mercredi 10 janvier 2024

SCIENCES ENERGIES ENVIRONNEMENT

 rs' notes

A method to straighten curved space-time










Une méthode pour redresser l’espace-temps courbe
par Piotr Ogonowski

Crédit : image générée par l’IA (avertissement)
L’un des plus grands défis de la physique moderne est de trouver une méthode cohérente pour décrire les phénomènes, à l’échelle cosmique et microscopique. Depuis plus de cent ans, pour décrire la réalité à l’échelle cosmique, nous utilisons la théorie de la relativité générale, qui a subi avec succès des tentatives répétées de falsification.


Albert Einstein a courbé l'espace-temps pour décrire la gravité, et malgré les questions encore ouvertes sur la matière noire ou l'énergie noire, cela semble aujourd'hui être la meilleure méthode pour analyser le passé et l'avenir de l'univers.

Pour décrire les phénomènes à l’échelle des atomes, nous utilisons la deuxième grande théorie : la mécanique quantique, qui diffère de la relativité générale sur pratiquement tout. Il utilise un espace-temps plat et un appareil mathématique complètement différent et, surtout, perçoit la réalité de manière radicalement différente.

Dans la description quantique, les phénomènes qui nous entourent ne sont que des probabilités vacillantes d’événements que nous ne pouvons mesurer qu’avec une précision limitée.

Dans un article publié dans Frontiers in Physics, j'ai réussi à démontrer qu'il existe une méthode qui combine les descriptions ci-dessus, même si elle conduit à une conclusion assez surprenante.

L’espace-temps courbe peut-il être redressé ?
Il s'avère qu'il existe un certain objet mathématique appelé Tenseur d'Alena, qui permet de décrire les phénomènes physiques de telle manière que la courbure de l'espace-temps puisse être ajustée en douceur comme à l'aide d'un curseur. Dans l'espace-temps courbe, l'équation se transforme naturellement en équations de champ d'Einstein, et dans l'espace-temps plat, elle permet l'utilisation des méthodes classiques de la physique relativiste et, plus important encore, elle est soumise à une description quantique.

Jusqu'à présent, j'ai réussi à démontrer qu'un tel curseur espace-temps fonctionne pour la gravité et l'électromagnétisme, et que le Tensor d'Alena permet d'ajouter des champs supplémentaires. Il semble donc possible de concilier des descriptions jusqu’alors contradictoires pour d’autres domaines connus.

Un effet secondaire de l'utilisation de la méthode ci-dessus est qu'un certain élément de l'équation (l'invariant du champ) se comporte comme une constante cosmologique dans les équations de champ d'Einstein, ce qui peut aider à expliquer la nature de l'énergie noire. Il s’avère également qu’il doit y avoir une force supplémentaire en plus de la gravité, ce qui pourrait aider à expliquer la nature de la matière noire.


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COMMENTAIRES
Je suis interessé par cette tentative    mais rappelle  que l 'écart  entre la mécanique quantique  et la  relativité générale  esi insurmontable  :a mon avis les deux  sont incomplètes   et non reliables  ,meme  à coup de schilblicks  !!!

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More information: Piotr Ogonowski, Developed method: interactions and their quantum picture, Frontiers in Physics (2023). DOI: 10.3389/fphy.2023.1264925. www.frontiersin.org/articles/1 … 89/fphy.2023.1264925

Piotr Ogonowski is a researcher, manager and lecturer with over 20 years of experience. He currently works as a lecturer for Kozminski University, Wasaw, Poland.

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1 commentaire:

  1. La courbure d'Einstein part effectivement de constats physiques, comme la constance de c, la gravitation et la relativité qui en est déclinée.
    Mais l'espace-temps n'est pas un être mathématique. C'est un être physique dont la cause est sa structure discrétisée par le tissu de Bodys qui le constitue dans le cadre de chacun des BECs enchevêtrés formant l'espace-temps.

    Un espace-temps idéal (sans perturbation par les masses) est "plat" c'est-à-dire présentant une symétrie dans ses intervalles élémentaires radiaux et tangentiels. Mais le couplage des particules agissant sur les éléments discrétisés, altère cette symétrie.

    Cela peut être interprété par une courbure. L'image la plus simple est de considérer qu'une masse importante décale vers elle le centre du BEC ce qui peut s'interpréter par une courbure.

    Mais ce n'est pas à la physique de se plier aux spéculations mathématiques. Physiquement ce n'est pas une courbure mais une altération de symétrie qui altère localement l'espace et le temps.

    La symétrie des Bodys est non -locale par nature. Sans la dualité de localité, on ne peut rien comprendre !

    Les réponses sont là : https://loiduo5.com/

    Amicalement
    Dominique MAREAU

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