dimanche 31 mai 2020

Sciences Energies Environnement:Le monde selon la physique/Les chauds et froids terrestres: suite 4

Je vous propose de poursuivre la discussion  avec mon correspondant   américain  en   Floride ,M  r PEPPER  sur les causes physiques  ou autres responsables  des glaciations –réchauffements  de notre planète ….
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-«   Pouvez-vous nous présenter OLIVIER     ce  dont on  est certain sur l’ampleur de ces phénomènes ?

- Il me faut savoir, au préalable  PEPPER   si vous êtes intéressé par la période historique  où il y avait  des observations  humaines  possibles et  datées  ou  à tout ce que l’on peut « reconstruire » du climat terrestre  depuis par exemple  les 100 000 dernières années

-«  Qu’aviez vous choisit  lorsque vous étiez  en poste  au  CEA ?

-«   Pour la présentation   du  ou des «  livres  de procédé »   d’une installation nucléaire  au   Groupe permanent » nous  nous limitions  aux recherches historiques   et remontions au moins jusqu’au Moyen –Age …quand c’était possible !Je  présume que  cela ne vous intéresse pas spécialement  et que vous voulez « ratisser » beaucoup pôle large

-« C  ‘est exact ; envisagez par exemple de nous raconter  ce que vous savez  sur les périodes de chaud et de froid  sur les derniers 100 000 ans   et je précise tant que  l  Anthropogène n’a pas démarré ……

-«  OK PEPPER ! Laissez moins alors démarrer pour nos lecteurs par la définition de ce mot …. L'Anthropocèn est  le nom  de l’époque de l'histoire de la Terre qui a été proposée pour caractériser l'ensemble des événements  qui se sont produits depuis que les activités humaines ont une incidence  significative sur l'écosystème terrestre.
 Et vous me mettez  déjà en difficultés   PEPPER car   on a démontré   que les variations de l’acculturation humaine ont été  très grandes dans les divers continents  ….Par exemple le néolithique   a pu  parfois transformer  les paysages  et le climat  de certaines régions  beaucoup plus tôt et largement  que  d’autres restées  au stade  humains chasseurs- cueilleurs ( paléolithique )  presque jusqu au 19 ème siècle !L’invention humaine de l’agriculture  et de l’habitat localisés   a pu entrainer  notamment  des déboisements considérables…..et modifier le climat s’ ils sont tés étendus……

-« OK  ,Mais ce n’est pas cette diversité entre les divers continents  qui m’intéresse .
And to talk straight   give us the  GIEDC diagramm  of Climatic variations in the longest instrumental records !!! Arretez  de tourner autoureur du pot , come vous dites ! OLIVIER

-“OK PEPPER ! Je cède à vos impatiences : voic les plus récents que me donne le WEB ….MAIS COMME JE VOUS L AI DIT ..... IL FAUT RENTRER DANS LES DETAILS !
1345 Climat (8) : Historique long et analyse du réchauffement ...Welcome to the Pliocene! On the meaning of 400ppm | rabble.ca

vendredi 29 mai 2020

Sciences.Energies.Environnement/l Le monde selon la physhysique /Interméde fondant !/2020 W21 P4


Continuant à proposer à nos lecteurs  de traiter le thème de l’élévation de température  pour nos futurs climats, je m’étais promis  de profiter  des envois journaliers de SCIENCEX /PHYS ORG   pour vous  traduire  un de leurs articles de leur    copieuse rubrique  « Earth  news »    sur le sujet ;Or il se trouve que je viens d’y recevoir aujourd’hui  précisément ceci : 
«      
Antarctic ice sheets capable of retreating up to 50 meters per day”

 J’ai donc choisi de ne vous en présenter que le résumé  et la conclusion  et de contacter Mr  PEPPER  pour entamer une discussion  sur cet étrange cycle de glaciations – réchauffements    que subit notre Globe   depuis…pas mal d’années !

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 Ma traduction de l article  : « L es  Inlandsis antarctiques étaient  capables de reculer jusqu'à 50 mètres par jour
Les plateaux de glace entourant le littoral antarctique ont reculé à des vitesses pouvant atteindre 50 mètres par jour à la fin de la dernière période glaciaire,. Ceci  est  bien plus rapide que les taux de retrait par satellite observés aujourd'hui, selon de nouvelles recherches. ……
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"L'environnement marin profond est en fait assez calme au large de l'Antarctique, permettant à de telles fonctionnalités d'être bien préservées au fil du temps sur le fond marin", a déclaré Dowdeswell. «Mais nous savons maintenant que la glace est capable de reculer à des vitesses bien supérieures à ce que nous voyons aujourd'hui. Si le changement climatique devait continuer d'affaiblir les plateaux de glace au cours des prochaines décennies, nous pourrions observer des taux de retrait similaires, avec des implications profondes pour la remontée du niveau de la mer.."

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-« Puisque vous avez lu l’article ci-dessus , Mr PEPPER , ne trouvez-vous pas sidérant qu’un Inlandsis  puisse se mettre à fondre aussi rapidement  qu’ i l y  a 120000 ans ?!

-«  J’ignore  OLIVIER   en fait    ce que vous désignez exactement par inlandsis antarctique !

-« L'inlandsis de l'Antarctique  , PEPPER, est le nom de la calotte polaire qui recouvre la majeure partie de l'Antarctique. À certains endroits,   il s'étend sur l'océan Austral par formant des barrières de glace . La couche de glace peut atteindre 4 000 mètres d'épaisseur
 Lors de chaque glaciation, les inlandsis actuels étaient plus étendus et certains occupaient des portions entières de continents.

-«  Et vous désirez  OLIVIER si je ne m’abusus  connaitre  pourquoi  notre planète chérie     se divertit a    de tels chauds et froids    successifs  ….. ?

 -«  Oui  PEPPER … Et quels sont les   causes physiques ou autres   responsable  de phénomènes d’une telle ampleur et rapidité !

  A suivre

jeudi 28 mai 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/Le monde selon la physique / intermède bouillant et sec /W 21 P3


La suite de mon article d hier sur un été bouillant se trouve dans la presse et dans les média d’aujourd’hui : je cite en particulier :
«  Où se trouvent les 53 départements français menacés  de sécheresse ...www.usinenouvelle.com › article ›
 Je vous propose la carte éditée par  la revue citée

https://www.usinenouvelle.com/mediatheque/1/1/3/000870311_illustration_large.png
  Vous constaterez peut être avec plaisir que le bord de mer que vous aviez prévu pour vos vacances ne s’ y trouve pas !
Mais l’aspect touristique  d’une  telle prévision peut sembler secondaire à tous les agriculteurs qui  souffrent déjà d’un  dé but de sécheresse  et vont se trouver face à un autre genre de danger  que la persistance possible d’un certain niveau de covid 21
C’est donc une année à catastrphes pensez-vous ?
Oubliez-vous le niveau de chômage et de problèmes sociaux et économiques en train de se développer ?



mercredi 27 mai 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/Le mobde selon la physique/ IIntermède bouillant!:w21 p3/2020WEEK 21 P3


Puisque  nous nous trouvons  actuellement, parait-il  sur  une période  très faste  en matières d’heures de soleil effectives   par mois, je vais en profiter pour  réactiver   les thèmes d’environnement   du titre de mon sites «  Sciences ;énergie ;environnement » .Ce sera aujourd’hui  come titre : quel climat aurons-nous pour juillet et aout ?

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Lorsque nous discutons dans nos  jardins entre voisins, il vient, après ces si belles journées ensoleillées   très rapidement  la question   : »allons-nous subir une canicule     et 2 mois de vacances bouillantes ???? C’est pourquoi j’ai tenté de rechercher  des sites prévisionnistes de météorologie à court et semi moyen terme ! Pour moi une canicule c’est au moins 10 jours où   les températures  restent élevées,  « tangentent » ou dépassent de jour les 40 °C  et ne redescendent pas la nuit au-dessous de 30 ° !

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 Premier   à interroger (sure GOOGLE ) : www.météofrance.com
PREVISIONS SAISONNIERES par Météo-France: Prévisions ... Je ne vous donne que le résumé car l ensemble est trop copieux  pour tenir dans mon  projet d articlec : « LES PRÉVISIONS SAISONNIÈRES POUR LE TRIMESTRE MAI-JUIN-JUILLET 2020
Europe et France métropolitaine
Le trimestre prochain devrait être plus chaud que la normale sur toute l'Europe. Les précipitations devraient être déficitaires sur le nord-ouest du continent alors qu'aucun scénario n'est privilégié ailleurs. »
 Et prudemment ils rajoutent : « Le prochain bulletin sera publié fin mai 2020. Il proposera les prévisions pour le trimestre juin-juillet-août 2020.
Et de canicule il n’en est point dit un mot !

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 J interroge alors un 2 éme site : Prévisions saisonnièresPour l'été – (actualités .lachaînemétéo.com+
  Je cite   un extrait en tete : « Par Regis CREPET, météorologue
Publié le 10/09/18, mis à jour le 27/05/20 à 10h14
L'actualisation des prévisions saisonnières est valable pour l'été (juin, juillet et août), revêtant ainsi une importance particulière avec, en perspective, les vacances. Ces prévisions mettent en évidence des températures toujours globalement supérieures aux moyennes de saison et une pluviométrie globalement normale et orageuse. L'été s'annonce donc plutôt chaud, mais moins que les précédents, et surtout nettement plus orageux. »
Mais toujours rien sur une canicule !

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 En desespoir de cause je formule  sur  GOOGLE  la question  directe : « canicule en juillet en France ????? » et je tombe enfin sur l’article adéquat  et qui »se mouille » peut etre   écrit le 21/05/2020 ! « Y a-t-il un risque de canicule en France pour l'été 2020 , »?
Mais il fait 3 pages W eb avec une  « tripotée » de graphiques diagrammes etc !  Que faire ?
Bon ! je vous fais un copier coller de leur conclusion : « À  cette heure, nul ne peut prétendre savoir si une (ou plusieurs) canicule(s) toucheront la France cet été. Les projections présentées ci-dessus sont des moyennes lissées sur le mois, ne permettant pas de faire ressortir un éventuel épisode caniculaire de quelques jours. Par définition, une canicule n'est prévisible qu'à courte échéance. Nous pouvons seulement noter qu'avec un été prévu plus chaud que la normale, le risque de connaître un épisode caniculaire est bel et bien présent, à l'image des années précédentes." E t c est signé!!!!




 A suivre





mardi 26 mai 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LA MONDE SELON LA PHYSIQUE/ /2020 SEMAINE 21 P2


Le courrier de  ce matin je l’ai ouvert après un commentaire inscrit sur mon article d hier ….Et chers lecteurs vous allez constater sur ma traduction d’aujourd’hui pourquoi les USA   ne mettent pas tous leurs œufs dans le même panier !

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From  SCIENCE X NEWSPAPER  to R.O.HARTMANSHENN

 « Energy-recovery linear accelerator proposed for next-generation physics research
by Karen McNulty Walsh, Brookhaven National Laboratory

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L’accélérateur linéaire à récupération d'énergie proposé pour la recherche en physique de la prochaine génération
par Karen McNulty Walsh, Brookhaven National Laboratory
 
 Energy-recovery linear accelerator proposed for next-generation physics research
    photo :
Agencement possible d'un collisionneur électron-positon à linac  ( accélérateur linéaire)à récupération d'énergie (ERL). Les faisceaux d'électrons et de positrons seraient chacun accélérés par étapes pendant quatre passages à travers deux linacs supraconducteurs, se déplaçant dans des directions opposées à travers l'anneau de 100 kilomètres de circonférence après chaque passage d'accélération. Lorsque les particules atteignent l'énergie maximale (250 milliards d'électrons volts, ou GeV, comme indiqué sur le graphique en encadré), elles sont mises en collision dans l'un des détecteurs (D1, D2). Après les collisions, les faisceaux brisés seraient ralentis et refroidis dans des anneaux d'accélérateur à faible énergie (2 GeV) avant de répéter encore et encore le processus d'accélération-collision-décélération. Crédit: Brookhaven National Laboratory
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Tandis que les physiciens élaboraient des plans pour la construction d'un collisionneur électron-ion (EIC) - une installation de physique nucléaire de prochaine génération qui sera construite au Brookhaven National Laboratory pour la recherche en physique nucléaire du département américain de l'Énergie - ils  se sont mis  sur  diverses options pour accélérer les faisceaux d'électrons. Une approche, développée par des scientifiques du Brookhaven Lab et de la Stony Brook University, consistait à utiliser un accélérateur linéaire à récupération d'énergie (ERL). L'ERL amènerait les électrons à l'énergie nécessaire pour sonder la structure interne des protons et des noyaux atomiques, puis ralentirait les électrons et réutiliserait la majeure partie de leur énergie. La R&D visant à développer le BRE innovant pourrait finir par avoir un impact majeur dans un autre domaine de la physique - la physique des particules à haute énergie, où les besoins en énergie rendent ses fonctions d'économie d'énergie particulièrement attrayantes.


"La consommation d'énergie des instruments scientifiques pour les expériences de physique des particules a régulièrement augmenté. Pour effectuer des recherches durables, les physiciens étudient des moyens de réduire cette consommation d'énergie", a déclaré Thomas Roser, chef du département Collider-Accelerator du Brookhaven Lab, l'un des scientifiques qui ont développé le Approche ERL.

Dans un article qui vient d'être publié dans la revue Physics Letters B, les auteurs décrivent comment leurs innovations pourraient « apprivoiser » les besoins en énergie d'un collisionneur électron-positon (e-e +) - un centre de recherche de nouvelle génération en physique des particules à haute énergie en discussion pour de possibles construction future en Europe.
La communauté de la physique des particules en est aux premières étapes de la planification d'un éventuel futur collisionneur électron-positon, notamment en discutant de divers modèles et emplacements. Dans chacune de ces configurations, l'installation amènerait des faisceaux d'électrons chargés négativement (e-) dans des collisions avec leurs homologues d'antimatière chargés positivement, appelés positrons (e +), pour mener des études de précision des propriétés du boson de Higgs. C'est la particule découverte au Grand collisionneur de hadrons (LHC) en Europe en 2012 qui est responsable de la transmission de la masse aux particules les plus fondamentales dans le modèle standard de physique des particules.

"En savoir plus sur les propriétés de la particule de Higgs et ses interactions avec d'autres particules aiderait les scientifiques à découvrir le mécanisme qui sous-tend cet important fondement du fonctionnement de notre univers, et peut-être à découvrir des divergences qui pointent vers l'existence de nouvelles particules ou  vers  d'une" nouvelle physique "", a déclaré Brookhaven. la physicienne Maria Chamizo-Llatas, co-auteur de l'article.

L'une des conceptions possibles est un «anneau de stockage» de 100 kilomètres de circonférence basé au laboratoire européen du CERN (qui abrite le LHC circulaire de 27 kilomètres). Des faisceaux d'électrons et de positrons circuleraient à travers l'anneau de stockage en continu et entreraient en collision à plusieurs reprises pour produire les données souhaitées. Une autre conception consisterait en deux grands accélérateurs linéaires qui produisent des  collisions  frontales en ligne droite.
Les besoins en énergie pour ces deux configurations approchent des centaines de mégawatts, a déclaré Roser - suffisamment d'énergie pour alimenter des centaines de milliers de foyers.

Dans un anneau de stockage, a noté Roser, beaucoup d'énergie se perd sous forme de rayonnement "synchrotron", un type d'énergie émise par des particules chargées qui changent de direction en se déplaçant autour du cercle (imaginez la façon dont l'eau  se pulvérise  d’ une serviette mouillée si vous la  faites tourbillonner ) au-dessus de votre tête). "Plus l'énergie est élevée, plus la perte d'énergie du synchrotron est importante", a déclaré Roser, et plus il est nécessaire de compenser cette perte en ajoutant plus d'énergie pour empêcher les particules d'entrer en collision.

Dans un collisionneur utilisant des accélérateurs linéaires, aucun rayonnement synchrotron n'est émis. Mais les faisceaux utilisés sont éjectés  après un seul passage à travers l'accélérateur. Cela signifie que l'énergie du faisceau, ainsi que toutes les particules du faisceau, sont perdues. Il faut plus d'énergie pour accélérer encore et encore les faisceaux de particules.

Les physiciens de Brookhaven et de Stony Brook affirment que leurs composants ERL de récupération d'énergie et de recyclage des faisceaux pourraient résoudre les problèmes clés des deux conceptions alternatives. Comme décrit dans le nouveau document, cela réduirait la puissance électrique nécessaire au fonctionnement de l'installation en forme d'anneau de 100 km en cours de discussion en Europe à un tiers de ce qui serait nécessaire sans ERL. Et, en rafraîchissant les faisceaux de particules tout en récupérant et en réutilisant leur énergie, cela éliminerait le besoin de vider et de remplacer les faisceaux tout en permettant des collisions en un seul passage de particules étroitement emballées pour un impact physique maximal.

Le ERL serait constitué de cavités supraconductrices à radiofréquence (SRF) et agirait comme "un perpetuum-mobile d'une sorte inventé dans les années 1960 par Maury Tigner à l'Université Cornell", a expliqué Vladimir Litvinenko, professeur de physique à l'Université de Stony Brook avec un joint rendez-vous au Brookhaven Lab. "Le principal avantage des cavités SRF est qu'elles consomment très peu d'énergie pendant leur fonctionnement. Elles sont parfaitement adaptées pour accélérer de nouvelles particules en récupérant l'énergie des particules utilisées", a-t-il expliqué.

Pour un collisionneur e-e +, un ERL multipasse accélérerait les deux ensembles de particules par étapes à une énergie de plus en plus élevée chaque fois qu'ils traversent l'accélérateur linéaire SRF. Après chaque étape d'accélération, les particules se faufilaient à travers un tunnel en forme d'anneau de 100 kilomètres vers l'accélérateur linéaire pour l'étape suivante d'accélération; les électrons se déplaçant dans une direction et les positrons dans l'autre sens. Le fait de faire voyager les particules sur un si grand chemin circulaire aide à réduire l'énergie perdue sous forme de rayonnement synchrotron.

"Après être entrés en collision avec l'énergie la plus élevée, les électrons et les positrons restitueraient  leur énergie en passant par le même accélérateur, mais  en décélérant", a déclaré Litvinenko. "Pendant la décélération, l'énergie des particules est capturée dans les cavités SRF pour être utilisée pour accélérer le prochain lot de particules."

Surtout, non seulement l'énergie mais aussi les particules elles-mêmes seraient recyclées après les collisions. Des composants de refroidissement supplémentaires garantiraient que les particules restent bien emballées pour maintenir des taux de collision élevés mais  avec des besoins en énergie relativement faibles.

"En apprivoisant le besoin de puissance et en réutilisant les particules dans un collisionneur e-e +, notre conception permettrait aux scientifiques d'effectuer des recherches de pointe de manière durable", a déclaré Roser

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Explore further

Transformative 'green' accelerator achieves world's first 8-pass full energy recovery
More information: Vladimir N. Litvinenko et al. High-energy high-luminosity e+e− collider using energy-recovery linacs, Physics Letters B (2020). DOI: 10.1016/j.physletb.2020.135394
Journal information: Physics Letters B
Provided by Brookhaven National Laboratory

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 MES COMMENTAIRES
Ce n’est pas sur  le  dispositif de récupération d’énergie que j’ai quelque chose à dire !Pousser la puissance des chocs  sur   le LHC   dans sa configuration améliorée  actuelle  est encore possible  mais je ne vois pas en quoi  affiner  le repérage du boson de HIGGS   est utile  ….En revanche étudier  la diversité des modes de décomposition l’est encore ….ainsi que les caractéristiques de son champ … mais ça le LHC   peut le faire   et tant pis si c’est en dépensant un peu trop de kilowatts !
Je tiens à  rappeler   que les américains  sont rentrés  en retard  et « presque  à reculons »  dans la  création du CERN  et dans son financement……etc     et comme souvent quand ils voient que les choses avancent  veulent reprendre le leadership   .  Je   l’ ai déjà souligné hier dans  mon article  sur l’installation ITER  


lundi 25 mai 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE /WEKK21P1


Délaissant  les énigmes de la matière noire  discutées  avec PEPPER   et commentées par DOMINIQUE MAREAU ,je vous propose aujourd’hui une traduction d’une des découvertes adressées récemment  par  PHYS ORG/ SCIENCE X

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Discovery about the edge of fusion plasma could help realize fusion power

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L’étude des  bords  du plasma de fusion pourrait aider   à atteindre  la puissance nécessaire à la   fusion nucléaire
par John Greenwald, Princeton Plasma Physics Laboratory


Un obstacle majeur à la production d'énergie d’une  fusion sûre, propre et abondante sur Terre est le manque de compréhension détaillée du comportement du gaz plasmatique chaud et chargé qui alimente les réactions de fusion au bord des installations de fusion appelées "tokamaks". Des percées récentes réalisées par des chercheurs du Princeton Plasma Physics Laboratory (PPPL) du Département américain de l'énergie (DOE) ont permis de mieux comprendre le comportement du bord de plasma très complexe des tokamaks en forme de beignet  , et   à se mettre sur la route de la capture de l'énergie de fusion qui alimente le soleil et étoiles. La compréhension de cette région périphérique sera particulièrement importante pour l'exploitation d'ITER, l'expérience internationale de fusion en cours de construction en France pour démontrer le caractère pratique de l'énergie de fusion
L'une des premières découvertes a été la découverte que la prise en compte des fluctuations turbulentes des champs magnétiques qui confinent le plasma qui alimente les réactions de fusion peut réduire considérablement le flux des particules turbulentes près du bord du plasma. Les simulations informatiques montrent que le flux net de particules peut descendre jusqu'à 30%, malgré le fait que l'amplitude moyenne de la fluctuation de la densité des particules turbulentes augmente de 60%, ce qui indique que même si les fluctuations de la densité turbulente deviennent  plus virulentes, elles déplacent moins efficacement les particules hors de l'appareil.

Les chercheurs ont développé un code spécialisé appelé "Gkeyll" - prononcé comme "Jekyll" dans "The Strange Case of Dr. Jekyll and Mr. Hyde" de Robert Louis Stevenson - qui rend ces simulations réalisables. Le code mathématique, une forme de modélisation appelée «gyrocinétique», simule l'orbite des particules de plasma autour des lignes de champ magnétique au bord d'un plasma de fusion.

"Notre récent article résume les efforts du groupe Gkeyll dans le domaine de la simulation gyrocinétique", a déclaré le physicien PPPL Ammar Hakim, auteur principal d'un article sur la physique des plasmas qui donne un aperçu des réalisations du groupe, sur la base d'une conférence qu'il a prononcée à l'American Conférence de la Division de physique des plasmas (APS-DPP) de la Physical Society l'automne dernier. La recherche, co-écrite par des scientifiques de six institutions, adapte un algorithme de pointe au système gyrocinétique pour développer les "percées numériques clés nécessaires pour fournir des simulations précises", a déclaré Hakim.
De telles percées font partie de l'effort mondial pour atteindre a science   nécessaire  pourla production de réactions de fusion sur Terre. Les réactions de fusion combinent des éléments légers sous forme de plasma - l'état chaud et chargé de la matière composé d'électrons libres et de noyaux atomiques qui constituent 99% de l'univers visible - pour générer d'énormes quantités d'énergie qui pourraient fournir une alimentation électrique pratiquement inépuisable pour produire de l'électricité pour l'humanité.
Noah Mandell, un étudiant diplômé du programme de physique des plasmas de l'Université de Princeton, s'est appuyé sur les travaux de l'équipe pour développer le premier code gyrocinétique capable de gérer les fluctuations magnétiques dans ce qu'on appelle la couche de grattage au plasma (SOL) au bord des plasmas de tokamak. . Le British Journal of Plasma Physics a publié et mis en évidence son rapport en tant qu'article vedette.
Mandell explore comment la turbulence du plasma  plie les lignes de champ magnétique, conduisant à une ynamique des «lignes de champ dansantes». Il constate que les lignes de champ se déplacent généralement en douceur, mais que la danse peut se reconfigurer brusquement en événements de reconnexion qui les font converger et se séparer violemment.
Les découvertes de Mandell sont mieux décrites comme une "preuve de concept" en ce qui concerne les fluctuations magnétiques, a-t-il dit. "Nous savons qu'il y a plus d'effets physiques qui doivent être ajoutés au code pour des comparaisons détaillées avec des expériences, mais déjà les simulations montrent des propriétés intéressantes près du bord du plasma", a-t-il déclaré. "La capacité à gérer la flexion des lignes de champ magnétique sera également essentielle pour les futures simulations de modes localisés de bord (ELM),  et que nous aimerions mieux comprendre les explosions de chaleur qu'elles provoquent et qui doivent être contrôlées pour éviter les dommages au tokamak." "
Ce qui rend cette découverte unique, c'est que les codes gyrocinétiques précédents ont simulé des taches SOL mais ont supposé que les lignes de champ étaient rigides, a noté Mandell. L'extension d'un code gyrocinétique pour calculer le mouvement des lignes de champs magnétiques est très difficile à calculer, nécessitant des algorithmes spéciaux pour garantir que deux termes importants s'équilibrent avec une précision meilleure que 1 partie sur un million.

De plus, alors que les codes qui modélisent la turbulence dans le cœur du tokamak peuvent inclure des fluctuations magnétiques, ces codes ne peuvent pas simuler la région SOL. "Le SOL nécessite des codes spécialisés comme Gkeyll qui peuvent gérer des fluctuations de plasma et des interactions beaucoup plus importantes avec les parois du réacteur", a déclaré Mandell.

Les prochaines étapes pour le groupe Gkeyll comprendront l'étude du mécanisme physique précis qui affecte la dynamique du bord du plasma, un effet probablement lié aux lignes de champ de flexion. "Ce travail fournit des tremplins qui, je pense, sont très importants", a déclaré Hakim. "Sans les algorithmes que nous avons créés, ces résultats seraient très difficiles à appliquer à ITER et à d'autres machines."
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Explore further

New explanation for sudden collapses of heat in plasmas can help create fusion energy on Earth
More information: N. R. Mandell et al, Electromagnetic full- gyrokinetics in the tokamak edge with discontinuous Galerkin methods, Journal of Plasma Physics (2020). DOI: 10.1017/S0022377820000070
Provided by Princeton Plasma Physics Laboratory

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 MES COMMENTAIRES
Je suppose que mes lecteurs sont au courant  des manips faites sur les divers tokamaks , ces appareils qui accélèrent  des mélanges   gazeux   d’ éléments légers maintenus  ensuite   en confinant magnétiquement  les plasmas réalisés .VOIR MA PHOTO

.L’article souligne  que des codes basés  sur  études mathématiques  et comprenant des algorithmes  sont nécessaires   pour expliquer ce qui se produit    aux bordures de ces plasmas   (… a savoir des pertes et des incidents) …..et en quelque sorte    sont  néfastes a l’atteinte des très hautes températures nécessaires à la fusion  … Mes lecteurs trouveraient  dans les archives de ce blog la description des performances réalisées jusqu’à aujourd’hui
Je ne vous ai pas reproduit les  photos des lignes de champ proposées par les auteurs, qui sne sont que des résultats de calcul
L’article souligne qu’ expérimentations et calculs   doivent conduire à des campagnes successives  et à un ajustement complexe et progressif  des codes    

samedi 23 mai 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT//Lev Monde selon la Physique/INTERLUDE MELANCOLIQUE


-« Faut-il fatiguer nos lecteurs PEPPER pendant leur lecture de ce site en continuant notre discussion sur les propriétés de la matière noire ??Il sera intéressant de voir si la fréquentation du  site « LE MONDE SELON LA PHYSIQUE (SCIENCES .ENERGIES.ENVIRONNEMENT )  «  perd des plumes » en restant trop longtemps sur des sujets aussi énigmatiques  et difficiles??

-«  Je sais OLIVIER   que  le 27 du prochain mois d’aout   sera pour vous le  premier jour  du début  de votre 90 ème année     …… et que pourtant vous n’arrêtez jamais de travailler ! M’est –il permis de vous demander  si vos lecteurs  conservent en week rend t une curiosité aussi infatigable ???Surtout pour des sujets  si loin de nos problèmes actuels ? Et puisque je me trouve en FLORIDE  actuellement regardez ces photos  qui témoignent plutôt  de leur interet pour  tout autre chose

 La légende de la premiere est : ICI C EST COMME AU PEPPER LABL’image contient peut-être : 4 personnes, dont Clara Hartmanshenn, personnes assises, lunettes, écran et intérieur

 Et la légende de la seconde
RUEE SUR LES PLAGES DE FLORIDE / LE GOUVERNEUR HAUSSE LE TON !Spring Break: cinq étudiants de Floride testés positifs à la COVID ...

-« Nous ne sommes  que des animaux de passage ,  PEPPER dans ce si vaste  Univers …mais  un peu conscients  de  leur moi  et de   la complexité tout autour…..Vous avez tort  de signaler  le plaisir éventuel  que je pourrais ressentir a avoir vécu  le premier jour après mes 89 ans révolus …. Qui sait   si  , dans les circonstances graves présentes  si je serai capable  de survivre et  y arriver  !!!!


-«  C’est vrai OLIVIER   ….Je sais que vous avez perdu des amis très chers et risquez   d’en perdre  d’autres …Je suis comme vous conscient de notre fragilité   et de la difficulté de rester  intéressé par des problèmes scientifiques   quand tous s’angoissent et meurent autour de vous   ….Restons donc  silencieux aujourd’hui au sujet de cette matière noire …..


 -« Merci de votre compréhension  PEPPER ….  Je  dois vous avouer  que je suis resté marqué   pour toujours  par   les  mots  d   d’entrée du  célèbre livre d’ HEMINGWAY  / «  Pour  qui sonne le glas ?? »   /Je cite approximativement : «    Nul humain   n’est une ile  en lui-même   …..La mort  de tout être   que nous avons connu   nous  diminue et nous détruit …….Alors …..Si tu entends au soir , au fond de la valée  sonner la cloche  de la mort , ne pose pas la question :pour qui sonne le glas ???....IL SONNE POUR TOI…… »




vendredi 22 mai 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/2020 20 7ME SEMAINE P4


Mr   PEPPER et moi  vous proposons une suite à notre discussion  sur encore  le  même sujet : les propriétés éventuelles de  cette invisible matière noire

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Dans notre dernière rencontre, vous nous avez proposé OLIVIER  la matière noire   sous 2 aspects : soit  la brique constitutive  d’un univers  baryonique en construction , soit  le gravas ou le débris comme résultat  de  collisions galactiques  ….Puis  vu sa faible gravité  ,vous avez évoqué la possibilité d’assemblages   métastables constitués des particules les plus légères    reconnues  elles expérimentalement …..  N’êtes-vous pas en train d’essayer  de concilier  plusieurs  concepts    contradictoires ?

-«  Pourquoi pas  PEPPER ! En tant brique  la matière noire  devrait , dans des conditions   adéquates,   pouvoir redonner  pour commencer  peut être  au moins des leptons  …… et en tant que débris ou gravas  elle doit atterrir sur une  classe de particules   sans baryons   mais  électriquement neutre et stable  et inerte  sous  sollicitation d’énergie E.M  ou métastable en longue durée ……En somme par ses propriétés   ,elle doit ménager la chèvre et le chou !

 -«  Cette expression me plait mais nous avons en argot américain «  to be between devil and deep blue !   Ce qui m’intéresse  maintenant  c’est cette si bizarre configuration  d’électron de de positons   que vous nommez positronium ….Qu’avez-vous à en dire  OLIVIER  ?  Son existence est-elle  possible dans les espaces galactiques ?

-«  Je ne crois  pas avoir manipulé cette bestiole à SACLAY
! Le positronium, noté Ps ou e+e-1, est un système quasi-stable constitué d'un positron et d'un électron formant ensemble  des couples qui peuvent être des sortes de «  métis » de propriétés différentes suivant leur signe de spin ! L'état singulet, 1S 0, avec des spins antiparallèles (S = 0, Ms = 0) est connu comme le para-positronium (p-Ps). Il a une durée de vie moyenne de 0,125 ns et se désintègre de préférence en deux rayons gamma……
  En revanche L'état triplet, 3S1, avec des spins parallèles (S = 1, Ms = -1, 0, 1) est connu sous le nom d'ortho-positronium (o-Ps). I et présente une durée de vie de 142.05±0.02 ns, son existence se terminant avec une annihilation électron-positron. 
Il n’a donc jamais trainé dans mes labos !!!  Mais ce qui est particulièrement intéressant   , c’est la possibilité de le «  charger » en énergie  par la formation, d’un « ménage à3 » !

-«  Attention a ce que vous nous proposez OLIVIER §!!!!
GOOGLE/BLOGGER/TWITTER/FACEBOOK  etc  sont très puritains !


-«  Bof ! C’est de la physique PEPPER ! ! Une liaison moléculaire a été prévue p et réalisée our le positronium.  Des molécules d'hydrure de positronium (PsH) peuvent être fabriquées   et d’autres assemblages  encore plus compliqués…..Et n oubliez pas que l espace     regorge d’atomes isolés  d’hydrogène à marier !
 Quoique il en soit la première observation de molécules de di-positronium - molécules constituées de deux atomes de positronium - a été rapportée  en 2007 par David Cassidy et Allen Mills de l'Université de Californie, Riverside.
 A suivre


jeudi 21 mai 2020

sciences;energies;environnement:/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE// week 20 p3


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Site de la discussion avec Mr PEPPER
-«  Qu-ai-je écrit qui vous donne une telle surprise  PEPPER , ?

-«  OLIVIER  je vous cite : vous qualifiez la matière noire de «  gravas  ou de «  débris » !

-«  J’ai  été incomplet  et n’ai pas cité mes sources ….C ‘est mon ami Dominique Mareau  qui a a employé le premier  les mots   «  briques «  ou   plus tard «  résultats de collision galactique «
 Et je me demande si la matière noire   compte tenu de sa localisation calculée   peut être a la fois un et l’autre .Elle   est localisée par calcul soit dans les halos qui entourent les galaxies  soit  également par ses effets de lentilles gravitationnelles   situés eux a l’intérieur des galaxies  et des amas  … Ces résultats me poussent a me demander  s’ il n’existe pas  diverses catégories de matière noire ;pourquoi pas ?Avec des  collisions de galaxies ou d amas   je préfèrerais le terme «  débris » ….Si en revanche  on en trouve   dans les intérieurs galactiques  , le terme «  brique » » me satisferai davantage !

-« Ce constat a été déjà proposé OLIVIER  dans mon tableau d’hier    sous forme de matière  noire chaude ou froide … je crois que compte tenu de  son insensibilité à toute  interaction sauf à la gravité  , pour moi   c’est la valeur de l’énergie cinétique  qu’elle porte qui la rend chaude ou froide  .En  physicien nucléaire que vous êtes  ,vous savez  qu’ on ne peut pas accélérer des neutrons  sauf en organisant des chocs énormes  et  donnant des flux thermiques importants  … Alors ma question est simple : : comment botter les fesses a de la matière noire    et lui communiquer   de la vitesse , donc  de l’énergie ? s….. il n y a que la gravité qui la «  chatouille à » peine !!!!l?????

-  « C’est vrai PEPPER  j y ai pensé aussi  et je me suis dit que la matière noire   considérée   comme un assemblage métastable  de  duo ou   de quatuors de particules légères  (  paires  de neutrinos –antineutrinos lourds ou paires électron-positon en positoniums) ça pouvait peut être    constituer un édifice neutre ,  quasi stable et tranquille dans le froid et livide de l’espace ….
Positronium - YouTube
. Mais quand je suis rentré dans les détails   d’une  sorte de spallation  possible  de tels «  scmilblicks »   en   résultats baryoniques je suis retombe sur les phénomènes d annihilation    positon electron ou mieux   la production de gammas ….. Et la matière noire bousculée ( pour autant quelle le soit !)  on ne sait pas faire EXPERIMENTALEMENT  !


 Fundamental physics with positronium at the FRM 2 - Experimental ...
 A SUIVRE