Comme mes blogs
sont aussitôt retirés que publiés sur
le mur des dazibaos publics de
FACE BOOK je m’en remets à mon
site SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT sur Google et Twittter
pour que cette sorte de
censure limitative et hypocrite
soit transgressée ……Je continue
donc de vous proposer la mise à jour de
certaines données de ma conférence PRINCETON
que l’audition de JM JANCOVICI
a rendu un peu vieillottes
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Pour arriver
à traiter les concepts abordés il va me
falloir faire appel à mon ami princetonien
Mr. PEPPER que j’ai pu voir accompagné
de son chien en laisse sur DODDS LANE
il y a quelques jours déjà …..
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-«
Pourquoi OLIVIER JMJ
doit-il mettre en lumière l’impact des énergies renouvelables ?
-«
Vous êtes-vous aperçu PEPPER que l’assistance parlementaire était plus au courant des
problèmes économiques engendrés par
notre contribution aux EnR que des problèmes techniques ???Nos députés
sont rarement des ingénieurs ou des scientifiques ….En revanche ils votent le budget …Leur but est donc de savoir s’il est orienté de
manière optimale
-«
Qui était le président de la
commission ?
-« Mr
Julien Aubert , formation Sciences
po/ENA/ magistrat a la cour des Comptes:/ Député du
VAUCLUSE /Parti des
Républicains / 41 ANS
-« Il s’agit
de quoi au juste OLIVIER ; d’une sorte d’audit plutôt financière sur les
EnR ? L’éolien et le solaire ?
-« Oui de sa part du moins ,….Mais vous connaissez bien JMJ
il est difficile d’ y contraindre
l’ingénieur , le spécialiste des énergies à se taire
et d’« étouffer » ses
convictions sur le climat et les
ressources terrestres !!
- Pouvez nousOLIVIER
mettre votre pédagogie en action pour résumer les conclusions de JMJ
, ?
-«
Bien entendu mais comme c’est un
copyright JMJ/YOU TUBE je ne peux copier et je suis forcé de tout
retranscrire dans mes fichiers …Et il y a la comparaison éolien nucléaire et les tableaux charbon et
gaz . PEPPER vous me faites sacrément travailler
à mon âge !
Pour etre
absolument schématique je dirais que ses conclusions montrent que par rapport
au nucléaire l’éolien ne peut pas se défendre , et ceci dans n’importe quelles conditions de
vent….
Et i l en
donne des exemples pour l’ ALLEMAGNE et l’ ESPAGNE
En revanche il est clair que le solaire lorsque ‘il est appliqué dans des dispositifs opérant à basse
température (moins de 100 °C) pour les usages de l’habitat et du secteur
tertiaire (eau chaude sanitaire et chauffage) , ou dans des configuration de vérandas
orientées vers le sud ainsi que le
solaire des communautés françaises d’outre mer peut etre considéré comme comparable voire profitable par rapport au nucléaire
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J’aborderai demain ce qu il développe sur les énergies fossiles et surtout leur évolution
lez producteurs eoliens ne peuvent pas vendre leur courant au prix du marché lorsqu il y a beaucoup de vent parce que a ce moment là , le prix du marché deviennent bas ..... C EST DE L ELECTRICITE NON PILOTABLE A MOINS DE RAJOUTER DU STOCKAGE ETC
RépondreSupprimervJAI RE9U CE MESSAGE CE MATIN EN RELATION AVEC MON SUJET /
RépondreSupprimerThe Shift Project
22 h ·
« L’essentiel des émissions de CO2 en France viennent du pétrole, puis du gaz, puis du charbon. (…) Le pétrole va en majorité dans les transports et le gaz à 50 % pour le chauffage des bâtiments. (…) Si on a envie de s’attaquer à la question du climat dans le secteur énergétique, on s’intéresse au transport et aux bâtiments ». Le Shift met en lumière ces deux enjeux dans le cadre des projets « Guide de la mobilité quotidienne bas carbone » (https://wp.me/P9jPKD-1AR) et le Passeport Efficacité énergétique (https://wp.me/P9jPKD-aa).
recu cet apresd midi The Shift Project
RépondreSupprimer8 h ·
Avril 2019 a été le plus chaud depuis 1880, avec un écart de +1°C par rapport à la moyenne 1951/1980. Ce fort écart est influencé par la température du pacifique tropical, et notamment par le phénomène El Niño (un courant côtier saisonnier chaud au large du Pérou). Les fluctuations de températures observées auparavant montrent que la température mondiale baisse momentanément, passant sous la courbe tendancielle, après un très fort El Niño (1993-1994 sur le graphique). Pourtant, cette baisse ne s’est pas observé en 2019. En conséquence, les océanographes s’interrogent sur le rôle du réchauffement climatique dans cette possible évolution d’un phénomène vieux de plusieurs décennies.