vendredi 3 avril 2015

03/04/2015

Le Pouvoir de l 'Imaginaire ( 386) :Article à la STENDHAL :" To the happy few !"

La poursuite de ma réponse aux commentaires de CHAVERONDIER/MAREAU/MICALEF/NOLATS    va commencer par traiter le problème du TEMPS …..
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Tellement de brillants esprits en ont traité  que je vais m’efforcer de me limiter aux questions qui me « turlupinent » encore ! ….Il m’avait été  posé déjà  , à 18 ans ,le problème d’avoir à choisir  , après la lecture  de  leur controverse célèbre  sur la revue  « L’Illustration » de 1922, entre l’instantanéité selon  EINSTEIN  et celle de BERGSON ….. Puis la question s’était  «  endormie » dans mes sujets d’intérêt pour se réveiller  avec LEE SMOLIN   et CARLO ROVELLI     dans leurs démêlés avec les théoriciens des CORDES  …..Dans la mesure où leur modèle d’univers devient   multisubpolyedrique ( =   multi granulaire  en  dimensions de  PLANCK ) , chaque  epsilonn  d’espace   aurait  alors son temps propre … ROVELLI écrit : « Il doit donc y avoir des « grains » d’espace. De plus, la dynamique de ces grains doit être probabiliste. Donc, l’espace doit être décrit comme un « nuage de probabilités de grains d’espace »….qu’ils ont appelé ensuite un «  réseau de spins »……. En outre  comme  «L'univers», écrit Prigogine, «est un système  thermodynamique géant »  c’est la thermodynamique statistique  qui par sommation  de tous ces grains de temps divers  lui  donnerait sa flèche  macroscopique et sa valeur moyenne……Le temps soit " disparaît" soit est  compris désormais comme  une «invention émergente  et statistique  » (et non pas comme une  «illusion», comme le soutenait Einstein)…..il me semble ainsi  rejoindre le concept de temps ( un peu plus  tourné vers  une explication entropique  globale  ) de   CHAVERONDIER ……..En est il heureux?Qu ‘a cela ne tienne !
Allez savoir ensuite pourquoi votre intérêt  se disperse ailleurs !..Je m’étais donc  re-assoupis sur ce sujet  avec cette conclusion ..... lorsque j’ai été obligé de me réveiller  par les questions de mes rêvasseries ! !
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En effet ,jusqu’ici j’ ai toujours traité le temps , dans mes équations ou  calculs universitaires  et  professionnels   comme une variable ( t)  passant  continûment de la  valeur   historique  -∞ ( infini passé) à la  valeur  zéro mobile  (=«  maintenant »)  puis à  la valeur réelle prédictive  +∞  (= infini futur) …. C’était pour moi  l’usage d’ un concept «  pur  NEWTON » …Et c’est d’ailleurs ainsi que la  RELATIVITE GENERALE    nous amène continûment  jusqu‘à cette singularité initiale dite  BIG BANG   qui gène tout le monde !!!!. Comment réussir à  y rentrer ces grains de temps de toutes tailles ?
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Je vais vous répondre !  C’est avec beaucoup de retard   que je suis aperçu  qu’ un nouveau magazine scientifique   existait sur INTERNET ! Le « Journal de la Science » a été fondé en 2011 par Nicolas Revoy, ancien journaliste de Science&Vie et  est animé par une équipe de journalistes scientifiques,…
Il n’existait pas sur le web  français un média "grand public" exclusivement dédié à l'actualité de la science. Celui-là  est  gratuit et  paie les charges  de son fonctionnement grâce à la publicité…Bref le créneau était à prendre   ( ma photo)…….
Capture.PNG journal.PNG
Et c est dessus que tout récemment  j’ai découvert ceci , qui est encore  une nouvelle équation de proposition de modèle d ' Univers «  quantico –gravito compatible » à la   Wheeler-DeWitt.: ( copier-coller) :
 «  C’est en bâtissant un nouveau modèle chargé de décrire l'expansion et l'évolution de l'univers, que  les deux physiciens Saurya Das (Université de Lethbridge, Canada) et Ahmed Farag Ali (Université de Benha, Égypte) sont parvenus à un tout autre scénario ( que le BIGBANG) : selon ce nouveau modèle, l'Univers aurait en réalité toujours existé sous la forme d'un "potentiel quantique", lequel aurait basculé à un moment donné dans un état dense et chaud , donnant alors naissance à l'Univers actuel »……..« C'est en intégrant dans la théorie de la Relativité Générale d'Einstein l'équation de Amal Kumar Raychaudhur, préalablement modifiée à l'aide des travaux de David Bohm sur la trajectoire des systèmes quantiques, que les deux auteurs de cette nouvelle étude sont parvenus à ce constat que, en se basant sur ce nouveau modèle, l'Univers ne serait pas né à un moment donné, mais aurait existé de toute éternité.Cette étude a été publiée le 6 janvier 2015 dans la revue Physics Letters B sous le titre "Cosmology from quantum potential"  et dans « Saurya Das and Rajat K. Bhaduri, "Dark matter and dark energy from Bose-Einstein condensate", preprint: arXiv:1411.0753[gr-qc].que j ai pu consulter  ( TIENS ! VOILA ENCORE LES CONCEPTS DE  DOMINIQUE MAREAU !!!!)
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Et j’avoue m’ être régalé ! En « deux coups de cuillère à pots » ( difficile à traduire  ça en américain !)  ces deux lascars là nous proposent quelque chose de séduisant , tout en restant modestes comme la lecture de leur conclusion vous le montrera (copier coller en anglais pour vous forcer un peu  à réfléchir !)
« In summary, we have shown here that as for the QRE(,quantum corrected Raychaudhuri equation) the second order Friedmann equation derived from the QRE also contains two quantum correction terms. These terms are generic and unavoidable and follow naturally in a quantum mechanical description of our universe. Of these, the first can be interpreted as cosmological constant or dark energy of the correct (observed) magnitude and a small mass of the graviton (or axion). The second quantum correction term pushes back the time singularity indefinitely, and predicts an  EVERLASTING universe. While inhomogeneous or anisotropic perturbations are not expected to significantly affect these results, it would be useful to redo the current study with such small perturbations to rigorously confirm that this is indeed the case. Also, as noted in the introduction, we assume it to follow general relativity, whereas the Einstein equations may themselves undergo quantum corrections, especially at early epochs, further affecting predictions. Given the robust set of starting assumptions, we expect our main results to continue to hold even if and when a fully satisfactory theory of quantum gravity is formulated. For the cosmological constant problem at late times on the other hand, quantum gravity effects are practically absent and can be safely ignored. We hope to report on these and related issues elsewhere”
Mais mon commentaire sera lucide : je ne vois pas là une façon de concilier l espace de  MINKOWSKI de la Relativité  générale et  le vecteur de l’espace quantique de HILBERT …alors laissons aux collègues le soin de «  pinailler » sur leur formules  ET Y CHERCHER L ERREUR !  

 A suivre 

11:30 Écrit par olivier-4

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