mercredi 27 juin 2018

LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE /N°603


Nous en étions restés avant- hier  au constat  pessimiste de LEE SMOLIN   sur la possibilité de trouver  la moindre preuve expérimentale   de l’existence d’une  Corde  , du moins dans les   tailles et dimensions d’Espaces revendiquées   ( 10 puissance -35 mètre et  10  voire 26  dimensions d’espace ) en lieu et place du « grain de matière ultime …. ».
Alors  à ce moment-là de  ma cogitation j’ai senti   un doigt se lever   quelque part pour  essayer de défendre malgré tout    tous ces honorables chercheurs de Cordes …
..
-« OLIVIER  ,  seriez-vous devenu  , avec le grand âge  , un pessimiste indécrottable ? Qui vous dit  que ce qu’ un mathématicien propose COMME OUTIL  , pour essayer de lever ou contourner une difficulté  conceptuelle   doit se « concrétiser » absolument   , en passant de la mathématique  à la  physique ?
 En physique classique, la différence peut paraître insignifiante entre propriété physique et propriété du formalisme mathématique utilisé  car  quand on introduit   un objet mathématisable  , celui-ci correspond à une quantité physique mesurable…..Mais avec l’avènement de la physique du TEMPS PRESENT  tous les objets mathématiques que l’on introduit pour développer ces théories ne sont pas nécessairement mesurables. Par exemple on ne peut pas directement mesurer une fonction d’onde ou une métrique d’espace-temps.  En conséquence deux théories utilisant des objets mathématiques différents, pourront peut-être  donner  des prédictions physiques mesurables  identiques…. Pourquoi désespérer  à se dire  «  Que vais-je faire de ces 6 dimensions supplémentaires  et  devoir me lancer dans la description  d’espaces aussi enchevêtrés «  que ceux de CALABI-YAU , ???? Si   ça se trouve   et bien   que la géométrie de l’espace de Calabi-Yau influat ensuite  sur le calcul des quantités physiques mesurables, ces dernières resteront  confinées en 4 dimensions. !!

En fin de compte, rappelez-vous  OLIVIER   que vous avez utilisé les nombres imaginaires   dans l’électrodynamique  alternative   et seules  les parties réelles restaient importantes ! »

Mais  , comme pour le contrarier  , un autre doigt s’est levé  aussitôt en nous traitant   de têtes de linotte ! : « Pourquoi oubliez-vous si vite ces ondes   bien moins complexes que  MILO WOLFF  et  GEOFF HASHELHURST  nous ont proposées la semaine dernière ??? Et elles expliquaient tout  , à partir de  l’électron comme brique ultime , comme constituant de base et de  résonances localisées  d’ondes  venues de toutes parts  et standardisées par le principe de  HUYGHENS ?????

88888888888888888888888888888888888888888888888888888

 A   cet endroit de ma rumination    cogitationnelle’ !)   il m’est alors  revenu que je   me devais de répondre à l'un de mes lecteurs   ,Jihems    qui me propose  TOUT AU CONTRAIRE  de rester sur  le concept  du grain ultime de matière   qui « changerait  de phase »  …. ????  En se présentant  disons par exemple  sous la forme d’un hyper solide   ultra dense ….( Certains  proposeraient un micro trou noir !) voir son commentaire au bas de la note LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE /N° 602 / RETOUR SUR LA PHYSIQUE DES HORIZONS ...."

  Quelle serait  la différence en cout d’énergie   entre   un grain ultime  de   «  super masse »  et une onde ultime  confinée sur elle-même ????AUCUNE !je lui réponds !


Pour justifier ma réponse je dois revenir aux bases de  la théorie  des  ondes …. Toute onde  physique   peut être   considérée comme découlant d’une description mathématique   possible….Mais  dans la mesure où une onde est la propagation d'une perturbation produisant sur son passage une variation réversible  complète ou partielle des propriétés physiques locales du milieu ,il faut que les outils mathématiques utilisées   puissent décrire COMPLETEMENT    ses   caractéristiques  de propagation. Or celles-ci dépendent ou non du milieu ! Le connait-on complètement ????

MONSIEUR TOUT LE MONDE   est habitué depuis longtemps  à voir utiliser  comme outil les  mathématiques  trigonométriques   qui fournissent avec facilité toutes sortes d’équations  décrivant ondes , oscillations ou vibrations naturelles ou entretenues  , ou  amorties etc.  …Le problème  , c’est   que ces  concepts  recouvrent  une grande variété de situations physiques très différentes. Et tout physicien averti vous dira que si vous cherchez  à descendre dans l’échelle des tailles   ,  en approchant des dimensions très petites    ( Celles du grain ultime  de masse )  , vous ne pouvez échapper à l’emprise de la mécanique quantique   
…..
Et c est alors le moment de rappeler que  la  forme  historique   au départ  de la mécanique quantique ,  ça  a été  la" mécanique ondulatoire" qui à la suite   de la  dualité onde-corpuscule ( mise en évidence par Louis de Broglie)considérait les particules comme des ondes réelles matérielles….. Mais   cette vision des choses a été   abandonnée  ensuite  en faveur d'ondes immatérielles de probabilité.
Et la description   de ces dernières   est sortie en partie des  mathématiques trigonométriques  pour entrer  dans celles des mathématiques  qui concilient les configurations ondulatoires avec  les probabilité statistiques de l'énergie d'un système donné    Ce fut  entre parenthèses   l’œuvre de : Erwin Schrödinger et  Max Born ….
Et vous vous demandez alors comment je suis arrivé à vous proposer pour l électron  une corde fermée sur elle-même ????
 A SUIVRE





1 commentaire:

  1. Le grain ultime de "super masse" répond strictement à :

    a) stable à l'état libre

    b) non composite.

    Il n'y a que l'électron comme candidat. En fait en considérant le critère de localité (ESSENTIEL), il y a également le positron. Il le dual de l'électron dans sa création non locale (ultra majoritaire à côté de nos pauvres petites expérimentations locales.

    La masse de Planck n'existe pas car elle juste le fantôme d'un proton qui n'aurait pas subit la réduction par mitose.

    La masse moyenne relative aux particule-ondes de DM est juste la moitié de celle de l'électron.

    RépondreSupprimer