SCIENCZES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT /LE MONDE SELON LA PHYSIQUE /WEEK 37/LA VERITE N EST PAS AU FOND DU PUITS TOUT PROCHE!!!!

 

Poursuivons notre interrogatoire sur ces mystérieux trous noirs géants !

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-« J’espère PEPPER   sue nos lecteurs auront compris   que cette accumulation  d’orbites d’étoiles   sur un point qui pourrait  être un des  foyers  de toutes  leurs orbites elliptiques   peut  être vue  comme l’indice de la présence d’un trou noir géant !??????

-« Mais le problème  OLIVIER  est pour commencer expérimental ; il requiert  le rassemblement d’observations sur un échelonnement de temps  et surtout une grande précision sur les coordonnées de ces étoiles ….. Cela sous-entend une mesure la plus précise possible de leurs  distances et de leur direction   avec des écarts type les plus réduits possibles

-«  J’ajouterai de plus PEPER   que pour évaluer au mieux ces distances  il convient de rencontrer un tel trou noir   supermassif le plus près possible de nos moyens d’observations   et d’autre part d’être  capable  de reconstituer la trajectoire d’une ellipse   avec quelques relevés seulement  ….

-«  Sur ce plan vous savez aussi bien que moi  OLIVIER    que ce problème a démarré avec KEPLER  qui n’acceptant pas le principe des trajectoires circulaires des planètes  a  démontré que les trajectoires elliptiques  ( qui nécessitent 5 paramètres  mathématiquement ) pouvaient être calculées   au moins avec quelques points   de précision maxi  ……Mais  vous arrivez par  ce biais  a  me faire vous rendre réponse sur votre 2 ème question :  quel est l’historique de la découverte de ces trous noirs supermassifs  …..

-«   C’est exact PEPPER    ...Ou a-t-on trouvé ce premier  trou noir  géant proche de nous ???

-«  Et bien c’est assez paradoxal OLIVIER !  Le tout  premier indice nous est parvenu de très loin !En  fait  la découverte des trous noirs supermassifs a commencé avec l'enquête de Maarten Schmidt sur la source radio 3C 273 en 1963. Mais  son  spectre s'est avéré déroutant. Il  On   a découvert  qu’ il s'agissait de raies d'émission d'hydrogène décalées vers le rouge, indiquant que l'objet était situé à plusieurs milliards d'années-lumière, et devait correspondre  à  l'équivalent de centaines de galaxies. Mais le taux de variations de  la source, surnommé  depuis  objet quasi-stellaire, ou quasar, suggérait que la région émettrice avait un diamètre d'un parsec ou moins. …..

‘ » Et alors je suppose  que cela intrigué   les plus brillants esprits de l’époque !

-«   C’est exact OLIVIER  et chacun s’est précipité avec son modèle et ses équations !!!        Pour commencer en 1963, Fred Hoyle et W. A. ​​Fowler ont proposé l'existence d'étoiles super massives (SMS) 109 M☉.  Puis Richard Feynman a noté que les étoiles au-dessus d'une certaine masse critique sont instables dynamiquement et s'effondreraient  peut être  en un trou noir,……  Ensuite je vous fais grâce de  presque tous les gens qui ont abordé la question    Fowler         / Appenzeller et Fricke /   Edwin E. Salpeter et Yakov Zeldovich / Donald Lynden-Bell /, Martin Ryle et Malcolm Longair / ETC  …Mais c’est finalement Arthur M. Wolfe et Geoffrey Burbidgeque qi ont fini par » taper dans le mille » !   En  notant  que  la grande dispersion de vitesse des étoiles dans  les galaxies elliptiques ne pouvait s'expliquer que par une concentration massique importante au niveau du noyau; plus grand que ce que pourraient expliquer les étoiles ordinaires. Ils ont montré que le comportement pouvait s'expliquer soit  par un trou noir super massif avec jusqu'à 10 puissance 10 M☉,  soit par un grand nombre de petits trous noirs avec des masses inférieures à 10 puissance 3 M☉.

 -«    Et en définitive  PEPPER  des preuves dynamiques de tels objets sombres massifs ont été trouvées aux 4 coins de b  notre   univers , et  je  ne ferai que citer  la célèbre Messier 87  , notre voisine s la galaxie Andromède et enfin notre propre Voie lactée …..