dimanche 13 mai 2018

LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE /N°593/ HOW TO GET AROUND WITH THE BIRTH OF TIME / THE HARTLE/HAWKING MODEL IN DISCUSSION!


Puisque notre ami PEPPER  a bien voulu rechercher  les dernières publications de STEPHEN HAWKING  avec ses deux collègues, nous allons les parcourir ensemble et essayer de les discuter 
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-«  J’avoue ne pas trop comprendre OLIVIER , pourquoi vous vous attachez à nous donner une idée plus précise sur les dernières pensées  de HAWKING   transmises une dernière fois par son élève et  collaborateur  JAMES HARTLE ….Ironisons :la paire  H &H …
 !
-« C’est pour un motif  que vous trouveriez quasi philosophique   PEPPER    et qui découle de mon modèle du TEMPS … Maintes fois , j’ai rappelé mes lecteurs  à  s’écarter de leurs impressions subjectives   sur le temps   et la durée ….La physique  finit  par admettre  que le temps n’a de sens  que pour ce qui existe  mais  surtout   pour   ce qui  se déplace …..Et à la limite SI  pour un espace où absolument tout et à toutes les échelles    rien ne bouge  ,LE TEMPS S’ARRETE   …..

-«   Je me rappelle même  que vous nous avez parlé du temps selon  LEE SMOLIN   et selon  CARLO ROVELLI    , qui l’ »enferment  dans de micro unités  aux dimensions de PLANCK   et qui en font un concept 3 « actif »soit local  soit thermodynamique ….les «  boucles de gravité quantique »,disent ils…..


-«  Mais ce n’est pas le sujet d’aujourd’hui PEPPER … Nos deux compères .H ET  H    partent eux du constat suivant : l’univers s’explique   mais à grands traits seulement par la Relativité  Générale  ….jusqu’au moment où  même cette dernière  pose une énigme insurmontable : le temps zéro avec ses infinis (un point de densité infinie et  une courbure  infinie)…Et alors que faire face à cet effondrement prédictif  ?
Pour essayer de s’en sortir  ils ont essayé tous les deux   de regarder   ce que les propriétés de la  Mécanique  Quantique     leur apportaient  ( en 1983 )quand on arrive ainsi   aux bords du temps  ZERO et d’un calcul matheux einsteinien  qui n’a plus de sens physique ……..Il se dégage alors  une possibilité  d’utiliser  les propriétés du principe d’incertitude de  HEISENBERG  de développer  des sortes d « orgies » quantiques , c’est à dire des transitions qui font jaillir depuis   l’énergie éparse du vide des particules 3 D   qui y repartent très peu de temps après 

-« Bon ! c’est déjà ça , mais ce n’est pas suffisant pour  en faire sortir tout un univers  comme ATHENA toute armée de la tete de ZEUS ! n’est-ce pas ???.

-« Oui ,PEPPER ,d’autant que   s’il  leur devenait possible de supprimer la singularité  et même la phase d’inflation  c’était au prix  de la création du concept de temps imaginaire  ( voir ma figure)   et d’un espace à 4 dimensions …  Un  Univers sans bords  aurait alors émergé d'une géométrie quantique floue et avec la fonction d’onde  correspondante
La relation entre le temps réel et imaginaire peut être visualisée sous la forme d'axes perpendiculaires de direction. le temps imaginaire est une façon de voir la dimension du temps comme s'il s'agissait d'une dimension de l'espace

-« Oh je devine OLIVIER   que ces idées de   maths de variables complexes  ne vous plaisaient guère !!

-« Je veux bien admettre PEPPER   que le temps soit une sorte  de phénomène émergent  mais il me semble difficile de l’ «  avaler »  tout cru  comme une 4 ème  dimension d’espace  géométrique …. C’est pourquoi je ne m’étonne pas qu’après  un certain emballement  on lui ait  cherché  depuis lors  des poux sur la tête  !!! Neil Turok et Job Feldbrugge, avec Jean-Luc Lehners,viennent de  publier  ce qui peut sembler une réfutation   car   ce modèle HAWKING/HARTLE   aurait des conséquences visibles  sur l’aspect du  rayonnement fossile  et qu’ on n’a pas observées  jusqu’ici : voir ma figure   de leurs calculs de l’espace-temps ci-dessous qui se  déformerait  avec outrance…
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.Cf ; « No Smooth Beginning for Spacetime »
 Feldbrugge,  Lehners, Turok/Phys. Rev. Lett. 119, 171301 – Published 27 October 2017

 

-« Alors ou en sommes-nous  arrivés aujourd’hui   OLIVIER???

-«  A  des querelles courtoises entre physiciens  -théoriciens car  HARTLE / HERTOG  et collégues défendent leur modèle  d’'espace-temps primitif où  la singularité cosmologique initiale devient l’analogue de  la surface lisse et sans singularité de la  sphère. à la  base de la  figure  
 ….
--«  Qu’y gagne-t-on sur le plan  de la compréhension  de l « éveil du temps «  OLIVIER ???  Comment ce temps qui serait 4  eme dimension surnuméraire    , redeviendrait il le «  bon vieux temps des cerises » que nous connaissons dans nos 3 D  !??

- «   On y perd   un temps zéro précis et  «  pointu » et si l’on veut la minute exacte  de naissance de notre  Univers  pour le  brouillard  d’une aube  physiquement indéfinissable !!! …..  Mais  aussi cette phase abracadabrantesque de l’inflation après le temps de  PLANCK    …. Ce n’est pas rien !  Et certains disent qu’ a la place  on peut imaginer  donc  une phase de rebond   d’un    univers précédent , plus ancien  ….. Au total ce  n’est pas négligeable   mais douteux parait-il mathématiquement …..

-«  QU  EN PENSEZ VOUS  OLIVIER , ???

-«   Que le Comité  NOBEL  ne devra pas récompenser  HARTLE/ HERZOG and co et  HAWKING  a titre  posthume   pour ces  "  jongleries" de calculs  lorentziens ou  euclidiens  …..

  A suivre








1 commentaire:

  1. Selon OSCAR, on ne peut parler du temps que dans le cadre de son référentiel.

    Dans le monde stochastique illimité et matérialisé par une infinité d'oscillateurs dipolaires, le référentiel est le demi oscillateur dipolaire dans lequel le temps est juste l'inverse de la fréquence d'oscillation.

    Ce temps là – fondamentalement variable – est annulé aux "bornes" de chaque dipôle. Ainsi TOUS les paramètres physiques du monopôle (M, L, T) sont annulés. Sa genèse vient de l'oscillation de l'inertie M et de son dual L.

    A chaque cycle, T est fonction de M,L. Plus M est grand, plus le cycle est long. La genèse du temps T est une composante de la nature inertielle M.

    De la même manière, le modèle standard est initialement construit avec l'idée que la charge élémentaire Q (électron) est issue de M,L à une constante près. Le problème est qu'il ne tire pas toutes les conséquences de cette belle intuition de départ. Dans l'oscillation d'une corde, La tension (alias Q) et le temps propre T, dépendent tout deux de ML. Or dans l'oscillateur dipolaire, c'est bien Q qui fait office de lien (tension) entre les deux pôles opposés.

    Ensuite quand la synchronisation crée le BEC et que se dernier sature, il y a superposition et donc séparation des dipôles et à ce moment, M, L, T, s'expriment. Ce n'est pas que le temps qui démarre (ou s'exprime) mais aussi M L Q.

    La corde oscillante nous dit tout cela mais bien sûr en partant de l'impulsion de Dirac pour la dualité M et L. Rappelons le profond paradoxe exprimé par ces deux interdits formels : M = 0 ; M > 0 *. Ces deux interdits contradictoires, représentent la cause profonde de l'oscillation stochastique. L'existence de l'univers tient à ce paradoxe !

    * attention il s'agit de l'impossible zéro absolu très différent du zéro physique qui lui est relatif à deux contraires qui s'annulent. Tant que certains physiciens n'auront pas compris que le zéro mathématique est incompatible avec la physique, ils resteront dans cette coupable ignorance qui consiste à laisser la place à des conceptions divines qui n'ont rien à voir avec la physique.

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