Poursuite de
dialogue avec Mr PEPPER
8888888888888888888888888888888888
-«
Pouvez-vous OLIVIER présenter les derniers résultats théoriques
ou expérimentaux parus sur « l’hypothèse
BIG BAN G » ? (en dehors
bien sûr de la publication signalée par Alexei
Y. Poludnenko, et allia sur les
explosions de supernovæ 1 a )
-« PEPPER ,je vous répète , qu’ il n’existe aucun signal expérimental direct
(observable dans un petit coin très très lointain par notre champ de moyens actuels) par exemple
de la naissance du big bang d’un univers voisin !….Et pour vous
donner la preuve de la mauvaise foi d’un certain milieu intellectuel ,lorsqu’
il nous arrive de détecter un trou noir
déjà monstrueux J1342+0928 remontant à 690
millions d'années seulement après le supposé Big Bang……eh bien ce n’est pas l’existence de ce dernier que l’on met en cause mais les
conditions de naissance de ces énormes trous noirs ! si précoces !!!
-«
OLIVIER , votre position si radicale m’étonne !J’étais arrivé à penser que
le big bang se justifiait maintenant par trois preuves astronomiques , physiques et
chimiques donc d’ ’apparence
scientifique : le redshift des galaxies, qui s’éloignent ,l’origine du rayonnement fossile microonde et la quantité du deutérium primordial issue
des calculs.
-« J’aimerais
PEPPER
que vous réalisiez que ces
observations expérimentales et ces mesures
confirmées sont ensuite prises en charge par des
théoriciens qui grâce a des outils mathématiques parfois très puissants nous
IMPOSENT DES MODELES d’une
théorie !!!!Et bien entendu si celle-ci est subtilement erronée ou incomplète alors
l’interprétation qu’elle donne des phénomènes sera fausse. Je crois nécessaire,
quitte à retomber sur de longues discussions
que nous avons eu avec l’épistémologue JEAN JACK MCALEF que la
seule aporie sur laquelle nous sommes tombés d’accord est celle-ci :
comment l’existence d’un objet
physique peut-il surgir d’un néant, d’un
rien, d’un non être ? En physique ce néant
ne peut avoir de sens et on retombe sur DIDEROT …. Tout surgissement implique
le passage d’un état à un autre qui
se réalise à partir de « quelque chose » déjà existant.
-« Sur
ce point je suis d’accord OLIVIER ! Mais le problème ensuite est de trouver ce « quelque
chose » qui est absolument incréé et donc reste éternel
a partir duquel il y a création de matière. Et
vous avez choisi de
contourner la difficulté contre EINSTEIN !
Vous avez choisi l’Espace !!!!
-« Sur
ce point vous avez à moite raison PEPPER !
De fait,peu de gens ( sauf EDGARD GUNZIG )
réalisent que si selon EINSTEIN vous n’avez plus ni ondes ni matière il ne reste plus rien
…..que le néant …. A l’opposé
,je ne suis pas de ceux qui se réfugient
dans l’idée que l’’espace cosmique , mémé en apparence vide , reste rempli d’une
énergie que les
équations de la mécanique quantique peuvent faire surgir avec opportunisme …… Dans
le « vide »de mon concept
personnel d’espace cosmique je ne vais mèttre que deux propositions alternatives …
La première : soit l’ESPACE
EST NU mais SI ses volumes sont éternels , ils sont là
pour accepter ce qui pourrait arriver d’ailleurs et
voir surgir ou se dérouler des phénomènes impliquant matière et ondes ( ce qui implique un univers de dimensions infini es mais hétérogène )
La seconde :l’ Espace cosmique est rempli d’une bouillie extrêmement diluée d’ondes anarchiques qui partant dans tous les sens se neutralisent en un vecteur globalement nul !! (théorie
des Cordes et autres hérétiques )
Et le
surgissement d’un UNIVERS provient
alors d’un hasard de
configurations d’ondes qui s’harmonisent localement
-
«
Vous tirez l’univers au loto ,OLIVIER !!!!!!
A SUIVRE
Dans le modèle Oscar, le calibrage des étoiles formées par les premiers BEC-fils est précisément à 330 Masses solaires. Par ailleurs la conformation en étoiles est inscrite et provoquée par les BECs en moins d'un million d'années après le BB. Donc ces observations sont en accord avec Oscar. Même l'unique et immense "trou" de l'Eridan (complétement éludé par tous) nous montre le BEC-fossile. Je n'aime pas du tout le terme d'hérétique dont l'aspect péjoratif est teinté des heures sombres du moyen âge. Je préfère "théorie alternative". Parmi elles il y a celles qui ne se recoupent avec rien d'observable (par exemple les cordes ou l'univers stable).
RépondreSupprimerDans l’hypothèse d’un espace plein d’une bouillie d’ondes vous évitez en effet la naissance à partir de rien, mais vous acceptez la création de l’univers lors d’un évènement unique qu’est le big bang. C’est un phénomène monstrueux et indémontrable.
RépondreSupprimerMais on peut imaginer un autre modèle où la naissance de chaque astre soit un mini big bang : qui peut le plus peut le moins. L’avantage, c’est qu’on peut le démontrer par l’observation si les rayonnements hyper énergétiques et les explosions d’étoiles annoncent la naissance d’astres nouveaux et non la mort de vieilles étoiles. De plus, chaque jour avec les accélérateurs de particules on prouve qu’on peut fabriquer de la matière à partir de la substance de l’espace ici et maintenant. Alors pourquoi imaginer deux modes de création qui seraient différents
Attention !!! La grande erreur du modèle standard est d'ignorer (éluder) que TOUTE création locale est instable. Les protons + électrons stables sont donc de création NON locale i.e ayant subit forcément une réduction de localité qui a délocalisé l'alter ego avec lequel il y a annihilation. Cela montre clairement que le principe cosmologique est une spéculation. En effet, si toutes les localités sont équivalentes, la non localité est très différente. Le MS a des problèmes avec la dualité de localité et notamment avec le "lien fantôme" de l'intrication. Le lieu de cette non localité est le big bang qui relève en effet d'un état antérieur dont l'entropie (de désordre) est maximale car empli d'une infinité d'oscillateurs de type dipolaire à zéro paramètre apparent.
RépondreSupprimerNB : éluder la dualité de localité est aussi grave que d'éluder la dualité des zéros (entre celui "absolu" de nature mathématique et celui "relatif" de nature physique). Avec Magnan du Collège de France, nous dénonçons l'amalgame qui est fait avec l'utilisation en physique du zéro mathématique.
https://lacosmo.com/Nature31.html