mercredi 1 septembre 2021

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT /LE MONDE SELON LA PHYSIQUE /W35 P2/VOYAGER VERS MARS

Ma deuxième traduction est la suivante :''Manned Mars mission viable if it doesn't exceed four years, concludes international research team'' by Stuart Wolpert, University of California, Los Angeles xxxxxxxxxxxxxxxxxxx ''La mission habitée sur Mars est viable si elle ne dépasse pas quatre ans, conclut une équipe de recherche internationale par Stuart Wolpert, Université de Californie, Los Angeles Yuri Shprits, un géophysicien de recherche à l'UCLA, a déclaré que limiter la durée d'un aller-retour vers la planète rouge aiderait à réduire la quantité de rayonnement dangereux auquel les astronautes sont exposés. Crédit : NASA L'envoi de voyageurs humains sur Mars obligerait les scientifiques et les ingénieurs à surmonter une série d'obstacles technologiques et de sécurité. L'un d'eux est le risque grave posé par le rayonnement des particules du soleil, des étoiles lointaines et des galaxies. Répondre à deux questions clés contribuerait grandement à surmonter cet obstacle : le rayonnement des particules constituerait-il une menace trop grave pour la vie humaine tout au long d'un aller-retour vers la planète rouge ? Et, le moment même d'une mission sur Mars pourrait-il aider à protéger les astronautes et le vaisseau spatial du rayonnement ? Dans un nouvel article publié dans la revue à comité de lecture Space Weather, une équipe internationale de scientifiques de l'espace, dont des chercheurs de l'UCLA, répond à ces deux questions par un « non » et un « oui ». C'est-à-dire que les humains devraient pouvoir voyager en toute sécurité vers et depuis Mars, à condition que le vaisseau spatial soit suffisamment blindé et que le voyage aller-retour soit inférieur à environ quatre ans. Et le timing d'une mission humaine sur Mars ferait en effet une différence : les scientifiques ont déterminé que le meilleur moment pour un vol pour quitter la Terre serait lorsque l'activité solaire est à son apogée, connue sous le nom de maximum solaire. Les calculs des scientifiques démontrent qu'il serait possible de protéger un vaisseau spatial lié à Mars des particules énergétiques du soleil car, pendant le maximum solaire, les particules les plus dangereuses et énergétiques des galaxies lointaines sont déviées par l'activité solaire accrue. Un voyage de cette longueur serait envisageable. Le vol moyen vers Mars prend environ neuf mois, donc selon le moment du lancement et le carburant disponible, il est plausible qu'une mission humaine puisse atteindre la planète et revenir sur Terre en moins de deux ans, selon Yuri Shprits, un chercheur de l'UCLA. géophysicien et co-auteur de l'article. "Cette étude montre que bien que le rayonnement spatial impose des limites strictes sur le poids du vaisseau spatial et le moment de son lancement, et qu'il présente des difficultés technologiques pour les missions humaines vers Mars, une telle mission est viable", a déclaré Shprits, qui est également chef de physique spatiale et météo spatiale au Centre de recherche GFZ pour les géosciences à Potsdam, en Allemagne. Les chercheurs recommandent une mission ne dépassant pas quatre ans, car un voyage plus long exposerait les astronautes à une quantité dangereusement élevée de rayonnement pendant l'aller-retour, même en supposant qu'ils y soient allés quand c'était relativement plus sûr qu'à d'autres moments. Ils rapportent également que le principal danger pour un tel vol serait des particules provenant de l'extérieur de notre système solaire. Shprits et collègues de l'UCLA, du MIT, du Skolkovo Institute of Science and Technology de Moscou et du GFZ Potsdam ont combiné des modèles géophysiques de rayonnement de particules pour un cycle solaire avec des modèles sur la façon dont le rayonnement affecterait à la fois les passagers humains, y compris ses effets variables sur différents organes corporels, et un vaisseau spatial. La modélisation a déterminé que la coque d'un vaisseau spatial construite à partir d'un matériau relativement épais pourrait aider à protéger les astronautes des radiations, mais que si le blindage est trop épais, cela pourrait en fait augmenter la quantité de rayonnement secondaire auquel ils sont exposés. Les deux principaux types de rayonnements dangereux dans l'espace sont les particules énergétiques solaires et les rayons cosmiques galactiques ; l'intensité de chacun dépend de l'activité solaire. L'activité des rayons cosmiques galactiques est la plus faible dans les six à 12 mois suivant le pic d'activité solaire, tandis que l'intensité des particules énergétiques solaires est la plus élevée pendant le maximum solaire, a déclaré Shprits. '' xxxxxxx Explore further Mars-directed coronal mass ejection erupts from the sun More information: M.I. Dobynde et al, Beating 1 Sievert: Optimal Radiation Shielding of Astronauts on a Mission to Mars, Space Weather (2021). DOI: 10.1029/2021SW002749 Provided by University of California, Los Angeles xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx MON COMMENTAIRE j'avoue avoir été surpris par les propositions de cet article et en particulier par celle proposant de partir en période d activité solaire maximale ...Se servir du u vent solaire comme bouclier contre les rayons cosmiques galactiques est soigner le mal par le mal et il fallait y penser ! j 'objecte toutefois que les émissions énergétiques les plus dageureuses reçues de l espace lointain sont les " bouffées'' ou les ''sursauts de gammas et qui peuvent atteindre d 'énormes .valeurs ...GRB 080916C (en) : observé le 16 septembre 2008 par la mission Fermi Gamma-ray Space Telescope, GRB 080916C est à ce jour le sursaut gamma détecté à la plus haute énergie jamais observable (TeV). Il se situe dans la constellation de la Carène et a émis sa lumière il y a 12,2 milliards d'années....En tant qu ancien inspecteur nucléaure je vois mal ''digerer " de telles énergies sans protections adéquates ...J e présume donc quela premiere mission ''prototype'' sera robotisée et raménera des données précises sur les doses reçues anec les protections calculées et vappliquées ...Je rappelle de plus que les sursauts gamma sont hyper dageureux . Des simulations montrent qu'un sursaut gamma survenant dans un rayon de 6 500 années-lumière autour de la Terre pourrait causer un appauvrissement de la couche d'ozone, des pluies acides ainsi qu'un refroidissement climatique. Un tel sursaut gamma aurait ainsi pu causer l exinction de l orovidien-silurien !

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