mercredi 5 janvier 2022
SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT /PHYCS WORLD / WEEK 1
Puisque Science X newspaper n’envoie pas de sélection cette semaine , je vais proposerai aux lecteurs de les remplacer par mon ancien ‘’ assembleur'’ PHYSICS WORLD ‘’ jusqu à lundi prochain
Je vous proposerai demain la traduction de l’ article suivant ‘’
PARTICLE AND NUCLEAR PODCAST
Muon mania: are we finally on the brink of new physics?
A detailed look at the two recent results from CERN and Fermilab
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La communauté mondiale de la physique des particules a été dynamisée par deux résultats récents qui offrent des aperçus alléchants de la nouvelle physique au-delà du modèle standard de la physique des particules.
Des chercheurs de l'expérience LHCb du CERN ont observé quelque chose d'inhabituel dans la façon dont les mésons B se désintègrent en leptons - la classe de particules fondamentales incorporant des électrons, des muons, des taus et leurs neutrinos correspondants. Par ailleurs les chercheurs du Laboratoire Fermi ont peut-être entrevu une force inconnue à l'œuvre dans la façon dont les muons « vacillent » en présence d'un champ magnétique à l'intérieur de leur expérience Muon g-2.
Dans un podcast Physics World Stories, Andrew Glester dissèque ces nouveaux résultats avec l'aide de physiciens des particules qui discutent de ce que cela signifie pour le domaine. Rejoindre Glester dans cet épisode sont:
Patrick Koppenburg, responsable du logiciel d'analyse utilisateur de LHCb
Jessica Esquivel, physicienne et analyste de données au Fermilab
Mark Lancaster et Rebecca Chislett, physiciens britanniques travaillant sur l'expérience Muon g-2.
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MON COMMENTAIRE
Bien qu’il soit répété que le modèle standard de la physique des particules soit l’une des réussites intellectuelles de l’humanité, , la plupart des physiciens s’accordent cependant à penser que le modèle n’est qu’une approximation d’une théorie plus fondamentale …... Mais comment trouver des indices de cette imperfection supputée quand tout
colle ? ?
. La découverte de particules non prévues par le modèle standard serait un signe net qu’il faut explorer la physique au-delà ; mais caracteriser une particule de matière noire n apparaot pas facile !. Une autre voie
, consiste à réaliser des mesures les plus précises possibles dans des collisionneurs de particules et de comparer les observationns aux valeurs théoriques …..
. Une différence serait le signe attendu …. Or le muon est une
version plus massive de l’électron, produite en abondance lorsque les rayons cosmiques bombardent l’atmosphère. La mesure d’une de ses propriétés, son « moment magnétique anomal », suscite beaucoup d’espoir.
L’expérience Muon g-2, au Fermilab, près de Chicago, aux États-Unis, viendrait ,semble –t-il ,de livrer ses premières données, qui suggèrent de façon convaincante que les chercheurs ont mis le doigt sur la faille espérée ….. Je ne veux pas en dire plus car les statistiques satisfaisantes sur la mesure de ce moment magnétique anormal pourraient ne pas l’etre ….et je connais le ‘’ publish or perish’’ américain ….Atterndons encore pour décider d’un autre type plus’ ’subtil’’ d’interaction……
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