Il devient difficile pour l’auteur de ces lignes de se
dégager de ses soucis de santé ophtalmologiques… « .La vue c’est la
vie ! »dit le proverbe et il
est facile de s’expliquer pourquoi votre moral baisse quand votre vue baisse
fort !!!
Achevons ensemble de discuter avec ce pauvre ami
PEPPER , condamné à rester à PRINCETON
alors que tous mes américains viennent ici à RE LA BLANCHE !! Le
sujet ???Les représentations que l’on pourrait proposer à ces fameux
gluons
888888888888888888888888888888888888888888888888888888888
-« Cher OLIVIER
,vous nous avez proposé des schémas pour les gluons , mais en ignorant ou en faisant semblant d’ignorer que les théoriciens avaient malgré tout quelque chose à nous
proposer pour ces 98% « de masse de gras » que les gluons
prélèvent sur un proton !!!
-« Je le reconnais PEPPER ! Et l’initiateur de ces faramineux calculs est en France Laurent Lellouch directeur de recherche CNRS au Centre de
physique théorique,
Partant des équations de la chromodynamique quantique (QCD),
c'est-à-dire la théorie qui décrit les interactions fortes , ils ont utilisé
une approche où l'espace-temps est envisagé comme un réseau cristallin à quatre
dimensions, composé de sites espacés le long de rangées et de colonnes. Leur
principal défi était d'arriver à une solution qui corresponde à notre
espace-temps continu….Ce calcul a requis les ressources des supercalculateurs
Blue Gene de l’IDRIS du CNRS et du
Forschungszentrum Jülich, mais aussi des fermes de calcul de l'Université de
Wuppertal et du Centre de physique théorique de Marseille.
-« Inutile de mobiliser de tels moyens si le résultat attendu n’en vaut pas la
peine !
-« C’est faux
en l’occurrence PEPPER …Certes
quand on fait des manips dans les accélérateurs de particules celles-ci
subissent les 4 interactions connues
alors que ces modélisations se font avec la QCD pure « aseptisée » des
matheux … mais il est possible d’évaluer les
corrections à envisager ….Quoiqu’ il en
soit les masses obtenues par le calcul
sont en accord avec celles mesurées
expérimentalement.Bref on sair reconstruire un proton à 2% prés !
-« A mon tour OLIVIER de critiquer ces calculs ! J’estime qu’actuellement
il est quasi impossible de faire la
différence entre ce que les gluons prélèvent et ce que la mer permanente et agitée de paires quark-antiquark fugaces et de gluons
apparaissant-disparaissant prend pour
elle ….
-« C’EST
VRAI PEPPER ! AU JOUR D 'AUJOURD’HUI le fait que l'on ne puisse pas isoler de
quarks rend à la fin la mesure de leur
masse quasi inutile. Dans ce sac
interne du proton il y a tant de
remue-ménage permanent qu’Il n'est même
pas clair que la notion de masse pour un quark puisse avoir un sens bien défini
sauf pour des mathématiciens épris de théories !.Par ailleurs et d’un point de vue plus classique , j’avais été tenté
il y a longtemps de modéliser
l’image d’un gluon par une onde entretenue vibrant entre les deux nœuds que sont les quarks …quand je me suis aperçu que les nœuds n’ont pas une localisation f
(xyz,t) fixe puisque les quarks
sont « tiraillés »de l’autre côté par le 3 éme . et qu il y en
a 2 sortes !.J ‘ai donc fini par
devoir arrêter de jouer avec un système mécanique de six ressorts dissymétriques attachés en triangle isocèle « vibrant »
comme sur la figure ci-après ….
-« Inutile, OLIVIER
, autant revenir à la QCD sur réseau et ses « modélisations »
avec toutes les 4 interactions et des simplifications de matheux !
-« Elles n’ont pas toutes même valeur PEPPER !
-« INUTILE VOUS DIS JE !
A suivre
Toutes les particules composites sont des empilages de paires électron-positrons (coquilles concentriques) de CREATION NON LOCALE* et donc STABLES et indistinctes des bosons ! FERMI ne pouvait pas savoir qu'on allait découvrir la non localité ! Sinon il aurait ajouté le critère de localité pour la dichotomie boson / fermion !
RépondreSupprimerToute la matière stable n'est faite de que cela. Arrêtons avec ces "gluons" et ces "quarks" qui ne sont que des effets liés à l'oscillation interne de ces couches. Avec cela la hiérarchie des masses, le rayon du proton, et des dizaines d'autres énigmes, se lèvent directement.
* J'ai publié le cas des muons et tauons dont les composants sont de type "création locale" et donc instable. On voit également que le groupe unique de couches (donc sans intervalle) n'induit pas de quark.
CHER DOMINIQUE
RépondreSupprimerVous avez compris que sans vouloir trop descendre la QCD j essaie de marquer ses limites
en fait je suis trés obsédé par les soucis de flamenville sur le circuit d eau secondaire et sur ses défauts de soudures
j attends une réponse de EDF avant de rentrer dans le sujet /assurance qualité