jeudi 30 juillet 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE /2020 WEEK 30 /P2


 Connaissant  la température  d’aujourd’hui à Princeton/NJ/USA   23°C ce matin, je crois que  je peux préparer nos lecteurs   à la poursuite  de notre discussion  avec Mr PEPPER sur les charges électriques  minimalistes recherchées par les gens du CERN /SEOUL  (Seong Chan Park, Ji-Haeng Huh, Jihn E. Kim et Jong-Chul Park)

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-« Veinard  de Pepper !   Vous allez pouvoir assister au mariage prochain, début août, de ma petite fille  CLARA , alors que je serai privé moi à cause  de ce foutu coronavirus  de mon voyage aux USA !

-«  Ne vous plaignez pas ,Olivier !Vous a avez pu assister par vidéo conférence internet  à sa soutenance de thèse ( PHD) SCIENCES) et vous avez même eu droit  Docteur HARTMANSHENN  aux félicitations du  président du jury  pour votre soutien !  …Je suis persuadé  qu ils vous enverront pléthore de photos  voire une vidéo du mariage !!!
Au demeurant sur quoi  désirez-vous continuer notre discussion      ? La particule matérielle ultime  stable, préon  ,neutrino  etc. ???

-« Non Pepper , je crois vous avoir dit   que le sujet qui intéresse  les chercheurs  nommés ci-dessus  c est non pas  la brique ultime de matière  mais la brique ultime de charge …Un de  nos correspondants ,DOMINIQUE MAREAU     a exposé   dans sa théorie OSCAR un concept que je crois utile : celui de «  gravas »  qu il préconise pour  caractériser la matière noire  ( dark matter) . Le » gravas «   échappe au Modèle standard…Il échappe aux interactions  forte , électromagnétique ou faible …Mais pas  à  la  force de gravité  , malgré sa très  faible densité massique …… J’aimerais pouvoir être sur  qu un tel concept s’applique  aux charges électriques fractionnaires voire très très faibles …. Et en fait je pense  qu’on a tort  de ne lier la charge électrique  qu’à  la présence  nécessaire d’une particule matérielle …
 PHOTO/CHAMP ELECTRIQUE CONVENTIONNEL 
Charge électrique — Wikipédia
-«  Je  soutiens votre argument  Olivier ! J’ai toujours trouve gênant , voire contradictoire les propriétés des  neutrinos :ou bien ils ont une masse et  un spin non nul ‘1/2)donc une charge  électrique  , fut elle quasi minimale  , ou bien  ils  ne sont pas encore les briques matérielles  ultimes  comme on les présente !   MAJORAMA aurait –il raison en fin de compte ?

  ASUIVRE  

mardi 28 juillet 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT /LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE/2020 WEEK 30 / REPRISE


Je profite  de la chaleur qui fatigue  le physique  de mo correspondant  Mr PEPPER  (température ce matin à PRINCETON /NJ/USA :33°C ) pour reprendre notre dialogue  sur te travail des chercheurs de SEOUL (Seong Chan Park, Ji-Haeng Huh, Jihn E. Kim et Jong-Chul Park) en relation avec  l’existence de charges électriques de valeur e/1000 ou moins encore
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-« Puisque vous me relancez sur ce sujet Olivier  , je crois comprendre que ces physiciens   cherchent  dans la théorie des Cordes ou dans celle de la supersymétrie la particule la plus élémentaire possible  susceptible de présenter  la masse la plus minimaliste  qui se puisse exister …..D’où proviendrait ces effets de gravité observables   sur les pourtours de galaxies spirales  (ZWIKY) et peut être impliquant  l’existence d une mini charge  électrique correspondante ….. quoiqu’il n’y ait de relation  linéaire  entre m et q …..( électron ,muon et tau ont même charge et des masses différentes reliées par la relation de KOIDE/MAREAU )

-« Nous avons  eu PEPPER en France  au 17 ème siècle  un génie BLAISE PAQCAL  qui a proposé intuitivement   dans son célébré texte sur les deux infinis  des «  cirons »  de diverses échelles les uns dans les autres  et un univers  où s’ »emboiteraient  «  les mêmes objets de plus en plus petits ….. mais jusqu’à quand ???!
Les Britanniques ont produit un chercheur  Stephen Wolfram qui partant d’une base de connaissances confirmées  s’est embarqué  à la suite de ses études sur les automates cellulaires   dans une « Théorie du Tout ‘ mathématique et syllogistique    du même acabit …..A partir des années 60 et avant que ne fut élaboré le modèle standard des particules  une collection de physiciens s’est aussi lancé dans la recherche  de la brique minimale de matière ….Et alors ont fleuri les termes sous-quarks » (subquarks), « maons », « alphons », « quinks », « rishons », « tweedles », « helons », « haplons », « Y-particules »et « primons » ;  ( et n’oublions pas la pré matière de    JJ MICALEF)…..ET c'est finalement l'appellation « préon » qui a  réalisé l’adhésion de la communauté des physiciens !!!
 La version la plus moderne du  préon  résulte des efforts  des gens de la gravitation quantique à boucles  et en particulier des travaux réalisés par Lee Smolin, Sundance Bilson-Thompson  et Fotini Markopoulou  qui ont abouti à la découverte d'un modèle ddécrivant le plus simple des états des particules dans une   des classes de  leur théorie  ……
-«     Vous ralliez vous  OLIVIER , à ce gènre d’explications

-«  Peut etre ??? Pourquoi pas ????
 A suivre







lundi 27 juillet 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/2020SEMAINE 30 P1


Comme les universités sont fermées, les  chercheurs dispersés  et les lecteurs partis souvent en vacances  , j’avoue   ne pas trop  me soucier   des dernières publications   de mon fournisseur , l « assembleur » PHYS OG/SCIENCE  X ; ….J’ ai  donc attendu leur sélection de la semaine 30 pour   choisir à mon tour  mon  article favori ….Mais il est en revanche très copieux  et j ai du gommer certaines répétitions
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Astrophysicists fill in 11 billion years of the universe's expansion
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Les astrophysiciens racontent 11 milliards d'années d'histoire de l'expansion de l'univers
par Sloan Digital Sky Astrophysicists fill in 11 billion years of the universe's expansion history

PHOTYO /La carte SDSS est représentée par un arc-en-ciel de couleurs, situé dans l'Univers observable (la sphère externe, montrant les fluctuations du fond cosmique des micro-ondes). Nous sommes situés au centre de cette carte. L'encart pour chaque section à code couleur de la carte comprend une image d'une galaxie ou d'un quasar typique de cette section, ainsi que le signal du motif que l'équipe eBOSS y mesure. En regardant à distance, nous regardons en arrière dans le temps. Ainsi, l'emplacement de ces signaux révèle le taux d'expansion de l'Univers à différents moments de l'histoire cosmique. Crédit: Anand Raichoor (EPFL), Ashley Ross (Ohio State University) et la collaboration SDSS
……….
«Nous connaissons assez bien l'histoire ancienne de l'univers et son histoire récente d'expansion, mais il y a un écart gênant au milieu des 11 milliards d'années», déclare le cosmologiste Kyle Dawson de l'Université de l'Utah, qui dirige l'équipe annonçant les résultats d'aujourd'hui. «Pendant cinq ans, nous avons travaillé pour combler cette lacune, et nous utilisons ces informations pour fournir certaines des avancées les plus importantes en cosmologie au cours de la dernière décennie.

Les nouveaux résultats proviennent du Baryon Oscillation Spectroscopic Survey (eBOSS), une collaboration internationale de plus de 100 astrophysiciens qui est l'un des levés du SDSS. Au cœur des nouveaux résultats se trouvent des mesures détaillées de plus de deux millions de galaxies et de quasars couvrant 11 milliards d'années de temps cosmique.

Nous savons à quoi ressemblait l'univers à ses débuts, grâce aux milliers de scientifiques du monde entier qui ont mesuré les quantités relatives d'éléments créés peu après le Big Bang et qui ont étudié le fond cosmique   fossile micro-ondes. Nous connaissons également son histoire  sur l’expansion au cours des derniers milliards d'années à partir de cAstrophysicists fill in 11 billion years of the universe's expansion historyartes de galaxies et de mesures de distance, y compris celles des phases précédentes du SDSS.
 PHOTO

«Prises ensemble, les analyses détaillées de la carte eBOSS et les expériences SDSS précédentes ont maintenant fourni les mesures d'historique d'expansion les plus précises réalisées sur la plus large gamme de temps cosmique», déclare Will Percival de l'Université de Waterloo, Survey Scientist chez eBOSS. "Ces études nous permettent de relier toutes ces mesures dans une histoire complète de l'expansion de l'univers."

Un examen attentif de la carte révèle les filaments et les vides qui définissent la structure de l'univers, à partir de l'époque où l'univers n'avait que 300 000 ans environ. À partir de cette carte, les chercheurs mesurent les modèles de distribution des galaxies, qui donnent à plusieurs paramètres clés de notre univers une précision supérieure à 1%. Les signaux de ces motifs sont indiqués dans les encarts de l'image.

Cette carte représente l'effort combiné de plus de 20 ans de cartographie de l'univers à l'aide du télescope Sloan Foundation. L'histoire cosmique qui a été révélée sur cette carte montre qu'il y a environ six milliards d'années, l'expansion de l'univers a commencé à s'accélérer et n'a cessé de s'accélérer depuis. Cette expansion accélérée semble être due à une mystérieuse composante invisible de l'univers appelée «énergie sombre», conforme à la théorie générale de la relativité d'Einstein mais extrêmement difficile à concilier avec notre compréhension actuelle de la physique des particules.


Les scientifiques du Sloan Digital Sky Survey (SDSS) ont publié une analyse complète de la plus grande carte tridimensionnelle de l'univers jamais créée. Les nouveaux résultats proviennent du Extended Baryon Oscillation Spectroscopic Survey (eBOSS), une collaboration SDSS de plus de 100 astrophysiciens dans le monde. Michael Blanton, directeur du SDSS-IV (Université de New York) et Will Percival (Institut Perimeter et Université de Waterloo), chercheur en sondages eBOSS, discutent de l'héritage de 20 ans de levés de galaxies SDSS. Crédit: Institut Perimeter, en collaboration avec SDSS. Images supplémentaires fournies par SDSS; Anand Raichoor (EPFL), Ashley Ross (Ohio State University) et SDSS; et Zosia Rostomian, Lawrence Berkeley National Laboratory.
La combinaison des observations d'eBOSS avec des études de l'univers à ses débuts révèle des fissures dans cette image de l'univers. En particulier, la mesure par l'équipe eBOSS du taux actuel d'expansion de l'univers (la «constante de Hubble») est d'environ 10% inférieure à la valeur trouvée à partir des distances jusqu'aux galaxies proches. La haute précision des données eBOSS signifie qu'il est hautement improbable que cette inadéquation soit due au hasard, et la riche variété de données eBOSS nous donne de multiples façons indépendantes de tirer la même conclusion.



«Ce n'est qu'avec des cartes comme la nôtre que vous pouvez dire avec certitude qu'il y a un décalage dans la constante de Hubble», déclare Eva-Maria Mueller de l'Université d'Oxford, qui a dirigé l'analyse pour interpréter les résultats de l'échantillon SDSS complet. "Ces nouvelles cartes d'eBOSS le montrent plus clairement que jamais."

Il n'y a pas d'explication largement acceptée pour cette différence dans les taux d'expansion mesurés, mais une possibilité passionnante est qu'une forme de matière ou d'énergie jusque-là inconnue du premier univers aurait pu laisser une trace dans notre histoire.


……..
Au total, l'équipe eBOSS a rendu publics aujourd'hui les résultats de plus de 20 articles scientifiques. Ces articles décrivent, en plus de 500 pages, les analyses de l'équipe des dernières données eBOSS, marquant l'achèvement des principaux objectifs de l'enquête.

Au sein de l'équipe eBOSS, des groupes individuels dans des universités du monde entier se sont concentrés sur différents aspects de l'analyse. Pour créer la partie de la carte datant de six milliards d'années, l'équipe a utilisé de grandes galaxies rouges. Plus loin, ils utilisaient des galaxies bleues plus jeunes. Enfin, pour cartographier l'univers il y a onze milliards d'années et plus, ils ont utilisé des quasars, qui sont des galaxies brillantes éclairées par du matériel tombant sur un trou noir supermassif central.
«En combinant les données SDSS avec des données supplémentaires provenant du fond cosmique des micro-ondes, des supernovae et d'autres programmes, nous pouvons mesurer simultanément de nombreuses propriétés fondamentales de l'univers», déclare Mueller. "Les données SDSS couvrent une si large bande de temps cosmique qu'elles fournissent les plus grandes avancées de n'importe quelle sonde pour mesurer la courbure géométrique de l'univers, la trouvant plate. Elles permettent également de mesurer le taux d'expansion locale à mieux qu'un pour cent . "

eBOSS, et SDSS plus généralement, laisse le puzzle de l'énergie noire et de l'inadéquation du taux d'expansion de l'univers local et du début de l'univers, comme héritage des projets futurs. Au cours de la prochaine décennie, de futures enquêtes pourraient résoudre l'énigme ou peut-être révéler d'autres surprises.

Pendant ce temps, avec le soutien continu de la Fondation Alfred P. Sloan et des membres institutionnels, le SDSS est loin d'avoir terminé sa mission de cartographier l'univers. Karen Masters du Haverford College, porte-parole de la phase actuelle du SDSS, a décrit son enthousiasme pour la phase suivante. "Le télescope de la Fondation Sloan et son quasi-jumeau à l'Observatoire de Las Campanas continueront à faire des découvertes astronomiques cartographiant des millions d'étoiles et de trous noirs à mesure qu'ils changent et évoluent au cours du temps cosmique." L'équipe SDSS est en train de construire le matériel pour démarrer cette nouvelle phase et attend avec impatience les nouvelles découvertes des 20 prochaines années.
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EXPLORE FURTHER
Redshift space distortions measured via quasars in scientific first
Provided by Sloan Digital Sky Surve
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 MON COMMENTAIRE
 Il est pour une fois catégorique sur un point précis : la constant de HUBBLE  a changé et l’expansion s est modifié  .SAUL PERLMUTTERB   peut dormir tranquille sa médaille NOBEL  au cou !m
Mais ce travail considérable  laisse  en eaux troubles  toutes explications sur la cause de l’énergie noire
 Je prie mes lecteurs d’aller voir les vidéos sur l original avec ce ci :
https://youtu.be/TKiYOnsE8Y4















mercredi 22 juillet 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT:le pouvoir de l imaginaire:/2020 WEEK29 p2


mercredi 22 juillet 2020
15:01
Le dialogue précédant se durcit!

-"Vous partez dans une direction inutile OLIVIER!

-"Expliquez-vous PEPPER! Que me reprochez-vous?

-"Le problème de base  n'es  pas de connaitre   la fractionnabilité ou  la  flexibilité   de l’électron.. Ses propriétés  ne sont pas le vrai sujet .  En revanche ,ce qui me motive  c'est l'interrogation des gens de SEOUL ou du CERN  sur l’existence de très faibles charges électriques  (et meme très inférieures à e)
Par ailleurs ,pour certains de vos correspondants (JIHEMS)   l c est  meme la   cause originale  et basique  de la charge électrique  en elle-même  qui les interesse !!!Me comprenez-vous OLVIER?

-"Oui certes PEPPER ! JE me résigne alors à prendre une autre direction! Historiquement cette question s'est posée  tout le long du 19 siècle  …..et s est c "cristallisé" grâce à la théorie de MAXWELL   qui avait  noté  la similitude  entre F(G)= mm'/D²  e  et  F(E  )= qq'/D²  ..Plus formellement  la  charge électrique est une propriété fondamentale de la matière qui lui permet d'interagir par le biais de champs électromagnétiques. Il s'agit d'une grandeur scalaire, qui joue vis-à-vis  de l'interaction électromagnétique le même rôle que la masse pour l'interaction gravitationnelle. .

-"Je ne saurais me conter de ce B..A..BA! OLIVIER !

-"Je m en doutais PEPPER !Et MAXWEELL   n'est pas allé plus loin dans ce sens     car   il a noté  que la nature de  la cause de la charge est d’autant plus difficile à  percevoir qu’elle n’entretient  aucune relation  fut -elle linéaire avec la valeur des masses : électron et anti proton ont meme charge et des masses très différentes!
 Il a donc fallu attendre l'arrivée de la mécanique quantique  pour espérer trouver peut être intuitivement un supplément d’explication …..Bien entendu on entre alors dans le domaine  ou la mathématique  et la physique alternative  se joignent  pour formuler toutes sortes d'hypothèses…..
-" Certains sont allés chercher dans les  exemples de charges de l'électricité statique pour  discerner  que dans une particule matérielle immobile  une sorte de mobilité cachée et discrète  devait  cependant  Y  exister en permanence 

-" Mais pourquoi   çà OLIVIER   puisque vous apportez   sur l'objet la charge par frottement par exemple ????

-" Mais elle y persiste PEPPER  l objet restant immobile !

-"Je vous vois venir avec votre spin quantique OLIVIER !Vous cherchez avec obstination   à lier le création de la charge électrique  à une énergie de mouvement ou de rotation interne  , quelque part dans toute particule matérielle immobile  , alors qu il est connu de tous que tout objet fut il métallique ou isolant n'est pas obligatoirement porteur de charges  …c'est s, malgré son spin  ,on droit de rester neutre globalement  et  meme mobile!!!!!!!
  a suivre

mardi 21 juillet 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE/2020 SEMAINE 29 P 2


Le dernier blog a soulevé une contradiction constructive  de la part de notre ami Mr PEPPER:" Vos exemples ,OLIVIER   de charges électriques fractionnaire e/3, e/ 5  se rapportent  à des quasi particules   … c'est à dires  à des configurations  expérimentales très particulières  et que d’autres scientifiques  biologistes  baptiseraient des " chimères"  et non pas à d'authentiques et solides électrons !!Mais ils ont le mérite  d'élargir le débat théorique  sur la charge électrique  et de la faire se révéler   sur d'autres choses  que le couple électron-positon …C’est donc naturel de ma part de vous demander à partir de quel concept les gens du  CERN envisagent ,eux  de détecter des charges  de e/1000????
-" Je suis assez mal à l'aise  PEPPER   de citer une nouvelle fois LAURENT SACCO de  FUTURA SCIENCES  car chacun comprend ce qu il peut ou veut  dans une communication scientifique  originale …C'est pourquoi je suis revenu  vers les auteurs :Les astrophysiciens Seong Chan Park, Ji-Haeng Huh, Jihn E. Kim et Jong-Chul Park de l'université de Séoul…….mais cette équipe publie  " à la mitrailleuse" ses résultats( ou ses phantasmes    de modèles)  et publie  en outre  par   petits bouts  !!!!Très sincèrement PEPPER  je ne vois pas de quel "tremplin théorique "précis ils partent …..S 'agit-il de   sub - bosons  … des   sortes  de   sub -photins  de très bas niveaux d’énergie ? S'agît-il  de   sub -fermions  de très faible masse … et tout cela pour expliquer la matière noire????,??. JE N EN SAIS RIEN ! E n revanche  je vais vous proposer d' aller  auparavant faire un petit tour  avec moi   du côté de la théorie des Cordes  et des propriétés  masquées de l'électron  
pour voir si la création de mini charges électriques  est théoriquement envisageable…….. Nous commencerons par traiter de la relation entre sa masse et sa longueur d onde  de COMPTON
 A SUIVRE

dimanche 19 juillet 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE/WEEK 29/2020


Le langage peut-il servir de refuge  de secours à un physicien?
Voilà une question  que me poserait Mr PEPPER  s’il  comprenait le sens  de la question que j'ai posée implicitement  à mes lecteurs   dans mon dernier  texte  ici!
A savoir : la charge élémentaire de l'électron  est-elle fractionnable  à volonté et les recherches actuelles du CERN   sur d l'existence  de micro charges ( de 'ordre du millième de celle de l'électron )  sont-elles justifiées
?Et au-delà de cette question : quelle est la cause de la charge électrique …,et de son signe!!????
 A  ma 1ère question ,les mathématiciens de la théorie des interactions nucléaires fortes  ont répondu depuis en affublant les   6 quarks et les  6 antiquarks  présumés  de charges fractionnaires   (en tiers ) et des é signes…..
…Mais le physicien doit il  se sentir obligé de suivre  le mathématicien  (WIGNER /TEGMARCK etc.) partout  , surtout lorsque ce dernier  déclare  que toute mathématique doit se traduite automatiquement  dans la physique du réel!! Il y a là une pétition de principe  qui a gène EINSTEIN   et bien d'autres ( moi y compris ) depuis bien longtemps  …..Donc  je vous repose la question : la bonne vieille charge  unitaire et entière de l'électron , révélée par l'expérience historique  de MILLIKAN  est-elle vraiment fractionnable?????
Je dois avouer   que dans mes années de formation j’étais peu disposé à l'admettre! Était-ce la faute de mon prof de thèse  qui enfermait tout ce qu il pouvait  dans" des petits paquets "quantiques  a l'image de son collègue , le Professeur THIBAUT  qui désirait quantifier  le temps !!???Et ça m'agaçait!!!
Bien sûr j'avais tort! Car il y a 20 ans déjà des équipes françaises et israéliennes  ont démontré  l'existence de quasi-particules possédant une charge égale à e/3. De surcroit les Israéliens ont remis ça avec les mêmes entités, chargées cette fois à e/5. Les quasi-particules ont été "inventées" en 1983 par l'Américain Robert Laughlin pour expliquer certaines observations faites lors d'expériences sur l'effet Hall quantifié. Découvert en 1879, l'effet Hall "traditionnel" décrit la formation d'une tension à travers un fil métallique parcouru par un courant électrique et placé dans un champ magnétique perpendiculaire. Les physiciens ont en fait réalisé plus tard que ce potentiel est dû au déplacement des électrons vers un côté du fil. Ce n'est que dans les années 1980 que sa variante quantique fut mise en évidence. Robert Laughlin a alors  remis à neuf  sa théorie des quasi-particules. Il s'agit en fait d'électrons liés aux lignes de flux, les "éléments" du champ magnétique. Ces particules composites se comportent comme si la charge de l'électron était divisée par le nombre de ces lignes. x Car ces quasi-particules doivent respecter l'antisymétrie des fermions dont les électrons font partie." Deux ans après l l'équipe du Braun Center for Submicron Research (Rehevot, Israël)  a proposé comme je vous l ai dit  la meme manip  avec  des charges électriques égales à e/5. Ces recherches, qui valurent le prix Nobel à Robert Laughlin en 1998, ont jeté un petit pavé dans la mare de la physique. Académique qui a gémi!
Ces rappels historiques peuvent-ils suffire à mes lecteurs pour admettre des millièmes de charges??? Vous allez voir dans mon texte suivant que non  et qu il est meme possible d'entrer dans  un Pouvoir de l'imaginaire très très spéculatif!!!

samedi 18 juillet 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMEN/LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE/2020 WEEK 28


C'est en vain que j'ai cherché  dans les contenus  des publications de PHYS ORG/SCIENCE  X  de la semaine 28 à satisfaire  mes envies de traduction !Non pas que les chercheurs se soient  mis en vacances …Mais la nouveauté de leur  travail ne me paraissait pas mériter une mention spéciale et un commentaire paticulier ….En désespoir de cause  je suis allé  comme la cigale et la fourmi  pleure famine  chez  FUTURA SCIENCES/ .LAURENT SACCO   qui m'a fourni le prétexte du copier-coller suivant "

Les astrophysiciens Seong Chan Park, Ji-Haeng Huh, Jihn E. Kim et Jong-Chul Park de l'université de Séoul viennent de proposer une nouvelle explication. Selon certaines extensions du modèle standard, comme la supergravité et la théorie des cordes, il pourrait exister des particules baptisées exo photons qui, couplées avec les photons normaux, autoriseraient l'existence de particules chargées avec une valeur au maximum d'un millième de la charge électrique élémentaire et peut-être même un millionième……"
 Je veux bien parier que les plus physiciens de mes lecteurs  se grattent déjà la tête pour les s charges fractionnaires présentées pour les  quarks  et qu ils  se mettront a se la gratter avec  exaspération en lisant les lignes ci-dessus
 Le millième d'une charge électrique d’électron ….Dites-vous ! Voyons cela rime a quoi !????
C'est ce que le" Pouvoir de l’imaginaire" traitera la prochaine fois  !!!!!!

 

lundi 13 juillet 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/WEEK 28 P1


Après  quelques jours d'occupation domestique  et une remise en état de mon pc portable il est devenu possible d'envoyer ma traduction du courrier reçu de SCIENCE X: l ecran est plus petit et je dois m'y habituer!
dimanche 25 août 2019
16:24
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Scientists propose plan to determine if Planet Nine is a primordial black hole

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Les scientifiques proposent un plan pour déterminer si la planète Numéro 9 un trou noir primordial
par Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics

Crédits: CC0 Public Domain
Des scientifiques de l'Université de Harvard et de la Black Hole Initiative (BHI) ont développé une nouvelle méthode pour trouver des trous noirs dans  notre système solaire extérieur et, avec elle, déterminer une fois pour toutes la vraie nature de l'hypothèse de la planète  N° 9 Le document, accepté dans The Astrophysical Journal Letters, souligne la capacité de la future mission Legacy Survey of Space and Time (LSST) à observer les éruptions d'accrétion, dont la présence pourrait prouver ou exclure la planète  comme étant en fait un trou noir


Le Dr Avi Loeb, le professeur de sciences Frank B. Baird Jr. à Harvard et Amir Siraj, un étudiant de premier cycle de Harvard, ont développé la nouvelle méthode pour rechercher des trous noirs dans le système solaire externe sur la base des éruptions qui résultent de la perturbation de comètes interceptées. L'étude suggère que le LSST a la capacité de trouver des trous noirs en observant les éruptions d'accrétion résultant de l'impact de petits objets du nuage d'Oort.

"Au voisinage d'un trou noir, les petits corps qui s'approchent de celui-ci fondront à la suite de l'échauffement de l'accumulation de gaz de fond du milieu interstellaire sur le trou noir", a déclaré Siraj. "Une fois qu'ils ont fondu, les petits corps sont sujets à des perturbations de marée par le trou noir, suivies d'une accrétion du corps perturbé par les marées sur le trou noir." Loeb a ajouté: "Parce que les trous noirs sont intrinsèquement sombres, le rayonnement que la matière émet sur son chemin vers la bouche du trou noir est notre seul moyen d'éclairer cet environnement sombre."

Les recherches futures de trous noirs primordiaux pourraient être éclairées par ce nouveau type de  calcul "Cette méthode peut détecter ou exclure des trous noirs de masse de planète  restées piégées  au bord du nuage d'Oort, ou environ  à  cent mille unités astronomiques", a déclaré Siraj. "Il pourrait être capable de placer de nouvelles limites sur la fraction de matière noire contenue dans les trous noirs primordiaux."

Le prochain LSST devrait avoir la sensibilité requise pour détecter les poussées d'accrétion, tandis que la technologie actuelle ne peut pas le faire sans guidage. "Le LSST a un large champ de vision, couvrant le ciel entier encore et encore, et recherchant des éruptions transitoires", a déclaré Loeb. "D'autres télescopes sont bons pour pointer une cible connue, mais nous ne savons pas exactement où chercher la planète  Nous ne connaissons que la vaste région dans laquelle il peut résider." Siraj a ajouté: "La capacité du LSST à surveiller le ciel deux fois par semaine est extrêmement précieuse. De plus, sa profondeur sans précédent permettra de détecter les torches résultant d'impacteurs relativement petits, qui sont plus fréquents que les grands".

Le nouveau document se concentre sur la célèbre Planet 9 tant que premier candidat à la détection. Faisant l'objet de nombreuses spéculations, la plupart des théories suggèrent que c' est une planète jusque-là non détectée, mais elle peut également signaler l'existence d'un trou noir de masse planétaire.

"Planet 9  une explication convaincante du regroupement observé de certains objets au-delà de l'orbite de Neptune. Si l'existence de Planet 9 confirmée par une recherche électromagnétique directe, ce sera la première détection d'une nouvelle planète dans le système solaire en deux siècles, sans compter Pluton, a déclaré Siraj, ajoutant qu'un échec à détecter la lumière de la planète neuf - ou d'autres modèles récents, tels que la suggestion d'envoyer des sondes pour mesurer l'influence gravitationnelle - rendrait le modèle du trou noir intrigant. beaucoup de spéculations concernant des explications alternatives pour les orbites anormales observées dans le système solaire externe. L'une des idées avancées était la possibilité que Planet 9uisse être un trou noir de la taille d'un pamplemousse avec une masse de cinq à dix fois celle de la Terre. "

L'accent mis sur Planet 9  basé à la fois sur la signification scientifique sans précédent qu'une hypothétique découverte d'un trou noir de la masse de la planète dans le système solaire détiendrait ainsi que sur l'intérêt continu à comprendre ce qui existe. "La périphérie du système solaire est notre arrière-cour. Trouver Planet 9 c'est comme découvrir un cousin vivant dans le hangar derrière votre maison dont vous ne saviez rien", a déclaré Loeb. "Cela soulève immédiatement des questions: pourquoi est-il là? Comment a-t-il obtenu ses propriétés? A-t-il façonné l'histoire du système solaire? Y en a-t-il davantage?"
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Explore further

Could theorized Planet 9 be a primordial black hole? Researchers propose method to find out
More information: Siraj et al., Searching for Black Holes in the Outer Solar System with LSST. arXiv:2005.12280v2 [astro-ph.HE]. arxiv.org/abs/2005.12280
Journal information: Astrophysical Journal Letters
Provided by Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics
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MES COMMENTAIRES
La méthode seraitune première! Découvir un trou noir par ses"bavures" externes  serrait  trésexcitant  …Mais s il s agit d un gros caillou froid et étéint il n y a que sa fotce de gravité qui puisse faire deviner sa présence ….j aoute que les planetes sont peu ou prou  dans le meme plan  alors qu il s agit dans cette methode de chercher partout des signaux gamma ou x ray  de nature aussi fugaces que les goinfreries  accidentelles d un trou noir ....On verra si la methode n est pas plus ardue......


mercredi 8 juillet 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/ WEEK 27 P2


Comme promis je passe en alternance  mes traductions de SCIENCEX
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JUNE 30, 2020

A cosmic mystery: Very Large Telescope captures the disappearance of a massive star
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Un mystère cosmique: Very Large Telescope capture la disparition d'une étoile massive
par ESO


PHOTO/Cette illustration montre à quoi l'étoile variable bleue de la galaxie naine Kinman aurait pu ressembler avant sa mystérieuse disparition. Crédit: ESO / L. Calçada
A cosmic mystery: ESO telescope captures the disappearance of a massive star
À l'aide du Very Large Telescope (VLT) de l'Observatoire européen austral, les astronomes ont découvert l'absence d'une étoile massive instable dans une galaxie naine. Les scientifiques pensent que cela pourrait indiquer que l'étoile est devenue moins brillante et partiellement obscurcie par la poussière. Mais une autre explication est que l'étoile s'est effondrée directement en  trou noir sans produire de supernova. "Si c'est vrai", explique le chef d'équipe et le doctorant. Andrew Allan, étudiant du Trinity College de Dublin, en Irlande, "ce serait la première détection directe d'une telle étoile monstre terminant sa vie de cette manière".


Entre 2001 et 2011, diverses équipes d'astronomes ont étudié cette mystérieuse étoile massive, située dans la galaxie naine Kinman, et leurs observations ont indiqué qu'elle était à un stade avancé de son évolution. Allan et ses collaborateurs en Irlande, au Chili et aux États-Unis voulaient en savoir plus sur la façon dont les étoiles très massives finissent leur vie, et l'objet dans le Kinman Dwarf semblait être la cible parfaite. Mais lorsqu'ils ont  repointé le VLT d'ESO vers la galaxie lointaine en 2019, ils n’ont  plus trouvé les signatures révélatrices de l'étoile. "En revanche  nous avons été surpris de découvrir que l'étoile avait disparu!" dit Allan, qui a dirigé une étude sur l'étoile publiée aujourd'hui dans les avis mensuels de la Royal Astronomical Society.

Située à environ 75 millions d'années-lumière dans la constellation du Verseau, la galaxie naine Kinman est trop éloignée pour que les astronomes puissent voir ses étoiles individuelles, mais ils peuvent détecter les signatures de certaines d'entre elles. De 2001 à 2011, la lumière de la galaxie a constamment montré qu'elle abritait une étoile «variable bleue lumineuse» environ 2,5 millions de fois plus brillante que le Soleil. Les étoiles de ce type sont instables, montrant des changements dramatiques occasionnels dans leurs spectres et leur luminosité. Même avec ces changements, ces variables bleues lumineuses laissent des traces spécifiques que les scientifiques peuvent identifier, mais elles étaient absentes des données collectées par l'équipe en 2019, les laissant se demander ce qui était arrivé à l'étoile. "Il serait très inhabituel qu'une étoile aussi massive disparaisse sans produire une explosion de supernova lumineuse", explique Allan.

        ………….
Nous avons peut-être détecté l'une des étoiles les plus massives de l'Univers local pénétrant doucement dans la nuit ", explique le membre de l'équipe Jose Groh, également du Trinity College de Dublin." Notre découverte n'aurait pas été faite sans l'utilisation du puissant ESO 8 mètres télescopes, leur instrumentation unique et l'accès rapide à ces capacités suite au récent accord de l'Irlande pour rejoindre l'ESO. "L'Irlande est devenue un État membre de l'ESO en septembre 2018.
L'équipe s'est ensuite tournée vers des données plus anciennes collectées à l'aide de X-shooter et de l'instrument UVES sur le VLT d'ESO, situé dans le désert chilien d'Atacama, et de télescopes ailleurs. "L'ESO Science Archive Facility nous a permis de trouver et d'utiliser des données du même objet obtenues dans 2002 et 2009 », explique Andrea Mehner, astronome à l'ESO au Chili qui a participé à l'étude. "La comparaison des spectres UVES haute résolution de 2002 avec nos observations obtenues en 2019 avec le plus récent spectrographe haute résolution d'ESO ESPRESSO a été particulièrement révélatrice, tant du point de vue astronomique que de l'instrumentation."

Les anciennes données indiquaient que l'étoile du nain Kinman aurait pu subir une forte période d'explosion qui aurait probablement pris fin quelque temps après 2011. Les étoiles variables bleues lumineuses telles que celle-ci sont sujettes à des explosions géantes au cours de leur vie…….

Sur la base de leurs observations et de leurs modèles, les astronomes ont suggéré deux explications à la disparition de l'étoile et à l'absence de supernova, liées à cette éventuelle explosion. L'explosion peut avoir entraîné la transformation de la variable bleue lumineuse en une étoile moins lumineuse, qui pourrait également être partiellement cachée par la poussière. Alternativement, l'équipe dit que l'étoile s'est peut-être effondrée  en trou noir, sans produire d'explosion de supernova. Ce serait un événement rare: notre compréhension actuelle de la façon dont les étoiles massives meurent indique que la plupart d'entre elles finissent leur vie  en  supernova.

De futures études sont nécessaires pour confirmer le sort réservé à cette étoile. Prévu pour commencer ses opérations en 2025, le télescope extrêmement grand (ELT) de l'ESO sera capable de résoudre des étoiles dans des galaxies éloignées telles que la naine Kinman, aidant à résoudre des mystères cosmiques tels que celui-ci.
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Explore further

Merger between two stars led to blue supergiant, iconic supernova
More information: "The possible disappearance of a massive star in the low metallicity galaxy PHL 293B" Monthly Notices of the Royal Astronomical Society (2020). academic.oup.com/mnras/article … .1093/mnras/staa1629
Journal information: Monthly Notices of the Royal Astronomical Society
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MES COMMENTAIRES
L’astronomie est gagnée  par   une  théorie routinière  d’effondrement gravitationnel en hyper ou super novae  et il est bon que de temps en temps de telles découvertes  ouvrent d’autres voies d ‘explications L animation  proposée par SDCIENCE X/YOU TUBE est  bien entendu factice puisque on ne l a pas vu disparaitre .!!! Je sais bien qu il faut faire travailler les artistes  mais je ne l ai pas repris ici !!!!!
  



lundi 6 juillet 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/MA POUVOIR DE L IMAGINAIRE /2020 week 27 p1


Nous ouvrons la porte aujourd’hui, en compagnie de  Mr PEOOER  d’un domaine  que la physique commence à aborder : celui des  condensats des énergies les plus grandes envisageables. C’est pourquoi  nous entrons dans un territoire ou  les phénomènes étant  durs à  percevoir complètement  ne sont souvent analysables  que par  tentative   de modélisations donc  une mathématique d’approche ….
-« Pour vous éviter, OLIVIER, de continuer à) aller dans un sens aussi décourageant, je vais préciser  à nos lecteurs  les limites de ce que nous recherchons. Pouvons-nous définir  à partir de quel niveau   la densité  d’énergie  devient très haute   et sous quelle forme cela se manifeste –t-il
  ???
-«  Historiquement , PEPPER , jusqu’au début du 20 ème siècle  , les physiciens   ne voyaient dans cette notion d’énergie et de  champs de forces  que la  gravité ,le rayonnement électromagnétique  ,la chaleur  et l’énergie chimique  et mécanique  banale …. Et pour les cosmologistes débutants  , l’Univers ne s’expliquait  surtout qu’avec les deux premières  …C’est  ensuite que les développements de  la mécanique quantique ont conduit les physiciens à découvrir  les interactions électro faibles puis les interactions nucléaires fortes .Ce n’est finalement qu’à partir de la deuxième moitié du siècle  qu’on s’est occupé   des phénomènes   mobilisant des énergies extrêmes :  la fusion nucléaire , les supernovæ   ,les trous noirs ,étoiles à neutrons et quasars , les sursauts gamma  ,  les coalescences d’étoiles  avec ondes gravitationnelles  et pour finir les phénomènes de big bang et de big bounce …… Et face à tout cela les moyens des physiciens  se sont développés  soit expérimentalement par des observations astronomiques et spectrographiques  terrestres et satellitaire  et par des études  de résultats de chocs de particules  relativistes   ou de formation de plasmas   soit par des modélisations théoriques  plus ou moins liées à la mécanique quantique  et ses résultats …
-« J’apprécie votre historique et votre vision d’ensemble OLIVIER , mais vous ne m’avez toujours  pas répondu !
-« Je vais commencer PEPPER    à traiter  les énergies denses  a partir les études  de plasmas  , et pour  vous situer illico  ma  tranche d’énergie  je  ne traite que les   plasmas denses .Mon tableau ci-après   vous indique  les divers plasmas auxquels on peut penser…Et vous voyez  d’après ma première colonne ( densité électroniques en l par m cube  et par les températures en°K    que par fusions magnétiques ou inertielles  on atteint les caractéristiques des cœurs d’étoiles ou de naines blanches …Ainsi le réacteur à fusion nucléaire chinois EAST a  atteint une température record de 100 millions de °C  fin 2018 …


-« Et la physique actuelle  peut modéliser et rendre compte  des propriétés de ces plasmas expérimentaux, bien entendu ???
 -«  Dans leurs grandes lignes au moins ….Rappelez-vous  mon  article rapportant  comment maitriser les phénomènes  de  » cheveux  débordants »  dans la frontière vide plasma  avec  les  flux de  tokamaks
 A suivre  en alternance avec mes traductions de SCIENCE  X