mercredi 13 avril 2022
Sciences énergies environnement /W14/Analyse du rapport GIEC SUITE N°3
Nous avons vu hier que pour dégager les tendances la statistique contraint à utiliser dans une temporalité pertinente donc large (voir mes figure )systématiquement plutôt les moyennes de mesures puis les moyennes locales puis de zones etc. Et que cette procédure « rabote » ou écrase les points singuliers ….Ce qui reste possible dans une analyse météo prévisionnelle à court terme devient plus difficile dans une optique climat à long terme ….En bref les probabilités futures de crues ,, inondations ,sécheresses , canicules , tempêtes ,tornades etc. ne ressortent qu’en tant que ‘’moyennes’’es au carré pou au cube …. En conclusion bien qu’il soit d’usage de calculer les conséquences de la propagation de ces’’moyennisations ‘’ et de fournir un calcul de la dispersion standard finale …. que vaut-elle pourn unpublic affamé de certitudes immédiates ????
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Les mêmes types de résultats et de défauts apparaissent dans les graphiques géographiques mondiaux tels que je vous les présenterai ce soir …..
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