Nous en étions restés avant- hier au constat
pessimiste de LEE SMOLIN sur la
possibilité de trouver la moindre preuve
expérimentale de l’existence d’une Corde
, du moins dans les tailles et
dimensions d’Espaces revendiquées ( 10
puissance -35 mètre et 10 voire 26 dimensions d’espace ) en lieu et place du « grain
de matière ultime …. ».
Alors à ce moment-là de ma cogitation j’ai senti un doigt se lever quelque part pour essayer de défendre malgré tout tous ces honorables chercheurs de Cordes …
..
-« OLIVIER
, seriez-vous devenu , avec le grand âge , un pessimiste indécrottable ? Qui vous
dit que ce qu’ un mathématicien propose
COMME OUTIL , pour essayer de lever ou
contourner une difficulté conceptuelle doit se « concrétiser »
absolument , en passant de la
mathématique à la physique ?
En physique classique, la
différence peut paraître insignifiante entre propriété physique et propriété du
formalisme mathématique utilisé car quand
on introduit un objet mathématisable , celui-ci correspond à une quantité physique
mesurable…..Mais avec l’avènement de la physique du TEMPS PRESENT tous les objets mathématiques que l’on
introduit pour développer ces théories ne sont pas nécessairement mesurables.
Par exemple on ne peut pas directement mesurer une fonction d’onde ou une
métrique d’espace-temps. En conséquence deux
théories utilisant des objets mathématiques différents, pourront peut-être donner
des prédictions physiques mesurables identiques…. Pourquoi désespérer à se dire
« Que vais-je faire de ces 6 dimensions supplémentaires et
devoir me lancer dans la description
d’espaces aussi enchevêtrés « que ceux de CALABI-YAU , ???? Si ça se trouve et bien
que la géométrie de l’espace de Calabi-Yau influat ensuite sur le calcul des quantités physiques
mesurables, ces dernières resteront
confinées en 4 dimensions. !!
En fin de compte, rappelez-vous OLIVIER
que vous avez utilisé les nombres imaginaires dans l’électrodynamique alternative
et seules les parties réelles
restaient importantes ! »
Mais , comme pour le
contrarier , un autre doigt s’est levé aussitôt en nous traitant de têtes
de linotte ! : « Pourquoi oubliez-vous si vite ces
ondes bien moins complexes que MILO WOLFF
et GEOFF HASHELHURST nous ont proposées la semaine
dernière ??? Et elles expliquaient tout
, à partir de l’électron comme
brique ultime , comme constituant de base et de
résonances localisées d’ondes venues de toutes parts et standardisées par le principe de HUYGHENS ?????
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A cet endroit de ma rumination cogitationnelle’ !) il m’est alors revenu que je
me devais de répondre à l'un de mes lecteurs ,Jihems
qui me propose TOUT AU
CONTRAIRE de rester sur le concept
du grain ultime de matière qui
« changerait de phase » …. ????
En se présentant disons par
exemple sous la forme d’un hyper solide ultra dense ….( Certains proposeraient un micro trou noir !) voir
son commentaire au bas de la note LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE /N° 602 / RETOUR
SUR LA PHYSIQUE DES HORIZONS ...."
Quelle serait la différence en cout d’énergie entre
un grain ultime de « super masse » et une onde ultime
confinée sur elle-même ????AUCUNE !je lui réponds !
Pour justifier ma réponse je dois revenir aux bases de la théorie
des ondes …. Toute onde physique peut être
considérée comme découlant d’une description mathématique possible….Mais dans la mesure où une onde est la propagation
d'une perturbation produisant sur son passage une variation réversible complète ou partielle des propriétés physiques
locales du milieu ,il faut que les outils mathématiques utilisées puissent décrire COMPLETEMENT ses caractéristiques de propagation. Or celles-ci dépendent ou non
du milieu ! Le connait-on complètement ????
MONSIEUR TOUT LE MONDE
est habitué depuis longtemps à
voir utiliser comme outil les mathématiques trigonométriques qui fournissent avec facilité toutes sortes
d’équations décrivant ondes ,
oscillations ou vibrations naturelles ou entretenues , ou
amorties etc. …Le problème , c’est
que ces concepts recouvrent une grande variété de situations physiques
très différentes. Et tout physicien averti vous dira que si vous cherchez à descendre dans l’échelle des tailles , en
approchant des dimensions très petites
( Celles du grain ultime de masse
) , vous ne pouvez échapper à l’emprise
de la mécanique quantique
…..
Et c est alors le moment de rappeler que la
forme historique au départ de la mécanique quantique , ça a
été la" mécanique ondulatoire" qui à la
suite de la dualité onde-corpuscule ( mise en évidence par
Louis de Broglie)considérait les particules comme des ondes réelles
matérielles….. Mais cette vision des
choses a été abandonnée ensuite en faveur d'ondes immatérielles de
probabilité.
Et la description de
ces dernières est sortie en partie
des mathématiques trigonométriques pour entrer
dans celles des mathématiques qui
concilient les configurations ondulatoires avec
les probabilité statistiques de l'énergie d'un système donné Ce fut entre parenthèses l’œuvre de : Erwin Schrödinger et Max Born ….
Et vous vous demandez alors comment je suis arrivé à vous
proposer pour l électron une corde
fermée sur elle-même ????
A SUIVRE
Le grain ultime de "super masse" répond strictement à :
RépondreSupprimera) stable à l'état libre
b) non composite.
Il n'y a que l'électron comme candidat. En fait en considérant le critère de localité (ESSENTIEL), il y a également le positron. Il le dual de l'électron dans sa création non locale (ultra majoritaire à côté de nos pauvres petites expérimentations locales.
La masse de Planck n'existe pas car elle juste le fantôme d'un proton qui n'aurait pas subit la réduction par mitose.
La masse moyenne relative aux particule-ondes de DM est juste la moitié de celle de l'électron.