Le billet d'hier vous décrivait la formation des étoiles de masse inférieure à 2 à 3 masses solaires .Poursuivons aujourd ' hui par la formation des étoiles de forte masse .... Elles a lieu au cœur d'amas d 'hydrogène très denses, ou parfois isolément. I
l me faut reconnaitre qu'on ne sait pas exactement comment se forme puis s 'allume une étoile massive. Les modèles théoriques ne parviennent pas encore à expliquer l'existence d'étoiles d'hydrogène de plus de 8 masses solaires, l'accrétion de matière étant censée être stoppée au-delà de cette masse du fait de l'augmentation progressive de la pression de radiation de la proto-étoile. Mais il est permis de douter de la complétude de nos théories sur cette phase de densification progressive .. Aussi on nexamine d'autres éventualités .Celle par exemple où parcollision de 2 disques d'accrétion de protoétoiles de moindre masse il se produirait pa ccrétion à haute concentration un puits de potentiel gravitationnel de l'amas des masses ....
D'une manière plus générale on cherche dans le catalogue des objets stellaires ,dans celui des phénomènes séquentiels ,stochastiques , violents ou chaotiques ,dans celui des supernovae tout ce qui pourrait creer d 'abord ces hyper amas denses puis ces super etoiles Une chose est sure ;on n'observe pas de planètes autour des étoiles massives, car le disque proto-planétaire est balayé par les vents puissants de l'étoile centrale finale avant même que des planètes aient le temps de se former .....
A SUIVRE
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RépondreSupprimerSelon DUO5, la norme originelle du calibrage des étoiles est 330 masses solaires. Ce calibrage est assuré par les BECs-hôtes.
RépondreSupprimerC'est la raison pour laquelle, les premières étoiles ont une durée de vie extrêmement courte ~1 million d'années. Les étoiles des générations suivantes – construites sur les débris éparpillés des premières – sont donc moins massiques. De plus comme les collisions de galaxies génèrent de la DM (pas moi), les étoiles (visibles) en sont réduites d'autant.
Donc 8 MS << 330 MS.
La bulle-Univers transforme graduellement les étoiles visibles en étoiles noires (DM). Cette DM – de plus en plus altérée – finira par disparaître complètement et à terme ce sera le retour au monde stochastique caractérisé par le masquage de toutes les masses unitaires (oscillateurs Bodys) pour obtenir l'état "normal" de l'univers (M = 0) dans lequel l'état "masse apparente" (M>0) est une anomalie relativement passagère ! En effet, 296 Gyl est court devant l'éternité de l'état stochastique assurant le M = 0.
On ne peut rien comprendre sans évoquer la dualité des zéros moment de masse (ML) . Le paradoxe est le suivant : ML → 0 (absolu) est un impossible attracteur et ML > 0 est injustifiable.
La Nature a résolu ce paradoxe en forçant le néant (l'état stochastique) à exister sous la forme d'une infinité d'oscillateurs duaux (Bodys) où deux pôles masquent par OPPOSITION leur moment de masse ML. L'intensité de ML est fixée aléatoirement à chaque passage au point zéro. Ainsi, le zéro (inertie) absolu est remplacé par le zéro symétrique dans chaque'oscillateur Bodys.
Le zéro inertie par OPPOSITION (MLQ) duale est l'état normal de chaque Bodys. La saturation tangentielle du BEC-fossile à révélé ML par masquage (Q) par SUPERPOSITION. Cet état – basé sur la SEPARATION causale et provisoire – est l'anomalie que nous pouvons observer. Cette séparation généralisée est une forme de Bodys géant reliée par la gravitation. La somme globale ML répond également à la loi du zéro symétrique.
Notre propension (ancestrale et mystique) à penser "en valeur absolue" nous incite, au contraire, à considérer que le monde "normal" est celui dont nous sommes issus. Ainsi le modèle standard a inventé la chimère de l'antimatière comme si nous étions la référence absolue "le bien" et l'antimatière, le mal !
Plutôt que cette naïve antinomie systématique, il existe la SYMETRIE qui est la première clé de la Nature. Cette dernière – contrairement à l'interprétation directe de l'expérimentation locale, s'applique avant tout, à la paire électron-positron. Cela n'apparaît que si on applique la loi profonde de la dualité de localité.
La seule différence réside dans le fait qu'initialement, le positron stable est toujours confiné. Il y avait juste une chance sur deux, à l'origine ! Ainsi le MS n'a plus à éluder le fait que le proton (stable) possède la charge précise du positron (donc stable).
Voir plus ici : https://loiduo5.com/
Cordialement à mon ami Olivier
DM