Cette note est nla suite de mes questions sur les propriétés de l 'espace Q uestions posées quand j ai quitté intellectuelement le nicléaire ...Mais l ai je quitté ?J ai révé encore cette nuit de FREACQUES et des gens du DPC/SACLAY à qui je prépararais une croustade aux champignons !!!!
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-1/ Lorsqu il y a déplacement d' une msse par une force dans un espace il y a pruction de travail et la masse perd de l' energie . Dans un systeme thermodynamiquement fermé cette perte d énergie se fait au profit du systeme car il y a conservation de l' énergie . Que se passe t il dans un systeme ouvert? On ne peut répondre ???
-2/S 'il y a déplacement de masse dans un espace fixe il y a donc travail et perte d 'énergie de la masse .. Mais si c 'est l espace qui est mobile et ''élastique car en expansion et pas la masse qui perd l 'énergie ? L 'espace ??? quel sens y trouver ??? Que devient le principe de conservation de l 'énergie ???
-3/ Mais es constats astronomiques sont clairs : l 'univers voit ses dimensions changer et se dilate (HUBBLEE ).L'expansion de l'Univers ( pour la majorité scientifique actuelle ) est suggérée et formalisée par la métrique de Friedmann-Lemaître-Robertson-Walker (FLRW), qui utilise le temps cosmique (c'est-à-dire le temps propre à unun observateur subissant l'expansion de l'Univers).
Dans le cas d'un déplacement d' une masse dans un espace cosmique en expansion permanente que se passe t il ???? Le constat est que les orces intrinséques de cohésion de la masse ( interactions + gravité) seraient suffisantes pour resister et l 'empecher de se dilater . C eserait l 'explication donnée pour expliquer que le systeme solaire , les galaxies ETC ne subissent pas d'expansion ''interne'' : ce serait seul l 'espce qui la subirait ,,,,
-4/ Mais quel est l 'effet de l 'expansion sur la lumiere et le rayonnement électromagnétique en général ???
Je me suis posé la question il y a des années avec JJM . Un photon peut il effectuer un trajet illimité dans le Cosmos et sera t il arreté par les bords de ce dernier s 'ils existent ???
-'5/ On parlait encore à l' époque de lumière fatiguée ( théories proposées par ZWICKY /TOLMAN/PECKER ETC )
L' explication actuelle proposée est que seule sa logueur d' onde subirait cette dilatation et entrainerait un red shift ccosmologique . Il ne s 'agit donc plus d un effet Doppler classique . Mais le déplacement de fréquence signe t-il une perte d ' énergie ? Où va cette énergie ??? NULLE PART !!!! Une partie de la réponse serait qu 'est dans le rayonnement fossile diffus détecté il ya 50 ans par Arno Penzias et Robert Wilson ; ce dernier serait fait de tous les photons qui ont été émis lors de la transition opacité-transparence et qui se propagent encore librement en tous sens depuis. Ce seraient les plus vieux photons de l'univers. Ils auraieont l'âge de l'univers moins un million d'années.
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a suivre
Bonjour cher Olivier,
RépondreSupprimerMerci de poser ces questions qui me permettent d'exposer les réponses relatives à la loi Duo5. Celle-ci met en avant la première clé qui est la dualité de localité. Cette dualité de localité se traduit par une dualité {quantique↔subquantique} où le subquantique est fait de pôles (de Bodys) se déplaçant à une vitesse largement au-dessus de la lumière. L'espace-temps est un enchevêtrement de BECS (taille d'un halo galactique) où chaque BEC est composé de couches d'oscillateurs Bodys. Sans la présence de la masse, ces oscillateurs seraient strictement à zéro. C'est le couplage avec la matière qui perturbe la géométrie de l'espace-temps (la rend asymétrique) et la révèle.
Question 1 : selon la loi Duo5 la Bulle Univers (BU) en expansion est incluse dans la Matrice Éternelle (ME) et stochastique. Les masses de la BU, n'existent (localement) que par la délocalisation de leur alter ego. Globalement la BU se comporte comme les deux pôles opposés du Bodys qui s'annulent dans la ME. LA BU oscille dans un 1/2 cycle, car son destin est de se dissoudre dans la ME. En effet, la perte de densité relative à la croissance de la BU, redonne un avantage à l'influence stochastique dans laquelle elle évolue. La frontière est à la fois de type entropique {ordre↔désordre} et à la fois délimitée par les points de rebroussement des couches de pôles de Bodys.
Question 2 : l'espace n'est ni fixe ni élastique. L'expansion ne fait que déchevêtrer les BECs intergalactiques qui gardent ainsi chacun, leur intervalle élémentaire constant. C'est la clé de la constance de la vitesse c. L'énergie locale est un "emprunt" à l'énergie globale (non-locale) qui est toujours strictement nulle. C'est comme l'énergie d'un pôle (qui existe localement) qui est annulée par son alter ego dont la localité est élargie. C'est encore la clé par la dualité de localité. A suivre .....
Question 3 : La BU ne se "dilate" pas, car elle est constituée de BEC-fils enchevêtrés. Les BEC-étoiles du centre des galaxies sont très enchevêtrés quasiment superposés et c'est ce qui reproduit en partie la saturation des intervalles qui se traduit par la libération d'une partie des pôles subquantiques formant l'espace-temps. Ces libérations sont très énergétiques et sont la cause des "rayons cosmiques". La métrique FLRW est un modèle mathématique qui "colle" aux effets constatés mais qui élude la réalité physique. La réalité physique est propre aux BECs où l'intervalle élémentaire LOCAL entre pôles de Bodys, est de genre "espace-temps". Cet intervalle de genre "espace", croît avec le rayon du BEC. Ainsi près du centre, le petit intervalle L nécessite un petit temps T (subquantique) pour aller venir au centre du BEC, donc au point commun zéro des Bodys qui le composent. Il y a donc : L/T = c = Cte. Il n'y a RIEN entre les intervalles et le seul moyen de médiation passe par le canal subquantique (au point zéro commun) des Bodys dont la vitesse est très au-delà de c. La "courbure" de l'espace temps est strictement relative au couplage (habillage, perturbation) masse↔Bodys. Plus la masse locale est grande, plus elle perturbe la symétrie de l'amplitude des Bodys. Cette perturbation peut-être interprétée comme une « courbure ». Mais ce n'est pas la réalité physique.
RépondreSupprimerPar ailleurs, le taux d'expansion est relatif au taux de déchevêtrement des BECs.
La raison pour laquelle l'expansion est intergalactique est la suivante : les BECs intergalactiques – pauvres en matière visible – se déchevêtrent plus facilement que les BEC-étoiles des galaxies qui sont liés par une grande force gravitationnelle transitant par le couplage {quantique↔subquantique}.
Question 4 : les photons voyagent via les Bodys subquantiques maillant l'espace-temps d'un BEC. Le passage d'un BEC à l'autre (ils sont enchevêtrés ou interpénétrés ou en superposition partielle) s'effectue donc naturellement en s'affaiblissant en 1/r². La dualité du « bord » de la BU – de genre entropique { ordre↔désordre} – est également déterminé par les points de rebroussement des pôles au rayon des BECs périphériques. Au-delà il n'y a ni espace, ni temps, ni masse ni de point zéro commun qui est le carrefour central des BECs, qui est le seul médiateur subquantique de toutes les forces.
Question 5 : la théorie de la « lumière fatiguée » n'est pas totalement fausse car elle vient s'ajouter à la perte de perception qui décroît en 1/r². Les photons du rayonnement fossile, sont une des preuves de l'annihilation primordiale largement expliquée par la loi Duo5. https://loiduo5.com/
La réponse à certaines de vos questions est de considérer l’espace comme une substance rigide et résistante au mouvement en son sein des ondes et des photons. Ainsi s’explique la fatigue de la lumière et j’avais proposé un calcul de la constante de Hubble en liaison avec la résistance de l’espace. La perte d’énergie du système-photon se retrouve dans le système-espace. Il y a donc bien conservation de l’énergie.
RépondreSupprimerCordialement