Dans ce
monde que mon âgé extrême va un de ces jours me permettre de quitter,
je vois , comme mes lecteurs ,se
préciser des menaces clairement définies ( guerres , terrorismes
,attentas , nationalisme exacerbé
etc) et d’autres moins précisément prévisibles liées a la démographie humaine galopante , a l’épuisement
des ressources et à l’évolution
climatique etc …. C’est pourquoi
j’accueille avec plaisir sur mes 2 sites GOOGLE le billets de JEAN MARC
JANCOVICI qui développe en fait toutes les remarques que j’avais
présentées en public francophone il ya
10 ans à PRINCETON …. Et puisque je vous
parle de ce lieu et de notre
maison où ( confidence !) loge mon intarissable questionneur Mrs
PEPPER je vais en profiter
DEMAIN pour continuer avec lui mon 14 ème dialogue !!
88888888888888888888888888888888
Traduction de
l’article reçu ce matin de SCIENCE X
DECEMBER 13, 2019
Colliding molecules and antiparticles
888888888888888888888888888888888888
Collision de
molécules et d'antiparticules
par Springer
Crédits: CC0
Public Domain
Les
antiparticules - particules subatomiques qui ont des propriétés exactement
opposées à celles qui composent la matière quotidienne - peuvent sembler être
un concept issu de la science-fiction, mais elles sont réelles, et l'étude des
interactions matière-antimatière a d'importantes applications médicales et
technologiques. Marcos Barp et Felipe Arretche de l'Universidade Federal de Santa
Catarina, au Brésil, ont modélisé l'interaction entre des molécules simples et
des antiparticules appelées positrons et ont constaté que ce modèle
correspondait bien aux observations expérimentales. Cette étude a été publiée
dans The European Physical Journal D.
Les
positrons, l'équivalent en antimatière
des électrons, sont les antiparticules les plus simples et les plus abondantes,
et ils sont connus et étudiés depuis les années 1930. Les accélérateurs de
particules génèrent d'énormes quantités de positrons de haute énergie, et la
plupart des expériences de laboratoire nécessitent que cette énergie soit
réduite à une valeur spécifique. En règle générale, cela est réalisé en faisant
passer les positrons à travers un gaz dans un appareil appelé piège –tampon
à positons, de sorte qu'ils perdent de
l'énergie en entrant en collision avec les molécules du gaz. Cependant, nous ne
comprenons pas encore complètement les mécanismes de cette perte d'énergie au
niveau atomique, il est donc difficile de prédire précisément quelle
énergie il en résulte.ra
Une partie
de cette énergie est perdue sous forme d'énergie de rotation, lorsque les
positons entrent en collision avec les molécules de gaz et les font tourner.
Barp et Arretche ont développé un modèle théorique pour prédire cette forme de
perte d'énergie lorsque les positrons entrent en collision avec des molécules
souvent utilisées dans les pièges à positons à gaz tampon , à savoir : le
tétrafluorure de carbone tétraédrique (CF4) et le méthane (CH4), et
l'hexafluorure de soufre octaédrique (SF6). Ils ont constaté que ce modèle se
comparait très bien aux résultats expérimentaux.
Ce modèle
peut être appliqué aux collisions entre positrons et toutes molécules
tétraédriques ou octaédriques. Barp et Arretche espèrent que cette meilleure
compréhension de la façon dont les positons interagissent avec les molécules
sera utilisée pour améliorer les techniques de tomographie par émission de
positons (TEP) en médecine, par exemple.
888888888888888888888888888
Explore further
A trap for positrons
More information: Marcos V. Barp et al, Rotational
excitation of tetrahedral and octahedral molecules caused by electron and
positron impact, The European Physical Journal D (2019). DOI:
10.1140/epjd/e2019-100444-5
Journal information: European Physical Journal D
Provided by Springer
8888888888888888888888
MES
COMMENTAIRES
Contrairement a ce qu’on pourrai croire d’après le texte , des positons libres ne se trouvent pas à tous les coins de table et dans votre paysage quotidien . Ils sont créés par chose
en accélérateurs oui en cyclotrons puis
par triage orienté .Leur
utilisation ensuite est discriminante ….
Car s’ils possèdent trop d’énergie
cinétique , le risque est de les
voir s’intéresser de trop près a l’ électron de valence externe des
objets ! Il est dons nécessaire de les
ralentir juste suffisamment pour communiquer
une partie de leur énergie en
faisant tourner mais sans initier une
réaction ( comme au billard) avec des
molécules symétriques … SF6 de groupe de
symétrie O(h) est sphérique et se pose
comme le
meilleur modèle
VOIR LA PHOTO AVEC DES PETITES BILLE ET DES GROSSES SF6
Mes lecteurs
savent probablement que les
émetteurs beta + ( les positons) sont
devenus couramment utilisés dans la
localisation et le traitement de divers types de cancers
888888888888888888888888
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire