La fin de la
discussion avec l’ami PEPPER va peut-être
ouvrir un champ de questions sortant de la Physique …Et je vous propose donc de l ‘écouter …..
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-«J’avoue
OLIVIER avoir été sidéré une fois de plus
par les publications et les vidéos relatives e ces supercontinents cosmiques ….Puisque vous pouvez joindre DANIEL POMAREDE à Saclay
, pouvez-vous nous décrire le
futur possible , du moins dans sa partie expérimentale
???? Parce que sur l’application de ce
modèle d’Univers ΛCDM (
Friedmann-Lemaître-Robertson-Walker ) vous dites qu’ il contredit tout ce que nous observons de près et même déjà d’assez
loin ……..Non ?
-« Mes
reproches sont des constats PEPPER
et son application est plus licite si on se place au début où l’univers
semble d’après le rayonnement fossile avoir été d’une homogénéité et
d’une isotopie quasi parfaite ….. Mais
pour le présent la description globale
mais profonde de ces super continents
galactiques qui se cherchent, se
frictionnent ou se fuient nous force à
nous interroger….
Pour la
suite de cette étude, vous savez qu’elle se
place dans un créneau technologique qui a démarré sous le nom de Cosmic Flows puis continué avec le projet
CLUES (Constrained Local UniversE Simulations). Et là encore j’ai quelques remarques à faire … A quoi bon s’attaquer aux horizons plus lointains de l’univers si nous ne possédons pas encore les
instruments doublant ,ou triplant la
distance d’observation actuelle …??? C’est donc comme toujours une affaire de
Financement ,de savoir-faire , de l’état de l’Art et du personnel scientifique intéressé ……mais
faire déjà des simulations sur l’ Univers
local et passer des calculs contraints puis les comparer au réel ce n’est pas perdre
son temps …..D’autant que les contraintes des propriétés
de la matière noire et l’énergie noire ne sont toujours péniblement décrites que de
manière indirecte ……..
-« Bref vous nous demandez surtout OLIVIER d’être patients !
-« Pas seulement
PEPPER et si vous voulez que je vous parle
franchement fonder une théorise claire
et complète sur les mécanismes théoriques de formation des galaxies et les réconcilier ensuite
avec ces flux galactiques de vitesse
et de structure carrément orographique me semble encore impossible ….. J’aime d’ailleurs une
des conclusions de Georges Paturel
, collègue de Hélène Courtois : je cite (
copier-coller) » Cependant, les superamas sont très mal définis. Quelles
sont leurs frontières, où commence l’un et où s’arrête l’autre ? C’est la
grande nouveauté, l’équipe de chercheurs propose de définir les limites des
superamas à partir des champs des vitesses. C’est comme de l’eau de pluie sur
une colline. Selon qu’elle tombe d’un côté ou de l’autre de la limite de partage
des eaux, alors elle coulera vers un bassin versant ou vers un autre… »..
-« Alors je vous propose de conclure la
dessus OLIVIER
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