Puisque notre ami PEPPER
a bien voulu rechercher les
dernières publications de STEPHEN HAWKING
avec ses deux collègues, nous allons les parcourir ensemble et essayer
de les discuter
…
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-« J’avoue ne pas trop comprendre OLIVIER , pourquoi
vous vous attachez à nous donner une idée plus précise sur les dernières
pensées de HAWKING transmises une dernière fois par son élève
et collaborateur JAMES HARTLE ….Ironisons :la
paire H &H …
!
-« C’est pour un motif
que vous trouveriez quasi philosophique
PEPPER et qui découle de mon
modèle du TEMPS … Maintes fois , j’ai rappelé mes lecteurs à
s’écarter de leurs impressions subjectives sur le temps
et la durée ….La physique finit
par admettre que le temps n’a de
sens que pour ce qui existe mais surtout pour ce qui
se déplace …..Et à la limite SI pour un espace où absolument tout et à toutes
les échelles rien ne bouge ,LE TEMPS S’ARRETE …..
-« Je me
rappelle même que vous nous avez parlé
du temps selon LEE SMOLIN et selon
CARLO ROVELLI , qui
l’ »enferment dans de micro
unités aux dimensions de PLANCK et qui en font un concept 3 « actif »soit
local soit thermodynamique ….les «
boucles de gravité quantique »,disent ils…..
-« Mais ce n’est pas le sujet d’aujourd’hui
PEPPER … Nos deux compères .H ET
H partent eux du constat
suivant : l’univers s’explique mais à grands traits seulement par la
Relativité Générale ….jusqu’au moment où même cette dernière pose une énigme insurmontable : le temps
zéro avec ses infinis (un point de densité infinie et une courbure infinie)…Et alors que faire face à cet
effondrement prédictif ?
Pour essayer de s’en sortir
ils ont essayé tous les deux de
regarder ce que les propriétés de
la Mécanique Quantique
leur apportaient ( en 1983 )quand on arrive ainsi aux bords du temps ZERO et d’un calcul matheux einsteinien qui n’a plus de sens physique ……..Il se dégage
alors une possibilité d’utiliser
les propriétés du principe d’incertitude de HEISENBERG
de développer des sortes d
« orgies » quantiques , c’est à dire des transitions qui font jaillir
depuis l’énergie éparse du vide des
particules 3 D qui y repartent très peu
de temps après …
-« Bon ! c’est déjà ça , mais ce n’est pas
suffisant pour en faire sortir tout un
univers comme ATHENA toute armée de la tete de ZEUS ! n’est-ce pas ???.
-« Oui ,PEPPER ,d’autant que s’il leur devenait possible de supprimer la
singularité et même la phase d’inflation
c’était au prix de la création du concept de temps imaginaire ( voir ma figure) et d’un espace à 4 dimensions … Un
Univers sans bords aurait alors
émergé d'une géométrie quantique floue et avec la fonction d’onde correspondante
-« Oh je devine OLIVIER que ces idées de maths de variables complexes ne vous plaisaient guère !!
-« Je veux bien admettre PEPPER que le temps soit une sorte de phénomène émergent mais il me semble difficile de l’ «
avaler » tout cru comme une 4 ème dimension d’espace géométrique …. C’est pourquoi je ne m’étonne
pas qu’après un certain emballement on lui ait
cherché depuis lors des poux sur la tête !!! Neil Turok et
Job Feldbrugge, avec Jean-Luc Lehners,viennent de publier
ce qui peut sembler une réfutation
car ce modèle HAWKING/HARTLE aurait des conséquences visibles sur l’aspect du rayonnement fossile et qu’ on n’a pas observées jusqu’ici : voir ma figure de leurs calculs de l’espace-temps
ci-dessous qui se déformerait avec outrance…
.Cf ;
« No Smooth Beginning for Spacetime »
Feldbrugge,
Lehners, Turok/Phys. Rev. Lett. 119, 171301 – Published 27 October 2017
-« Alors ou en sommes-nous arrivés aujourd’hui OLIVIER???
-« A des
querelles courtoises entre physiciens
-théoriciens car HARTLE /
HERTOG et collégues défendent leur
modèle d’'espace-temps primitif où la singularité cosmologique initiale devient l’analogue
de la surface lisse et sans singularité
de la sphère. à la base de la
figure
….
--« Qu’y gagne-t-on sur le plan de la compréhension de l « éveil du temps « OLIVIER ??? Comment ce temps qui serait 4 eme dimension surnuméraire , redeviendrait il le « bon vieux
temps des cerises » que nous connaissons dans nos 3 D !??
- « On y
perd un temps zéro précis et « pointu » et si l’on veut la
minute exacte de naissance de notre Univers pour le brouillard d’une aube physiquement indéfinissable !!! ….. Mais aussi cette phase abracadabrantesque de l’inflation
après le temps de PLANCK …. Ce n’est pas rien ! Et certains disent qu’ a la place on peut imaginer donc une phase de rebond d’un univers précédent , plus ancien ….. Au total ce n’est pas négligeable mais
douteux parait-il mathématiquement …..
-« QU EN PENSEZ
VOUS OLIVIER , ???
-« Que le
Comité NOBEL ne devra pas récompenser HARTLE/ HERZOG and co et HAWKING
a titre posthume pour ces " jongleries" de calculs
lorentziens ou euclidiens …..
A suivre
Selon OSCAR, on ne peut parler du temps que dans le cadre de son référentiel.
RépondreSupprimerDans le monde stochastique illimité et matérialisé par une infinité d'oscillateurs dipolaires, le référentiel est le demi oscillateur dipolaire dans lequel le temps est juste l'inverse de la fréquence d'oscillation.
Ce temps là – fondamentalement variable – est annulé aux "bornes" de chaque dipôle. Ainsi TOUS les paramètres physiques du monopôle (M, L, T) sont annulés. Sa genèse vient de l'oscillation de l'inertie M et de son dual L.
A chaque cycle, T est fonction de M,L. Plus M est grand, plus le cycle est long. La genèse du temps T est une composante de la nature inertielle M.
De la même manière, le modèle standard est initialement construit avec l'idée que la charge élémentaire Q (électron) est issue de M,L à une constante près. Le problème est qu'il ne tire pas toutes les conséquences de cette belle intuition de départ. Dans l'oscillation d'une corde, La tension (alias Q) et le temps propre T, dépendent tout deux de ML. Or dans l'oscillateur dipolaire, c'est bien Q qui fait office de lien (tension) entre les deux pôles opposés.
Ensuite quand la synchronisation crée le BEC et que se dernier sature, il y a superposition et donc séparation des dipôles et à ce moment, M, L, T, s'expriment. Ce n'est pas que le temps qui démarre (ou s'exprime) mais aussi M L Q.
La corde oscillante nous dit tout cela mais bien sûr en partant de l'impulsion de Dirac pour la dualité M et L. Rappelons le profond paradoxe exprimé par ces deux interdits formels : M = 0 ; M > 0 *. Ces deux interdits contradictoires, représentent la cause profonde de l'oscillation stochastique. L'existence de l'univers tient à ce paradoxe !
* attention il s'agit de l'impossible zéro absolu très différent du zéro physique qui lui est relatif à deux contraires qui s'annulent. Tant que certains physiciens n'auront pas compris que le zéro mathématique est incompatible avec la physique, ils resteront dans cette coupable ignorance qui consiste à laisser la place à des conceptions divines qui n'ont rien à voir avec la physique.