Me trouvant à nouveau
dans mon ile et prés de mes gentils voisins
je propose à mes lecteurs de rester sur les thèmes traités au début avec ALAIN
et tournant autour de la sempiternelle interrogation : »
Pourquoi y a-t –il quelque chose plutôt que
rien…. ? »
photo personnelle de mes bâtiments cernés par deux tonnelles de vignes très épaisses
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-« Non PAPY ! restons s’il te plait sur l’interrogation que je te pose dans ton dernier article……Que faire entre
deux valeurs d’énergie du vide aussi différentes que celle de la
RELATIVITE et celles de la MECANIQUE QUANTIQUE , ????
-« Je te fais remarquer CLARA
que ces deux valeurs ont été proposées lorsque les cosmologues ont calculé la densité d'énergie du vide
(quantité d'énergie par unité de volume) ρ cosmologie=10−9 J.m^3. Puis lorsque
les physiciens de la mécanique quantique ont font leur calcul de leur côté, ils
obtiennent ρ quantique=10^113 J.m−3 et Il
y a un facteur 10^120 entre les deux calculs de la densité d'énergie du vide ……
mais je crois qu’ il ne faut pas trop se
baser sur les effets Casimir et Lamb
pour en espérer un départage…..
-« Pourquoi
PAPY ?
-« Je ne vois pas pourquoi les forces
Casimir ne traduiraient pas plutôt
des forces de répulsion métal/métal de type dipolaire , antagonistes aux
forces de VAN DER WALLS/ LONDON et que je connais bien…..D’ailleurs quand ces
manips puis calculs ont été faits , n’ intervenaient pas encore les nouvelles
propositions d’énergie noire et de matière noire depuis les missions WMAP /PLANCK ….Et je ne crois pas
que quiconque soit capable de les évaluer
et d’en répercuter l’effet sur
cette densité d’énergie du vide…J’ai ouïe dire que l'accélération de
l'expansion de l'Univers, calculée à partir des dernières observations (de l'ordre de 10−29 g
cm−3) serait à associer tout autant à à
l'énergie sombre, qu'à la constante
cosmologique……C ‘est assez dire CLARA que je me méfie de TOUS ces chiffres !!!!
Mais de plus des chercheurs
de l’IRAP-OMP (CNRS/Université P.
Sabatier Toulouse III,Alain Blanchard )se sont lancés dans la recherche d’ une origine physique à
l’énergie noire en se servant d’autres concepts ….. Il s’agirait de l’action
gravitationnelle du vide quantique présente dans une dimension supplémentaire
de l’espace petite et repliée sur elle-même …
-« Et tu y vois PAPY
, bien sûr , non pas l’œil de MOSCOU
mais des relents de concepts des « cordistes »
avec leurs univers à N dimensions surnuméraires!!!!????
-« Bien entendu CLARA …Parfois la Physique est
tellement coincée que très imaginative,
elle croit réels tous les « objets » décrits et proposés mathématiquement …. Mais si Je cherche
quelque chose à quoi me raccrocher c’est à la température moyenne de l’Espace actuel qui est de 2 ,7 degrés K …. Donc , puisque notre univers est encore
jeune , l’énergie du vide futur se
trouvera comprise dans l’intervalle
entre cette valeur et 0 ° K !CQFD !!!! Autrefois j’ai cherché ce qui correspondrait à la fin d’un tel UNIVERS, lorsque toutes les particules
matérielles se seront diluées en photons et que les derniers de ces derniers se seront tous épuisés a vibrer sur la fréquence 1 puis à redevenir après du simple bruit oscillatoire et
aléatoire …..Mais mon calcul partait d’une masse initiale trop imprécise
et trop faible et tombait sur un espace d’expansion finale
où la dérive vers le rouge du
rayonnement électromagnétique entrainant
N=1 ignorait la non-conformité au principe copernicien …Or il est clair que les grumeaux de particules
matérielles vont se densifier quand l’univers
vieillira et éloigner les unes des autres
les « poches matérielles » que constituent amas et galaxies……A priori
donc mon calcul était encore trop petit pour un volume d’univers final de 10 puissance 30 années soit d’expansion Hubble au minimum soit d’expansion
à vitesse c des photons au maximum….
-« Mais cela aboutissait à disjoindre presque l’univers matériel de l’univers
photonique PAPY,, est ce possible ?
- Oui ! l’univers devient de moins en moins brillant , plus hétérogène
et
noir presque partout !c’est pourquoi je ne te propose pas mes calculs !
A suivre
J'ai raté les questions de Nolats posées le 13 aout et je me permet de lui réondre ici :
RépondreSupprimerNolats : " Bonjour Dominique, c'est me semble-t-il le "coup de pouce" de votre théorie, que de présenter cette synchronisation comme "inéluctable", car tout mécanisme de synchronisation d'oscillateurs nécessite un couplage entre eux, or vous présentez d'abord si j'ai bien compris leur espace-propre comme étant indépendant. Quelle est la "barre" qui les relie comme des balançoires sur un portique?"
Bonjour Nolats, la "barre" qui les relie est d'ordre statistique car elle vient de l'exacte superposition des points zéro de n oscillateurs. Cette superposition en fréquence et en position est très hautement improbable. Mais comme le temps ne s'écoule pas, le nombre de brassages stochastiques tend vers l'infini de telle sorte que cela arrive forcément dans 'l'instant".
Donc la "barre" commune est le point zéro où la synchronisation est statistiquement actée.
Dans la même veine j'ai répondu cela à JJM sur le thème de la simplicité initiale :
RépondreSupprimerCher Jean-Jacques, rien n'est plus simple et plus initial que le brassage stochastique. C'est statistiquement l'unique et seule réponse à l'impossibilité du zéro statique. Comme on l'a vu avec la dualité sin/cos, l'errance stochastique duale se balade dans l'intervalle infini qui existe entre 0 et 1.
cher Nolats, sans vous détourner du bloc de mon ami Olivier, je vous invite à lire les billets courts que j'édite sur mon nouveau blog :
RépondreSupprimerhttps://sciencesetuniverspourtous.blogspot.fr/
Olivier, ne gaspillez pas votre temps précieux à calculer l'énergie du vide. La prématière comme substance le composant est totalement amorphe et le vide ne contient donc aucune énergie. C'est un milieu totalement homogène qui simplement réagit aux mouvements en son sein. Pour faire image (et avec ses limites), c'est comme un plan d'eau inerte qui en lui-même (hors l'agitation moléculaire et action de la pesanteur) n'a pas d'énergie interne mais réagit aux force externes.
RépondreSupprimerCordialement
Cher Jean-Jacques, je vais encore risquer une analogie : on sait que toutes les fonctions organiques d'un être vivant sont sensées s'équilibrer par deux actions contraires. Cela est valable pour l'équilibre via les sollicitations musculaires, pour les actions chimiques où l'une cherche toujours à compenser l'autre. Il en est de même pour l'équilibre psychique. Idéalement si toutes ces dualités sont équilibrées, le corps ne sécrète pas de compensations ! Sauf que ce zéro est impossible ! L'idéal est toujours asymptotique.
RépondreSupprimerDonc oui l'espace--temps idéal (non perturbé) apparaîtrait comme amorphe. Mais c'est très loin d'être le cas. La matière perturbe le réseau d'espace-temps et en retour, il habille les atomes de particules virtuelles, même au repos !
En plus si l'atome est animé d'une vitesse, sa masse grandit comme le dit la relativité restreinte.
Il y a aussi la perturbation propre à la gravitation tend à casser les belles symétries duales du réseau subquantique et cela courbe aussi l'espace-temps mais là, toujours dans le même sens. C'est une perturbation vectorielles alors que les autres sont statiquement isotropes et donc scalaires.
Tout cela découle d'une cohérence physique extrêmement fouillée que l'on pourrait en effet, résumer très court, comme vous le faîtes.
Dans l'effet de la relativité restreinte, on reconnait également la constante ML. quand M augmente selon le coefficient de Lorentz, le L vectoriel (dans le sens du déplacement), diminue. En fait c'est le volume élémentaire qui s'aplatit.
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