mercredi 30 septembre 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/ LE MONDE SELON LA PHYSIQUE / WEEK 39 P1

 

 …La réception du résumé des sélections de PHYS ORG/NEWSLATER SCIENCXE X   pour la Semaine  39  me conduit à vous présenter deux  découvertes ; voici ma traduction du premier de ces deux

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 Astronomers discover an Earth-sized 'pi planet' with a 3.14-day orbit

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Les astronomes découvrent une `` planète pi '' de la taille de la Terre avec une orbite de 3,14 jours

par Jennifer Chu, Massachusetts Institute of Technology

 

Des scientifiques du MIT et d'ailleurs ont découvert une planète de la taille de la Terre qui tourne autour de son étoile tous les 3,14 jours. Crédit: NASA Ames / JPL-Caltech / T. Pyle, Christine Daniloff, MIT/PHOTO


Dans un délicieux alignement de l'astronomie et des mathématiques, des scientifiques du MIT et d'ailleurs ont découvert une "pi Earth" - une planète de la taille de la Terre qui tourne autour de son étoile tous les 3,14 jours, dans une orbite rappelant la constante mathématique universelle.

 

 

Les chercheurs ont découvert des signaux de la planète dans des données prises en 2017 par la mission K2 du télescope spatial Kepler de la NASA. En se concentrant sur le système plus tôt cette année avec SPECULOOS, un réseau de télescopes au sol, l'équipe a confirmé que les signaux provenaient d'une planète en orbite autour de son étoile. Et en effet, la planète semble encore encercler son étoile aujourd'hui, avec une période de type pi, tous les 3,14 jours.

 

«La planète bouge comme une horloge», déclare Prajwal Niraula, étudiant diplômé du Département des sciences de la Terre, de l'atmosphère et des planètes (EAPS) du MIT, auteur principal d'un article publié aujourd'hui dans l'Astronomical Journal, intitulé: «π Earth: une planète de la taille de la Terre de 3,14 jours de la cuisine de K2 servie chaude par l'équipe SPECULOOS. "

 

"Tout le monde a besoin d'un peu de plaisir ces jours-ci", déclare le co-auteur Julien de Wit, à la fois du titre de l'article et de la découverte de la planète pi elle-même.

La nouvelle planète est étiquetée K2-315b; c'est le 315ème système planétaire découvert dans les données K2 – c’est  juste un système à l'écart d'un endroit encore plus fortuit sur la liste.

 

Les chercheurs estiment que K2-315b a un rayon de 0,95 celui de la Terre, ce qui en fait à peu près la taille de la Terre. Il tourne autour d'une étoile fraîche de faible masse qui mesure environ un cinquième de la taille du soleil. La planète fait le tour de son étoile tous les 3,14 jours, à une vitesse fulgurante de 81 kilomètres par seconde, soit environ 181 000 miles par heure.

 

Bien que sa masse reste à déterminer, les scientifiques soupçonnent que K2-315b est terrestre, comme la Terre. Mais la planète pi n'est probablement pas habitable, car son orbite serrée la rapproche suffisamment de son étoile pour chauffer sa surface jusqu'à 450 kelvins, soit environ 350 degrés Fahrenheit - parfait, en fait, pour faire de la tarte.

 

«Ce serait trop chaud pour être habitable dans la compréhension commune », dit Niraula, qui ajoute que l'excitation autour de cette planète particulière, en dehors de ses associations avec la constante mathématique pi, est qu'elle peut s'avérer un candidat prometteur pour étudier les caractéristiques de son atmosphère.

 

"Nous savons maintenant que nous pouvons exploiter et extraire des planètes à partir de données d'archives, et nous espérons qu'il n'y aura plus de planètes laissées pour compte, en particulier ces planètes vraiment importantes qui ont un impact élevé", déclare de Wit, professeur adjoint à l'EAPS, et un membre de l'Institut Kavli du MIT pour l'astrophysique et la recherche spatiale.

Les co-auteurs du MIT de Niraula et de Wit incluent Benjamin Rackham et Artem Burdanov, ainsi qu'une équipe de collaborateurs internationaux.

Les chercheurs sont membres de SPECULOOS, un acronyme pour The Search for habitable Planets EClipsing ULtra-cOOl Stars, et nommé d'après un réseau de quatre télescopes de 1 mètre dans le désert d'Atacama au Chili, qui balaient le ciel à travers l'hémisphère sud. Plus récemment, le réseau a ajouté un cinquième télescope, qui est le premier à être situé dans l'hémisphère nord, nommé Artemis - un projet dirigé par des chercheurs du MIT.

 

Les télescopes SPECULOOS sont conçus pour rechercher des planètes semblables à la Terre autour de naines ultra froides à proximité, de petites étoiles sombres qui offrent aux astronomes une meilleure chance de repérer une planète en orbite et de caractériser son atmosphère, car ces étoiles n'ont pas l'éblouissement d'étoiles beaucoup plus grandes et plus brillantes. .

 

«Ces nains ultracool sont dispersés dans le ciel», dit Burdanov. «Les levés ciblés au sol comme SPECULOOS sont utiles car nous pouvons examiner ces nains ultracool un par un.

 

En particulier, les astronomes regardent les étoiles individuelles pour des signes de transits, ou des creux périodiques dans la lumière d'une étoile, qui signalent une possible planète traversant devant l'étoile et bloquant brièvement sa lumière.

 

Plus tôt cette année, Niraula est tombé sur une naine fraîche, légèrement plus chaude que le seuil communément accepté pour une naine ultracool, dans les données collectées par la campagne K2 - la deuxième mission d'observation du télescope spatial Kepler, qui surveillait des éclats de ciel alors que le vaisseau spatial tournait autour. le soleil.

 

Pendant plusieurs mois en 2017, le télescope Kepler a observé une partie du ciel qui comprenait la naine froide, étiquetée dans les données K2 comme EPIC 249631677. Niraula a passé au peigne fin cette période et a trouvé environ 20 creux dans la lumière de cette étoile, ce qui semblait répéter tous les 3,14 jours.

 

L'équipe a analysé les signaux, testé différents scénarios astrophysiques potentiels pour leur origine, et a confirmé que les signaux provenaient probablement d'une planète en transit, et non d'un produit de certains autres phénomènes tels qu'un système binaire de deux étoiles en spirale.

 

Les chercheurs ont alors prévu de regarder de plus près l'étoile et sa planète en orbite avec SPECULOOS. Mais d'abord, ils devaient identifier une fenêtre de temps où ils seraient sûrs de prendre un transit.

 

"Clouer la meilleure nuit pour effectuer un suivi depuis le sol est un peu délicat", déclare Rackham, qui a développé un algorithme de prévision pour prédire quand un transit pourrait se produire ensuite. "Même lorsque vous voyez ce signal de 3,14 jours dans les données K2, il y a une incertitude à cela, qui s'ajoute à chaque orbite."

 

Avec l'algorithme de prévision de Rackham, le groupe s'est resserré sur plusieurs nuits de février 2020 au cours desquelles ils étaient susceptibles de voir la planète traverser devant son étoile. Ils ont ensuite pointé les télescopes de SPECULOOS en direction de l'étoile et ont pu voir trois transits clairs: deux avec les télescopes de l'hémisphère sud du réseau, et le troisième depuis Artemis, dans l'hémisphère nord.

 

Les chercheurs affirment que la nouvelle planète pi pourrait être un candidat prometteur pour le suivi du télescope spatial James Webb (JWST), pour voir les détails de l'atmosphère de la planète. Pour l'instant, l'équipe examine d'autres ensembles de données, tels que la mission TESS de la NASA, et observe également directement le ciel avec Artemis et le reste du réseau SPECULOOS, à la recherche de signes de planètes semblables à la Terre.

 

"Il y aura des planètes plus intéressantes dans le futur, juste à temps pour JWST, un télescope conçu pour sonder l'atmosphère de ces mondes extraterrestres", dit Niraula. "Avec de meilleurs algorithmes, nous espérons qu'un jour nous pourrons rechercher des planètes plus petites, même aussi petites que Mars."

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A warm Jupiter orbiting a cool star

More information: Prajwal Niraula et al, π Earth: A 3.14 day Earth-sized Planet from K2's Kitchen Served Warm by the SPECULOOS Team, The Astronomical Journal (2020). DOI: 10.3847/1538-3881/aba95f

Journal information: Astronomical Journal

Provided by Massachusetts Institute of Technology

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 Mon commentaire

 Je me réjouis que l’astronomie se développe  autour de  ces résidus de petites étoiles dans la classification de  Hertsprung –Russel  ( ma photo) qui terminent leurs vies en naines blanches puis grises puis noire (étreinte !) car c’est la possibilité d’examens qui se  multiplient


  La plante pi  est une désignation humoristique  et sans avenir de phénomènes vitaux !

 

 

 

 

 

 

 

 

       

 

 

 

 

 

 

 

 

mardi 29 septembre 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE/ WEEK 39/LES SUPERNOVAE

 

 Avons-nous  PEPPER et moi   découragé  nos lecteurs   avec nos questions  sur ces  attracteurs  centro galactiques  géants  que nous décrivent mal les astronomes ???  Je ne crois pas !Et puisque  PEPPER  relance le débat je le vais le suivre !

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-«  J’aimerais  connaitre OLIVIER  quels sont les chercheurs  qui ont les premiers « expliqué »  le phénomène  d hypernova  ( la mort d une étoile)

-«  J’imagine  PEPPER  que nos lecteurs  sont surtout curieux d’astronomie   et non de l’histoire  des gens  de   ces découvertes ….Je vous réponds  malgré  tout   et vous serez étonné …Le terme de « supernova » provient du latin  « nova »,  proposé en 1572 puis en 1604 quand  Tycho Brahe et Johannes Kepler découvrent que de « nouvelles étoiles » apparaissent parfois, pour un temps limité,  dans ciel  ….Et  nos lecteurs  savent  qu il  e, existent divers sortes :les novae ; les supernovae et les hypernovae   .. ou supernova superlumineuse (en abrégé SNSL, ou en anglais SLSN). Ceci dit, je vais choisir le cas  d’une Etolie   de 5  MO   et décrire  à nos lecteurs  comment aujourd’hui  on  estime     qu’elle explose en supernova

- «   S’il vous plait OLIVIER   essayez de  dégager les divers phénomènes,  les séquencer et de nous dire  s’il s’agit de mesures ou de  modèles assortis de calculs

-«  Oh ! Excellente réaction  PEPPER ! En effet   nous n’avons jamais  vu exploser une supernova devant notre fenêtre ! Aucune supernova n'a jamais  été observée dans  la Voie lactée, depuis l'invention du télescope. La plus rapprochée observée depuis est SN 1987A, survenue dans une galaxie voisine, le Grand Nuage de Magellan.

-« J’espère que cela ne saurait tarder,  OLIVIER   car  il  a été calculé     qu il s'en produisit ( de tous types) au rythme  de une toutes les deux ou trois secondes dans l'Univers observable ( Red : Davide Castelvecchi, « Gigantic Japanese detector prepares to catch neutrinos from supernovae », Nature,‎ 27 février 2019=

Exposez les signes annonciateurs !

-« Dans la catégorie que nous avons choisi  PEPPER   n il ne s’agit pas d’une «  nouvelle »  étoile qui apparait  mais d’une étoile  massive déjà visible   dont la luminosité  augmente brièvement  mais fantastiquement ! Dans ce type-là précis, l’effondrement se produit lorsque  le cœur  de l’étoile n’est plus constitué  que de fer  et n'a plus de source d'énergie engendrant une pression de radiation suffisante pour soutenir les couches supérieure …. Celles-ci  écrasent alors le cœur :  …Et  cette compression «  dénude »  les noyaux de fer  qui sont alors dissociés, les protons capturant les électrons pour former des neutrons. Ce nouveau cœur de neutrons,  plus compact peut soit résister à la compression ;, ce qui arrête brutalement l(effondrement soit  il continue de céder…. L'énergie dégagée par les couches internes tombant vers le centre produit une onde de choc qui « souffle »  , expulse  les couches extérieures de l'étoile, formant le gaz du rémanent de la supernova encore visuble  un certain temps VOIR PHOTO 


A SUIVRE

 

dimanche 27 septembre 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT /LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE/ WEEK 38 / ATTRACTEURS GÉANTS???

 

 Tournons la page  chers lecteurs sur les  incertitudes d’EINSTEIN   pour continuer à nous interroger  sur ces  gigantesques  forces  attractives  souvent logées au centre des galaxies   ….et bien entendu en compagnie  de  Maitre PEPPER

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-« Si je vous ai bien compris OLIVIER    vous hésiteriez vous-mêmes, comme le grand ALBERT   à les nommer   « trous noirs supermassifs »??

-«  Oui PEPPER ! Mais le nom ne fait rien n’a l’affaire ! Le vrai problème reste  le questionnement sur l’origine de cette   énorme source  d’énergie  d’origine attractive   ,  sur ses caractéristiques  physiques   vraies et de leur évolution …

-«   Je vous « sent » venir de loin  OLIVIER !!!!

Notre  UNIVERS à la fin des fins de tous les  temps   va-t-il finir  dans un unique et immense trou  noir  où tout se serait  fait  progressivement coalescer, «  croquer » e et emprisonner !

-«  J’en rajoute PEPPER  car mon imaginaire galope ! Existe-t-il une limite pour  la taille de  ces  attracteurs géants ? Vont-ils finir par exploser comme des «  Generic objects of dark energy » ( GEODEs)  ou au contraire   se « vider » extrêmement lentement  par un rayonnement de type HAWKING ???

-« Nous  en avons parlé récemment le 8 septembre  avec votre traduction de la récente publication de  chercheurs de l’université d  ‘Hawai :Manoa  .et je vais ironiser :lesGEODEs sont par rapport   aux trois noirs supermassifs  ce   que sont les  Pe…. C…  par rapport aux  C o…  C… ! (ou encore en France  : ce n’est pas de l’alcool mais du CANADA d…!) !

-« Laissez-moi rêver ( voire délier) devant vous PEPPER  …Croyez-vous    ces trous noirs supermassifs  être redevenus en réalité  de gigantesques poches ou espaces de véritable vide   ,    ou un faux vide stochastique   ,celui qui ne serait formé que  d’une bouillie  de   de cordes cosmiques primitives  de  tous sens et de toutes fréquences ???

-« Quelle différence faites vous  OLIVIER    entre un volume  immobile  où il ne se trouve  ni matière ni onde  ni mouvement  et    rien ?    J’insiste ! Rien du tout !

-« Je reconnais   que ma réponse  est peut être  choquante :   l’existence physique  de ce volume  , son espace ….

-«  Vous tombez dans  ce que vous reproche  JJM !    Nos pauvres  petits  concepts     mentaux   humains    n’existent  souvent physiquement pas   hors de nos cranes ! Relisez  Edgard  GUNDZIG !Votre imaginaire  vous conduit à «  chosifier » le symbole  de  l’espace géométrique   !

 A suivre

Le Vide. Univers du tout et du rien

Simon Diner et Edgard Gunzig (édité par)

 

 

 

 

-« 

 

vendredi 25 septembre 2020

SCIENCES.ENERGIES?ENVIRONNEMENT/LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE /WEEK 38 / LES REFUS D EINSTEIN :suite

 

Restons  chers amis lecteurs sur la suite  de  notre discussion avec  PEPPER

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-« Pour vous répondre   avec   exactitude, PEPPER ?  , j’ai dû mener une véritable enquête de détective  et la photocopie de ce document en est la preuve

 « On a Stationary System With Spherical Symmetry Consisting of Many Gravitating Masses

Albert Einstein

Annals of Mathematics

Second Series, Vol. 40, No. 4 (Oct., 1939), pp. 922-936 (15 pages)

Published By: Mathematics Department, Princeton University “  

La photo de la première page de sa publication  je la montre à nos lecteurs …….


 En fait il n’était pas du tout convaincu   à la  fois   de la pertinence  de l’application  de la loi de Schwarzchild   et   aussi de ses  conséquences physiques ….Mais je reconnais  bien volontiers que la description  fine  de l’évolution   d’une étoile  par fusions successives  de ses constituants  combustibles  jusqu’au stade final de l’implosion –explosion   n’existait pas encore  en 1939…. Beaucoup de mesures   et bilans  nucléaires  faites depuis ont apporté des résultats  qui expliquent  la vie  puis  la mort finale d’une étoile  de quelques   M (  masses solaire en astronomie )   ….En bref  il  n’admettait pas  qu’elle puisse  évoluer  en sphère  hyper dense    composée   de liquide hyper compressible etc    etc  

-«  D'accord OLIVIER …Et pour en rajouter  dans ce sens   ,je doute qu’en 1939 il ait  eu une connaissance  de la structure  interne de telles étoiles …. et donc par conséquent la possibilité    de  voir ce  que  représente  son effondrement en supernova   puis en trou noir ….

-« Au demeurant, PEPPER ,je crois que si vous posiez  la question  a M r Toutlemonde   au coin de la rue  , il ne saurait pas davantage vous dire  que de telles étoiles sont le résultat évolutif   du chauffage d’un mélange de gaz et de plasma  fusionnel   sous  très haute  pression grâce à la très haute température   …dont le formidable  pouvoir de dilatation  est contrarié   en permanence  par la  formidable force  de  rappel  de  gravitation  de l’énorme masse de l’étoile  ….

-«  Excusons donc EINSTEIN     , de cette image inexacte  qu’ il s’était faite  d’une hypernova puis d’ un trou noir  …Mais puisque nous voilà arrivé en ce point  , pensez-vous que la description  de cet fin apocalyptique  d’une étoile de quelques M soit   devenue si précise aujourd’hui  que vous le pensez ?????

 A SUIVRE

 

 

 

jeudi 24 septembre 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMET/LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE/ WEEK 38 /LES DENIS D EINSTEIN

Toute promenade dans les   difficultés du présent emmène l'auteur de ce blog    hoirs de  sa passion pour la science   et particulièrement  la physico-chimie , le nucléaire et l’astronomie  ...Peut-on éviter  de nier  les problèmes de son age  , surtout lorsque ils concernent  la vision ?? Un homme stoïque  qui refuse de voir ses problèmes personnels   n’est-il  somme toute  qu 'une sorte d’imbécile heureux !?

 

Pour m extraire de ce dilemme  je n ai que la ressource de  partager  mon imaginaire  avec  Mister PEPPER    et repartit l’interroger  encore une fois sur ces trous noirs supermassifs centro galactiques

 

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-« Dans quelle direction désirez-vous OLIVIER   que nous poursuivions la discussion ?

-«  J’avais attiré   vote attention  PEPPER   sur  les conséquences physiques  étonnantes  de l’application d de l’équation du calcul du rayon  de SCHWARZCHILD    aux trous noirs  supermassifs   .. Ils présentent un pouvoir attractif extraordinaire, même  à très longue distance  , puisqu’ils sont  l ,en quelque sorte es » enfants »  des quasars   et malgré cela  «  la porte d’entrée »   y est  si facilement  grande ouverte   que les effets de marée y deviennent inaperçus !!

-«  Traitons alors le fond du problème OLIVIER !Les relations de EINSTEIN et de  SCHWARZCHILD   ont été courtes  hélas  mais courtoises  …Mais  si EINSTEIN   en admettait la formulation  , en revanche  il n’en a jamais accepté l’ «  extrapolation » physique  en   trou  noir !

-«  C’est vrai PEPPER !.Selon Jean Eisenstaedt il n’a jamais accepté qu’une supernova  débouche  sur la formation d’un trou noir  ….Et comme à l’époque   on n’envisageait que les petits trous noirs stellaires  , qu’aurait-il  critiqué  encore  plus fort  dans le concept de trous noirs supermassifs  centrogalactique  équivalant parfois a des millions de masses solaires concentrées !!!???

-«Oui voire des milliards OLIVIE!!!! ( N.B /The monster black hole in galaxy cluster Abell 85 is   the biggest 40 billion suns  and  if  according Schwarazchild   formula roughly the size of our solar system !!!!!) 

Mais quel était selon EINSTEIN  le résultat  d’une supernova ?

 A SUIVRE


mardi 22 septembre 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/ WEEK 38 P1

 

 Voilà une traduction  qui va faire plaisir aux partisans d’un président qui pense que faire retomber le pourcentage de co2 dans l’air    sera facile dans un futur industriel américain  proche !!!!

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« Une équipe de recherche de Caltech et de la UCLA Samueli School of Engineering a démontré un moyen prometteur de convertir efficacement le dioxyde de carbone en éthylène, un produit chimique important utilisé pour produire des plastiques, des solvants, des cosmétiques et d'autres produits importants dans le monde.

 


 

Les scientifiques ont mis en œuvre   des fils de cuivre à l'échelle nanométrique avec des surfaces de forme spéciale pour catalyser une réaction chimique qui réduit les émissions de gaz à effet de serre tout en générant simultanément de l'éthylène, produit chimique précieux. Des études informatiques de la réaction montrent que le catalyseur  adéquatement  mis en forme favorise la production d'éthylène par rapport à l'hydrogène ou  ke méthane. Une étude détaillant l'avancée a été publiée dans Nature Catalysis.

 

"Nous sommes au bord de l'épuisement des combustibles fossiles, couplé aux défis du changement climatique mondial", a déclaré Yu Huang, co-auteur de l'étude et professeur de science et d'ingénierie des matériaux à l'UCLA. << La mise au point de matériaux capables de transformer efficacement les gaz à effet de serre en combustibles à valeur ajoutée et en matières premières chimiques est une étape cruciale pour atténuer le réchauffement climatique tout en se détournant de l'extraction de combustibles fossiles de plus en plus limités. Cette expérience intégrée et cette analyse théorique offrent une voie durable vers la valorisation du dioxyde de carbone utilisation."

 

Actuellement, l'éthylène est a un niveau de production annuelle mondiale de 158 millions de tonnes. Une grande partie de cela est transformée en polyéthylène, qui est utilisé dans les emballages en plastique. L'éthylène est traité à partir d'hydrocarbures, comme le gaz naturel.

 

"L'idée d'utiliser le cuivre pour catalyser cette réaction existe depuis longtemps, mais la clé est d'accélérer le rythme afin qu'il soit suffisamment rapide pour la production industrielle", a déclaré William A. Goddard III, co-auteur de l'étude et Charles et Mary Ferkel de Caltech, professeur de chimie, de science des matériaux et de physique appliquée. "Cette étude montre une voie solide , avec le potentiel de transformer la production d'éthylène ensuite en une industrie plus verte en utilisant du CO2 qui se retrouverait autrement dans l'atmosphère."

 

L'utilisation du cuivre pour démarrer la réduction du dioxyde de carbone (CO2) en réaction d'éthylène (C2H4) a subi deux coups contre lui. Premièrement, la réaction chimique initiale a également produit de l'hydrogène et du méthane, tous deux indésirables dans  une  production industrielle. Deuxièmement, les tentatives précédentes qui ont abouti à la production d'éthylène n'ont pas duré longtemps, l'efficacité de conversion diminuant alors que le système continuait de fonctionner.

 

Pour surmonter ces deux obstacles, les chercheurs se sont concentrés sur la conception des nanofils de cuivre avec des «marches» très actives - semblables à un escalier disposé à l'échelle atomique. Une découverte intéressante de cette étude collaborative est que ce modèle d'étape à travers les surfaces des nanofils est resté stable dans les conditions de réaction, contrairement à la croyance générale selon laquelle ces caractéristiques à haute énergie se lisseraient. C'est la clé de la durabilité et de la sélectivité du système dans la production d'éthylène, au lieu d'autres produits finaux.

 

L'équipe a démontré un taux de conversion du dioxyde de carbone en éthylène supérieur à 70%, beaucoup plus efficace que les modèles précédents, qui donnaient au moins 10% de moins dans les mêmes conditions. Le nouveau système a fonctionné pendant 200 heures, avec peu  d’évolution  dans l'efficacité de conversion, une avancée majeure pour les catalyseurs à base de cuivre. En outre, la compréhension globale de la relation structure-fonction a illustré une nouvelle perspective pour concevoir un catalyseur de réduction de CO2 hautement actif et durable en action.

 

Huang et Goddard collaborent fréquemment depuis de nombreuses années, le groupe de recherche de Goddard se concentrant sur les raisons théoriques qui sous-tendent les réactions chimiques, tandis que le groupe de Huang a créé de nouveaux matériaux et mené des expériences. L'auteur principal de l'article est Chungseok Choi, un étudiant diplômé en science et ingénierie des matériaux à l'UCLA Samueli et membre du laboratoire de Huang.

 

Explorer plus loin

 

Réduction électrochimique du dioxyde de carbone en éthanol

Plus d'informations: Chungseok Choi et al, Surface de Cu étagée hautement active et stable pour une réduction électrochimique améliorée du CO2 en C2H4, Nature Catalysis (2020). DOI: 10.1038 / s41929-020-00504-x

Informations sur le journal: Nature Catalysis

Fourni par l'Université de Californie, Los Angeles

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Mon commentaire

 Avant ma thèse j’ai été l élevé de MARCEL PRETTRE  qui fut le directeur de l’institut  de catalyse : Lyon Villeurbanne   et il me reste assez de souvenirs pour  imaginer tout ce qu’ une solution   à base de cuivre nanométrique  peut entrainer  en profit industriel et écologiste ……  BREVETS ETC

 

J’attends toutefois que  Chungseok Choi, l’étudiant diplômé en science  sorte de ses manips de labo  et rentre dans l’échelle   du développement du procédé face a des sources  d’émission de co2 importantes  puis calcule  sérieusement  le prix de revient  , nanofils cuiovre inclus bien entendu !!!!!

 

lundi 21 septembre 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/ LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/ WEEK 37 / CONDENSATION D UN SYSTÈME PLANE TAIRE

 

L’article de ¨PHYS OPG /SCIENCE X  dont je vous avais promis la traduction  nous apprend comment un disque  protoplanétaire  arrive petit à petit à  se condenser   à partir d’une étoile qui vient de s «  allumer »  et fait émerger  son cortège de planètes autour !!!!

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« : From star to solar system: How protoplanetary rings form in primordial gas clouds”

Depuis  l'étoile jusqu’ au système solaire: comment se forment les anneaux protoplanétaires dans les nuages ​​de gaz primordiaux

par American Institute of Physics

 

PHOTO Crédit: Domaine public Pixabay / CC0

À quatre cent cinquante années-lumière de la Terre, une jeune étoile brille au centre d'un système d'anneaux concentriques fait de gaz et de poussière, et elle produit des planètes, une pour chaque espace de l'anneau.


 

 

Sa découverte a profondément ébranlé les théories d'origine du système solaire. Mayer Humi, un scientifique de l'Institut polytechnique de Worcester, pense qu'il fournit une cible d'étude appropriée pour les théories sur les anneaux protoplanétaires autour des étoiles. La recherche est publiée dans le Journal of Mathematical Physics.

 

L'étoile, HL Tauri, est située dans la constellation du Taureau et a éveillé l'intérêt pour la conjecture de 1796  proposée  par  Pierre-Simon Laplace selon laquelle des nuages ​​célestes de gaz et de poussière autour de nouvelles étoiles se condensent pour former des anneaux, puis des planètes. Une image passionnante de HL Tauri capturée en 2014 par l'Atacama Large Millimeter Array  représente  la première fois que des anneaux planétaires ont été photographiés avec des détails aussi nets,  c’est à dire une confirmation d'observation de la conjecture de Laplace.

 

"Nous pouvons observer de nombreux nuages ​​de gaz dans l'univers qui peuvent évoluer vers un système solaire", a déclaré Humi. "Des données d'observation récentes montrent que les systèmes solaires sont abondants dans l'univers, et certains d'entre eux pourraient abriter différents types de vie."

 

Humi, aux côtés de certains des plus grands astronomes de l'histoire, s'est interrogé sur la création des systèmes solaires et leur évolution dans l'univers. Comment se forment-ils et quelle trajectoire suivront-ils à l'avenir?

 

"La question fondamentale était et est de savoir comment un nuage de gaz primordial peut évoluer sous sa propre gravitation pour créer un système solaire", a déclaré Humi.

 

Humi utilise les équations d'Euler-Poisson, qui décrivent l'évolution des nuages ​​de gaz, et les réduit de six à trois équations de modèle à appliquer aux nuages ​​de gaz en rotation axisymétrique.

 

Dans l'article, Humi considère le fluide dans le nuage de gaz primordial comme un écoulement de fluide stratifié incompressible et dérive des solutions dépendant du temps pour étudier l'évolution des modèles de densité et des oscillations dans le nuage.

 

Le travail de Humi montre que, avec  un ensemble de circonstances favorables , des anneaux pourraient se former à partir du nuage de poussière et de gaz, et cela confirme l'hypothèse de Laplace de 1796 selon laquelle notre système solaire s'est formé à partir d'un nuage de poussière et de gaz similaire autour du soleil.

 

«J'ai pu présenter trois solutions analytiques qui démontrent que les anneaux peuvent se former, des informations qui ne peuvent être obtenues à partir du système d'équations d'origine», a déclaré Humi. "Le vrai défi est de montrer que ces anneaux peuvent évoluer davantage pour créer les planètes."

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Explore further

 

ALMA observes the formation sites of solar-system-like planets

More information: "On the evolution of a primordial interstellar gas cloud," Journal of Mathematical Physics, aip.scitation.org/doi/10.1063/1.5144917

Provided by American Institute of Physics

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MON COMMENTAIRE

  Mes vieux lecteurs savent que j’ai traité ce sujet  lorsque mes articles paraissaient sur  L  OBS …A mon avis la difficulté ne réside pas uniquement dans le choix des « équations primordiales » ( celles  de l’émergence des anneaux concentriques) a choisir  , puis dans l’intervention  progressive   des équations  auxiliaires ( celles de la condensation en planètes ) 

Pourquoi cette difficulté ?

Un disque protoplanétaire  est le résultat   du tohu – bohu     galactique  signalé par  REEVES dans son expression  fameuse : « notre soleil  est un enfant des étoiles (antérieures) » . Certains encore parmi vous croient  qu’une étoile c’est   uniquement  le résultat d’une fusion d’éléments légers et principalement de l’hydrogène … Et bien c’est faux ! C est Joseph von Fraunhofer (1787 - 1826) qui   fut l'inventeur du spectroscope avec lequel il découvrit les raies d'absorption du spectre solaire.  Et y trouva notamment les raies du sodium ……Mais  il contient aussi pléthore d'autres éléments chimiques ….je serais donc tenté de dire  que c’est de l’importance  et de la composition du noyau central du disque   non encore allumé  que va dépendre  le top du démarrage de la fusion nucléaire de l’étoile  …. Et  à ce régime de condensation « lambin »  va succéder   un régime  de cinétique plus rapide  d’ irradiation , le fusion ,  de  migration puis  d’agglomération en planètes  …..Et mettre la diversité de tout cela en équations  me parait représenter un travail mathématique et statistique que  HUMI   n’est pas prêt de terminer !

 mon image du spectre solaire 

 


 

 

samedi 19 septembre 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE /WEEK 37 /LE TEMPS SPATIAL QU IL FERA !

 

Hier  je  vous avais présenté  l’article de SCIENCE X    sur l’étude des variations solaires   car le président des USA   prédit un refroidissement  qui contredira l échauffement climatique  ….Je le laisse de  coté pour vous présenter  ma traduction  du communiqué  de la  NASA   car j’avais oublié que nous lançons hommes et satellites dans l’espace    et qu’il faut  donc  surveiller ces tempêtes solaires  pour eux .

Vous constaterez que les gens de la  NASA ne sont pas les béni oui-oui de leur pouvoir exécutif !

 

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La NASA et la NOAA, ainsi que l'Agence fédérale de gestion des urgences et d'autres agences et départements fédéraux, travaillent ensemble sur la stratégie et le plan d'action nationaux sur la météorologie spatiale pour améliorer la préparation à la météorologie spatiale et protéger la nation contre les dangers de la météorologie spatiale. La NOAA fournit des prévisions météorologiques spatiales et des satellites pour surveiller la météorologie spatiale en temps réel; La NASA est le bras de recherche du pays, aidant à améliorer notre compréhension de l'espace proche de la Terre et, en fin de compte, les modèles de prévision.

 

Les prévisions météorologiques spatiales sont également essentielles pour soutenir les vaisseaux spatiaux et les astronautes du programme Artemis. L'étude de cet environnement spatial est la première étape pour comprendre et atténuer l'exposition des astronautes aux rayonnements spatiaux. Les deux premières enquêtes scientifiques à mener à partir de la passerelle étudieront la météorologie spatiale et surveilleront l'environnement de rayonnement en orbite lunaire. Les scientifiques travaillent sur des modèles prédictifs afin de pouvoir un jour prévoir la météo spatiale tout  comme les météorologues prévoient la météo sur Terre.

 

"Il n'y a pas de bon ou  mauvais temps, juste une  préparation insuffisante ", a déclaré Jake Bleacher, scientifique en chef de la direction de la mission d'exploration humaine et des opérations de la NASA au siège de l'agence. «La météorologie spatiale est ce qu'elle est - notre travail est de nous ypréparer.»

 

Comprendre les cycles du Soleil fait partie de cette préparation. Pour déterminer le début d'un nouveau cycle solaire, le panneau de prédiction a consulté les données mensuelles sur les taches solaires du World Data Center for the Sunspot Index and Long-term  Solar Observations, situé à l'Observatoire royal de Belgique à Bruxelles, qui suit les taches solaires et repère les les hauts et les bas du cycle solaire

«Nous gardons un registre détaillé des quelques petites taches solaires qui marquent l’arrivée et l’augmentation du nouveau cycle», a déclaré Frédéric Clette, directeur du centre et l’un des panélistes de prédiction. «Ce sont les petits hérauts des futurs feux d'artifice solaires géants. Ce n’est qu’en suivant la tendance générale sur plusieurs mois que nous pouvons déterminer le point de basculement entre deux cycles. »

 

Avec le minimum solaire derrière nous, les scientifiques s'attendent à ce que l'activité du Soleil augmente vers le prochain maximum prévu en juillet 2025. Doug Biesecker, coprésident du panel et physicien solaire au Space Weather Prediction Center (SWPC) de la NOAA à Boulder, Colorado, a déclaré Solar Cycle 25 devrait être aussi fort que le dernier cycle solaire, qui était un cycle inférieur à la moyenne, mais non sans risque.

 

"Ce n'est pas parce qu'il s'agit d'un cycle solaire inférieur à la moyenne qu'il n'y a pas de risque de conditions météorologiques spatiales extrêmes", a déclaré Biesecker. «L’impact du soleil sur notre vie quotidienne est réel et existe. SWPC est doté de personnel 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, 365 jours par an, car le Soleil est toujours capable de nous donner quelque chose à prévoir. »

 

Elsayed Talaat, directeur du bureau des projets, de la planification et de l'analyse pour le service satellite et d'information de la NOAA à Silver Spring, Maryland, a décrit les progrès récents de la nation sur le plan d'action sur la météorologie spatiale ainsi que sur les développements à venir, y compris le suivi de la météorologie spatiale de la NOAA. Observatoire L-1, qui sera lancé en 2024, avant le pic prévu du cycle solaire 25.

 

«Tout comme le service météorologique national de la NOAA fait de nous une nation prête pour la météo, ce que nous voulons être, c'est une nation prête pour la météorologie spatiale», a déclaré Talaat. «Il s’agit d’un effort regroupant 24 agences du gouvernement et il a transformé la météorologie spatiale du point de vue de la recherche en connaissance opérationnelle.»

 


 

 

 

 

 

vendredi 18 septembre 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE /WEEK 37/ Du travail en perspective!

 

Quelques contraintes personnelles (vendanges !)  M’ayant mis en retard  dans mes traductions de PHYS ORG/SCIENCE X   , j interrompt momentanément notre réflexion sur les trous noirs supermassifs  centro-galactiques  et vous propose pour aujourd’hui la traduction des seuls résumés  que j a trouvés intéressants    ces derniers jours

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1 : From star to solar system: How protoplanetary rings form in primordial gas


“Depuis l'étoile jusqu’ au système solaire: comment se forment les anneaux protoplanétaires dans les nuages ​​de gaz primordiaux

À quatre cent cinquante années-lumière de la Terre, il y a une jeune étoile  qui brille au centre d'un système d'anneaux concentriques  constitué de gaz et de poussière, et  cela va  produire des planètes, une pour chaque espace de l'anneau…… »

 Que je vous traduirai prochainement

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2 : Scientists propose possible mechanisms to explain coronal mini-jets in activated tornado-like prominence



“Des scientifiques proposent des mécanismes possibles pour expliquer les mini-jets coronaux dans une proéminence de type tornade activée

Les jets solaires sont des phénomènes courants dans l'atmosphère solaire. Ils apparaissent principalement sous forme d'éjections de plasma collimaté transitoires. Certaines études viennent de montrer que les jets peuvent jouer un rôle important dans le chauffage de la couronne et le déclenchement des vents solaires. »

Mon commentaire : j ai traité le sujet il ya deux semaines  car on y travaille  aussi  à  SACLAY

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3: Solar cycle 25 is here. NASA, NOAA scientists explain what that mean

“le cycle olar 25 est arrivé. Les scientifiques de la NASA et de la NOAA expliquent ce que cela signifie


Le cycle solaire 25 a commencé. Lors d'un événement médiatique mardi, des experts de la NASA et de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) ont discuté de leur analyse et de leurs prévisions sur le nouveau cycle solaire - et de son impact  sur  la prochaine reprise de la météorologie spatiale « 

Voilà encore  un autre article a vous  traduire car  le président des USA  cherche des raisons pour denier le réchauffement du climat  prévu par le GIEC

 A BIENTOT

 

 

 

 

 

 

 

 

mercredi 16 septembre 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/ LE MONDE SELON LA PHYSIQUE / WEEK37/Étranges trous noirs géants ....

 

 La lumière du soleil   nous cache pendant le jour  tout le reste du ciel   et donc  pour voir  de ses propres yeux une étoile  disparaître   en explosant  à sa fin de vie    en supernova ,  illuminant la nuit son poche voisinage  ,il faut avoir de la chance ! Mais les astronomes ayant des moyens d’observation plus puissants  que nos yeux d’animaux    , ce type d ‘événement est moins rare   pour eux …..Toutefois il semble que nos pour nos pauvres yeux d’humains l’objet le plus lointain que nous puissions voir  est la galaxie d’Andromède, située à 2,5 millions d’années-lumière d’ici. Et dans un endroit  loin de la Californie fumante en ce moment !


-«  Mais pourquoi parlez-vous de  cela ?  , m’interroge PEPPER

-« Parce que vous m’avez dit, la dernière fois, qu’ imaginer voir disparaître  d’un seul coup  tout le contenu  d’une galaxie d’un milliard d’étoiles en un (SMBH supermassive black hole ) trou noir  supermassif vous semblait dur à avaler !


-«  J’ai dit cela a la fois par provocation et par dérision  

PEPPER ! Car vous et moi savons qu’il existe plusieurs 

mécanismes de supernovæ   et que  si seules  les étoiles 

massives explosent- Implosent  ainsi ,alors  l 

''événement   devient rarissime vu  a l’œil nu !


-«  Je crois OLIVIER  que la première nova vue a l œil nu date de la fin du moyen Age ( en 1006 et visible plus de 24 mois !) mais qu’il a fallu  attendre le 20 mars 2018 que  pour la première fois, l’évolution d’une nova  puisse  être  observée du début jusqu’ à la fin !


-«  Tout cela ne nous amène pas à une repose à  la question :   connait on  expérimentalement  les caractéristiques précises de tels monstres  rencontrés en général  au gravi centre  de la galaxie    ils sont logés ???


-«   Vous les avez décrites vous-même déjà OLIVIER !on ne connait ces super monstres  que par le calcul des  perturbations  qu’ ils induisent sur leurs voisins ! Mais je devine ce qui vous chagrine …. C’est la valeur du  volume spatial  calculé de ces trous noirs centro - galactiques … ?


-« Oui, précisément  PEPPER !!  Prenons un exemple dans notre propre galaxie ….Situé à 26 000 années-lumière de la Terre, le trou noir du centre de la Voie lactée a une masse de 4,2 millions de fois celle du Soleil14 et son diamètre est d'une vingtaine de millions de kilomètres. Et l’on sait cela parce que l'étoile S2, ayant son orbite elliptique autour   est passée en 2018 au plus près de ce dernier. Si donc j’applique la loi de Schwarzschild  qui me dit  que le rayon  du trou noir croît proportionnellement à la masse, cela induit que la densité moyenne à l'intérieur de son rayon de Schwarzschild décroît selon le carré de sa masse… Et de  cela je déduis  qu’en entrant dans ce trou géant   la densité devient très faible  et les forces de marée  d’autant …Bref  je ne  sentirai  rien  ou quasiment  rien !

 Oui !C  ‘est cela qui m’estomaque  PEPPER  quand je le compare avec l’extrême brutalité de ce qui arrive en fin de vie d’étoile !

 A SUIVRE

 frôler un trou noir géant sans tomber dedans!!!

 et /ou   y   entrer  sans s en apercevoir!