace en direction de la masse qui la provoque, causée par l'énergie contenue dans la masse. Il y a alors attraction.

      Mais le même Einstein a évoqué la possibilité d'ondes gravitationnelles qui se propageraient par déformation de l'espace, par ex. lors de la collision de deux trous noirs ou de deux étoiles à neutrons.

      Si je comprends bien le phénomène d'ondes, il y a deux "mouvements" opposés de déformation de l'espace dans sa propagation. On pourrait dire, il me semble, qu'il y a une "poussée" et un "retrait" dans le sens de la progression de l'onde.

      Que deviendrait alors la gravitation à l'intérieur de ces deux mouvements ? L'un des deux, sans doute le "retrait", correspondrait à la situation gravitationnelle "classique" de l'attraction (type "courbure" près d'une masse). Mais dans l'autre partie du mouvement ?

      La gravitation contenue dans cette partie pourrait-elle être "répulsive" ?

      Qu'en pensez-vous ? De votre réponse dépendra ma réponse ...

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    3. Bonjour JIHEM
      J ESPERE QUE MA REPONSE NE VA PAS VOUS DECEVOIR : la gravité est un type de champ permanent ( vous connaissez en ectricité le courant continu et le courant alternatif , transposez la chose pour les masses ) …. ..L’ onde gravitationnelle résulte elle au contraire d’ un tres rapide changement dans ce champ continu et est donc le résulat ondulatoire de la propagation et de l amortissement de ce phénomène .. Mathématiquement les équations sont différentes ( ondes entretenues et ondes amorties )
      Très corddialement
      olivier

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    4. J'essaie de comprendre, Olivier.

      Vous dites que l'onde gravitationnelle est "un très rapide changement dans ce champ continu" ... "et est donc le résultat ondulatoire de la propagation et de l'amortissement de ce phénomène ".

      "Propagation et amortissement" : j'ai un peu de mal à voir en quoi cela diffère du double mouvement ondulatoire que j'évoquais.

      A votre avis, donc, ce déplacement sous forme d'ondes ne peut affecter en aucune manière le champ permanent ? Même parcouru par une onde, sa valeur reste constante ? Je rappelle que je me place, ici, dans la vision proposée par Einstein d'un espace "déformé" par la masse, cause de la gravitation.

      Quelques explications supplémentaires éventuelles seraient bienvenues ...

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    6. Cher Olivier,

      Je pensais, initialement, pouvoir argumenter un peu plus ma réponse. Mais j'ai besoin, maintenant, d'approfondir la vôtre.

      Je vous la livre donc en l'état :

      Pour moi, il est clair, dans la modeste représentation que je me fais des choses (mon "modèle", si vous voulez) que la force électrostatique et la force gravitationnelle, bien que deux forces différentes, parce que s'adressant à des "objets-cibles" différents, sont intimement liées. C'est le parallélisme que vous évoquiez.

      Je pense, en effet pour ma part, qu'elles sont bien toutes les deux rattachables - et rattachées - à la même source : la particule massique.

      Et c'est ainsi que j'envisage la gravitation comme pouvant être émergente, voire quantifiable. Par contre, ne maîtrisant absolument pas la théorie des Cordes, je ne sais pas si elles peuvent être rattachées à un mouvement quelconque ...

      Bien à vous

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    7. Pourriez-vous expliciter également un peu plus ce que vous inspire sur ce sujet votre appréciation de la théorie des Cordes ?

      Bien cordialement

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  2. A JIHEMS
    Le c champ einsteien de forces de gravité est un champ local permanent qui résulte de la présence dans un espade de volume V des masses SIGMA m…
    Prenons un autre exemple plus visuel ; soit un golfe maritime XYZ ou régne un régime stable de vagues ‘’standard’’ de hauteur Delta h=0,5 m qui résultent de la permance d’un petit vent local .A l instant t un avion lache une bombe atomique génerant un tsunami de hauteur 10 m qui s’ amortit en une demi heure et on retrouve les vaguelettes standard …Cet exemple vous aidera a voir la difference entre un régime d ondes entretenues et une onde de choc amortie ensuite
    Olivier



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    1. Bonjour Olivier.

      Et merci pour votre patience et vos explications. Je crois que je comprends mieux mon erreur à présent. Je n'avais pas suffisamment vu que le champ gravitationnel est un champ, par définition, ondulatoire, même à l'état "de repos". Abandonnons donc l'objet de ma question.

      Je voulais aussi vous dire que, n'étant pas un familier des équations, je n'avais pas fait de rapprochement entre la forme presqu'identique des deux que vous citez. Y voyez-vous quelque chose d'intéressant ?

      Pour ma part, si je puis me permettre, ce que je retiens, c'est qu'elles pointent toutes les deux vers un même point focal, la particule. Avec cependant, à mes yeux, une condition : que celle-ci soit massique. Pour moi, c'est la masse qui en assure la "jonction". Cela m'intéresse, alors, d'autant plus...

      Bonne journée.

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  3. on ne peut comprendre la gravitation sans expliciter physiquement la notion abstraite de "champ" propre à l'espace-temps. Or ce dernier est tissé par les Bodys subquantiques qui représentent la partie non-locale de l'univers. Il y a bien un rapport entre la courbure d'Einstein et la perturbation de symétrie des Bodys par la matière. Quand les Bodys d'origine se sont séparées en deux pôles, ces derniers ont pu révéler leur masse justement grâce à leur séparation. Chaque unité séparée a l'opposé du BEC, a créé un gradient de charge électrique relatif aux xi^4 bodys concernés et donc la force coulombienne est divisée par xi^4 = 10^42 ! Il suffit pour s'en convaincre de faire le ratio (Coulomb / grave) entre un positron et un électron. C'est bien la valeur que l'on trouve. Ces xi^4 (en 1D) correspondent aux xi^8 en 2D masses électrons qui fait consensus de la masse estimée de l'univers. On fait également le lien logico-déductif avec le ratio Planck/électron avec xi^2. Tout cela se raccorde parfaitement avec des dizaines d'autres observations.... La notion de "champ" est l'aptitude des Bodys subquantiques à réaliser les médiations de force (à vitesse locale) ou les médiations de spin (à vitesse non locale (voir intrication).
    Bien à vous deux !

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    1. Bonjour Mr MAREAU.

      Je reconnais volontiers mes difficultés à entrer dans votre modèle ... Je vous l'ai déjà exprimé.
      Je le regrette d'autant plus que j'ai le sentiment de me retrouver dans un certain nombre de points que vous soulevez ici ! Notamment ce que vous dites au niveau du champ et de la révélation de la masse...

      Mais, merci pour les précisions de votre intervention. Et bonne fin de journée !

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