jeudi 21 mars 2019

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT / Le Monde selon la Physique/Physics world /2019 March , issue 11


Ma vue  ne s améliorant pas je vais encore modifier ma présentation des résumés   que m’adresse journellement Newspaper Science x/PHYS/ORG ….
   Comme  BLOGGER   n’est pas un organisme  collant des contraventions ou des  censures  comme LE NOUVEL OBS , quand on mélange les langues   ,je vous proposerai la liste des nouveautés scientifiques   telle que je la reçois  EN ANGLAIS  et vous traduirai  , a la suite , l’article que j’ai retenu , traduit et commenté  par  moi-même ……..

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Spotlight Stories Headlines

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/A new approach to discover visual patterns in art collections
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/Researchers find Americans set their thermostat to match African environmental temperatures
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/Giant X-ray 'chimneys' are exhaust vents for vast energies produced at Milky Way's center
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/Rabbits like to eat plants with lots of DNA
/High potency pot 'strongly linked' to psychosis: study
/MIT team's picking and placing system is on another level

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Et , comme je risque de me trouver prochainement dans ma famille ,à PRINCETON /NJ/USA/   si mon docteur me donne son feu vert ,je choisis l’article  qui traite de l’environnement : c est à dire :
« Researchers find Americans set their thermostat to match African environmental temperatures”

« Des chercheurs découvrent que les Américains règlent leur thermostat sur les températures ambiantes africaines
20 mars 2019 par Bob Yirka, compte rendu de Phys.org
 thermostat
Une équipe de chercheurs de la North Carolina State University a découvert que les personnes vivant aux États-Unis ont tendance à régler leurs thermostats à des températures qui imitent les conditions environnementales naturelles  régnant dans certaines régions d’Afrique. Dans son article publié dans la revue Royal Society Open Science, le groupe décrit son étude, qui impliquait l’installation de capteurs dans des maisons aux États-Unis, et ses découvertes.


Dans leur article, les chercheurs notent qu'ils ne cherchaient pas à faire correspondre les environnements d'air intérieur avec les conditions environnementales naturelles, ce qui est venu plus tard. Leur intention initiale était d'en apprendre davantage sur les créatures qui vivent dans les maisons avec les gens - microbes, animaux ,insectes, rongeurs, etc. Elles voulaient savoir si leur nombre variait en fonction du climat intérieur. Pour le savoir, ils ont demandé à des personnes vivant dans 37 maisons à travers les États-Unis d’installer un dispositif de détection dans leur maison. Les appareils mesuraient la température et l'humidité toutes les heures pendant un an. À la fin de l'année, les capteurs étaient renvoyés aux chercheurs qui  analysaient les données enregistrées.

Les chercheurs ont découvert que les températures moyennes les plus basses atteignaient 8 ° C (généralement la nuit, lorsque les gens baissaient les thermostats) et que le maximum maximorum était de 36 ° C. Les chercheurs ont ensuite divisé la Terre en cellules d'un demi-degré de longitude et de latitude. et branché les températures moyennes réelles pour chaque cellule. Ils ont comparé les moyennes des foyers américains avec les données de leurs cellules et ont constaté que les habitants des États-Unis  se fixaient des conditions environnementales à l’intérieur de leur domicile de manière à ce qu’elless correspondent à ceux de l’ouest du Kenya et d’autres régions de l’Afrique orientale. Ils ont noté que les conditions au Kenya ont également tendance à être relativement sèches, similaires à celles des États-Unis. Ils ont également noté que le Kenya et les régions avoisinantes seraient les endroits où les humains modernes sont apparus pour la première fois sur la planète. Ils concluent en suggérant que les humains modernes règlent leurs thermostats pour leur donner à peu près le même climat que celui auquel ils ont été exposés pendant la période où ils n’avaient aucun contrôle sur les conditions météorologiques. C'est apparemment le climat dans lequel nous sommes le plus à l'aise.

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MON COMMENTAIRE
  Bien entendu vous seriez tentés de  jouer les  paléo -anthropologues  et dire  qu’ il existe  en nous quelque chose  comme  une «  mémoire à long terme de l’Espèce Homo Primigenius  » et qui ne s’est pas effacé , malgré l’évolution !! !  
Peut-être  certains d’entre vous   , à l’instar  des prédicateurs  de l’apocalypse à venir dès 2035  ( cf.   la conférence  de YVES COCHET  et allia sur la   collapsologie  ( à voir   sur YOU TUBE   et Google)  pensent que  nous mangeons encore de la salade, en souvenir des feuilles et fruits  d’il y a un million d’années …
Ou peut-être  , sans penser à   l’effondrement de la civilisation industrielle et de ce qui pourrait lui succéder , vous iriez  jusqu‘à me   présenter ce résultat comme une sorte  de «  Lost paradise  nostalgie »  ……
Bref et quoiqu’ il en soit  des efforts limités que font les USA  pour le climat ,  je vous garantis  que l etude est trop biaisée par le trop petit nombre de cas étudiés  ….. Et que ce n’est pas ainsi que nous vivons   à PRINCETON   dans ma famille !

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