vendredi 11 août 2017
Le Pouvoir de l 'Imaginaire 527 : la discussion avec CLARA se prolonge!
Bien que ce dialogue avec CLARA sorte des limites de celui que j’ai eu avec mes aimables voisins rhétais je vous en propose la continuation….Avec en Photo les fleurs de mon ile
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-« Je désire revenir PAPY sur ton dernier constat quand tu dis : le ciel terrestre qu’ il fasse jour ou nuit n’est jamais complètement « noir » !
En revanche , s’ il n’est jamais totalement étoilé , comme le paradoxe de OLBERS l’a proposé , ce ciel est totalement « éclairé » par une radiation que nous ne percevons pas avec nos yeux d’humains car elle est sur la bande micro-ondes !!!
-« Oui CLARA, et cela dans le moindre de ses coins !!! Le spectre du CMB ( fond diffus cosmologique) présente un maximum d'émission à la fréquence de 160 GHz ou à la longueur d'onde de 1,063 mm …Et ne t’ avise pas d’y chercher le moindre petit trou complétement noir et exempt de fréquences ! Car si l'on observe le fond diffus cosmologique avec une très grande précision, les plus infimes écarts de température qui apparaissent, ne dépassent pas une amplitude de l'ordre du cent-millième de degré (0,00001 degré).Et je dois alors reconnaitre que bien qu’ il soit reconnu une sorte de POINT FROID du côté de la constellation de l’ERIDAN , s’il s’agit de trouver là et dans ces conditions les traces énergétiques d’univers précédents , il va falloir se trouver une sacrée clef d’entrée théorique fiable …….
-« Je crois me souvenir des articles que tu as publié la dessus PAPY … Plein de monde continue à travailler le sujet , mais JEAN LOU PUGET a rappelé aux américains de la mission Bicep 2 que leurs anisotropies étaient dues aux poussières galactiques et non pas aux phases précédant le « démarrage » du CMB…..
-« Mais CLARA une autre hypothèse émise par Laura Mersini-Houghton voudrait que ce Point froid soit précisément l’empreinte d'un autre univers au-delà du nôtre, causée par l'intrication quantique entre les deux univers avant qu'ils n’aient été séparés par l'inflation cosmique. Mais tu sais de quels ricanements je suis capable quand on me balance ces théories d intrication d’univers et de trou de vers blancs entre multivers !!!
-«Mais que réponds tu à tes commentateurs PAPY quand ils te proposent d’autres explication pour ce fond d’ondes CMB ????? Je cite JJM hier : » Dans un univers infini, il existe une limite de l'univers visible à partir duquel, par définition, on ne perçoit plus rien, puisque les photons des étoiles les plus lointaines ont perdu toute énergie et se sont aplatis dans l'espace-substance.
Cette limite de l'univers visible est très exactement celle qu'indique le prétendu âge de l'univers. »
-« J’ai été très intéressé par cette remarque CLARA …..La limite ( le bord) de notre univers serait donnée par la distance maximale que parcourent les plus « costauds » des photons avant de s’ « éteindre » complètement par freinage et « fatigue » de leur fréquence N en deçà de la valeur N=1 …..Mais il serait intéressant qu’une autre opinion académique que celles de JJM , J.C.PECKER ou J.P. VIGIER s y rallient ….L e problème le plus fondamental pour moi est de savoir quelle est la valeur de l’énergie de cet « Espace -substance » , même si je considère déjà comme une hypothèse le fait qu’il puisse exister vide de toute énergie , de matière et de mouvement ….Et en somme « brut de fonderie », en tant que modèle de NEWTON par exemple ……
-« Ta proposition de calcul est Impossible PAPY …Tu te rends compte ???? L’énergie pour créer un volume d’Espace ;, tel un DIEU à partir de rien !!!!! ,Et/ou a partir de quels éléments ? Ou de quoi d autre? Dans ce cas ne vaut-il pas mieux chercher comme D . Mareau une base de départ stochastique , de valeur asymptotique à zéro ,et qui s’en échappe par une synchronicité brusque due au déclenchement d’un « Hasard sauvage »,,,, ???????????
A SUIVRE
Quand vous dites cher Olivier : "... une sorte de POINT FROID du côté de la constellation de l’ERIDAN", vous reprenez telle quelle, la pudique expression de certains qui voudraient nous faire oublier l'immensité de ce trou unique de l'univers qui vient contrarier le vieux modèle mathématique riemannien.
RépondreSupprimerLarge de plus d'un milliard d'années lumière (1.3 aux dernières nouvelles), cet immense vide est le centre de notre bulle univers, noyée (sans coordonnées déterminées) dans l'infinité de la matrice stochastique.
L'enchevêtrement des BECs forme des couches d'expansion de la bulle-univers, de 0 à 5c ! Ce gradient de vitesse donne à chaque point de la bulle (dans certaines limites) le privilège d'être le "centre relatif" à partir duquel tout s'éloigne. De plus cela explique logiquement et quantitativement) la matière sombre (pas la DM expliquée elle aussi) qui domine l'univers.
Quant au bord, j'ai largement expliqué dans mon livre, que la courbure (physique) des BECs périphériques représentait une sorte de "mur" énergétique et ce, en accord avec le modèle, sans rien y rajouter.
En revanche, la matrice stochastique use en permanence la belle harmonie de la bulle de BECs. Petite à petit (plus elle grandit) l'influence de l'entropie de désordre augmente. C'est l'espace-temps lui-même qui se désagrège pour retourner à son état stochastique ou état "zéro vibrant". Après le brusque flux de synchronisation (baisse d'entropie) on a un lent flux de désynchronisation par l'augmentation (constatée) de l'entropie.
Le 5c n'est pas une hypothèse mais une contrainte du modèle suite à la mitose fractale. Des relations physiques connues s'expliquent avec cela.
RépondreSupprimermerci cher Dominique d avoir fait le commentaire complémentaire que je jugeais nécessaire
RépondreSupprimera bientot pour la suite !!!
ous rencontrez une difficulté Olivier : vous voulez qu'il y ait création d'univers et donc vous êtes obligé, pour ne pas partir du rien, d'imaginer un espace vide à la Newton, et donc incréé qui va s'emplir, par le plus grand des hasards la matière de notre monde. QUOIQUE QUE VOUS FASSIEZ (une base de départ stochastique , de valeur asymptotique à zéro ,et qui s’en échappe par une synchronicité brusque due au déclenchement d’un « Hasard sauvage ») vous ne pouvez faire paraître toute l'immense matière à partir d'une sorte de rien, il faut que cette matière soit quelque part. Car qu'est-ce le « ce qui s'en échappe ? « Le « ce » était bien situé quelque part !
RépondreSupprimerIl ne peut y avoir aucune procédure de surgissement « un jour » de l'univers car celui-ci n'a pas plus de passé que d'avenir, c'est un présent permanent, inchangé dans sa structure et ses lois fondamentales, seules se créent et disparaissent étoiles et galaxies.
Il faut refuser l'idée multi séculaire et partagée par tous d'une création à partir d'un rien ou d'un zéro mathématique et considérer la matière originelle comme incréée, cad la substance qui compose l'espace qui n'a pas d'origine et qui a toujours été là. Il ne peut y avoir un espace de Newton en attente de son remplissage, cela n'a pas de sens. L'espace-substance a toujours été plein de lui-même. C'est sa substance qui compose les ondes et à partir desquelles se crée la matière.
Bien à vous.
(j'espère que cela ne passera pas en double)
FIGUREZ VOUS CHER JJM que j attendais ce commentaire de vous!! Et que j allais le mettre dans la bouche de CLARA si vous ne l aviez pas fait !!!!! cela n a pas de sens de faire naitre de l espace de rien ... et à fortiori s il renferme matière et radiations ....
RépondreSupprimerCher JJM, le "rien" physique n'a rien à voir avec le zéro mathématique.
RépondreSupprimerIl est juste l'expression d'une infinité de "contraires" qui oscillent et s'annulent. Cette matrice-substance est éternelle et ne coute rien en énergie. Mais on montre en détail que cette entropie maximale ne peut que se synchroniser comme tous les oscillateurs (mécaniques ou quantiques) que l'on expérimentent dans la vie réelle.
Cette synchronisation ne peut que former un BEC et celui-ci ne peut que se saturer et donc déclencher une mitose. La suite découle naturellement avec les lois physiques connues.
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SupprimerBonjour Dominique, c'est me semble-t-il le "coup de pouce" de votre théorie, que de présenter cette synchronisation comme "inéluctable", car tout mécanisme de synchronisation d'oscillateurs nécessite un couplage entre eux, or vous présentez d'abord si j'ai bien compris leur espace-propre comme étant indépendant. Quelle est la "barre" qui les relie comme des balançoires sur un portique?
SupprimerBonjour Nolats, la "barre" qui les relie est d'ordre statistique car elle vient de l'exacte superposition des points zéro de n oscillateurs. Cette superposition en fréquence et en position est très hautement improbable. Mais comme le temps ne s'écoule pas, le nombre de brassages stochastiques tend vers l'infini de telle sorte que cela arrive forcément dans 'l'instant".
Supprimer[avec retard] Dominique, pour qu'il y ait superposition, il faut un conteneur commun, donc un espace 3D préexistant, une une synchronisation temporelle, or le temps-commun n'est pas supposé s'être enclenché si j'ai bien compris.
SupprimerDominique, Je n'ai jamais rien compris à votre affaire de Becs, d'oscillateurs,de mitose de zéro mathématique et toute cette construction complexe. Dieu, dans son essence est pur et sa base est simple pour ensuite engendrer la complexité. Qu'est-ce qui le plus simple sinon une substance absolument homogène, continue, totalement inerte ( sans énergie) qui emplit tout l'espace de sorte que contenant et contenu se confondent ?
RépondreSupprimerEt si vous admettez que cette substance de l'espace est éternelle alors il ne peut y avoir création d'univers par un procédé hasardeux puisqu'il n'y a aucune raison pour que cette substance éternelle soit soumise au hasard alors même qu'elle contient les lois et procédures permettant la création de matière A TOUT INSTANT ici et maintenant. Et on ne voit pas pourquoi cette substance dont l'essence et la présence sont éternelles perdrait ses attributs d'éternité pour passer à la temporalité de sorte qu'elle aurait un état avant et un autre après sa mue. L'éternité est celle de la substance de l'espace, la temporalité celle de la matière ; nous expérimentons l'éternité par la présence de cet espace substance ici et maintenant, la temporalité qui est notre lot par celle de la matière.
Cordialement
Bonjour Jean-Jack. Rien ne prouve qu'il y ait une "simplicité initiale", puisque en fin de compte l'état premier porte potentiellement toute la complexité du système final, que ce soit en "prêt à consommer" comme votre modèle ou en graine à semer comme dans le modèle de Dominique -reste à savoir si ça peut germer ou pas. Ce qui me fascine, c'est la colossale complexité du codex législatif qui régit les lois de la physique pour produire quelque chose d'aussi incroyablement complexe et élaboré que l'univers (unique ou en multi-bulles, c'est tout un). Votre modèle constitue peut-être la variante la plus compacte de codex, caractéristique intéressante à considérer.
SupprimerCher Nolats
RépondreSupprimerLa simplicité initiale est la condition absolument nécessaire au développement de la complexité. Les densité et nature de la substance de l'espace déterminent toutes les constantes, en particulier C et h et même la masse de l'électron qui est fonction de la résistance de cette prématière. D'ailleurs, la complexité ne concerne que la matière bien que 3+1 valeurs de masse seulement en soient à l'origine. L'espace existe en dehors de toute dichotomie simple/complexe qui est celle de la matière.
Nous avons affaire à « tout autre chose » qui ne relève même pas de la notion de chose et qu'il faut penser dans sa spécificité. Le défaut de beaucoup de physiciens est de plaquer les raisonnements et calculs qu'il opèrent sur la matérialité à l'espace-substance. Nous sommes dans le domaine de « l'absolument impensé » en tant qu'objet physique. Nous sommes à la frontière de la physique et de la métaphysique, ce qui explique que j'ai beaucoup de difficulté à me faire entendre.
Cher Jean-Jacques, rien n'est plus simple et plus initial que le brassage stochastique. C'est statistiquement l'unique et seule réponse à l'impossibilité du zéro statique. Comme on l'a vu, l'errance stochastique duale se balade dans l'intervalle infini qui existe entre 0 et 1.
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