Puisque notre lecteuur JIHMS s interesse à la configurartion d ' une particule douée de" masse" , peut etre a t- il lu precedemment certains de mes articles conscrés à cet concept .La physique nucléaire s'aide de la mécanique quantique et des rayonnements alpha beta gamma pour determiner les caracteristiques d un élément de numéro atomioque Z , de taille macroscopique ,qu il soit stable ou radioactif.....Cependant lorsqu on descend dans une échelle de taille on s aperçoit qu il ne subsiste que deux types de particules élémentaires importantes dans cette clasification standard qui sert de paradigme actuellement ... Ce sont celles qui sont de durée de vie quasi-éternelle : l electron et le proton ...
Or il se trouve que l 'une des idée de base de la relativité restreinte à été de lier la vitesse d une masse à l inverse de son temps propre ( On l a vu dans la traduction de mon article d hier) .Tout le monde connait l experience de pensée d 'EINSTEIN chevauchant un rayon lumineux et s'imaginant alors éternel ...ou le paradoxe des 2 jumeaux , l un à v# c , l aure a v#0 .... ( "vivre nlogtemps c e'st vivre tres vite:" !!!!!)
L 'invention du modèle de la théorie des Cordes n 'a peut etre pas été inspiré de cette idée , mais proposer un conceppt de durée de vie tres grande , c est peut etre lui attribuer une vitesse interne et locale quasi luminique , voire luminique ou mieux encore supraluminique ... D 'aucuns diront alors que l'on n sort de l échelle macroscopique ,de l echelle quantique , pour entrer dans l echelle subquantique ...Et c est ainsi que l'on arrive à proposer ,vers 1980 un modèle de cordesélémentaires 1 D , de toutes logueurs d ondes et de vitesses supraluminiques et servant de briquues de base à la " fabrication, " de la la structure compacte d'un fermion et pourquoi pas un modeste électron !
Mais si dans l electron tout n est que N ondes reliées et configurées ensemble dans des sub micro dimensions courbes ( au minimum 6 ), le problème est ensuite de proposer le systelme d 'équations décrivant la geometie et la topologie de l ensemble et expliquant charge , spin, caracetristiques des ondes courbes confinées , notamment leur vitesse ..... etc
j invite mes lecteurs a retrouver mes modéles ;écrire l e systeme mathématique , en coordodonnées polaires et décrivant l onde d'une sinusoide 3d se vissant ou se dévissant soit sur une sphère soit sur un tore , sans avoir aucun repére éxpérimental sur la valeur des longueurs d onde envisageables , les dimensions globales . etc ... Seule est connue l energie de masse prpore de l electron ( donc à vitesse cinétisue nulle)....Et c est fort peu pour la répartir ensuite entre tous les intervenants!
J ai vécu , avec l un de mes collaborateurs une experience sembblable , notre calorimètre globalisant plusieurs effetes simultanés, et me valant des sarcasmes de ROBERT GALLEY en séparation isotopique de l uranium!
Bonjour Olivier.
RépondreSupprimerC'est vrai que je me pose beaucoup de questions à propos de la masse...
Je me souviens - même si je n'ai pas tout compris - que vous évoquiez, pour l'électron, la possibilité d'être un objet "à n dimensions" (au minimum 6), dans un espace "ultra courbe", sous la forme d'une sphère ou d'un tore.
Je sais bien que pour beaucoup de physiciens actuels, la masse n'est pas constitutive de la matière, mais plutôt "accidentelle", le résultat d'une interaction avec un champ : le champ de Higgs.
Il me semble d'ailleurs que ce n'est pas l'avis de Dominique MAREAU, pour qui la masse est un fait fondateur : ML = Cte.
Vous me rappelez que, pour la relativité restreinte, "vivre longtemps, c'est vivre très vite !", c'est-à-dire son rapport intime avec la vitesse...
Et justement, quand les auteurs de l'article ont présenté leurs réflexions, ils ont parlé d'une particule circulant à des vitesses supraluminiques, "le long d'un axe spatial et de trois axes temporels", et qui nous paraîtrait, à nous pauvres infraluminiques, se comporter "comme une onde"...
C'est cela qui m'a fait me demander comment pourrait se comporter une masse "de l'autre côté du miroir" que constitue "le mur de la lumière"... Quelles pourraient bien être ses caractéristiques ?
Je vous remercie sincèrement cherJIHMS de poursuivre ce dialogue sur ce sujet ..Toute ma famille américaine s 'étant calfeutrée en rivage de FLORIDE ilne subsiste à PRINCETON que mister PEPPER pour entretenir un el débat fictif avec moi... sur ce type de sujets !!!
RépondreSupprimerPour essayer derépondre a votre question , si clairement formulée ,je pourrais la encore botter en touche en vous envoyant rechercher tout ce que j ai écrit ou calculé sur les propriétés hypothétiques des axions ...
Je ne coispas qu il soit possible , en fait de décrire une" messe"" , enpassant le mur supraluminique qui est en fait pour moi lentréee de la frontière du subquantique ... Et si si le concept d axion ne répond pas à votre questio, , c est qu expexperimentalement nous n avons rien " a nous mettre sois la dent"!
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RépondreSupprimerOui JHMS pour moi la base universelle est liée à la propriété inertielle dans le contexte de l'oscillation. L'inertie est le dual du déplacement d'où ML = Cte.
RépondreSupprimerLe "néant" est fait d'oscillateurs Bodys dipolaires. Comme le zéro absolu inertielle est impossible alors il existe une infinité d'origines Mo possibles entre tout niveau inertiel aussi petit que l'on veut et le zéro absolu.
La probabilité du zéro absolu est nulle grâce à cette infinité ! Donc les Bodys sont tenus d'exister mais dans la stricte symétrie de ses pôles qui s'annulent ! C'est typiquement l'impulsion de Dirac sans effet de recul via la dualité des pôles. Dans le confinement d'un pôle, ML existe mais il est annulé dans le référentiel du Body (complet).
Dans un monde stochastique (non connexe) où l'entropie de désordre frise l'infini, un tel brassage a une probabilité non nulle de synchroniser un BEC......
Ce qui trouble la communauté scientifique est la non présence VISIBLE de positrons STABLES ! Pourtant le proton a strictement la charge du positron ! On préfère trahir la symétrie plutôt que d'admettre que des positrons et des électrons puissent-être stables dans des pseudo BECs appelés protons ! Pourquoi ? A cause de la dualité de localité qui est possible grâce à la dualité quantique / subquantique.
Je ne vais pas monopoliser les échanges plus longtemps sur ce thème de la masse supraluminique...!
RépondreSupprimerJe vous remercie tous deux d'avoir bien voulu y apporter quelques réponses.
Mr MAREAU, je ne suis pas physicien et ne peux donc pas valider par des arguments techniques ou mathématiques ce qui me paraît le plus vraisemblable.
Mais j'accepte tout à fait votre définition de l'inertie. Si vous me le permettez, elle me parle.
De même que votre proposition d'un proton (neutron) composite, où l'antimatière, sous la forme de positons, aurait trouvé un équilibre avec la matière pour former des compositions énergétiques stables (les nucléons).
Je souhaite donc bonne chance à votre modèle des Bodys.
Quant aux "axions", cher Olivier, là, ils dépassent totalement mes modestes compétences... J'attendrai donc que la science officielle tranche sur leur existence.
Mais la piste soulevée par le Dr Dragan et son collègue d'une possible unité "de point de vue" entre onde et corpuscule me plaît beaucoup, et je vais tâcher de la creuser un peu avec mes modestes moyens...
Bonne fin de journée à vous deux et prenez bien soin de vous.
(Mr MAREAU, merci pour le suivi quotidien que vous faites de l'évolution de la pandémie sur votre site. Très instructif et utile.)
LE prochain article seraun dialogue avec PPER ET PARLERA SUBQUANTIQUE ET AXIONS
RépondreSupprimerMAIS JE NAI PAS TOUJOURS INTERNET TRS SURCHARG2 EN CE MOMENT
Selon moi, l'électron est un oscillateur comme une onde stationnaire. Mais pas tout à fait moniste car il a une composante subquantique (couplage trahi pas sa masse virtuelle). C'est cette composante sub qui laisse une trace non locale (voir l'expérience de la double fente). Il est donc à la fois "ponctuel"* avec une part élargie.
RépondreSupprimer* cette "ponctualité" n'est pas matérialisée par un point mais par une amplitude allant de sa longueur de Compton à xi (1.5×10^11) fois moins longue.
Il est donc à la fois : local + non local + particule + onde.
L'énigme du changement de ce comportement lors de l'élévation dans l'échelle macro, vient du fait que le coefficient du couplage subquantique, ne s'ajoute pas arithmétiquement à la "grande" échelle moléculaire. A cette échelle les assemblages sont de type "grappe" (observés) alors qu'à l'échelle nucléaire, (non observés) ils sont en couches concentriques avec partage du cœur (centre du noyau) qui est couplé au niveau subquantique.
Il y a aussi une force qui n'est pas prise en compte au niveau quantique, parce que jugée "infinitésimale", mais qui est nécessairement bien présente, c'est la gravitation.
RépondreSupprimerEt je me demande s'il ne faudrait pas la relier d'avantage à toute manifestation "ponctuelle", donc particulaire, comme celle de l'électron... Ce qui s'amplifierait au niveau macro et deviendrait alors plus manifeste (changement de comportement macro).
Par ex. décohérence et inertie
RépondreSupprimerIl y a effectivement un lien. Mon prochain billet montrera que l'impédance du "vide" est fait l'impédance de l'électron ex-pôle de Body.
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