Continuant ma série complémentaire à mes traductions je vais présenter aux lecteurs quelques réflexions sur les dernieres nouvelles de l 'ASN l autorité de sureté nationale ;
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L "ASN s 'est adjoint un morceau du CEA ;l'IRSN qui jouait le role de consultant scientifique mais je ne porterait pas de jugement sur le bien - fondéde cette mesure tant que je ne l aurai pas vu fonctioonner pendant un certain temps . Comme je l ai quittté il y a 33 ans ppour partir en retraite j y ai perdu mes contacts et j ignore qui va rester sur place ou partir à MONTROUGE
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J'ai donc pris la précaution d d aller chercher mes informations ailleuers et je vous livre le copier coller d'ub=ne partie de l articlz de la RGN la revue du nucléaire
''L’exploitation à long terme des réacteurs nucléaires est un programme à l’étude, à l’instar du développement d’un nouveau parc d’EPR 2 ou du déploiement des SMR. Comme tout programme industriel nucléaire, cela réclame une prise en compte très en amont de la sûreté des installations. Dans cette perspective, l’Autorité de sûreté nucléaire appelle à un plan d’action immédiat portant sur la tenue des équipements et sur les impacts du changement climatique sur la production électrique.
Face à la crise énergétique en Europe et alors que les marges disponibles de production s’amenuisent, c’est désormais un consensus largement partagé : assurer la sécurité d’approvisionnement en électricité de la France tout en respectant ses objectifs en matière d’émissions de gaz à effet de serre passera tout à la fois par le renouvellement d’une partie du parc et par l’exploitation à long terme des réacteurs existants. Alors que les premiers réacteurs du parc actuel, le palier 900 MW, franchissent la barrière des 40 ans – moyennant les investissements menés dans le vaste programme de grand carénage – c’est désormais la limite des 60, voire des 80 années d’exploitation, qui est envisagée.
Lors de ses voeux à la presse de janvier 2023, le président de l’ASN Bernard Doroszczuk a appelé sans attendre à anticiper l’enjeu de l’exploitation à long terme des réacteurs. Il ne s’agit pas de prendre de décision immédiatement, bien sûr, mais de poser clairement les enjeux techniques liés à cette perspective afin de pouvoir trancher le moment venu en toute connaissance de cause. « L’ASN souhaite que l’hypothèse d’une poursuite de fonctionnement des réacteurs actuels jusqu’à et au-delà de 60 ans soit étudiée et justifiée par anticipation par EDF d’ici fin 2024 », a-t -il expliqué. ......''
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COMMANTAIRES
Il est évident que l ASN se rapproche de la politique des USA /NRC qui exploitent les memes types de récteurs et envisagent eux aussi 80 ans et me 100 ans !
Mais le problème me semble encore plus coùplexe que cemui évoqué par le directeur de l ASN ET JE LE DEVELOPPERAI DEMAIN APRES MIDI
a suivre
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