La lecture
de la sélection hebdomadaire de mon
correspondant PHYS ORG/ SCIENCE X , ne m’apporte pas toujours l’article
qui suscite un intérêt immédiat …..C’est le cas pour la semaine 37 !
A qui a
faute ? Suis-je devenu moins
curieux ? Blasé par des
résultats trop montés en épingle
ou chute momentanée de
découvertes … ? Certains penseront que la pandémie mondiale en est la cause et que , en dehors des labos en recherche de
vaccins : tous les chercheurs
désertent leur appareil et leur
paillasse par peur d’être touché par le virus ????!! Continuons donc de nous astreindre à étudier
le sujet de ces mystérieux objets
noirs exerçant des effets
gravitationnels semblables à des milliards
de soleils !!!
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-« Puisque vous avez expliqué très succinctement à nos lecteurs
Olivier quels sont les moyens de détection de ces
monstres d’attraction gravitationnelle , pouvez-vous décrire , très grosso modo , la diversité des résultats observés ????
-« Je
crois PEPPER qu’ il faut continuer à ne pas amplifier les hypothèses de certains chercheurs
et surtout les consolider !!!Pour moi il ne me
semble d’ailleurs pas encore définitivement
clair
pourquoi une supernova donne une
étoile à neutrons ou trou noir
stellaire lambda ( ou même autre chose !)
! Par
conséquent pour vous décrire la variété
des observations et les causes qu’on leur attribue je vais me montrer très prudent !
Situons d’abord
es recherches actuelles : elles montrent que les trous noirs stellaires les
plus massifs n’atteignent tout au plus qu'une
dizaine de masses solaires ….Et tout le
reste on le range comme « intermédiaires » entre stellaires et supermassifs !
-« J’appelle
cela un « fourretout OLIVIER ! Donc au-delà, on rentre dans des phénomènes
au causes inconnues ,?
-« Continuons d’être honnêtes PEPPER
avec nos lecteurs ! Puisque les phénomènes de masse intermédiaire sont trop
élevés pour provenir
de l'effondrement d'une seule étoile,
il faut se mettre à rechercher quelles
seraient les conditions extrêmes - c'est-à-dire la haute densité et les vitesses
qui pourraient conduire à la formation
de points d’attraction plus ou moins supermassifs.
Et c’est ainsi , que de proche en proche
on est arrivé à proposer tres grossièrement trois types
de scénarios de formation postulés pour les « intermediate-mass black hole « IMBH. Le premier est la fusion de trous
noirs de masse stellaire et d'autres objets compacts par accrétion. Le second
est la collision incontrôlée d'étoiles massives dans des amas stellaires denses
et l'effondrement du produit de collision en IMBH. Le troisième est qu'ils sont
des trous noirs primordiaux formés dans
par exemple dans un Big Bang.
-« Et c’est
tout ?
-«
Pour aujourd’hui oui PEPPER
car vous aurez remarqué ma prudence
pour continuer à dénommer « trous noirs » ces points d’attraction hyper dense équivalents
à des centaines, ou de milliers , ou de millions voire de milliards de masses solaires …..
-« Je
reconnais OLIVIER qu’imaginer tout le contenu
d'une galaxie lambda réduite soudain
a un volume de trou noir requiert un certain effort !
A suivre
photo : une variété d imbh from google
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