SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE/9 EME DISCUSSION

Je réserverai à l’ avenir les thèmes scientifiques développés dans «  Le pouvoir de l’imaginaire »  a mes sites  GOOGLE/BLOGGER/TWITTER /  et FACEBOOK  à mon nom  , tout comme je  le  fais  pour les thèmes nucléaire/ énergies etc  ….

Je vous invite aujourd’hui  a la 9 ème discussion avec Mrs  PEPPER  de   Princeton

. Je ne publie plus aux Comptes rendus de l’Académie des  Scirnces et    comme je suis l’objet   sur  le  sujet  ci-dessus d’une censure    du groupe « astronomie ;mécanique quantique ,exploration spatiale » de la part des administrateurs modérateurs de ce site  ( dont j’ignore les qualifications professionnelles et universitaires )il est fort possible que je  décide  de me retirer   de ce groupe 

88888888888888888888888888888

9 ème discussion

_ » Cher OLIVIER , lorsque je vous ai entendu me parler du pouvoir dispersif et «  fugitif «  des photons  j’ai pensé tout de suite à deux choses : le  CMB ; le fond cosmique  radio «  fossile »  et le paradoxe d OLBERS

-«  En effet  PEPPER   il faut savoir que l’espace de notre Univers est rempli en permane d’ondes hertziennes….. Nous baignons dans    le CMB Cosmic Microwave Background … L’intensité du rayonnement est mesurée sur plus d'une douzaine de longueurs d'onde entre 73,5 et 0,33 centimètres  et  qui sont en accord avec la distribution de Planck de l'énergie selon la longueur d'onde….Elles correspondent à une température comprise entre 2,7 et 3 kelvins pour l’espace cosmique ….Mais  ce CMB est expliqué  tout  autrement  par le refroidissement et l' étirement de la dernière surface    quasi homogène  présente à 3800000 années lumière  apres ce soi disant big bang …

En fait  le phénomène de « fuite » des photons  que je vous ai décrit tend plutôt à démontrer  que l’énergie interne de notre bulle d’univers n’est peut-être pas aussi étanche  que     celle d’un espace  thermodynamiquement   fermé et isolè ….. Maisp pourquoi me parlez-vous  aussi du paradoxe d 'OLBERS ?

-« Si on suppose  OLIVI ER un univers infini contenant une infinité d'étoiles uniformément réparties et actives , alors  dan m’importe quelle direction on observera une étoile. En raisonnant sur distance et luminosité le ciel nocturne devrait être aussi brillant que la surface d'une étoile moyenne, ce qui n’est pas le cas  puisque le  ciel  la nuit est noir !Et je suppose que ce n’est pas parce que   vos photons se dépêchent de fuir  notre univers s’ ils ont  réussi  àle traverser sans encombre !

-«  Bien sur PEPPER ! En 18238, Olbers  a complété  ce raisonnement en constatant que dans un univers rempli uniformément d'étoiles, les étoiles se masquent les unes des autres et en a  déduit que la luminosité du ciel nocturne ne pouvait pas être infinie mais au plus égale à la luminosité de surface d'une étoile. On peut de nos jours calculer que cette "limite de visibilité" serait de l'ordre de 10 ^18 à 10^19 années-lumière c'est-à-dire bien au-delà du rayon de l'Univers observable.E n fait le phénomène que je vous ai décrit     ne participe que peu au «  noir du ciel »de l Espace cosmique …. Si  j’insiste  sur ce point  c’est pour essayer de trouver des réponses a votre obsession : comment  « réveiller »une  bulle d’univers proche de la mort thermique

 

A SUIVRE