samedi 14 décembre 2019

SCIENCES/ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/ JOUONS AU BILLATRD QUANTIQUE !!!! /2019 WEEK 49 PART 5


Dans ce monde  que mon âgé extrême  va un de ces jours me permettre de quitter, je vois , comme mes lecteurs  ,se préciser  des menaces  clairement définies ( guerres , terrorismes ,attentas  , nationalisme exacerbé etc)  et d’autres moins  précisément prévisibles  liées a la démographie humaine galopante , a l’épuisement des ressources  et à l’évolution climatique  etc ….  C’est pourquoi  j’accueille avec plaisir  sur mes  2 sites GOOGLE  le billets de JEAN MARC JANCOVICI   qui  développe en fait toutes les remarques que j’avais présentées en public francophone  il ya 10 ans à  PRINCETON …. Et puisque je vous parle de ce lieu   et de notre maison    ( confidence !) loge  mon intarissable questionneur  Mrs  PEPPER    je vais en profiter DEMAIN  pour  continuer avec lui mon 14 ème dialogue !!

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Traduction  de  l’article reçu ce matin de SCIENCE X 
DECEMBER 13, 2019
Colliding molecules and antiparticles
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Collision de molécules et d'antiparticules
par Springermolecule

Crédits: CC0 Public Domain
Les antiparticules - particules subatomiques qui ont des propriétés exactement opposées à celles qui composent la matière quotidienne - peuvent sembler être un concept issu de la science-fiction, mais elles sont réelles, et l'étude des interactions matière-antimatière a d'importantes applications médicales et technologiques. Marcos Barp et Felipe Arretche de l'Universidade Federal de Santa Catarina, au Brésil, ont modélisé l'interaction entre des molécules simples et des antiparticules appelées positrons et ont constaté que ce modèle correspondait bien aux observations expérimentales. Cette étude a été publiée dans The European Physical Journal D.


Les positrons, l'équivalent  en antimatière des électrons, sont les antiparticules les plus simples et les plus abondantes, et ils sont connus et étudiés depuis les années 1930. Les accélérateurs de particules génèrent d'énormes quantités de positrons de haute énergie, et la plupart des expériences de laboratoire nécessitent que cette énergie soit réduite à une valeur spécifique. En règle générale, cela est réalisé en faisant passer les positrons à travers un gaz dans un appareil appelé piège –tampon à  positons, de sorte qu'ils perdent de l'énergie en entrant en collision avec les molécules du gaz. Cependant, nous ne comprenons pas encore complètement les mécanismes de cette perte d'énergie au niveau atomique, il est donc difficile de prédire précisément quelle énergie  il en résulte.ra

Une partie de cette énergie est perdue sous forme d'énergie de rotation, lorsque les positons entrent en collision avec les molécules de gaz et les font tourner. Barp et Arretche ont développé un modèle théorique pour prédire cette forme de perte d'énergie lorsque les positrons entrent en collision avec des molécules souvent utilisées dans les pièges à positons à gaz tampon , à savoir : le tétrafluorure de carbone tétraédrique (CF4) et le méthane (CH4), et l'hexafluorure de soufre octaédrique (SF6). Ils ont constaté que ce modèle se comparait très bien aux résultats expérimentaux.

Ce modèle peut être appliqué aux collisions entre positrons et toutes molécules tétraédriques ou octaédriques. Barp et Arretche espèrent que cette meilleure compréhension de la façon dont les positons interagissent avec les molécules sera utilisée pour améliorer les techniques de tomographie par émission de positons (TEP) en médecine, par exemple.

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Explore further

A trap for positrons
More information: Marcos V. Barp et al, Rotational excitation of tetrahedral and octahedral molecules caused by electron and positron impact, The European Physical Journal D (2019). DOI: 10.1140/epjd/e2019-100444-5
Journal information: European Physical Journal D
Provided by Springer

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MES COMMENTAIRES
 Contrairement a ce qu’on pourrai croire  d’après le texte , des positons   libres ne se trouvent pas  à tous les coins de table et dans votre  paysage quotidien . Ils sont créés par chose en accélérateurs oui  en cyclotrons   puis  par triage  orienté .Leur utilisation ensuite est discriminante  …. Car s’ils possèdent trop  d’énergie cinétique  , le risque est de les voir  s’intéresser de trop près a  l’ électron de valence externe des objets  ! Il est dons nécessaire de les ralentir  juste suffisamment pour  communiquer   une partie de leur énergie    en faisant  tourner mais sans initier une réaction   ( comme au billard) avec des molécules symétriques …  SF6 de groupe de symétrie O(h) est sphérique  et se pose comme  le  meilleur modèle   
VOIR LA PHOTO AVEC DES PETITES BILLE ET DES GROSSES SF6
 Mes lecteurs  savent probablement   que les émetteurs beta +  ( les positons) sont devenus couramment  utilisés dans la localisation et le traitement de divers types de cancers
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