mardi 30 septembre 2025

SCIENCES ENERGIES ENVIRONNEMENT BLOGGER

 





Space-time doesn't exist, but it's a useful framework for understanding our reality


L'espace-temps n'existe pas, mais il constitue un cadre utile pour comprendre notre réalité.

Par Daryl Janzen, The Conversation


Édité par Stephanie Baum, relu par Robert Egan

Notes de la rédaction

Crédit : CC0 Domaine public

L'existence de l'espace-temps ne devrait être ni controversée ni même conceptuellement problématique, compte tenu des définitions de « espace-temps », « événements » et « instants ». L'idée de l'existence de l'espace-temps n'est pas plus viable que la croyance dépassée de l'existence de la sphère céleste : tous deux constituent des modèles centrés sur l'observateur, puissants et pratiques pour décrire le monde, mais aucun ne représente la réalité elle-même.


Pourtant, du point de vue de la physique moderne, de la philosophie, de la vulgarisation scientifique et des thèmes familiers de la science-fiction, affirmer que l'espace-temps n'existe pas est controversé.


Mais qu'en serait-il pour un monde où tout ce qui s'est produit ou se produirait « existe » d'une manière ou d'une autre maintenant, comme partie intégrante d'un tissu imbriqué ?


Les événements ne sont pas des lieux

Il est facile d'imaginer des événements passés – comme perdre une dent ou recevoir une bonne nouvelle – comme existant quelque part. Les représentations fictives du voyage dans le temps le soulignent : les voyageurs temporels modifient les événements et perturbent la chronologie, comme si les événements passés et futurs étaient des lieux accessibles grâce à la technologie adéquate.


Les philosophes s'expriment souvent de la même manière. L'éternalisme affirme que tous les événements de tous les temps existent. La vision du bloc croissant suggère que le passé et le présent existent tandis que le futur adviendra. Le présentisme affirme que seul le présent existe, tandis que le passé existait et que le futur adviendra. La relativité générale présente un continuum à quatre dimensions qui se courbe et se courbe – nous avons tendance à imaginer que ce continuum d'événements existe réellement.


La confusion naît de la définition du mot « exister ». Avec l'espace-temps, il est appliqué sans discernement à une description mathématique des événements, transformant un modèle en une théorie ontologique sur la nature de l'être.

En physique, l'espace-temps est l'ensemble continu des événements qui se produisent dans l'espace et le temps, d'ici à la galaxie la plus lointaine, du Big Bang au futur lointain. C'est une carte quadridimensionnelle qui enregistre et mesure où et quand chaque événement se produit. En physique, un événement est un événement instantané survenant à un endroit et à un moment précis.


Un instant est l'ensemble tridimensionnel d'événements spatialement séparés qui se produisent « au même moment » (avec la réserve habituelle de la relativité selon laquelle la simultanéité dépend de l'état de repos relatif).


L'espace-temps est la totalité de tous les événements qui se produisent.


C'est aussi notre moyen le plus puissant de cataloguer les événements du monde. Ce catalogage est indispensable, mais les mots et les concepts que nous utilisons pour le décrire sont importants.


Il existe une infinité de points dans les trois dimensions de l'espace, et à chaque instant du temps, un événement unique se produit à chaque endroit.


Positionnements dans le temps

Les physiciens décrivent une voiture roulant en ligne droite à vitesse constante à l'aide d'un diagramme espace-temps simple : la position sur un axe, le temps sur l'autre. Les instants s'empilent pour former un espace-temps bidimensionnel. La position de la voiture est un point à l'intérieur de chaque instant, et ces points se rejoignent pour former une ligne d'univers, l'enregistrement complet de la position de la voiture tout au long de l'intervalle de temps, dont la pente correspond à la vitesse de la voiture.


Le mouvement réel est bien plus complexe. La voiture roule sur une Terre en rotation autour du Soleil, qui orbite autour de la Voie lactée tout en dérivant dans l'univers local. Retracer la position de la voiture à chaque instant nécessite finalement un espace-temps quadridimensionnel.


L'espace-temps est la carte du lieu et du moment où les événements se produisent. Une ligne d'univers est l'enregistrement de chaque événement survenant au cours d'une vie. La question clé est de savoir si cette carte, ou tous les événements qu'elle dessine simultanément, doit exister de la même manière que les voitures, les personnes et les lieux qu'elles fréquentent.


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Courriel

Les objets existent

Examinons ce que signifie « exister ». Objets, bâtiments, personnes, villes, planètes, galaxies existent : ils sont des lieux ou occupent des lieux, y perdurant au fil du temps. Ils persistent malgré les changements et peuvent être rencontrés à plusieurs reprises.


Traiter les événements comme des choses qui existent introduit la confusion dans notre langage et nos concepts. Lorsqu'on analyse l'espace-temps, les événements, les instants, les lignes d'univers, ou même l'espace-temps dans son ensemble, existent-ils au même titre que les lieux et les personnes ? Ou est-il plus exact de dire que les événements se produisent dans un monde existant ?


Dans cette optique, l'espace-temps est la carte qui enregistre ces événements, nous permettant de décrire les relations spatiales et temporelles entre eux.


L'espace-temps n'existe pas.

Les événements n'existent pas, ils se produisent. Par conséquent, l'espace-temps n'existe pas. Des événements se produisent partout au cours de l'existence, et l'occurrence d'un événement est catégoriquement différente de l'existence de quoi que ce soit, qu'il s'agisse d'un objet, d'un lieu ou d'un concept.


Premièrement, il n'existe aucune preuve empirique qu'un événement passé, présent ou futur « existe » au même titre que les choses du monde qui nous entoure. Vérifier l'existence d'un événement en tant qu'objet en cours nécessiterait une machine à remonter le temps pour l'observer maintenant. Même les événements présents ne peuvent être vérifiés comme des choses en cours qui existent.


En revanche, les objets matériels existent. Les paradoxes du voyage dans le temps reposent sur le faux postulat que les événements existent en tant que lieux revisitables. Reconnaître la différence catégorique entre occurrence et existence résout ces paradoxes.


Deuxièmement, cette reconnaissance recadre la philosophie du temps. De nombreux débats au cours du siècle dernier ont traité les événements comme des choses qui existent. Les philosophes se concentrent alors sur leurs propriétés temporelles : un événement est-il passé, présent ou futur ? Celui-ci s'est-il produit plus tôt ou plus tard que celui-là ? Ces discussions reposent sur l'hypothèse selon laquelle les événements sont des choses existantes possédant ces propriétés. De là à conclure que le temps est irréel ou que le passage du temps est une illusion, il n'y a qu'un pas à franchir, à partir du constat qu'un même événement peut être qualifié différemment selon les points de vue. Mais la distinction ontologique a été perdue dès le départ : les événements n'existent pas, ils se produisent. Le temps et l'ordre sont des caractéristiques de la façon dont les événements interagissent dans un monde existant, et non des propriétés d'objets existants.


Enfin, considérons la relativité. Il s'agit d'une théorie mathématique décrivant un continuum espace-temps à quatre dimensions, et non d'une théorie sur une chose à quatre dimensions qui existe – qui, au cours de sa propre existence, se courbe et se déforme sous l'effet de la gravité.


Clarté conceptuelle

La physique ne peut pas décrire l'espace-temps lui-même comme quelque chose qui existe réellement, ni rendre compte des changements qu'il pourrait subir en tant que chose existante.


L'espace-temps fournit une description puissante de la façon dont les événements se produisent : leur ordre relatif, leur séquence.


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RESUME


L'espace-temps n'existe pas, mais il constitue un cadre utile pour comprendre notre réalité.


L'existence de l'espace-temps ne devrait être ni controversée ni même conceptuellement difficile, compte tenu des définitions de « espace-temps », « événements » et « instants ». L'idée de l'existence de l'espace-temps n'est pas plus viable que la croyance dépassée de l'existence de la sphère céleste : tous deux sont des modèles centrés sur l'observateur, puissants et pratiques pour décrire le monde, mais aucun ne représente la réalité elle-même.


COMMENTAIRES


Dans la conception de  l'équation  de la gravité de Newton le teps intervient  en teps ''absolu'' et indépendant  ...Alors 

quelle idée classique sur l'espace et le temps a été rejetée par Einstein ? c'est

l'idée que l'espace et le temps ne sont par indépendants mais inxtricablement liés  

L  'article  de the  Conversation   montre d autres traits  découlant 

 de ce choix 

Dans la théorie de la gravité quantique de Carlo Rvelli  le concept de temps disparait  IlMais est communément admis que la durée de l'ère de Planck est égale au temps de Planck, soit 10-43 seconde.Le mondu subquantique apparait alors  !!:!:




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Provided by The Conversation 


This article is republished from The Conversation under a Creative Commons license. Read the original article.


Explore further


What, exactly, is space-time?

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lundi 29 septembre 2025

SCIENCES ENERGIES ENVIRONNEMENT BLOGGER

 




Microsoft offers no-cost Windows 10 lifeline


Microsoft propose une extension gratuite pour Windows 10


Modifié par Andrew Zinin

Notes de la rédaction

Crédit : Pixabay/CC0 Domaine public

Microsoft a annoncé mercredi de nouvelles options permettant aux clients américains et européens de prolonger gratuitement et en toute sécurité la durée de vie de leur système d’exploitation Windows 10, quelques jours seulement avant la date limite de mise à niveau vers Windows 11.


Le géant technologique américain prévoit de mettre fin au support de Windows 10 le 14 octobre, une décision qui a suscité des critiques de la part des associations de défense des consommateurs et des inquiétudes chez les utilisateurs, qui craignent de devoir acheter de nouveaux ordinateurs pour se protéger des cybermenaces.


Les utilisateurs qui ne peuvent pas effectuer la mise à niveau ou qui choisissent de renoncer aux mises à jour de sécurité étendues seront davantage vulnérables aux cyberattaques.


En réponse à ces inquiétudes, Microsoft a informé les utilisateurs européens que les mises à jour de sécurité essentielles seront prolongées d’un an sans frais supplémentaires, à condition de se connecter avec un compte Microsoft.


Auparavant, l'entreprise proposait une extension d'un an des mises à jour de sécurité de Windows 10 pour 30 $ aux utilisateurs dont le matériel est incompatible avec Windows 11.


Aux États-Unis, une option gratuite similaire permettra aux utilisateurs de télécharger leurs profils Windows 10 sur le service de sauvegarde de Microsoft et de recevoir des mises à jour de sécurité pendant un an maximum.


Les clients américains peuvent également choisir de payer 30 $ pour l'extension ou d'utiliser 1 000 points Microsoft Rewards, gagnés grâce à leur activité sur les plateformes de l'entreprise, pour accéder aux mises à jour.


En Europe, des associations de défense des droits ont fait pression pour obtenir des concessions.


L'organisation française Halte à l'Obsolescence Programmée (HOP) a lancé une pétition exigeant des mises à jour gratuites jusqu'en 2030.


Par ailleurs, la fédération allemande des consommateurs Verbraucherzentrale a averti en mai que la décision de Microsoft « inquiète les consommateurs et limite leur liberté d'achat ».


Selon Consumer Reports, basé aux États-Unis, environ 650 millions de personnes dans le monde utilisaient encore Windows 10 en août.


© 2025 AFP



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Microsoft propose une solution de survie gratuite pour Windows 10.


Microsoft a annoncé mercredi de nouvelles options pour les clients américains et européens afin de prolonger gratuitement et en toute sécurité la durée de vie de leur système d'exploitation Windows 10, quelques jours seulement avant la date limite de mise à niveau vers Windows 11.


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Je m abstiens  de faire des commentaires car mon pc fonctionne sous Microsoft!!!


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ATRADUCTION  DU BLO PRECEDENT

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Corps du message

Cher Olivier Hartmanshenn,


Voici votre newsletter Science X personnalisée de la semaine 39 :


Identification d'un facteur clé de la propagation du cancer du pancréas

Une étude menée par l'Université Cornell a révélé comment une forme mortelle de cancer du pancréas pénètre dans la circulation sanguine, résolvant ainsi un mystère de longue date sur la propagation de la maladie et identifiant une cible thérapeutique prometteuse.


Le magnésium inhibe la cancérogénèse du cancer colorectal en augmentant la production de bactéries synthétisant la vitamine D.

Des chercheurs du Centre médical de l'Université Vanderbilt ont démontré, lors d'un essai clinique de précision, qu'un supplément de magnésium augmente la production de bactéries intestinales chez l'homme, dont la capacité à synthétiser la vitamine D inhibe la cancérogénèse du cancer colorectal.


Lien entre les bactéries buccales et la maladie de Parkinson via l'axe intestin-cerveau

Des chercheurs coréens ont découvert des preuves convaincantes que les bactéries buccales, une fois colonisées dans l'intestin, peuvent affecter les neurones du cerveau et potentiellement déclencher la maladie de Parkinson.


Différents types de champignons hallucinogènes utilisent des voies biochimiques uniques pour produire le même composé actif.

Une équipe germano-autrichienne dirigée par l'Université Friedrich Schiller d'Iéna et le Leibniz-HKI a démontré biochimiquement pour la première fois que différents types de champignons produisent la même substance active psychotrope, la psilocybine, de différentes manières.


Un crâne vieux d'un million d'années pourrait modifier la chronologie de l'évolution humaine.

Une reconstruction numérique d'un crâne vieux d'un million d'années suggère que l'humanité aurait divergé de ses ancêtres 400 000 ans plus tôt qu'on ne le pensait, et en Asie et non en Afrique, selon une étude publiée vendredi.


Microsoft propose une solution de survie gratuite pour Windows 10.

Microsoft a annoncé mercredi de nouvelles options pour les clients américains et européens afin de prolonger gratuitement et en toute sécurité la durée de vie de leur système d'exploitation Windows 10, quelques jours seulement avant la date limite de mise à niveau vers Windows 11.


Le QI semble affecter la capacité d'écoute dans les environnements bruyants.

Vous êtes dans un café animé avec un ami. Le vacarme rend difficile de suivre la conversation. Ce scénario pourrait suggérer que vous pourriez bénéficier d'un appareil auditif. D'autre part, de nouvelles recherches suggèrent que les difficultés de perception de la parole pourraient être liées à vos capacités cognitives.


L'espace-temps n'existe pas, mais il constitue un cadre utile pour comprendre notre réalité.

L'existence de l'espace-temps ne devrait être ni controversée ni même conceptuellement difficile, compte tenu des définitions de « espace-temps », « événements » et « instants ». L'idée de l'existence de l'espace-temps n'est pas plus viable que la croyance dépassée de l'existence de la sphère céleste : tous deux sont des modèles centrés sur l'observateur, puissants et pratiques pour décrire le monde, mais aucun ne représente la réalité elle-même.


Origines de l'« effet de l'autruche » : des chercheurs identifient l'âge auquel nous commençons à éviter l'information, même lorsqu'elle est utile.


Dans un monde où l'information est omniprésente, il peut être apaisant de faire l'autruche.


La rotation pourrait résoudre l'énigme séculaire de l'impulsion lumineuse dans la matière.


Lorsque vous éclairez un verre d'eau avec une lampe de poche, le faisceau se courbe. Cette simple observation, familière depuis l'Antiquité, cache l'une des plus anciennes énigmes de la physique : que se passe-t-il réellement avec l'impulsion de la lumière lorsqu'elle pénètre dans un milieu ?


Des organoïdes cérébraux révèlent les bases neuronales potentielles de la schizophrénie et du trouble bipolaire

Des cerveaux de la taille d'un pois cultivés en laboratoire ont révélé pour la première fois la façon unique dont les neurones peuvent dysfonctionner en raison de la schizophrénie et du trouble bipolaire, des troubles psychiatriques qui touchent des millions de personnes dans le monde, mais dont le diagnostic est difficile en raison du manque de compréhension de leurs bases moléculaires.


Première statue familiale de ce type découverte dans l'Égypte ancienne

Une étude publiée dans le Journal of Egyptian Archaeology par les Drs Zahi Hawass et Sarah Abdoh décrit une statue familiale égyptienne unique.


Les personnes âgées peuvent retrouver une santé éclatante, selon une étude

Une nouvelle étude canadienne lance un message puissant aux personnes âgées et à ceux qui en prennent soin : il n'est jamais trop tard pour se rétablir. Des chercheurs de l'Université de Toronto ont constaté que près d'un adulte de 60 ans ou plus sur quatre ayant déclaré un mauvais bien-être au début d'une étude nationale – en raison de douleurs, de problèmes de santé, d'une humeur maussade ou de l'isolement – ​​avait retrouvé un bien-être optimal en seulement trois ans.


Avantage quantique avéré : Des chercheurs réduisent le temps d'apprentissage de 20 millions d'années à 15 minutes

Dans un contexte de fortes attentes envers la technologie quantique, un nouvel article paru dans Science fait état d'un avantage quantique avéré. Lors d'une expérience, la lumière intriquée a permis aux chercheurs d'apprendre le bruit d'un système avec très peu de mesures.


Le gravitino : un nouveau candidat pour la matière noire

La matière noire reste l'un des plus grands mystères de la physique fondamentale. De nombreuses propositions théoriques (axions, WIMPs) et 40 ans de recherches expérimentales approfondies n'ont permis d'expliquer la nature de la matière noire.


Une étude révèle une forte augmentation des troubles de la mémoire et de la pensée chez les adultes américains

Un nombre croissant d'adultes américains, en particulier ceux de moins de 40 ans, signalent 





 

dimanche 28 septembre 2025

SCIENCES ENERGIES ENVIRONNEMENT BLOGGER

 

Corps du message

Dear olivier hartmanshenn,

Here is your customized Science X Newsletter for week 39:

Key driver of pancreatic cancer spread identified

A Cornell-led study has revealed how a deadly form of pancreatic cancer enters the bloodstream, solving a long-standing mystery of how the disease spreads and identifying a promising target for therapy.

Magnesium inhibits colorectal cancer carcinogenesis by increasing vitamin D-synthesizing bacteria

Researchers from Vanderbilt University Medical Center have demonstrated in a precision-based clinical trial that a magnesium supplement increases gut bacteria in humans that have been shown to synthesize vitamin D and inhibit colorectal cancer carcinogenesis.

Oral bacteria linked to Parkinson's via the gut-brain axis

Korean researchers have uncovered compelling evidence that oral bacteria, once colonized in the gut, can affect neurons in the brain and potentially trigger Parkinson's disease.

Different types of magic mushrooms use unique biochemical paths to produce the same active compound

A German-Austrian team led by Friedrich Schiller University Jena and Leibniz-HKI has been able to biochemically demonstrate for the first time that different types of mushrooms produce the same mind-altering active substance, psilocybin, in different ways.

Million-year-old skull could change human evolution timeline

A digital reconstruction of a million-year-old skull suggests humans may have diverged from our ancient ancestors 400,000 years earlier than thought and in Asia not Africa, a study said Friday.

Microsoft offers no-cost Windows 10 lifeline

Microsoft on Wednesday announced new options for US and European customers to safely extend the life of the Windows 10 operating system free of charge just days before a key deadline to upgrade to Windows 11.

IQ appears to affect ability to listen in noisy settings

You're in a bustling café with a friend. The din is making it hard to tune in to the conversation. The scenario might suggest you'd benefit from a hearing aid. On the other hand, new research suggests that speech-perception difficulty might relate to your cognitive ability.

Space-time doesn't exist, but it's a useful framework for understanding our reality

Whether space-time exists should be neither controversial nor even conceptually challenging, given the definitions of "space-time," "events" and "instants." The idea that space-time exists is no more viable than the outdated belief that the celestial sphere exists: both are observer-centered models that are powerful and convenient for describing the world, but neither represents reality itself.

Origins of the 'Ostrich Effect': Researchers pinpoint the age we start avoiding information—even when it's helpful

In a world of information overload, it can feel soothing to stick your head in the sand.

Spin may resolve century-old puzzle of light's momentum in matter

When you shine a flashlight into a glass of water, the beam bends. That simple observation, familiar since ancient times, hides one of the oldest puzzles in physics: what really happens to the momentum of light when it enters a medium?

Brain organoids reveal potential neural basis of schizophrenia and bipolar disorder

Pea-sized brains grown in a lab have for the first time revealed the unique way neurons might misfire due to schizophrenia and bipolar disorder, psychiatric ailments that affect millions of people worldwide but are difficult to diagnose because of the lack of understanding of their molecular basis.

First family statue of its kind discovered in ancient Egypt

A study appearing in The Journal of Egyptian Archaeology by Dr. Zahi Hawass and Dr. Sarah Abdoh describes a unique Egyptian family statue.

Older adults can bounce back to thriving health, study finds

A new Canadian study is offering a powerful message to older adults and those who care for them: it's never too late to bounce back. Researchers at the University of Toronto have found that nearly one in four older adults age 60 or older who reported poor well-being at the beginning of a national study—due to pain, health issues, low mood, or isolation—had regained optimal well-being within just three years.

Proven quantum advantage: Researchers cut the time for a learning task from 20 million years to 15 minutes

Amid high expectations for quantum technology, a new paper in Science reports a proven quantum advantage. In an experiment, entangled light has allowed researchers to learn a system's noise with very few measurements.

The gravitino: A new candidate for dark matter

Dark matter remains one of the biggest mysteries in fundamental physics. Many theoretical proposals (axions, WIMPs) and 40 years of extensive experimental searches have failed to provide any explanation of the nature of dark matter.

Sharp rise in memory and thinking problems among U.S. adults, study finds

A growing number of U.S. adults—particularly those under 40—are reporting serious challenges with memory, concentration and decision-making, according to a new study published in Neurology.

Why some US cities thrive while others decline: New study uncovers law of economic coherence of cities

A new study out of the Complexity Science Hub (CSH) reveals that, over 170 years of economic history, the transformation of U.S. cities follows a surprisingly stable rule: while cities evolve and diversify, they on average maintain a constant level of "coherence"—a measure of how well their economic activities fit together.

Information could be a fundamental part of the universe, and may explain dark energy and dark matter

For more than a century, physics has been built on two great theories. Einstein's general relativity explains gravity as the bending of space and time.

Lipids found to play key role in immune process for clearing dead cells and microbes

LC3-associated phagocytosis (LAP) is a specialized process for degrading dead cells, microbes or other particles. It plays a role in innate immunity, inflammation regulation and anticancer responses. St. Jude Children's Research Hospital scientists have, for the first time, implicated lipids in the cellular mechanism that initiates LAP. The findings, published today in Nature Cell Biology, shed light on how this process begins and its potential to influence tumor immunity.

People's neural responses while watching videos predict whether they will become friends in the future, study finds

Throughout the course of their lives, people typically encounter numerous other individuals with different interests, values and backgrounds. However, not all these individuals will become their good friends, life partners, or meaningful people in their lives.

sciences energies environnement blogger




WALKING IN NASSAU STREET  PRINCETON  NJ



Profitons de ce dimanche  pour reprendre  nos questionnement  sur les diverses  structures et temporalités  de notre Univers 


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A vant de revenir   sur mes dernieres propositions  ( les univers a bulles ) permettez moi  de vous re proposer   un rappel  sur la constante de  P lanck   dé signée par la lettre   h 


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La constante de Planck permet d'établir la relation E = hv, où E représente l'énergie, h la constante elle-même, laquelle correspond à 6,626 × 10‑34 joule seconde (J.s) et v la fréquence d rayonnement eleectromagnétique   .....

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Mais un autrzz sens peut lui etre donné  si l on considére  le concept de particule :Quelle est la constante de Planck pour  ce concept ?

La constante de Planck peut être vue comme le facteur de proportionnalité entre l'énergie d'une particule et sa fréquence associée (ou sa longueur d'onde). La relation qui en découle est E = h × ν E=h \times \nu E=h×ν, où : E est l'énergie de la particule ; ν (« nu ») est sa fréquence.


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Et je rajoute  cei  pour mes élèves  1/ :Qu'est-ce que la théorie de Planck ?



La loi de Planck décrit la répartition de l'énergie électromagnétique (ou la répartition de la densité de photons) rayonnée par un corps noir à une température donnée, en fonction de la longueur d'onde. voir la figure

 

2/Pour la physique quantique  tout onde est particule et vice versa 


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Mais nous avons aussi le droit de nous interoger  sur les rapports de la constante de Plnck  avec d autres types d ondes  ;par exemple les ondes gravitationnelles ...Et là nous devons faire appel a un autre auteur  Albert  Einstein  ....Et alors

quelle est la constante de l'univers d 'Einstein ?

La constante 8πG/c4 = κ est la constante gravitationnelle d'Einstein, qui vaut environ 2 × 10−43 m/J . La dimension de toute l'équation est donc l'inverse d'une longueur au carré, comme l'est la dimension de Λ.

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Quelle est la relation entre la constante de Planck et la constante gravitationnelle ?

Si l'on compare la valeur de la constante gravitationnelle actuellement acceptée et la valeur de la constante de Planck, en divisant G par h, en ignorant la dimension des valeurs des constantes, on obtient la valeur suivante : G / h = 6,6743015 х 10-11/ 6,62607015 x 10-34 = 1,00728 x 1023 .

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Quelle est la ration entre constant de planck et la gravite ,,

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En physique des particules et en cosmologie physique, l'échelle de Planck est une échelle d'énergie autour de 1,22×10 28 eV (l'énergie de Planck, correspondant à l'équivalent énergétique de la masse de Planck, 2,17645×10 − 8 kg) à laquelle les effets quantiques de la gravité deviennent  alors significatifs.

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Entrons alors maintenant  dans la deuxieme partie  de cet article ..

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 Que se passe t il lorsque on grimpe dans l échelle des longueurs d onde des radiations  electro magnétiques    ????

Réponse :on arrive  dans la zone des ondes hertziennes 

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 Quelle en est la limite  ????

 Réponse / Si la logueur d onde  devient egale a c= 2,25 x 10^8 m/s alors la frequence vaut  1   .En supposant constante la célérité v d'une onde dans un milieu de propagation, la distance d parcourue par l'onde est proportionnelle à la durée Δt du parcours : d = v × Δt.

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Ce qui perttrait  de recalculer la valeur de la constante de Plnck  avec delta t = une seconde 


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Que se passe-t-il si on dépasse la vitesse de la lumière ?

Réponse  ;s il s agit  d une particule  , c est

comme un avion franchissant le mur du son émet alors un bruit caractéristique, une particule qui dépasse la vitesse de la lumière émet une lumière intense et bleutée, le rayonnement Cerenkov. S i 'il s agit d une onde  c est un axion 

L'axion est une particule pseudoscalaire hypothétique, supposée 

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Plusieurs hypothèses se présentent  :

1/ Il s 'agit d une  particule  électriquement 

neutre  stable et de très faible masse, typiquement comprise entre quelques μeV et meV. ( s 'agit  il de neutrinos ?)

2 / Il s agit de peudo ondes electromagnetiques  de frsquence inférieuresq a  1   et don de  vitesses supérieures a c ;le niveau d energie   descend au dessous   de l energie de  Planck  et nous abodons le  domaine  du sub èquantique !!!

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La  troisieme partie  de cet article  entre dans  le domaine d hypothése relevant  a la fois  de la theorie des codes et branes  et de la theorie des bulles d 'univers  aleatoirement distribuées  dans un 'espace cosmique illimité...Il s'agit  non seulement de régions quasi dépourvues de matière lumineuse et de matière noire, lais aussi de regions de vide ''primitif '' ou redevenu tel   ..

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Pour les eleves :

Quelle est la composition du vide spatial visible actuel ?

L'espace est composé de 5% de matière ordinaire comme les planètes et les galaxies, de 25% de matière noire et de 70% d'énergie sombre.


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Qu'est-ce que le vide cosmique ?

Les vides cosmiques sont vides de matière… et sont dominés par l'énergie noire. Les vides cosmiques présentent un intérêt scientifique pour l'étude de l'univers : ces régions, par définition, contiennent moins de matière que le reste de l'univers


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 A SUIVRE 


vendredi 26 septembre 2025

sciences energies environnement blogger

 





Culture is overtaking genetics in shaping human evolution, researchers argue



Aelon des chercheurs, la culture prend le pas sur la génétique dans l'évolution humaine

Par Marcus Wolf, Université du Maine


Édité par Gaby Clark, révisé par Robert Egan

Notes de la rédaction

Crédit : Pixabay/CC0 Domaine public

Des chercheurs de l'Université du Maine émettent l'hypothèse que l'être humain pourrait être au cœur d'un changement évolutif majeur, impulsé non pas par les gènes, mais par la culture.


Dans un article publié dans BioScience, Timothy M. Waring, professeur agrégé d'économie et de développement durable, et Zachary T. Wood, chercheur en écologie et sciences environnementales, soutiennent que la culture prend le pas sur la génétique comme principale force motrice de l'évolution humaine.


« L'évolution humaine semble changer de vitesse », a déclaré Waring. « Lorsque nous apprenons mutuellement des compétences, des institutions ou des technologies utiles, nous héritons de pratiques culturelles adaptatives. L'analyse des données révèle que la culture résout les problèmes beaucoup plus rapidement que l'évolution génétique. Cela suggère que notre espèce est au cœur d'une grande transition évolutive. »


Les pratiques culturelles – des méthodes agricoles aux codes juridiques – se propagent et s'adaptent bien plus vite que les gènes, permettant aux groupes humains de s'adapter à de nouveaux environnements et de résoudre des problèmes inédits d'une manière que la biologie seule ne pourrait égaler. Selon l'équipe de recherche, cette transition évolutive à long terme remonte loin dans le passé, s'accélère et pourrait définir notre espèce pour les millénaires à venir.


La culture devance désormais l'adaptation génétique

« L'évolution culturelle mange l'évolution génétique au petit-déjeuner », a déclaré Wood, « et elle est loin d'être aussi importante.»


Waring et Wood décrivent comment, dans l'environnement moderne, les systèmes culturels s'adaptent si rapidement qu'ils « devance » systématiquement l'adaptation génétique. Par exemple, les lunettes et la chirurgie corrigent les problèmes de vision que les gènes laissaient autrefois à la sélection naturelle.


Les technologies médicales comme la césarienne ou les traitements de fertilité permettent aux individus de survivre et de se reproduire dans des conditions qui auraient autrefois été fatales ou stériles. Ces solutions culturelles, affirment les chercheurs, réduisent le rôle de l'adaptation génétique et accroissent notre dépendance aux systèmes culturels tels que les hôpitaux, les écoles et les gouvernements.


« Posez-vous la question suivante : qu’est-ce qui compte le plus pour votre avenir personnel, vos gènes de naissance ou votre pays de résidence ? » a déclaré Waring. « Aujourd’hui, votre bien-être est de moins en moins déterminé par votre biologie personnelle et de plus en plus par les systèmes culturels qui vous entourent : votre communauté, votre nation, vos technologies. Et l’importance de la culture tend à croître à long terme, car elle accumule plus ra


Au fil du temps, cette dynamique pourrait signifier que la survie et la reproduction humaines dépendent moins des caractéristiques génétiques individuelles et davantage de la santé des sociétés et de leur infrastructure culturelle.


Cependant, cette transition s'accompagne d'un paradoxe. La culture étant fondamentalement un phénomène partagé, elle tend à générer des solutions collectives.


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La culture est une affaire de groupe

S'appuyant sur des données issues de l'anthropologie, de la biologie et de l'histoire, Waring et Wood soutiennent que l'adaptation culturelle au niveau du groupe façonne les sociétés humaines depuis des millénaires, de l'expansion de l'agriculture à l'essor des États modernes. Ils soulignent qu'aujourd'hui, les améliorations en matière de santé, de longévité et de survie proviennent systématiquement de systèmes culturels collectifs tels que la médecine scientifique et les hôpitaux, les infrastructures sanitaires et les systèmes éducatifs, plutôt que de l'intelligence individuelle ou des changements génétiques.


Les chercheurs soutiennent que si l'évolution humaine s'appuie sur l'adaptation culturelle, elle s'oriente également vers une plus grande appartenance et dépendance au groupe, signe d'un changement dans la définition même de l'être humain.


Une transition plus profonde

Au cours de l'histoire de l'évolution, la vie connaît parfois des transitions qui modifient la définition même de l'individu. C'est ce qui s'est produit lorsque des cellules individuelles ont évolué vers des organismes multicellulaires et que des insectes sociaux ont évolué vers des colonies ultra-coopératives. Ces transitions individuelles transforment la manière dont la vie s'organise, s'adapte et se reproduit. Les biologistes ont émis des doutes quant à l'existence d'une telle transition chez l'humain.


Mais Waring et Wood suggèrent que, la culture étant fondamentalement partagée, notre transition vers l'adaptation culturelle implique également une réorganisation fondamentale de l'individualité humaine, centrée sur le groupe.


« L'organisation culturelle rend les groupes plus coopératifs et plus efficaces. Et les groupes plus grands et plus performants s'adaptent plus rapidement, grâce au changement culturel », a déclaré Waring. « Il s'agit d'un système qui se renforce mutuellement, et les données suggèrent que son évolution s'accélère. »


Par exemple, le génie génétique est une forme de contrôle culturel du matériel génétique, mais il requiert une société vaste et complexe. Ainsi, dans un futur lointain, si la transition hypothétique se concrétise, nos descendants pourraient ne plus être des individus génétiquement évolutifs, mais des « superorganismes » sociétaux évoluant principalement par le biais de changements culturels.


Recherches futures

Les chercheurs soulignent que leur théorie est testable et proposent un système permettant de mesurer la rapidité de la transition. L'équipe développe également des modèles mathématiques et informatiques du processus et prévoit de lancer prochainement un projet de collecte de données à long terme. Ils mettent toutefois en garde contre le fait de considérer l'évolution culturelle comme un progrès ou une fatalité.


« Nous ne suggérons pas que certaines sociétés, comme celles qui sont plus riches ou mieux dotées en technologies, soient moralement “meilleures” que d'autres », a déclaré Wood. « L'évolution peut engendrer à la fois de bonnes solutions et des conséquences brutales. Nous pensons que cela pourrait aider notre espèce à éviter les aspects les plus brutaux.»


Cette étude s'inscrit dans un corpus croissant de recherches menées par Waring et son équipe au Laboratoire d'évolution culturelle appliquée de l'Université du Maine. Leur objectif est d'utiliser leur compréhension des schémas profonds de l'évolution humaine pour favoriser un changement social positif.


Pourtant, ces nouvelles recherches soulèvent de profondes questions sur l'avenir de l'humanité. « Si l'héritage culturel continue de dominer, notre destin en tant qu'individus, et l'avenir de notre espèce, pourraient de plus en plus dépendre de la force et de la capacité d'adaptation de nos sociétés », a déclaré Waring. Et si tel est le cas, la prochaine étape de l'évolution humaine pourrait ne pas être inscrite dans l'ADN, mais dans les histoires, les systèmes et les institutions que nous créons ensemble.


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RESUME 

Selon des chercheurs, la culture prend le pas sur la génétique dans l'évolution humaine.

Des chercheurs de l'Université du Maine émettent l'hypothèse que l'être humain pourrait être au cœur d'un changement évolutif majeur, motivé non pas par les gènes, mais par la culture.


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COMMENTAIRES 


Je ne suis pas anthropologue  mais cet article interessera ^peut etre mes eleves 

Avec le Cris Cass 9 de Emmanuelle  Carpantier nous pouvons modifier les gènes !!

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More information: Timothy M Waring et al, Cultural inheritance is driving a transition in human evolution, BioScience (2025). DOI: 10.1093/biosci/biaf094academic.oup.com/bioscience/ad … osci/biaf094/8230384

Journal information: BioScience 

Provided by University of Maine 


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Selon des chercheurs, la culture prend le pas sur la génétique dans l'évolution humaine Par Marcus Wolf, Université du Maine Édité par Gaby Clark, révisé par Robert Egan Notes de la rédaction Crédit : Pixabay/CC0 Domaine public Des chercheurs de l'Université du Maine émettent l'hypothèse que l'être humain pourrait être au cœur d'un changement évolutif majeur, impulsé non pas par les gènes, mais par la culture. Dans un article publié dans BioScience, Timothy M. Waring, professeur agrégé d'économie et de développement durable, et Zachary T. Wood, chercheur en écologie et sciences environnementales, soutiennent que la culture prend le pas sur la génétique comme principale force motrice de l'évolution humaine. « L'évolution humaine semble changer de vitesse », a déclaré Waring. « Lorsque nous apprenons mutuellement des compétences, des institutions ou des technologies utiles, nous héritons de pratiques culturelles adaptatives. L'analyse des données révèle que la culture résout les problèmes beaucoup plus rapidement que l'évolution génétique. Cela suggère que notre espèce est au cœur d'une grande transition évolutive. » Les pratiques culturelles – des méthodes agricoles aux codes juridiques – se propagent et s'adaptent bien plus vite que les gènes, permettant aux groupes humains de s'adapter à de nouveaux environnements et de résoudre des problèmes inédits d'une manière que la biologie seule ne pourrait égaler. Selon l'équipe de recherche, cette transition évolutive à long terme remonte loin dans le passé, s'accélère et pourrait définir notre espèce pour les millénaires à venir. La culture devance désormais l'adaptation génétique « L'évolution culturelle mange l'évolution génétique au petit-déjeuner », a déclaré Wood, « et elle est loin d'être aussi importante.» Waring et Wood décrivent comment, dans l'environnement moderne, les systèmes culturels s'adaptent si rapidement qu'ils « devance » systématiquement l'adaptation génétique. Par exemple, les lunettes et la chirurgie corrigent les problèmes de vision que les gènes laissaient autrefois à la sélection naturelle. Les technologies médicales comme la césarienne ou les traitements de fertilité permettent aux individus de survivre et de se reproduire dans des conditions qui auraient autrefois été fatales ou stériles. Ces solutions culturelles, affirment les chercheurs, réduisent le rôle de l'adaptation génétique et accroissent notre dépendance aux systèmes culturels tels que les hôpitaux, les écoles et les gouvernements. « Posez-vous la question suivante : qu’est-ce qui compte le plus pour votre avenir personnel, vos gènes de naissance ou votre pays de résidence ? » a déclaré Waring. « Aujourd’hui, votre bien-être est de moins en moins déterminé par votre biologie personnelle et de plus en plus par les systèmes culturels qui vous entourent : votre communauté, votre nation, vos technologies. Et l’importance de la culture tend à croître à long terme, car elle accumule plus rapidement des solutions adaptatives. »
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Selon des chercheurs, la culture prend le pas sur la génétique dans l'évolution humaine Par Marcus Wolf, Université du Maine Édité par Gaby Clark, révisé par Robert Egan Notes de la rédaction Crédit : Pixabay/CC0 Domaine public Des chercheurs de l'Université du Maine émettent l'hypothèse que l'être humain pourrait être au cœur d'un changement évolutif majeur, impulsé non pas par les gènes, mais par la culture. Dans un article publié dans BioScience, Timothy M. Waring, professeur agrégé d'économie et de développement durable, et Zachary T. Wood, chercheur en écologie et sciences environnementales, soutiennent que la culture prend le pas sur la génétique comme principale force motrice de l'évolution humaine. « L'évolution humaine semble changer de vitesse », a déclaré Waring. « Lorsque nous apprenons mutuellement des compétences, des institutions ou des technologies utiles, nous héritons de pratiques culturelles adaptatives. L'analyse des données révèle que la culture résout les problèmes beaucoup plus rapidement que l'évolution génétique. Cela suggère que notre espèce est au cœur d'une grande transition évolutive. » Les pratiques culturelles – des méthodes agricoles aux codes juridiques – se propagent et s'adaptent bien plus vite que les gènes, permettant aux groupes humains de s'adapter à de nouveaux environnements et de résoudre des problèmes inédits d'une manière que la biologie seule ne pourrait égaler. Selon l'équipe de recherche, cette transition évolutive à long terme remonte loin dans le passé, s'accélère et pourrait définir notre espèce pour les millénaires à venir. La culture devance désormais l'adaptation génétique « L'évolution culturelle mange l'évolution génétique au petit-déjeuner », a déclaré Wood, « et elle est loin d'être aussi importante.» Waring et Wood décrivent comment, dans l'environnement moderne, les systèmes culturels s'adaptent si rapidement qu'ils « devance » systématiquement l'adaptation génétique. Par exemple, les lunettes et la chirurgie corrigent les problèmes de vision que les gènes laissaient autrefois à la sélection naturelle. Les technologies médicales comme la césarienne ou les traitements de fertilité permettent aux individus de survivre et de se reproduire dans des conditions qui auraient autrefois été fatales ou stériles. Ces solutions culturelles, affirment les chercheurs, réduisent le rôle de l'adaptation génétique et accroissent notre dépendance aux systèmes culturels tels que les hôpitaux, les écoles et les gouvernements. « Posez-vous la question suivante : qu’est-ce qui compte le plus pour votre avenir personnel, vos gènes de naissance ou votre pays de résidence ? » a déclaré Waring. « Aujourd’hui, votre bien-être est de moins en moins déterminé par votre biologie personnelle et de plus en plus par les systèmes culturels qui vous entourent : votre communauté, votre nation, vos technologies. Et l’importance de la culture tend à croître à long terme, car elle accumule plus rapidement des solutions adaptatives. »
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Selon des chercheurs, la culture prend le pas sur la génétique dans l'évolution humaine Par Marcus Wolf, Université du Maine Édité par Gaby Clark, révisé par Robert Egan Notes de la rédaction Crédit : Pixabay/CC0 Domaine public Des chercheurs de l'Université du Maine émettent l'hypothèse que l'être humain pourrait être au cœur d'un changement évolutif majeur, impulsé non pas par les gènes, mais par la culture. Dans un article publié dans BioScience, Timothy M. Waring, professeur agrégé d'économie et de développement durable, et Zachary T. Wood, chercheur en écologie et sciences environnementales, soutiennent que la culture prend le pas sur la génétique comme principale force motrice de l'évolution humaine. « L'évolution humaine semble changer de vitesse », a déclaré Waring. « Lorsque nous apprenons mutuellement des compétences, des institutions ou des technologies utiles, nous héritons de pratiques culturelles adaptatives. L'analyse des données révèle que la culture résout les problèmes beaucoup plus rapidement que l'évolution génétique. Cela suggère que notre espèce est au cœur d'une grande transition évolutive. » Les pratiques culturelles – des méthodes agricoles aux codes juridiques – se propagent et s'adaptent bien plus vite que les gènes, permettant aux groupes humains de s'adapter à de nouveaux environnements et de résoudre des problèmes inédits d'une manière que la biologie seule ne pourrait égaler. Selon l'équipe de recherche, cette transition évolutive à long terme remonte loin dans le passé, s'accélère et pourrait définir notre espèce pour les millénaires à venir. La culture devance désormais l'adaptation génétique « L'évolution culturelle mange l'évolution génétique au petit-déjeuner », a déclaré Wood, « et elle est loin d'être aussi importante.» Waring et Wood décrivent comment, dans l'environnement moderne, les systèmes culturels s'adaptent si rapidement qu'ils « devance » systématiquement l'adaptation génétique. Par exemple, les lunettes et la chirurgie corrigent les problèmes de vision que les gènes laissaient autrefois à la sélection naturelle. Les technologies médicales comme la césarienne ou les traitements de fertilité permettent aux individus de survivre et de se reproduire dans des conditions qui auraient autrefois été fatales ou stériles. Ces solutions culturelles, affirment les chercheurs, réduisent le rôle de l'adaptation génétique et accroissent notre dépendance aux systèmes culturels tels que les hôpitaux, les écoles et les gouvernements. « Posez-vous la question suivante : qu’est-ce qui compte le plus pour votre avenir personnel, vos gènes de naissance ou votre pays de résidence ? » a déclaré Waring. « Aujourd’hui, votre bien-être est de moins en moins déterminé par votre biologie personnelle et de plus en plus par les systèmes culturels qui vous entourent : votre communauté, votre nation, vos technologies. Et l’importance de la culture tend à croître à long terme, car elle accumule plus rapidement des solutions adaptatives. »
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