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1/La matière
noire existe: les observations réfutent les explications alternatives
par l'école
internationale d'études avancées (SISSA)
Dark matter
exists: Observations disprove alternate explanations
by International School of Advanced Studies (SISSA)
Accélération
en fonction du rayon dans NGC 4455, une des galaxies étudiées. Crédit: Di Paolo
et al. modifié de l'enquête SDSS9.
Aussi
fascinante que mystérieuse, la matière noire reste l’une des plus grandes
énigmes de l’astrophysique et de la cosmologie. On pense qu'elle représente 90% de la matière dans l'univers,
mais son existence n'a été démontrée qu'indirectement et a été récemment remise
en question. Les nouvelles recherches menées par SISSA dissipent les doutes
récents sur la présence de matière noire dans les galaxies et réfutent les
relations empiriques à l’appui des théories alternatives. L'étude, publiée dans
Astrophysical Journal, offre également de nouvelles informations sur la
compréhension de la nature de la matière noire et de ses relations avec la
matière ordinaire.
De
l'expansion de l'univers au mouvement des étoiles dans les galaxies, de
nombreux phénomènes ne peuvent pas être expliqués par la seule présence de
matière baryonique. La force d'attraction générée par la matière est
insuffisante pour expliquer les effets gravitationnels observables. Cela avait
conduit à la théorie de l’existence d’une matière noire indétectable et à
l’idée que les galaxies se sont
incrustées dans son halo sphérique.
"Il y a
trois ans, quelques collègues de la Case Western Reserve University ont
vivement mis en doute notre compréhension de l'univers et des travaux
approfondis de nombreux chercheurs, jetant le doute sur l'existence de la
matière noire dans les galaxies", explique Chiara Di Paolo, doctorante
étudiant en astrophysique à SISSA. "En analysant les courbes de rotation
de 153 galaxies, principalement du type spirale" classique ", ils ont
obtenu une relation empirique entre l'accélération gravitationnelle totale des
étoiles (observée) et la composante que nous observerions en présence de
matière ordinaire dans le Newton classique. Cette relation empirique, qui
semblait valable dans toutes les galaxies analysées et quel que soit leur
rayon, a motivé l'explication de l'accélération gravitationnelle sans
nécessairement remettre en question la matière noire, mais impliquant, par
exemple, des théories de la gravité modifiée telles que la dynamique
newtonienne modifiée (MOND). "
Di Paolo et
ses collaborateurs ont voulu vérifier cette relation en analysant les courbes
de rotation des galaxies autres que le type en spirale classique: 72 galaxies à
faible brillance de surface (LSB) et 34 galaxies à disque nain. Ils ont produit
des résultats plus étendus, en trouvant une relation qui, outre l'accélération
gravitationnelle totale et sa composante ordinaire, implique également le rayon
galactique et la morphologie des galaxies.
"Nous
avons étudié la relation entre l'accélération totale et sa composante ordinaire
dans 106 galaxies, en obtenant des résultats différents de ceux observés
auparavant", explique Paolo Salucci, professeur d'astrophysique à SISSA et
l'un des auteurs de la recherche. "Cela démontre non seulement
l'inexactitude de la relation empirique décrite précédemment, mais élimine
également les doutes sur l'existence de matière noire dans les galaxies. De
plus, la nouvelle relation trouvée pourrait fournir des informations cruciales
sur la compréhension de la nature de cette composante indéfinie."
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MON COMMENTAIRE
L'École
internationale supérieure d'études avancées (en italien, Scuola Internazionale
Superiore di Studi Avanzati,, abrégé en
SISSA), est une université italienne située à Trieste et travaille en partenariat avec l'observatoire
astronomique de Trieste. Ils ont donc leur moyen propre d’effectuer leurs
mesures
Mais l’essentiel n’est pas là ! Certains
astronomes veulent à tout prix démontrer que leurs observations des écarts entre une
gravitation NEWTON stricte
et ce qu’ ils observent ne peut être
attribuée qu’a une masse
A PARTIR de là , est jaillie
l’idée d’une matière non
baryonique que faute d’interactions supplémentaires on a dénommé matière sombre , noire etc
Il est
cependant tout a fait normal que certains physiciens renâclent car aucune particule matérielle n’ a été jusqu ‘a présent retrouvée
ET les mathématiciens en ont profité pour proposér des formes d’équations
modifiées MOND/MOG/ SISSA
ETC a la place de la formule
classique NEWTON
Un de mes amis a ironiquement proposé que
cette matière noire , neutre
électriquement , insensible à tout sauf à la gravité , soit en réalité une sorte d ‘ »
hermaphrodite » , un binôme métastable entre la matière baryonique classique et une
forme élémentaire d’énergie ondulatoire
et polarisable que l’on pourrait
identifier comme « Cordes bipolaires »
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Demain la suite du sujet » A galactic test
to clarify the existence of dark matter »
Selon la mecanique ondulatoire de DE BROGLIE/BOHM toute matiere baryonique est associée à son onde pilote et c est la manip de Germer et DAVISSON qui l a prouvé
RépondreSupprimerIl serait interessant de voir si la matiere noire est associable à une telle onde ou si elle ne résulte pas sune sorte d interference metastable de deux Cordes , voire plus
Comme vous le savez cher Olivier, le modèle Oscar indique que la DM est de la matière ordinaire annihilée, non pas en mode binaire (1 ou 0) mais en mode proportionnel. Pour cela il faut qu'en amont (sur le BEC-fossile) des "cordes dipolaires radiales" (les Bodys) ont vu leurs pôles se séparer. Ainsi ces pôles célibataires et localement alternés (±) sont devenus les éléments de la matière, soit les paires électron-positrons. Localement ils sont tous issus de dipôle différents et donc ne s'annihilent pas entre eux tant qu'ils sont voisins (localité). Ainsi ils fusionnent en neutron-proton → et les protons sont les seules particules composites stables !
RépondreSupprimerCes élément forment ici et là, des galaxies séparées par un certain angle. Si plus tard elle entrent en collisions, alors elles ne s'annihilent qu'en fonction de cet angle ! Les particules DM ne présentent plus un multiple entier dans leur couplage avec les dipôles du tissu espace-temps.
De ce fait, elles restent sous forme d'ondes et leur multiplicité forme un large spectre de fréquences de type parasite. C'est selon moi ce que détecte l'expérience DAMA !
La DM découle directement du raisonnement qui explique la CAUSE de la gravitation, née sur l'aire du BEC-fossile.