vendredi 22 février 2019

SCIENCESS.ENERGIES.ENVIRONNEMENT .BLOGGER / Les trous noirs et le curieux obstiné ! suite 3



Je vais essayer d’expliquer à mon ami  FRED pourquoi  il est possible, cette fois ci d’être quasi certain de localiser  l un des trous noirs  qui se trouve au centre   de notre galaxie propre ; la VOIE LACTEE
Premier point :Si nous ne sommes pas trop éloignés d’un trou noir ,je vous ai déjà  expliqué que ça facilite beaucoup les observations   ;leur nombre et leur précision  ….Et puis  , il faut avoir un peu de chance  pour être là , au bon moment   , c’est à dire quand ce trou noir se réveille   pour ouvrir toute grande sa gueule  et avaler étoile ou gaz etc. ….( une fois tous les 60 ans dit une collaboratrice !)   A partir de là il est possible de bâtir par calcul  un ou plusieurs modèles  pour expliquer la partie expérimentale  et en tirer l optimal …….
Deuxième point : il est devenu, en astronomie moderne  capital  non seulement de réunir les outils  d’observations les plus performants mais aussi toute la collection d’experts  qui seront capables  de tirer le maximum  Et en sens   je vous en ai déjà parlé :GRAVITY est un nouvel instrument permettant de combiner de manière cohérente la lumière de l'interféromètre du très grand télescope du European Southern Observatory pour former un télescope d'une résolution angulaire équivalente à 130 m de diamètre et d'une surface de captage de 200 m2. L'instrument comprend une combinaison de faisceaux d'optique intégrée, une spectroscopie haute résolution, une analyse et une commande de faisceau intégrées, une détection de front d'onde dans l'infrarouge proche, un suivi de phase, un fonctionnement à double faisceau et une métrologie laser. GRAVITY ouvre à l’interférométrie optique / infrarouge les techniques d’imagerie à référence de phase et d’astrométrie à angle étroit, suivant de nombreux aspects les concepts de l’interférométrie radio
 Pour être tout à fait objectif, c’est  un enfant de l ESO : European Organisation for Astronomical Research in the Southern Hemisphere. …..Et si  vous desiriez  connaitre le groupe de chercheurs affectes il me faudrait une page complète  alors je me contenterai de donner la reference complète de leur énorme publication : «  Most Detailed Observations of Material Orbiting close to a Black ... - ESO
https://www.eso.org/public/news/eso1835/.. published in the journal Astronomy & Astrophysics on 31 October 2018.

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 La deuxième partie de mon article est expérimentale  et destinée aux Nuls     qui me lisent : si  du gaz ou une etoile  vient orbiter  ni trop près ni trop loin d un trou noir   , il va tourner autour en s’accélérant et en se chauffant   plutôt  suivant le modèle relativiste   RG  que suivant le modèle newtonien, Cette élévation énorme de température  est détectée , localisée et  mesurée en puissance et en longueur d’onde   et qui dit chaleur dit infrarouge   ,matérialisé par cette lueur rouge que l’on voit tourner autour du trou noir 
 Voici donc quelques-uns des clichés de synthèse  que j’ai réussi à extraire des publications scientifiques  originales  et que j espère pouvoir partager sur  facebook et pinterest







Premières observations détaillées de la matière orbitant à proximité d’un trou noir

2 commentaires:

  1. POUR FRED //Dans la communication originale video que j esperais faire passer au moins sur facebook on voit en effet le nuage rouge de la photo passer dans le sens des aiguilles d une montre tout le long du cercle et deborder un peu ;je pense donc qU4IL agit plutot de la presentation par derriere du trou noir

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  2. j ignore si FRED a le temps ou l idee de relire des commentaires tardifs mais j ai eu d autres nouvelles recentes sur l observation et en particulier LA RECHERCHE de ce mois ci en parle : ils présentent un autre type de figure qui illustre mieux a mon avis le phénomene que ces images de la collaboration ESO
    Ils presentent une partie de l orbite elliptique de l etoile au fur et a mesure qu est se raproche du trou noir et se fsit " sucer des particules en les chauffant à des températures quasi luminiques ...
    Donc en fait le cercle bleu de la photo ESO n est que l extrapolation de l'artiste photographe et non la transmission rigoureuse des résultats de GRAVITY

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