Revenons à
nos moutons ! C’est donc la traduction d’un article relatif aux théories
de quantification du temps que je vous propose ( from HYS ORG /SOIENCE week 26)
..Mes commentaires donnent la mienne….
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Theorists calculate upper limit for possible
quantization of time
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Les
théoriciens calculent la limite supérieure pour une quantification possible du
temps
par Bob
Yirka, Phys.org
PHOTO/ Crédits:
Pixabay / CC0 Public Domain
Un trio de
physiciens théoriciens de la Pennsylvania State University a calculé la limite
supérieure pour la quantification possible du temps - ils suggèrent 10 -33
secondes comme limite supérieure pour la période d'un oscillateur universel.
Dans leur article publié dans la revue Physical Review Letters, Garrett Wendel,
Luis Martínez et Martin Bojowald décrivent leur théorie et suggèrent un moyen
possible de le prouver.
Depuis de
nombreuses années, les physiciens théoriciens tentent d'expliquer un problème
majeur - la théorie générale de la relativité suggère que le temps est une
quantité continue, qui peut se déplacer plus ou moins vite en fonction des
conditions d'accélération et de gravité. Mais les théories de la mécanique
quantique suggèrent que le temps s'écoule à un rythme régulier, comme les
images d'un film en cours de lecture. Dans ce scénario, le temps doit être
universel. Pour que les deux théories aient raison, cette contradiction doit
être expliquée de manière rationnelle.
Certains
théoriciens ont suggéré alors qu'une explication possible de l'écart apparent
est que le temps peut être quantifié en espace-temps, similaire aux théories
décrivant la gravité quantique. Dans un tel scénario, l'espace-temps n'est pas décrit
comme continu, mais est plutôt divisé en unités plus petites, qui devraient
nécessairement correspondre à la longueur de Planck. C'est, bien sûr, beaucoup
trop petit pour être détectable. La théorie exigerait également que ces paquets
de temps discrets expirent chacun(après l autre). Ce scénario suggère qu'il
devrait y avoir une horloge universelle qui se déclenche pour une très petite unité de temps. Et dans
ce scénario, le temps universel existerait dans tout l'univers et interagirait
également avec la matière. Cela soulève également la question de la rapidité
avec laquelle une telle horloge devrait fonctionner.
Dans un nouvel effort, les théoriciens ont
développé une théorie pour décrire la limite supérieure d'un tel incrément.
Dans leur modèle, ils suggèrent qu'une horloge universelle serait un
oscillateur quantique qui commute régulièrement entre deux états. Pour calculer
son rythme, ils l'ont envisagé comme étant couplé à un oscillateur plus lent
semblable à une horloge atomique. Dans leur modèle, ils envisageaient que
l'énergie nette des deux oscillateurs était toujours la même. Dans ce scénario,
les deux oscillations devraient se désynchroniser au fil du temps. Et les
théoriciens ont utilisé cette divergence comme un moyen de calculer la limite
supérieure pour le tic-tac de l'horloge universelle. Ils suggèrent même qu'en
dépit d'une incapacité à mesurer une tic-tac aussi
bref , il devrait être possible de vérifier leur théorie en tentant
plutôt de mesurer la désynchronisation des deux oscillations.
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Explore further
Researchers develop quantum-mechanical variant of the
twin paradox
More information: Garrett Wendel et al. Physical
Implications of a Fundamental Period of Time, Physical Review Letters (2020).
DOI: 10.1103/PhysRevLett.124.241301
Journal information: Physical Review Letters
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MES
COMMENTAIRES
Les lecteurs auront compris que nous sommes en
présence d’une théorie physique qui relève
des thèmes de la partie
de mon blog sur « le Pouvoir de l’imaginaire »…Et par
ailleurs je leur signale que l’un des
auteurs est MARTIN BOJOWALD , le créateur de la théorie du Big bounce ,le grand rebond , c’est à dire ce qui se
passe avant le Bigbang du modèle de la
cosmologie ! …..Personnellement je
juge inaccessible d’atteindre, avec « l’état de l’art » actuel la mesure de cet écart de désynchronisation éventuelle pendant le tic –tac ….
Et j’en profite
pour vous présenter mes propres hypothèses.
J’envisage deux éventualités : 1/Si le temps découle soit directement soit
indirectement du phénomène de la gravité sa valeur minimale ( je
préfère pour lui l’expression « le grain de temps » plutôt
que le quantum de temps , déjà directif) dépendra du poids de la plus petite particule stable existante dans notre Univers …..
2/Si l’Univers
est en réalité non pas un conglomérat de
masses et d’énergies ,mais
relève « a la fin du fin » uniquement
des ondes ,des vibrations élémentaires
,( comme par exemple d’une Théorie des
Cordes ,ondes se produisant sur N
dimensions ,10,11 26 etc. ) ,
alors le grain de temps sera déterminé par la plus petite des longueurs d’ondes de ces vibrations ….
Je précise de plus qu’il n’est
PAS NÉCESSAIREMENT rattachable ni
à la longueur n de PLANCK 1,6 .10 -35 m , dont je rappelle que
le système n’a été inventé que pour commodité
commune mathématique et physique
….. mais pas fondamentalement
descriptive de toutes
les propriétés de notre Univers
D'accord pour le "grain de temps" mais dans le cadre incontournable de la dualité de localité.
RépondreSupprimer1/ Il existe une synchronisation générale subquantique des Bodys (oscillateurs) dont "le grain" élémentaire est de 10^-21 s.
2/ il existe une possible perturbation locale (relativité) dans laquelle la limitation du "grain" change sa limite vers le temps de Planck (10^-44 secondes).
Cependant ce temps subquantique peut en effet, se ressentir au niveau quantique à 10^-33 secondes comme proposé dans l'article. C'est te (électron) divisé par xi alors que le tP = te / xi².