Il faut s’entourer de précaution avec la sémantique des
termes de physique ….C ‘est pourquoi je
vous propose la suite de mon dialogue avec
X et Y !!!
88888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888
-Moi : »Définir si l’énergie se conserve
en univers ouvert ?????Ma
foi Mr Y , Vous êtes un
empêcheur de tourner en rond avec votre question embêtante (« L’Univers peut-il être réductible à ce bizarre
espace clos ???? …… alors que
vous savez que WITTEN postule
10 puissance 500 variétés d’univers possibles et peut être concomitants
"??????)
-Mr Y : « C’est
parce que vous prétendez rechercher dans les lois des équilibres
thermodynamiques dégagées par WIZZARD GIBBS des
voies d’études pour les 5
modèles d’Univers que vous nous proposez …Au demeurant ,Je crois me
rappeler que vous avez répondu déjà
en biais a la question d’un intervenant
Jihems sur ce sujet à propos
du red shift et de la distance des objets émetteurs de l’espace …..
--Moi : »En effet
c’est un sujet vaste que le red
shift et il m’était difficile de le traiter en partie commentaires .Comme il y a 3 types
de redshift(le Doppler-Fizeau Relativiste
/ le redshift Cosmologique / le redshift Gravitationnel) on est obligé de les
discriminer et par là se pose la
question de la conservation de l' énergie
electromagnétique avec la distance
parcourue quand l’espace
–temps se dilue ou se rétracte…….
-Mr X : » Votre explication OLIVIER fut notoirement insuffisante ,je vous
cite:" « Pour déterminer cette distance, ( qui nous sépare d’une
étoile) il faut se déclarer partisan d’un
modèle équationnel d'univers avec espace –temps et
c’est un choix difficile à expliciter
sachant que l’espace a pu connaitre des conditions de déplacement
( expansion , stabilité ou rétraction…)
variable dans le temps ….. »).
Puisqu’ on en est à rechercher les caractéristiques de chaque type d’univers ,vous auriez pu tout autant lui parler du temps de regard vers le passé en
fonction du décalage vers le rouge Z et
lui proposer la courbe de la photo ci-après
En y , vous avez le temps depuis lequel a été émise la lumière
d'un objet astronomique lointain, calculé en fonction de son décalage vers le
rouge Z figurant en X. C'est une estimation de l'âge de l'objet,
exprimé en temps cosmique....Et si vous supposez que la vitesse de la lumière ne varie jamais cette valeur de
temps permet de connaitre la
distance parcourue par la lumière entre cet objet et la Terre. Bien entendu
ceci n’est valable qu’avec une valeur de
constante de HUBBLE , de la densité d’énergie et d’une équation
de modèle homogène donnée pour une
distance comobile maxi de 46 milliards d’années-lumière .....JE VOUS PROPOSE EN PLUS CE TABLEAU
1 ère colonne le
z / 2ème le temps / 3 ème un phénomène
observé
1081 13,7
milliards-440 000 Décalage vers le
rouge approximatif du fond diffus cosmologique
11.5 13,3
milliards Début de la réionisation de
l'univers. Apparition des premières étoiles.
7.1 13
milliards ULAS J1120+0641, quasar
le plus distant détecté.
6.96 12,9
milliards IOK-1, galaxie la plus
ancienne détecté
1 7,8
milliards Longueur d'onde de la
lumière multipliée par 2.
0.45 4,7
milliards L'accélération de
l'expansion de l'univers commence.
0 contemporain
Objet voisin de l'observateur.
-Moi : » Vous m’embarquez dans une
digression ; revenez Mr X au problème de la conservation de l’énergie dans
un système ouvert …..
-Mr X : » C’est vrai ; voici la documentation
réunie sur ce sujet ….Il est TOUT D
ABORD difficile de réécrire le premier
principe de la thermodynamique dans un
volume défini car les bords de notre univers
ne peuvent être discriminés
QUE S’IL EST LOCAL et reste globalement
homogène …Et de plus si l’on se donne
un modèle d’univers et d’espace-temps et que sa composition autorise des vitesses de
déplacement de ses composants qui peuvent être très différentes et les séparer alors on crée
des volumes successifs de lois différentes à partir d’époques différentes ( les photons d’abord OU
les neutrinos ….ETC).
MOI : » J imagine
Mr X que si vous introduisez des phasesévolutives telles que l’inflation
de ALAN GUTH /LINDE pour «
homogénéiser la soupe de départ »
ou au contraire la création de
masses tardives ou des libérations tardives de photons vous compliquez gravement les choses
,non ???
6Mr X « Bien
sur ! Et déjà d ailleurs la question se pose de savoir dans quelle mesure le décalage vers
le rouge cosmologique ne remet pas en question le principe général de
conservation de l'énergie. Ce sujet est toujours débattu !
Moi : » gardons le pour la suite !
-
Dans le modèle OSCAR, l'énergie ne reflète que les transitions de type : quantique ↔ subquantique. C'est une affaire de : {délocalisation ↔ relocalisation}.
RépondreSupprimerLa matrice originelle est faite d'oscillateurs dipolaires locaux (car non connexes). Une fois les pôles séparés ou délocalisés dans le BEC originel, le concept d'énergie apparaît par le biais des relocalisations sous toutes ses formes. Tout ce qui se manifeste à notre vue est juste un effet de relocalisation.
Toute dépense d'énergie artificielle (hors de ce processus) ne fait que ralentir la période de l'oscillateur-bulle-univers. En effet l'intégration de l'énergie par le temps donne la puissance. L'augmenter revient à diminuer le temps du cycle global. La bulle univers, faite de délocalisations, ne peut qu'aboutir vers une relocalisation généralisée dans la matrice originelle.
Il est paradoxal que la matrice pure est typiquement à entropie maximale (brassages intenses) alors qu'elle n'est faite que d'oscillateurs élémentaires sagement localisés.
En résumé :
- Synchronisation mène à délocalisation
- l'augmentation de l'entropie est le reflet de la relocalisation.
bien à vous
Entropie max → probabilité de fusion → saturation BEC → délocalisation quantique → oscillateur globalisé → relocalisation vers le subquantique (dont la trace est la puissance de transition).
Toute la débauche d'énergie pour réaliser la séparation et la mitose, est intégralement rendue lors de le lente relocalisation.
Donc en disant : "l'énergie est conservée" on fait une grave omission. On doit dire : "l'énergie zéro est conservée".
Une bulle-univers est un épiphénomène toujours renouvelée dans l'océan de la matrice originelle.
quand je me gratte la tête, je participe à la diminution de la période de la bulle-univers.....
RépondreSupprimerEn relisant mon commentaire, je m'aperçois qu'un rajout intempestif vient le troubler le raisonnement. Donc le me permet , cher Olivier de le ré-émettre dans une forme plus lisible :
RépondreSupprimerDans le modèle OSCAR, l'énergie ne reflète que les transitions de type : quantique ↔ subquantique. C'est une affaire de : {délocalisation ↔ relocalisation}.
La matrice originelle est faite d'oscillateurs dipolaires locaux (car non connexes). Une fois les pôles séparés ou délocalisés dans le BEC originel, le concept d'énergie apparaît par le biais des relocalisations sous toutes ses formes. Tout ce qui se manifeste à notre vue est juste un effet de relocalisation.
Toute dépense d'énergie artificielle (hors de ce processus) ne fait que ralentir la période de l'oscillateur-bulle-univers. En effet l'intégration de l'énergie par le temps donne la puissance. L'augmenter revient à diminuer le temps du cycle global. La bulle univers, faite de délocalisations, ne peut qu'aboutir vers une relocalisation généralisée dans la matrice originelle.
Il est paradoxal que la matrice pure est typiquement à entropie maximale (brassages intenses) alors qu'elle n'est faite que d'oscillateurs élémentaires sagement localisés.
En résumé :
- Synchronisation mène à délocalisation
- l'augmentation de l'entropie est le reflet de la relocalisation.
Le processus fondamental est :
Entropie max → fusion → saturation BEC → délocalisation quantique + mitose/expansion → oscillateur globalisé → relocalisation vers la matrice subquantique.
La trace de la relocalisation est l'énergie de fusion et d'annihilation (via la DM).
Toute la débauche d'énergie pour réaliser la séparation et la mitose, est intégralement rendue lors de le lente relocalisation.
Donc en disant : "l'énergie est conservée" on fait une grave omission. On doit dire : "l'énergie zéro est conservée".
Une bulle-univers est un épiphénomène toujours renouvelée dans l'océan de la matrice originelle.
Bien à vous
PS : une autre façon de voir cela est la suivante : admettons que la brusque délocalisation (séparation/mitose) soit suivie d'une brusque relocalisation de même période, alors on pourrait poser le cycle suivant :
phase stochastique : fluctuations indépendantes
phase synchronisée : fluctuation groupée... etc...
Mais le postscriptum n'est pas réaliste car le groupement des masses, allonge le temps selon les lois connues de l'oscillateur*. Il est donc contraint d'être de type cosmique.
RépondreSupprimer* il est fonction de la racine carrée de la somme des masses groupées et donc, exprimé en masse-unité, en fonction de la racine carrée du nombre originel : xi^8 → xi^4). Or on vérifie que xi^4 est le ratio des forces : électrique/grave sur une paire électron/positron. La gravitation est donc la trace précise de la délocalisation 1D sur l'aire 2D du BEC. Il se trouve que le ratio 2D → 1D équivaut à la racine carrée du nombre.
merci dominique de réussir à compléter a chaque fois par vos remarques les caractéristiques du systeme oscar ....A BIENTOT POUR L ARTICLE SUIVANT
RépondreSupprimer