Je vais tranquillement laisser discuter mes amis lecteurs
entre eux sur les thèmes nouveaux effleurés hier et sans me laisser
distraire ,continuer à « vider mon sac » sur les destinées des
énergies mais je vous promets de revenir
sur les mécanismes indéterministes …DOMINIQUE MAREAU s’est expliqué une nouvelle fois en commentaires mais le système OSCAR n’est pas le seul à jouer avec
le hasard profond .....
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-« La situation s’éclaircit un peu pour moi PAPY …Mais qu’ est ce qui t’as pris hier de sortir de ton sujet pour reparler des
incertitudes de l’expansion de l’Espace et suggérer que PEERLMUTTER rende peut-être sa médaille Nobel ??? .
-« Pourquoi oublies-tu
CLARA que j’ai commencé par redonner
l’explication de la fatigue des
photons ,celle de DF CRAWFORD ( université de Sydney)?
-« Je ne sais pas ! je viens de m’apercevoir PA PY
que je ne t’avais pas compris
.Pour moi la fatigue du
photon , ce n’était pas celle de Merat, P., Pecker, J.-C, and Vigier, J.-P., (Astr. Astrophys. 30, 167 (1974) à savoir .plus il se « carapate » ,plus
il se fatigue ( plus il cédera
de l’énergie en raison de la
résistance aux champs de gravitation entre la source et le détecteur) …….M ais plutôt
bien celle ainsi comprise aujourd’hui : plus l’expansion allonge sa longueur d’onde plus l’effet
Doppler la rougit …..D’ailleurs si l’on admet que la masse et le rayon du photon sont nuls ,on ne
voit pas clairement comment on peut
calculer ce taux de fatigue …..….Il y a autre chose ????
-« OUI ! Je voulais introduire l’idée que le cadre théorique de cette expansion n’est pas complètement clos avec cette accélération nouvelle et cette énergie noire …….. Et surtout qu’une distribution de photons
présentant un spectre de corps noir garde un spectre de corps noir « impeccable »du fait de
l'expansion de l'Univers…. Donc si la température décroît
c’est celle de ces photons
primitifs issus de l’époque dite
de la recombinaison. et non pas du tout celle des photons en « ballade » d’aujourd’hui …
-« Tu veux dire
qu’avec une lumière fatiguée « académique », le spectre de corps noir SERAIT déformé au cours du temps ??
-« Oui et
surtout que le fond thermique actuel est
complétement hétérogène ….Si tant est
d’ailleurs qu’ on puisse encore parler d’un «
fond » puisque étoiles, planètes , nuages de poussières , galaxies etc rayonnent « chacun pour soi,
suivant son mode de fonctionnement propre
à son Age …….Les uns nous envoient des gammas , les autres de la lumière visible ou
des hertziens ,….En dehors de la température du CMB quasi homogène et isotrope , il n’est pas possible de
vraiment calculer une température moyenne d’Espace
….Quand
le nombre de particules (avec les gaz) est grand les nombreuses collisions finissent par
homogénéiser leur distribution de vitesses
suivant la loi de MAXWELL BOLTZMANN voir ma photo
pourcentages
temperature en x
Quelle que soit la température il existe toujours des particules au dessus de la valeur moyenne et des vitesses non uniformisées
Mais quand le nombre de particules est faible, il y a peu de
collisions, et des particules rapides ("chaudes") peuvent cohabiter
encore mieux sans quasiment les voir,
avec des particules lentes ("froides") : et du même coup la notion de température perd son sens......avec nos gaz et aussI et tout autant tous les objets de notre espace....
-« Mais pourquoi tu me parles de çà PAPY ???Quel rapport avec ton sujet que
je me permets de te rappeler «
la " disparition " ou plutôt la dispersion d’autres
formes d’énergies que celle de l’interaction de la force
électromagnétique ( le photon ) …Et j’en vois au moins TROIS : l’interaction de la force forte ( le gluon
) ,
l’ interaction faible et l’interaction électro faible ….Ou se dispersent leurs énergies ??? »
-« Ah tu crois CLARA avoir à me ramener sans cesse à mon sujet ????
BON ! Nous allons donc être forcés d’entrer dans le
domaine des phénomènes encore plus complexes
….
Parlons de l’interaction
forte /POUR LES GLUONS ( bosons de jauge) une de leurs propriétés appelée charge de couleur les empêche d'avoir
des sorts analogues à ceux des photons
….. En effet chaque gluon porte
une charge de couleur définie comme rouge,
vert ou bleu, et une anti-charge de couleur
….. Dans un univers plasmatique archi- chaud ils pourraient faire ce qu’ils veulent , mais dans notre univers confiné et froid , en noyaux , ils peuvent aussi se mettre à interagir
avec d'autres gluons si ce sont deux quarks qui se rapprochent d un 3 ème , ….J
‘ai , tu te rappelles ,travaillé sur le sujet et
présenté quelques schémas sur le NOUVEL OBS …..
-« Oui PAPY j’avais
trouvé tes images très rigolotes : tu transformes les gluons en
paires de ressorts accrochés entre
quarks voisins . Par exemple
si le gluon (a) relie le quark A au
quark B et qu ils échangent un
gluon , cela veut dire que l’impulsion
de l’onde passant par le ressort (a)1 part de A selon sa
caracteristique propre et QU ELLE REVIENT DE B par le ressort ( a)2 suivant
une vibration pour ainsi dire en « miroir »
(réfléchie ou réfractée) …. Et tu
décrètes qu’ il s’agira alors par exemple
du ressort (a)1 = rouge
tandis que (a)2 = anti rouge OU (a)2 = anti vert ou
encore (a2) = anti bleu …..Et bien sur , tes couleurs correspondent à des intensités différentes
d’ondes parce que tes ressorts sont
différents !!!:!
-« Oui mais ça
se complique terriblement vite et la QCD a montré
que cela rend l'analyse
mathématique de l'interaction forte très compliquée…..
EN SOMME LE PROBLEME
ASTRONOMIQUE DES 3 CORPS AVEC AU MOINS 2 TYPES DE FORCES GRAVITATIONNELLES !
A suivre
- «
Selon le modèle OSCAR, les gluons et quarks sont induits dans le confinement des baryons. Ils n'existent absolument pas dans la phase "avant protons". La seule particule élémentaire est la paire électron-positron. Elle est l'héritière directe des oscillateurs dipolaires après qu'ils aient été séparés, à l'opposé sur le BEC primordial. C'est cette réduction/séparation de localité qui les rend stables, au contraire des paires créées localement.
RépondreSupprimerBien à vous cher Olivier !
Voir ceci pour s'en convaincre : https://sciencesetuniverspourtous.blogspot.fr/2018/03/loi-de-koidemareau.html
RépondreSupprimerLa production de paires d électron -positron locales et qui ne s'annihilent pas car l une ou l autre des particules s 'extrait du trou noir et s 'éloigne AVANT l autre est une proposition du modèle de rayonnement de trou noir de HAWKING .....La paire proposée par le modèle OSCAR EST ELLE NON LOCALE ET PEUT EN ETRE CONSIDEREE COMME UNE EXTRAPOLATION;;;;ON POURRAIT PARLER PLUTOT QUE DE BRIQUES OU DE MATIERE NOIRE EN QUELQUE SORTE D UN RAYONNEMENT OSCAR .....
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
Supprimerl est peut etre possible de voir dans un BEC "géant" une structure de densité maximale et quantiquement cohérente dans sa totalité ..Alors ne peut -on en quelque sorte le considerer comme un quasi trou noir geant , d ou l emission de paires electron postons non locales????
SupprimerLes manips faites sur BECs ne concernent que quelques centaines de particules toutes dans l etat fondamental .....