Sciences-énergies-environnement /BILLET NUCLEAIRE INQUITEUR -SUITE°

L ‘article d’ hier a-t-il modifié les opinions des lecteurs sur les difficultés du nucléaire français ? Continuons à regarder le nucléaire américain pour voir par comparaison si nous sommes des mauvais élèves !!! Traduction de : / ‘’’’Almost all US nuclear plants require life extension past 60 yearshttps’’://www.eia.gov › todayinenergy › detail Dec 8, 2014 — These reactors may now operate for a total period of 60 years. They represent a cumulative capacity of a little more than 69,000 megawatts’’ Xxxxxxxxxxxxxxxxxxxx ‘’ Lorsque des centrales nucléaires sont construites, la Commission de réglementation nucléaire (NRC) a le pouvoir de délivrer des licences d'exploitation initiales pour une période de 40 ans. Au-delà de cela, les réacteurs ont besoin de renouvellements de licence, et la NRC a accordé des renouvellements de licence de 20 ans à 74 des 100 réacteurs en exploitation aux États-Unis. Ces réacteurs peuvent désormais fonctionner pendant une durée totale de 60 ans. Ils représentent une capacité cumulée d'un peu plus de 69 000 mégawatts (MW). La NRC examine actuellement les demandes de renouvellement de permis pour 17 réacteurs supplémentaires et s'attend à recevoir sept autres demandes au cours des prochaines années. La majeure partie du parc nucléaire existant étant autorisée avant 1990, presque tous les réacteurs existants auront plus de 60 ans d'ici 2050. À moins qu'un service public ne demande et ne reçoive un renouvellement ultérieur de licence (SLR) qui pourrait prolonger davantage la durée de vie de ses réacteurs. jusqu'à 20 ans supplémentaires, les réacteurs ne produiront pas d'électricité au-delà de 60 ans. Bien qu'aucune demande de SLR n'ait été soumise, plusieurs services publics évaluent s'il convient d'en demander un, notamment Dominion Resources pour ses unités 1 et 2 de la centrale électrique de Surry en Virginie. (dates d'expiration des licences actuelles de 2032 et 2033) ainsi qu'Exelon pour ses unités 2 et 3 de la centrale atomique Peach Bottom en Pennsylvanie (dates d'expiration des licences actuelles de 2033 et 2034). D'un point de vue réglementaire, la NRC a déterminé en août 2014 que les réglementations existantes sur le renouvellement des licences étaient suffisantes pour soutenir le processus SLR. La décision de la NRC était étayée par les conclusions de mai 2014 du Comité consultatif de la NRC sur les garanties des réacteurs, qui indiquaient que le cadre actuel de renouvellement des licences de la NRC soutiendrait le SLR. En prenant la décision de prolonger la durée de vie des réacteurs nucléaires au-delà de 60 ans, la NRC tiendra compte de la sûreté et de la sécurité à long terme de l'exploitation continue des réacteurs. Outre la NRC, le département américain de l'Énergie, par le biais de son programme de durabilité des réacteurs à eau légère, est l'une des nombreuses organisations qui étudient les effets du vieillissement sur les systèmes, les structures et les composants des centrales nucléaires. D'autres groupes industriels impliqués dans l'étude du SLR comprennent l'Institut de recherche sur l'énergie électrique et l'Institut de l'énergie nucléaire. Des groupes internationaux, tels que l'Agence internationale de l'énergie atomique et l'Agence pour l'énergie nucléaire de l'Organisation de coopération et de développement économiques, sont également impliqués dans la résolution des problèmes de prolongation de la durée de vie des centrales nucléaires dans le monde. Les services publics américains font déjà des investissements importants dans l'entretien et la modernisation du parc actuel de centrales nucléaires américaines afin d'assurer un fonctionnement sûr, sécurisé et fiable tout au long de leur durée de vie de 40 ou 60 ans. Le Electric Utility Cost Group a estimé que l'industrie avait investi 6,4 milliards de dollars dans des projets d'immobilisations pour moderniser et entretenir les systèmes des centrales nucléaires en 2013. ( : Nancy Slater-Thomps)’’ xxxxxxxxxxxxx Cette traduction montre que la modernisation des réacteurs américains s’accompagne nécessairement des efforts budgetaires complémentaire mais que tous ces efforts se font dans un esprit de logique industrielle et sans crispassions voire récriminations inutiles .La situation est -elle similaire en France ???? Je me permettrai d’ en douter car EDF croule sous les dettes et les gémissements démagogues des anti nucléaires et les atermoiements politiques ne manquent pas dans notre pays ..Hollande a restreint le futur du nucléaire mais Macron, ne semble pas le suivre , malgré des ministres de l’environnement successifs ………. A VSUIVRE