mardi 5 mars 2019

Le Pouvouvoir de l Imaginaire n° 650 / L 'expansion de l univers pour les Nuls :issue 4


La fin de la discussion avec l’ami PEPPER   va peut-être ouvrir un champ de questions sortant de la Physique  …Et je vous propose donc de l ‘écouter …..

8888888888888888888888888888888888888888888888888

-«J’avoue OLIVIER avoir été sidéré une fois de plus  par les publications et les vidéos relatives   e ces supercontinents  cosmiques ….Puisque vous pouvez joindre  DANIEL POMAREDE  à Saclay  , pouvez-vous nous décrire  le futur  possible  , du moins dans sa partie expérimentale ????  Parce que   sur l’application  de ce  modèle d’Univers  ΛCDM  (  Friedmann-Lemaître-Robertson-Walker ) vous  dites qu’ il contredit tout  ce que nous observons de près et même déjà d’assez  loin ……..Non   ?

-« Mes reproches sont des constats PEPPER   et  son  application est plus licite  si on se place au début où  l’univers  semble d’après le rayonnement fossile avoir été d’une homogénéité et d’une isotopie  quasi parfaite ….. Mais pour le présent  la description globale mais profonde   de ces super continents galactiques  qui se cherchent, se frictionnent ou se fuient  nous force à nous interroger….
Pour la suite de cette étude, vous savez qu’elle se  place  dans un créneau  technologique   qui a démarré sous le nom de  Cosmic Flows puis continué avec le projet CLUES (Constrained Local UniversE Simulations). Et là encore  j’ai quelques remarques à faire  … A quoi bon s’attaquer aux horizons   plus lointains de l’univers  si nous ne possédons pas encore les instruments   doublant ,ou triplant la distance d’observation actuelle   …???  C’est donc comme toujours une affaire de Financement ,de savoir-faire , de l’état de l’Art  et du personnel scientifique intéressé ……mais faire déjà des simulations   sur l’ Univers local   et passer des calculs contraints  puis les comparer au réel ce n’est pas perdre son temps   …..D’autant que   les contraintes  des  propriétés    de  la  matière noire et l’énergie noire   ne sont toujours péniblement décrites que de manière indirecte ……..

  Bref vous nous demandez  surtout OLIVIER  d’être patients !

  -«   Pas seulement  PEPPER    et si vous voulez que je vous parle franchement fonder une théorise    claire et complète  sur  les mécanismes théoriques de formation des  galaxies et les réconcilier  ensuite  avec ces flux galactiques  de  vitesse  et  de structure carrément  orographique me  semble   encore impossible ….. J’aime d’ailleurs une des conclusions de  Georges Paturel ,   collègue de Hélène Courtois : je cite ( copier-coller) » Cependant, les superamas sont très mal définis. Quelles sont leurs frontières, où commence l’un et où s’arrête l’autre ? C’est la grande nouveauté, l’équipe de chercheurs propose de définir les limites des superamas à partir des champs des vitesses. C’est comme de l’eau de pluie sur une colline. Selon qu’elle tombe d’un côté ou de l’autre de la limite de partage des eaux, alors elle coulera vers un bassin versant ou vers un autre… »..

  -«  Alors je vous propose de conclure la dessus OLIVIER


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire