vendredi 9 août 2024

SCIENCES ENERGIES ENVIRONNEMENT

 

New study simulates gravitational waves from failing warp drive











RESUME ET COMMENTAIRES UNIQUEMENT
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Une nouvelle étude simule les ondes gravitationnelles d'une défaillance de la propulsion à distorsion

Imaginez un vaisseau spatial propulsé non pas par des moteurs, mais par la compression de l'espace-temps devant lui. C'est du domaine de la science-fiction, n'est-ce pas ? Enfin, pas entièrement. Les physiciens explorent la possibilité théorique des « propulsions à distorsion » depuis des décennies, et une nouvelle étude publiée dans l'Open Journal of Astrophysics va encore plus loin en simulant les ondes gravitationnelles qu'une telle propulsion pourrait émettre en cas de panne.

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Commentaires 
J  avoue  ne pas trop adherer  a cette problématique  de la distorsion généraliséé des espaces temps  que proposent les auteurs    ....Pourquoi me demanderiez vous   ????
Parce  que c est déja  quelque chose  qui a été tenté par un certain Albert EINSTEIN! Devant le constat   de l inhomog énéité  de l univers ( etoiles et planets et galaxues et amas  séparés par de grans vides immenses  que pouvait il faire d autre  que  de proposer  l  équation tensorille  d un univers global  devenu homogène et isotrope   à trés grande échelle 
  ??????
 Or ,en réalité la descrition  mathématique  la plus approchée
 ne peut etre que locale  : l espce temps du système solaire  est décrit  par ses paramètres locaux  propres
 et n est pas le meme  que celui  de son etoile la plus proche  Proxima
Centauris   bien que tous les deux   soient soumis a la distorsion  bien plus
faible    de la Voie Lactée    !
En physique on parle alors  d approximation d ordre  N
Par conséquent les ondes gravitationnelles  se propagenr  dans un espace temps global inhomogène   ,  s y fatiguent  
et y  subissent  des coefficient d amortissement divers    ...

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More information: Katy Clough et al, What no one has seen before: gravitational waveforms from warp drive collapse, The Open Journal of Astrophysics (2024). DOI: 10.33232/001c.121868. On arXiv: DOI: 10.48550/arxiv.2406.02466

Journal information: arXiv 

Provided by Queen Mary, University of London 

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