World's wealthiest 10% have contributed to two-thirds of global warming since 1990, study finds
by International Institute for Applied Systems Analysis

Credit: Pixabay/CC0 Public Les 10 % les plus riches de la planète ont contribué aux deux tiers du réchauffement climatique depuis 1990, selon une étude de l'Institut international d'analyse des systèmes appliqués.
Crédit : Pixabay/CC0 Domaine public
Les personnes aisées ont une empreinte carbone plus élevée. Une nouvelle étude publiée dans Nature Climate Change quantifie les conséquences climatiques de ces inégalités. Elle révèle que les 10 % les plus riches de la planète sont responsables des deux tiers du réchauffement climatique observé depuis 1990 et de l'augmentation des extrêmes climatiques qui en résulte, tels que les vagues de chaleur et les sécheresses.
L'étude évalue la contribution des groupes les plus émetteurs au sein des sociétés et constate que le 1 % des personnes les plus riches à l'échelle mondiale a contribué 26 fois plus que la moyenne mondiale à l'augmentation des extrêmes de chaleur mensuels centennaux et 17 fois plus aux sécheresses en Amazonie.
Cette recherche apporte un nouvel éclairage sur les liens entre les inégalités d'émissions liées aux revenus et l'injustice climatique, en illustrant l'impact disproportionné de la consommation et des investissements des personnes aisées sur les phénomènes météorologiques extrêmes. Ces impacts sont particulièrement graves dans les régions tropicales vulnérables comme l'Amazonie, l'Asie du Sud-Est et l'Afrique australe, qui ont historiquement le moins contribué aux émissions mondiales.
« Notre étude montre que les impacts climatiques extrêmes ne résultent pas uniquement d'émissions mondiales abstraites, mais qu'ils peuvent être directement liés à notre mode de vie et à nos choix d'investissement, eux-mêmes liés à la richesse », explique l'auteure principale, Sarah Schöngart, ancienne participante du Programme d'été des jeunes scientifiques (YSSP) 2024 et actuellement associée à l'ETH Zurich.
« Nous avons constaté que les émetteurs aisés jouent un rôle majeur dans les extrêmes climatiques, ce qui plaide fortement en faveur de politiques climatiques visant à réduire leurs émissions. »
Grâce à un nouveau cadre de modélisation combinant données économiques et simulations climatiques, les chercheurs ont pu suivre les émissions de différents groupes de revenus à l'échelle mondiale et évaluer leur contribution à des extrêmes climatiques spécifiques. Ils ont constaté que les émissions des 10 % d’individus les plus riches aux États-Unis et en Chine ont chacune entraîné une augmentation de deux à trois fois des extrêmes de chaleur dans les régions vulnérables.
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RESUME
Les 10 % les plus riches de la planète ont contribué aux deux tiers du réchauffement climatique depuis 1990, selon une étude.
Les personnes fortunées ont une empreinte carbone plus élevée. Une nouvelle étude publiée dans Nature Climate Change quantifie les conséquences climatiques de ces inégalités. Elle révèle que les 10 % les plus riches de la planète sont responsables des deux tiers du réchauffement climatique observé depuis 1990 et de l'augmentation des extrêmes climatiques qui en résulte, tels que les vagues de chaleur et les sécheresses.
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Je ne contredit pas le constat de cet article mais je m 'étonne de le trouver dans la sélection de Science X car il peut suggerer des commentaires politiques ;ce que je refuse suir ce blog !
COMMENTAIRES :Je m éto,,e de cet article dans la sélection de SCIENCE X / C EST DEJA POLITIQUE !!!
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More information: Schöngart, S et al. High-income groups disproportionately contribute to climate extremes worldwide, Nature Climate Change (2025). DOI: 10.1038/s41558-025-02325-x
Journal information: Nature Climate Change
Provided by International Institute for Applied Systems Analysis
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