vendredi 8 octobre 2021
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VOILA CE QUE MON PC A DIFFUSe MALGRE MOI!!!Les collisions photon-photon pourraient faire la lumière sur la physique au-delà du modèle standard
01 oct. 2021
Photo de Wei Li et Shuai Yang
Briseurs de photons : Shuai Yang (à droite) et Wei Li, collègue de l'Université Rice, sont membres de la collaboration CMS. (Courtoisie : Jeff Fitlow/Université Rice)
Une nouvelle façon d'étudier la matière créée lors de la collision de photons a été mise au point par la collaboration Compact Muon Solenoid (CMS) du CERN. Leur expérience, réalisée sur le Large Hadron Collider (LHC), jette un nouvel éclairage sur un mystère entourant la nature des collisions à haute énergie entre les ions lourds. Bien que les résultats de l'équipe soient conformes aux attentes du modèle standard de la physique des particules, ils espèrent que d'autres observations pourraient conduire à des observations qui pourraient remettre en question notre compréhension conventionnelle de la physique.
Lorsqu'un photon de haute énergie entre en collision avec la matière, il se transforme souvent en une paire électron-positon - un processus qui implique que l'énergie du photon sans masse soit convertie en masses de la paire. Une conversion similaire se produit lorsque des ions lourds sont écrasés à haute énergie dans des installations comme le LHC. Ces ions sont entourés de nuages de photons et lorsque ces photons entrent en collision, ils peuvent également produire des paires de particules.
Au cours des dernières années, Shuai Yang de l'Université Rice et ses collègues de la collaboration STAR ont étudié ces conversions énergie-masse à l'aide du collisionneur d'ions lourds relativistes (RHIC) du laboratoire national de Brookhaven aux États-Unis.
Plasma quark-gluon
L'un des principaux objectifs du RHIC est de briser les ions ensemble pour créer un « plasma de quarks-gluons » (QGP), qui est un état extrêmement chaud de la matière dans lequel les quarks et les gluons, normalement étroitement liés dans les nucléons, ont suffisamment d'énergie pour exister indépendamment. À la grande surprise de Yang et de ses collègues, il est apparu que les particules produites par les collisions photon-photon affectaient les propriétés du QGP. Cela n'était pas prévu car le processus de collision photon-photon et les particules qu'il produit sont régis par la force électromagnétique, qui est beaucoup plus faible que la force forte qui médie le QGP.
Pour explorer cet effet plus en détail, la collaboration CMS (qui inclut Yang) a étudié les collisions d'ions lourds « ultrapériphériques » au LHC. Ces collisions se produisent lorsque les ions se manquent de peu mais passent suffisamment près pour que leurs nuages de photons entrent en collision. Plus le quasi-accident est proche, plus il est probable que les ions soient excités dans des états d'énergie plus élevés, puis se désintègrent en émettant des neutrons. La détection de ces neutrons fournit à l'équipe une mesure précise des distances de séparation des ions.
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Le plasma quark-gluon s'écoule comme de l'eau, selon les calculs
Dans les collisions photon-photon qui en ont résulté, des paires muon-antimuon sont générées et les particules s'envolent généralement dans des directions opposées. Au fur et à mesure que les distances de séparation des ions diminuaient, l'équipe CMS a découvert que la distribution angulaire des particules était affectée par l'interférence quantique entre les photons avant la collision, ce qui est prédit par le modèle standard de la physique des particules. Selon Yang, cette interférence est renforcée à des distances de séparation plus petites car la proximité étroite provoque l'éloignement des nuages de photons de leurs ions hôtes dans des directions perpendiculaires aux faisceaux d'ions.
Selon les chercheurs, cet effet peut expliquer la plupart des anomalies de masse QGP mesurées initialement par la collaboration STAR. Cependant, Yang et ses collègues de CMS pensent que les futures observations de ces collisions de photons pourraient révéler que les anomalies sont liées à une nouvelle physique au-delà du modèle standard, ce qui serait une observation révolutionnaire.
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Bonjour Olivier.
RépondreSupprimerPuisque vous faites référence, dans votre billet précédent, aux notions d'énergie et de masse, connaissez-vous ce papier du physicien ukrainien Bezverkhniy :
https://vixra.org/pdf/2108.0099v1.pdf ?
Pourriez-vous me dire ce que vous en pensez ?
JE VIENS DE REUSSIR A LE TROUVER MAIS JE SUIS INVITE DONC REPONSE DEMAIN
RépondreSupprimerMERCI DE VOS QUESTIONS JIHEMS
CHER AMI A LA FIN J AI EU LE TEMPS DE LE LIRE
RépondreSupprimerl interpretation de wheeler ou de evereyt est bien sur fausse :il n y a pas de superposition et de multiplicie des états : j ai ecrit divers articles sur ce sujet ; ce n est pas parce que lezs stats donnent des probas de presence a l electron sur un volume étendu qu il estPARTOUT A LA FOIS
JE SUIS DONC D ACCORD AVEC VOTRE UKRAINIEN !!!!!