Rentrant
tard je n’ai que ceci a vous proposer
"Placing another piece in the dark matter puzzle"
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Ajouter une autre pièce dans le puzzle de la matière
noire
par
Universitaet Mainz
Fig. 1
Niveaux d'énergie de spin nucléaire et spectres RMN de l'acide formique 13C
mesurés dans trois conditions de champ différentes. Crédit: Avances
scientifiques.
On sait très
peu de choses sur la nature exacte de la matière noire. Actuellement, certains
des candidats les plus prometteurs en matière de matière noire sont des
particules bosoniques extrêmement légeres telles que des axions, des particules
semblables à des axions ou même des photons sombres. "Celles-ci peuvent
également être considérées comme un champ classique oscillant à une certaine
fréquence. Mais nous ne pouvons pas encore chiffrer cette fréquence - et donc
la masse des particules", explique le professeur Dmitry Budker.
"C'est pourquoi, dans le programme de recherche CASPEr, nous étudions
systématiquement différentes gammes de fréquences à la recherche d'indices de
matière noire."
Le groupe de
Budker recherche la matière noire par le biais de l'expérience de précession de
spin de l’Axion cosmique (CASPEr). Le groupe CASPEr mène ses expériences au
sein du groupe d’excellence PRISMA + de l’Université Johannes Gutenberg de
Mayence (JGU) et de l’Institut Helmholtz de Mayence (HIM). CASPEr est un
programme de recherche international qui utilise des techniques de résonance
magnétique nucléaire pour identifier et analyser la matière noire.
L'équipe de
CASPEr développe des techniques spéciales de résonance magnétique nucléaire
(RMN), chacun ciblée sur une plage de fréquences spécifique et donc sur une
plage spécifique de masses de particules de matière noire. La RMN repose
généralement sur le fait que les spins nucléaires réagissent à des champs
magnétiques oscillant à une fréquence de résonance spécifique. La fréquence de
résonance est réglée via un second champ magnétique, généralement statique.
L'idée fondamentale du programme de recherche CASPEr est qu'un champ de matière
noire peut influencer de la même manière les spins nucléaires. À mesure que la
Terre se déplace dans ce champ, les spins nucléaires se comportent comme s'ils
étaient soumis à un champ magnétique oscillant, générant ainsi un spectre de
RMN induit par la matière noire.
Dans le
travail actuel, le premier auteur, Antoine Garcon, et ses collègues ont utilisé
une technique plus exotique: la RMN du champ nul à champ ultra-faible (ZULF). "La RMN du
ZULF fournit un régime dans lequel les spins nucléaires interagissent plus
fortement les uns avec les autres qu'avec un champ magnétique externe",
explique le Dr John W. Blanchard, auteur correspondant. "Pour rendre les
spins sensibles à la matière noire, il suffit d'appliquer un très petit champ
magnétique externe, beaucoup plus facile à stabiliser."
En outre,
les chercheurs ont examiné pour la première fois les spectres RMN ZULF de
l'acide formique 13C en ce qui concerne les bandes latérales induites par la
matière noire, en utilisant un nouveau schéma d'analyse permettant de moyenner
de manière cohérente des bandes latérales de fréquence arbitraire sur plusieurs
mesures.
Cette forme
particulière d'analyse en bande latérale a permis aux scientifiques de
rechercher de la matière noire dans une nouvelle gamme de fréquences. L'équipe
CASPEr n'a pas détecté de signal de matière noire dans le dernier numéro de
Science Advances, ce qui permet aux auteurs d'éliminer la matière noire
ultra-légère avec des couplages supérieurs à un seuil donné. Parallèlement, ces
résultats constituent une autre pièce du puzzle de la matière noire et
complètent les résultats antérieurs du programme CASPEr, communiqués en juin,
lorsque les scientifiques ont exploré des fréquences encore plus basses en
utilisant une autre méthode de RMN spécialisée, la comagnétométrie.
"Comme
un casse-tête, nous combinons différents éléments du programme CASPEr pour
affiner encore la portée de la recherche de matière noire", affirme Dmitry
Budker.
John
Blanchard ajoute: "Ce n'est que la première étape. Nous mettons
actuellement en place plusieurs modifications très prometteuses pour augmenter
la sensibilité de notre expérience."
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information: Antoine Garcon, et al. Constraints on bosonic dark
matter from ultralow-field nuclear magnetic resonance Science Advances 25 Oct 2019: Vol. 5, no. 10, eaax4539. DOI: 10.1126/sciadv.aax4539
Journal
information: Science Advances
Provided by
Universitaet Mainz
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MES
COMMENTAIRES
Je donnerai mon avis sans barguigner !
Personne n’est capable d’assigner un spin a
de la matière noire actuellement
…….parce que si elle est sensible au champ gravitationnel d’après les hypothèses et calculs astronomiques de vitesses
extérieures de galaxies, elle l’est
en réalité très peu (ZWIKY); …C’est
de là que viennent les hypothèses de
certains physiciens la jugeant
constituée de particules de masses extrêmement légères ….. d’où l’idée de l’associer à une valeur de spin différente de zéro mais
peut –être restant trés petite
Mais je rappelle que l’hélium 4 a un spin
nul et qu’un dipôle de masses extrêmes faiblardes se conduirait peut-être
semblablement
La recherche en RMN de ces chercheurs amène plutôt
par sa réponse négative l idée d’aller
chercher encore autre chose ailleurs !!!!!!!
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerDans le modèle Oscar, inutile de faire des spéculations sut telles ou telles particules exotiques ! La DM découle directement du modèle qui fixe la paire électron-positron comme constituant ultime de la matière. La stabilité de la paire originelle vient de la {réduction de localité} originelle qui résulte de la séparation des pôles opposés sur le BEC-fossile. Mais les collisions de galaxies entrainent de facto, un recouvrement partiel des pôles séparés. Cela dénature la paire qui ne peut plus jouer son rôle de constituant des protons. C'est un type d'annihilation partielle (fonction de l'angle des belligérents) et non binaire.
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