Si le GIEC peut paraitre suffisament équipé d 'experts et de moyens pour délivrer des staistiques fiables et des prévisions à prendre en considération et si vous vous interrogez sur le contenu de ce rapport 2018 je vous signale qu'il en existe une version informatique sur Internet dont voici l intitulé : Réchauffement climatique de
1,5°Chttps://unsenric.force- ouvriere.org/.../rapport_du_giec_-.. wIKISOURCE
Et c est à partir de ce travail que je vous ai présenté hier que je me suis posé la question de l ' intervention d un hasard sauvage dans les secteurs de l activité humaine
Cette expression "Le hasard sauvage : Comment la chance nous trompe " est le titre d' un best-seller de Nassim Nicholas Taleb..... un statiticien ( franco libano américain),praticien en mathématiques financière qui traite de la faillibilité de notre connaissance rationnelle et meme scientifique......
Je me suis mis ensuite en quete pour savoir dans quel secteur des activités humaines le rapport GIEC risquait d etre insuffisant et je l ai trouvé dans la partie qui traite la santé, les moyens d’existence, la sécurité alimentaire, l’approvisionnement en eau, la sécurité humaine et la croissance économique ...... Et un mien corrrespondant a bien voulu résumer tout cela en le cadrant dans la politique interne et externe des Etats , dans les conflits qui allaient en résulter et meme dans les tetes des chefs d etat!!!....
Pourriez vous par exemple evaluer la probabilié d une guerre entre un état X et un etat Y pour toute la surface terrestre dans le 21 ème siècle , savoir quand elle va survenir et que va t elle entrainer .????? J.M JANCOVICI cite dans ce cas par exemple la guerre cilvi e de SYRIE due aux nombreuses années de sécheresse de ce pays allié e au comportement imprévisible de son chef d état face à son opposition ...... RIEN dans ce rapport GIEC ne nous permet de quantifier exactement la probabilité de tels évènements
Alors et au demeurant , je suis posé la question de savoir s il existait un organisme capable d 'évaluer les ressources desponibles terrestres et de leurs consommations tant en matière d ' énergies de toutes espèces , que de reeources géologiques et acqueuses..... qui puisse en présenter un rapport fiable, complet et dont on puisse tirer des prévisions ..... Ne cherchez pas!
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A me lire , mes lecteurs devraient comprendre que mon scepticisme l emporte et de loin sur la rationalité, et l es espors que je pourrais tirer des rapports GIEC et /ou par exemple des grands meetings internationaux , type COP 21.....Je l ai dit en revenant de FLORIDE l année dernière et des USA cette année ... Ils sont parmi les premiers pollueurs par tete de la planète et ne se pressent pas trop pour changer cette situation ....ILS NE SONT PAS LES SEULS .. BIEN ENTENDU !
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On pouurait tirer de cette suite d articles sur le hasard et son évaluation des conclusions pessimistes sur le futur et l évolution de la civilisation humaine ..... Ma conclusion actuelle est que l'évitement des risques n'est pas un acte rationnel mais intuitif, basé sur l'émotion : autrement dit nous ne nouis mettrons a bouger que lorsque le niveau et le nombre des catastrophes climatiques et des problèmes humains et économiques seront devenus si importants que ce sera notre peur ,nos émotions et meme nos angoisses qui nouus feront vraiment changer ......
reçu ce matin Jean-Marc Jancovici
RépondreSupprimerHier, à 08:30 ·
Une agence américaine a rendu, son bulletin mensuel et conclut que le mois, marqué par une forte canicule sur l’Europe, surpasse de 0,95 °C la moyenne du XXe siècle.
par Stéphane Foucart
« La majeure partie de la planète a connu une chaleur sans précédent en juillet, les températures ayant atteint de nouveaux sommets au cours de ce mois, le plus chaud jamais enregistré », résume le bulletin de l’agence fédérale américaine. Ses chiffres confirment ceux du service européen de surveillance satellite Copernicus, rendus publics début août. Quant au précédent record, tenu par juillet 2016, il est battu d’une fraction de degré. Une situation d’autant plus notable qu’El Niño – un phénomène naturel périodique qui voit le Pacifique se réchauffer pendant quelques mois – n’est pas actif.
(...)
La canicule qui a touché l’Europe à la fin du mois a fait tomber les records. La NOAA rappelle dans son bulletin que le 25 juillet a vu la température grimper à 42,6 °C à Paris, bien au-dessus du dernier record enregistré à cette période. Le 28 juillet 1947, le mercure n’était monté « qu’à » 40,4 °C dans la capitale française. De même, note la NOAA, « la Belgique, l’Allemagne, le Luxembourg et les Pays-Bas ont établi de nouveaux records ». En Allemagne, notamment, le mercure a franchi les 42,5 °C et aux Pays-Bas, la température a franchi pour la première fois – toutes saisons confondues – la barre des 40 °C. Records battus également en Norvège et en Suède, où des stations situées au-delà du cercle polaire ont enregistré des températures frôlant les 35 °C.
(publié par J-Pierre Dieterlen)