lundi 12 mars 2018

LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE N°567 / Chattering with Clara...about non photonic energy!!



Je vais tranquillement laisser discuter mes amis lecteurs entre eux  sur les thèmes  nouveaux effleurés hier et sans me laisser distraire ,continuer à «  vider mon sac » sur les destinées des énergies  mais je vous promets de revenir sur les mécanismes  indéterministes   …DOMINIQUE MAREAU   s’est expliqué une nouvelle fois  en commentaires   mais le système OSCAR    n’est pas le seul  à jouer avec   le hasard profond .....

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-« La situation s’éclaircit  un peu pour moi  PAPY …Mais qu’ est ce qui t’as pris  hier de sortir de ton sujet pour reparler des incertitudes de l’expansion de l’Espace  et suggérer que PEERLMUTTER rende   peut-être sa médaille Nobel ??? .

-«  Pourquoi oublies-tu  CLARA   que j’ai commencé par redonner l’explication   de la fatigue des photons  ,celle de  DF  CRAWFORD ( université de Sydney)?

-« Je ne sais pas ! je  viens de m’apercevoir   PA PY  que je ne t’avais pas compris  .Pour moi  la fatigue du photon  , ce n’était pas celle de  Merat, P., Pecker, J.-C, and Vigier, J.-P.,  (Astr. Astrophys. 30, 167 (1974)  à savoir .plus il se « carapate » ,plus il se fatigue (   plus il cédera  de l’énergie  en raison de la résistance aux champs de gravitation entre la source et le détecteur) …….M ais plutôt bien celle ainsi comprise aujourd’hui :  plus l’expansion  allonge sa longueur d’onde  plus  l’effet  Doppler la rougit  …..D’ailleurs   si l’on admet que la masse  et le rayon du photon sont nuls  ,on  ne voit pas clairement  comment on peut calculer   ce taux  de fatigue  …..….Il y a autre chose ????

-«  OUI ! Je voulais introduire l’idée que  le cadre théorique de cette   expansion  n’est pas complètement clos avec cette accélération   nouvelle et cette énergie noire ……..   Et surtout qu’une distribution de photons présentant un spectre de corps noir garde un spectre de corps noir  «  impeccable »du fait de l'expansion de l'Univers….  Donc   si la  température  décroît  c’est celle de   ces  photons  primitifs issus  de l’époque dite de la recombinaison.  et non pas du tout  celle des photons  en «  ballade » d’aujourd’hui 

-« Tu veux dire  qu’avec  une  lumière fatiguée «  académique »,  le   spectre de corps noir  SERAIT  déformé au cours du temps ??

-«  Oui   et surtout que le fond thermique actuel  est complétement hétérogène     ….Si tant est d’ailleurs qu’ on puisse encore  parler d’un «  fond » puisque   étoiles, planètes    , nuages de poussières , galaxies etc   rayonnent «  chacun pour soi,  suivant son mode de fonctionnement  propre à son  Age  …….Les uns nous envoient des gammas  , les autres de la lumière visible ou des  hertziens   ,….En dehors de la température du  CMB   quasi  homogène et isotrope  , il n’est pas possible   de   vraiment calculer   une  température moyenne   d’Espace    ….Quand le nombre de particules (avec les gaz) est grand les nombreuses collisions finissent par homogénéiser leur distribution de vitesses  suivant  la loi de  MAXWELL BOLTZMANN   voir ma photo
pourcentages 
Image result for equation de maxwell boltzmanntemperature en x 
Quelle que soit la température     il existe  toujours  des particules au dessus de la valeur moyenne  et des vitesses non uniformisées 


Mais quand le nombre de particules est faible, il y a peu de collisions, et des particules rapides ("chaudes") peuvent cohabiter encore mieux  sans quasiment les voir, avec des particules lentes ("froides") : et du même coup  la notion de température  perd son sens......avec nos gaz   et aussI et tout autant tous les objets de notre espace....

-«  Mais pourquoi tu me parles de çà  PAPY ???Quel rapport avec ton sujet que je me permets de te rappeler  «    la " disparition " ou plutôt la dispersion  d’autres  formes d’énergies   que  celle de l’interaction de la force électromagnétique  ( le photon )  …Et j’en vois au moins TROIS  : l’interaction de la force forte ( le gluon )  ,   l’  interaction  faible et l’interaction électro faible   ….Ou se dispersent leurs énergies ??? »

-«  Ah tu crois CLARA  avoir à me ramener sans cesse à mon sujet ????
 BON !  Nous allons donc être forcés d’entrer dans le domaine des phénomènes encore plus complexes  ….
 Parlons de l’interaction forte   /POUR LES GLUONS ( bosons de jauge) une   de leurs  propriétés  appelée charge de couleur les empêche d'avoir des sorts  analogues à ceux des  photons  ….. En effet  chaque gluon porte une charge de couleur  définie comme rouge, vert ou bleu, et une anti-charge de couleur  ….. Dans un univers plasmatique archi- chaud   ils pourraient faire ce qu’ils veulent   , mais dans notre univers  confiné et froid ,  en noyaux , ils peuvent aussi se mettre à   interagir avec d'autres gluons si ce sont deux quarks qui se rapprochent d un 3 ème , ….J ‘ai  , tu te rappelles  ,travaillé sur le sujet   et présenté quelques schémas sur le NOUVEL OBS …..

-«  Oui PAPY   j’avais trouvé tes images très rigolotes   : tu  transformes  les gluons  en  paires de ressorts accrochés entre  quarks voisins  .   Par exemple  si le gluon  (a)  relie le quark A   au quark B     et qu ils échangent un gluon   ,    cela veut dire  que  l’impulsion de l’onde   passant  par le ressort (a)1  part de A selon  sa  caracteristique  propre    et  QU ELLE REVIENT DE B     par le ressort ( a)2  suivant  une vibration  pour ainsi dire   en « miroir » (réfléchie  ou   réfractée)  ….  Et tu décrètes qu’ il s’agira  alors  par exemple  du ressort  (a)1 =    rouge  tandis que  (a)2 = anti rouge  OU  (a)2 = anti vert   ou  encore (a2) = anti bleu …..Et bien sur , tes couleurs correspondent à des intensités différentes d’ondes  parce que tes ressorts sont différents !!!:!

-«  Oui mais  ça se complique terriblement vite et la QCD   a montré  que cela  rend l'analyse mathématique de l'interaction forte très compliquée…..
 EN SOMME LE PROBLEME ASTRONOMIQUE  DES 3 CORPS AVEC  AU MOINS 2 TYPES DE FORCES GRAVITATIONNELLES !
 A suivre

- « 

5 commentaires:

  1. Selon le modèle OSCAR, les gluons et quarks sont induits dans le confinement des baryons. Ils n'existent absolument pas dans la phase "avant protons". La seule particule élémentaire est la paire électron-positron. Elle est l'héritière directe des oscillateurs dipolaires après qu'ils aient été séparés, à l'opposé sur le BEC primordial. C'est cette réduction/séparation de localité qui les rend stables, au contraire des paires créées localement.

    Bien à vous cher Olivier !

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  2. Voir ceci pour s'en convaincre : https://sciencesetuniverspourtous.blogspot.fr/2018/03/loi-de-koidemareau.html

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  3. La production de paires d électron -positron locales et qui ne s'annihilent pas car l une ou l autre des particules s 'extrait du trou noir et s 'éloigne AVANT l autre est une proposition du modèle de rayonnement de trou noir de HAWKING .....La paire proposée par le modèle OSCAR EST ELLE NON LOCALE ET PEUT EN ETRE CONSIDEREE COMME UNE EXTRAPOLATION;;;;ON POURRAIT PARLER PLUTOT QUE DE BRIQUES OU DE MATIERE NOIRE EN QUELQUE SORTE D UN RAYONNEMENT OSCAR .....

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    2. l est peut etre possible de voir dans un BEC "géant" une structure de densité maximale et quantiquement cohérente dans sa totalité ..Alors ne peut -on en quelque sorte le considerer comme un quasi trou noir geant , d ou l emission de paires electron postons non locales????
      Les manips faites sur BECs ne concernent que quelques centaines de particules toutes dans l etat fondamental .....

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