Reprenons la suite du dialogue avec Mr PEPPER sur
l’origine de la charge électrique et l’existence possible de charges fractionnaires très inférieures à celles de
l’électron ….
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-« Je
ne vois pas clairement dans quelle direction
vous désirez vous tourner OLIVIER
puisque des recherches déjà
vieilles de plus de 20 ans ont démontré
l’existence de flux électriques de
l’ordre de e/ 3 et même de e/5
sur des sortes d’assemblages
composites dénommées quasi particules …..
-« C’est
de là , en effet PEPPER
que je voulais redémarrer ! Je me suis dit qu’il fallait que je regarde les conditions
de travail ( de manip !) de l’équipe
que avait obtenu ces
résultats … C’est The Braun Center for Submicron Research, au Weizmann Institute of Science, (Israel) qui a depuis change son fusil d
‘épaule et se préoccupe de développer des structures
semi-conductrices de la taille du sub-
micron ….Or ce n’est pas du tout dans cette direction que l’équipe de
SEOUL ou du CERN travaille
…..Il ne me restait plus, en définitive
PEPPER que de partir dans mon imaginaire ….. Je vais donc recommencer à vous parle de l’effet
COMPTON !
-« Je
connais !Quand un photon primaire heurte une particule libre, un photon
secondaire est émis dont la longueur d’onde est plus grande e que celle du
photon primaire, c'est l'effet Compton
-« La différence
de longueur d’onde entre le photon primaire et le photon émis, est
proportionnelle à une valeur constante portant le nom de longueur d’onde de
Compton, couramment notée lambda C
Elle a les dimensions
d’une longueur de valeur 2,426 310 238 9 × 10−12 m ,pour l’électron , Mais ce que je trouve intéressant c’est que
la longueur d'onde de Compton peut être considérée comme une limitation
fondamentale à la mesure de sa position
compte tenu du principe d incertitude d’Heisenberg et de la relativité restreinte.
-«
Fort bien OLIVIER mais cela représente quoi en regard de sa
taille ?
-«
Comme vous n’ignorez plus cher PEPPER
que je me suis transmuté en
disciple de la théorie des Cordes ,donc devenu
physicien hérétique , cette question
je ne peux y répondre qu’en fonction de la technique de mesure liée au phénomène électronique mesuré !!!!
Autrement dit mon crédo m’interdit toute
représentation figurée précise de l’électrons…. puisqu’en définitive toute matière fini par se « dissoudre « en un assemblage d’ondes confinées dans un volume certes limité mais malgré tout mobiles …..
Mais je ne veux pas oublier l’expérimentateur que je fus !Donc je
vous livre PEPPER quelques réflexions ….
Pa exemple si je choisis
le rayonnement émis lors de l'annihilation électron-positon qui est à fréquence fixe ,cela indique qu'un
électron a une structure sphérique et que
sa charge est uniformément répartie à l'intérieur.
Si un
électron et un positron devaient osciller l'un à travers l'autre, ils le
feraient dans un mouvement sinusoïdal, générant un court « spasme »
de rayonnement électromagnétique d'une fréquence spécifique. Si nous arrivions à connaitre cette fréquence, il
devrait être possible de déterminer le rayon d’un électron. Eh bien la
fréquence tirée du rayonnement gamma généré donne un rayon
trop grand par rapport à un proton, mais pas excessif par rapport à un atome.
_ »Mais OLIVIER il s'agit d'une valeur calculée
plutôt que mesurée. Si la fréquence était supérieure de plusieurs ordres de 10,
un rayon plus réaliste émergerait. Hélas , si pas de fréquence correcte, dpnc pas de valeur précise du rayon !
-«
Exact PEPPER !La relation entre
l'énergie et la fréquence donnée par l'équation E = hf n'est pas nécessairement
vraie pour les photons générés par des moyens autres que des électrons en
orbite autour d'un noyau . Et c’est pareil pour d’autres approches expérimentales
A SUIVRE
Ce sujet est délicat car il s'agit en quelque sorte de l'ergonomie de l'électron-roi.
RépondreSupprimerPour moi lambda(e) est en effet l'amplitude maximale de l'électron oscillant monopolaire. L'incertitude liée à cette taille L correspond à une masse M, xi² fois plus faible que celle mesurée à me = 10^-30 kg. La mesure (impossible à cette taille) dirait faussement me (L) = 0.
Selon ML = Cte, la masse M maximale de l'électron est celle mesurée comme étant (faussement) ponctuelle. La mesure étant une perturbation comme une autre, elle se fait à la taille de Planck (subquantique).
Dans le proton, les couches sphériques neutres s'empilent en 4 groupes (3 intervalles → 3 quarks induits) et on vérifie que le rayon du proton vaut effectivement 4 lambda(e) / 1836,15 ! On retrouve bien ML = Cte pour un groupe. On vérifie aussi que la charge du proton est celle du positron célibataire (confiné)!
La perturbation intrinsèque de l'électron se mesure à son habillage (virtuel) qui est une extraction subquantique permanente . Si on savait mesurer l'électron nu, on verrait que le proton pèserait 1840 +1 électrons nus plutôt que 1836.15.