Si l interet de mes lecteurs s’est arrêté a mon dernier article intitulé le « L’Univers est-il un
modèle de poupées russes, , » je regrette de devoir les ennuyer avec la
suite ….Ce sera pourtant l’objet de ma
27 ème discussion avec mon ami Mr PEPPER
8888888888888888888888888888888888888888888888888888
-« Dites-moi OLIVIER ce qui
vous intéresse dans le livre de STEPHEN HAWKING puisque votre ami FREDERI CARDOSO y a
semble –til trouvé lui des arguments pour son réveil de trous noirs
géants ….
-«J’ai déjà parlé plusieurs fois ici de cet auteur et de ce livre PEPPER…..Il est en réalité composé d’une mosaïque de ses écrits et ne m’apporte
guère grand-chose de plus …..Mais j’admets
parfaitement qu’ à l’occasion de sa
mort une fois plus on tire profit de ses
recherches et de ses réponses …Etre mathématicien ne rend personne milliardaire !....Mais
c’est sur ce plan que j’attendais quelques propositions nouvelles …que je n’ai
pas eu car proposer la création
simultanée du volume de l’espace avec
un vide fictif
mais fonctionnel ,en même temps que la gravité , c’est en quelque sorte proposer que de rien
, que du néant il puisse s’extraire
quelque chose DE REEL ,à
condition que les signes plus et
moins du total s’équilibrent en
énergie !! Et sur ce plan là je le
trouve pas assez pertinent ……ou très incomplet …
-« Je l’admet OLIVIER
.Et en somme à la question se
LEIBNITZ » pourquoi y a-t-il quelque
chose plutôt que rien , ????«
vous lui reprochez de répondre :il y a toujours quelque chose au départ
….. et ce qui se développe en
univers , temps , espaces , forces
et énergie , ne fait que modifier l’architecture de l’existant !
-« Vous déformez PEPPER à la fois ce qu’il pensait et ce que je dis !
Mais nous n’allons pas perdre notre temps
a surveiller étroitement, chacun
de nous, la sémantique de l’autre !
Disons que j’aurais bien aimé qu’il prenne la suite d’un ILYA PRIGOGINE ,Nobel
en 77 et dont je vais vous citer
des extraits que j’affectionne : 1 » « Il faut qu’il y ait des
nouveautés, et un univers non déterministe permet la nouveauté. Et dans ces
nouveautés, dans la théorie simplifiée que les scientifiques en ont,
apparaissent des bifurcations : ce sont des points singuliers où une branche se
subdivise en plusieurs branches ou même en un nombre infini de branches. Et le
choix de la branche qui sera suivie dépend des fluctuations. ( …) Entre les
points de bifurcation, le déterminisme n’est qu’une approximation (…) tandis
qu’aux points de bifurcation, vous n’avez plus d’approximation déterministe .»
-
2« Les chemins de la nature ne peuvent être prévus avec
certitude, la part d'accident est irréductible : la nature bifurquante est
celle où de petites différences, des fluctuations insignifiantes, peuvent, si
elles se produisent dans des circonstances opportunes, envahir tout le système,
engendrer un régime de fonctionnement nouveau.
3 : » L'histoire de la pensée occidentale a
conduit à toutes sortes de contradictions ou de dualités. Jusqu'à l'intérieur
de la science: entre la loi de Newton, par exemple - qui est vérifiée - et les
lois de la thermodynamique - qui sont aussi vérifiées. Il faut donc dépasser la
dualité de deux cultures, mais aussi la dualité entre deux aspects de la
science. Il est possible que les lois du futur soient des lois statistiques. Ce
qu'Henri Poincaré avait déjà conçu au XIXe siècle.
A suivre
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire