mercredi 20 septembre 2017

LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE N°537

Il faut s’entourer de précaution avec la sémantique des termes de physique  ….C ‘est pourquoi je vous propose la suite de mon dialogue avec  X et Y !!!
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-Moi : »Définir si l’énergie se  conserve    en  univers ouvert ?????Ma foi  Mr Y , Vous êtes un empêcheur  de tourner en rond  avec votre question embêtante  (« L’Univers  peut-il être réductible  à ce bizarre  espace clos ????  …… alors que vous savez  que WITTEN   postule  10 puissance 500 variétés d’univers possibles et peut être concomitants "??????)
-Mr Y :  « C’est parce que vous prétendez  rechercher  dans les lois des équilibres thermodynamiques  dégagées par    WIZZARD GIBBS   des  voies  d’études  pour les 5  modèles d’Univers que vous nous proposez …Au demeurant ,Je crois me rappeler  que vous avez répondu  déjà    en biais a la question d’un intervenant  Jihems    sur ce sujet à propos du  red shift et  de la distance  des objets émetteurs de l’espace …..
--Moi : »En effet  c’est un sujet vaste  que le red shift  et il m’était difficile de le traiter  en partie commentaires .Comme il y a 3 types de redshift(le  Doppler-Fizeau Relativiste /  le redshift Cosmologique / le  redshift Gravitationnel) on est obligé de les discriminer   et par là se pose la question de  la conservation de l' énergie electromagnétique avec la distance   parcourue  quand l’espace –temps  se dilue ou se rétracte…….
-Mr X : » Votre explication OLIVIER   fut notoirement insuffisante ,je vous cite:" « Pour déterminer cette distance, ( qui nous sépare d’une étoile) il faut se déclarer partisan d’un   modèle équationnel d'univers avec espace –temps  et  c’est un choix  difficile  à expliciter   sachant que  l’espace  a pu connaitre des conditions de déplacement ( expansion , stabilité ou rétraction…)  variable dans le temps ….. »).
Puisqu’ on en est à rechercher  les caractéristiques   de chaque type d’univers  ,vous auriez pu  tout autant lui parler  du                  temps de regard vers le passé en fonction du décalage vers le rouge Z   et lui proposer la courbe de la photo ci-après 

En y  , vous avez  le temps depuis lequel a été émise la lumière d'un objet astronomique lointain, calculé en fonction de son décalage vers le rouge Z   figurant en  X. C'est une estimation de l'âge de l'objet, exprimé en temps cosmique....Et si vous supposez que la vitesse de la lumière  ne varie jamais cette   valeur de  temps  permet de connaitre la distance parcourue par la lumière entre cet objet et la Terre. Bien entendu ceci n’est valable  qu’avec une valeur de constante de  HUBBLE    , de la densité d’énergie et d’une équation de modèle homogène donnée  pour une distance comobile maxi de 46 milliards d’années-lumière  .....JE VOUS PROPOSE EN PLUS CE TABLEAU
1 ère colonne  le z   / 2ème le temps / 3 ème  un phénomène  observé
1081      13,7 milliards-440 000    Décalage vers le rouge approximatif du fond diffus cosmologique
11.5       13,3 milliards     Début de la réionisation de l'univers. Apparition des premières étoiles.
7.1          13 milliards         ULAS J1120+0641, quasar le plus distant détecté.
6.96       12,9 milliards     IOK-1, galaxie la plus ancienne détecté
1             7,8 milliards        Longueur d'onde de la lumière multipliée par 2.
0.45       4,7 milliards        L'accélération de l'expansion de l'univers commence.
0             contemporain   Objet voisin de l'observateur.
-Moi : » Vous m’embarquez dans une digression ; revenez Mr X au problème de la conservation de l’énergie dans un système ouvert …..
-Mr X : » C’est vrai ; voici la documentation réunie sur ce sujet ….Il est  TOUT D ABORD difficile de réécrire le  premier principe de la thermodynamique  dans un volume défini car les bords de notre univers   ne  peuvent être discriminés QUE  S’IL EST LOCAL et reste globalement homogène …Et de plus  si  l’on se donne  un modèle d’univers et d’espace-temps  et que   sa composition autorise des vitesses de déplacement de ses composants qui peuvent être très différentes et les séparer  alors on crée   des volumes  successifs  de lois différentes  à partir d’époques  différentes  ( les photons d’abord   OU  les neutrinos ….ETC).
MOI : » J imagine  Mr  X   que si vous introduisez  des phasesévolutives telles que l’inflation de ALAN GUTH /LINDE  pour «  homogénéiser la soupe de départ »   ou au contraire  la création de masses tardives  ou des libérations  tardives de photons  vous compliquez gravement les choses  ,non ???
6Mr  X « Bien sur ! Et déjà d ailleurs la question se pose  de savoir dans quelle mesure le décalage vers le rouge cosmologique ne  remet pas  en question le principe général de conservation de l'énergie. Ce sujet est toujours débattu !
Moi : » gardons le pour la suite !

5 commentaires:

  1. Dans le modèle OSCAR, l'énergie ne reflète que les transitions de type : quantique ↔ subquantique. C'est une affaire de : {délocalisation ↔ relocalisation}.

    La matrice originelle est faite d'oscillateurs dipolaires locaux (car non connexes). Une fois les pôles séparés ou délocalisés dans le BEC originel, le concept d'énergie apparaît par le biais des relocalisations sous toutes ses formes. Tout ce qui se manifeste à notre vue est juste un effet de relocalisation.

    Toute dépense d'énergie artificielle (hors de ce processus) ne fait que ralentir la période de l'oscillateur-bulle-univers. En effet l'intégration de l'énergie par le temps donne la puissance. L'augmenter revient à diminuer le temps du cycle global. La bulle univers, faite de délocalisations, ne peut qu'aboutir vers une relocalisation généralisée dans la matrice originelle.

    Il est paradoxal que la matrice pure est typiquement à entropie maximale (brassages intenses) alors qu'elle n'est faite que d'oscillateurs élémentaires sagement localisés.

    En résumé :

    - Synchronisation mène à délocalisation
    - l'augmentation de l'entropie est le reflet de la relocalisation.

    bien à vous
    Entropie max → probabilité de fusion → saturation BEC → délocalisation quantique → oscillateur globalisé → relocalisation vers le subquantique (dont la trace est la puissance de transition).

    Toute la débauche d'énergie pour réaliser la séparation et la mitose, est intégralement rendue lors de le lente relocalisation.

    Donc en disant : "l'énergie est conservée" on fait une grave omission. On doit dire : "l'énergie zéro est conservée".

    Une bulle-univers est un épiphénomène toujours renouvelée dans l'océan de la matrice originelle.

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  2. quand je me gratte la tête, je participe à la diminution de la période de la bulle-univers.....

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  3. En relisant mon commentaire, je m'aperçois qu'un rajout intempestif vient le troubler le raisonnement. Donc le me permet , cher Olivier de le ré-émettre dans une forme plus lisible :

    Dans le modèle OSCAR, l'énergie ne reflète que les transitions de type : quantique ↔ subquantique. C'est une affaire de : {délocalisation ↔ relocalisation}.

    La matrice originelle est faite d'oscillateurs dipolaires locaux (car non connexes). Une fois les pôles séparés ou délocalisés dans le BEC originel, le concept d'énergie apparaît par le biais des relocalisations sous toutes ses formes. Tout ce qui se manifeste à notre vue est juste un effet de relocalisation.

    Toute dépense d'énergie artificielle (hors de ce processus) ne fait que ralentir la période de l'oscillateur-bulle-univers. En effet l'intégration de l'énergie par le temps donne la puissance. L'augmenter revient à diminuer le temps du cycle global. La bulle univers, faite de délocalisations, ne peut qu'aboutir vers une relocalisation généralisée dans la matrice originelle.

    Il est paradoxal que la matrice pure est typiquement à entropie maximale (brassages intenses) alors qu'elle n'est faite que d'oscillateurs élémentaires sagement localisés.

    En résumé :

    - Synchronisation mène à délocalisation
    - l'augmentation de l'entropie est le reflet de la relocalisation.

    Le processus fondamental est :

    Entropie max → fusion → saturation BEC → délocalisation quantique + mitose/expansion → oscillateur globalisé → relocalisation vers la matrice subquantique.

    La trace de la relocalisation est l'énergie de fusion et d'annihilation (via la DM).

    Toute la débauche d'énergie pour réaliser la séparation et la mitose, est intégralement rendue lors de le lente relocalisation.

    Donc en disant : "l'énergie est conservée" on fait une grave omission. On doit dire : "l'énergie zéro est conservée".

    Une bulle-univers est un épiphénomène toujours renouvelée dans l'océan de la matrice originelle.

    Bien à vous

    PS : une autre façon de voir cela est la suivante : admettons que la brusque délocalisation (séparation/mitose) soit suivie d'une brusque relocalisation de même période, alors on pourrait poser le cycle suivant :

    phase stochastique : fluctuations indépendantes
    phase synchronisée : fluctuation groupée... etc...

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  4. Mais le postscriptum n'est pas réaliste car le groupement des masses, allonge le temps selon les lois connues de l'oscillateur*. Il est donc contraint d'être de type cosmique.

    * il est fonction de la racine carrée de la somme des masses groupées et donc, exprimé en masse-unité, en fonction de la racine carrée du nombre originel : xi^8 → xi^4). Or on vérifie que xi^4 est le ratio des forces : électrique/grave sur une paire électron/positron. La gravitation est donc la trace précise de la délocalisation 1D sur l'aire 2D du BEC. Il se trouve que le ratio 2D → 1D équivaut à la racine carrée du nombre.

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  5. merci dominique de réussir à compléter a chaque fois par vos remarques les caractéristiques du systeme oscar ....A BIENTOT POUR L ARTICLE SUIVANT

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