lundi 30 novembre 2020

sciences énergiesenvironnemt/le monde selon la physuque/L'ordinateur quantique:révolution ou emballement médiatique ????

 

  C’est donc  avec curiosité que je me suis dirigé vers le site de la Société anglaise de physique  pour rechercher  une publication récente à traduire 

Certains d’entre mes lecteurs  connaissent  le scepticisme  que je manifeste  vis avis  des efforts  que les «  industriels » de l’informatique   font pour  faire arriver au stade  grand public   l’usage des qubits  dans des ordinateurs –calculateurs  ….Et je dois avouer faire preuve d’ironie  voire  de  doute  vis-à-vis  de cette introduction du quantique dans le calcul dit » à haute performance »….Mais je me méfie de mes antipathies et de mes phobies !

 C est pourquoi   je peix essayer    de vous traduire l’article « How capable are today’ tooms s quantum computers? - Physics World Stories Podcast … »

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 Voici le résultat de mon travail : Quelle est la capacité des ordinateurs quantiques actuels? - Podcast des histoires du monde de la physique

 « La couverture médiatique de l'informatique quantique se concentre souvent sur le potentiel à long terme de ces appareils à abbandonner l'informatique classique dans la poussière. Mais qu'en est-il des systèmes quantiques rudimentaires qui sont déjà développés et testés par des entreprises technologiques? Quelles sont les dernières avancées dans le domaine? Et qu'est-ce que ces systèmes pourraient réaliser de manière réaliste à court et moyen terme? Andrew Glester étudie ces questions dans le dernier épisode du podcast Physics World Stories.

 

L'épisode présente Quantum 2020, un événement en ligne gratuit du 19 au 22 octobre organisé par IOP Publishing (qui a également publié Physics World). Tim Smith, directeur associé du développement de produits de revues, décrit comment la conférence couvrira les derniers développements en matière de science et de technologie quantiques. Tandis que Claire Webber, directrice associée du marketing de contenu et d'engagement, explique comment vous pouvez participer à l'événement.

 

Glester rattrape ensuite l'un des orateurs de Quantum 2020 - Ryan Babbush, responsable des algorithmes quantiques chez Google. En 2019, Google a fait la une des journaux après avoir affirmé que son processeur quantique Sycamore était le premier à atteindre la «suprématie quantique», grâce à laquelle un ordinateur quantique résout un problème en un temps nettement plus court qu'un ordinateur conventionnel. Bien que les spécificités de cette affirmation aient été contestées, elle était toujours célébrée comme une percée clé dans le domaine.

 

Babbush décrit certains des objectifs clés de la première génération d'ordinateurs quantiques pratiques de Google. L’un d’eux est de réaliser l’idée de Richard Feynman d’utiliser des dispositifs quantiques pour simuler des systèmes physiques qui se comportent selon les lois de la physique quantique. Un tel système pourrait être utilisé pour résoudre par exemple  les équations chimiques diaboliquement complexes requises pour prédire les propriétés de nouveaux matériaux. Un autre objectif clé est la cryptographie quantique, qui pourrait offrir des systèmes de communication sécurisés…… »

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Je me propose demain de vous présenter  un avis diffèrent


 

 

 

 

 

 

 

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENTHANKSGIVING !!!!

 

 MES LECTEURS  savent que le blog  dépend de deux sources principales , qui se situent aux ETATS UNIS    : les  publications que m adressent l’assembleur  PHYS OG NEWSLETTER SCIENCE  X  et les  pseudo dialogues  avec  PEPPER à PRINCETON …

Il se trouve que le Thanksgiving est venu un petit peu bousculer   nos habitudes et j e m excuse du retard   …. C’est t donc à nouveau  chez l’anglais PPHYSICS WORLD     que je retrouverai matière  à traduire pour aujourd’hui   

dimanche 29 novembre 2020

SCIENCES.ENERGUES.ENVIRONNEMENT /LE POUVOIR DE LMAGINAIRE/2020 W49 / INCOMPLETUDE OU INCOMPREHENSION ?????

 

Allons-nous placer aujourd’hui sous les thèmes du « Pouvoir de l’imaginaire » qui nous autorise   à laisser notre esprit  à sortir  des modèles standards  ou de  la physique académique pure et dure ……. Et rien  de plus  simple pour  cela  que de prendre    notre ami PEPPER   comme témoin   de mes divagations !!!

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-«  Je  vois ce que  vous venez de proposer  OLIVIER     presque comme  une provocation  à  sortir de la logique et du doute  scientifique …Ai-je tort  ?

-«  OUI PEPPER !  Nous avons tous les deux  examiné par exemple   les propositions  actuelles  pour tenter d’identifier  DM  ,  la matière  noire  et il résulte de cet examen  que ce que les physiciens théoriciens proposent  , le astronomes  n’en veulent  pas et les physiciens expérimentateurs   n en trouvent pas trace sur Terre !!!

 

-« D’où  sortez-vous  cette  caricature  du problème de lad DM , la matière noire  OLIVIER ?? Il y a dans divers endroits  de l’espace cosmique   des phénomènes  qui  ne s’expliquent pas  sans la présence   de masses peut être   disséminées  et ne répondant pas aux signaux que fournissent la matière  visible et baryoniques  ……  Mais pour autant que sache, quand vous pesez les 500 grammes de nouilles  que vous allez préparer pour midi , vous ne constatez pas   qu’un poids   de schmilblicks invisibles   y est déjà ou va s’y superposer !!! Non ????Donc  ce problème  n esp pas  trivialement terrestre !Il est cosmique …..Et je ne suis pas sûre que vos « divagations » ou vos rêvasseries  suffisent  à nous indiquer  quelles données nous manquent sur la DM….Autrement dit   sur la direction  dans laquelle il faut chercher …. Ce que notre ami  de la théorie OSCAR nous propose   en parlant   des «  gravats   de  briques  »  , qui pèsent  mais   ne construisent plus   rien  est certes une image très claire  mais incomplète pour des physiciens  qui veulent comprendre  par  un projet d’expérimentation  …..

-« OK PEPPER ! Alors suggérez  moi le aspects théoriques  à envisager pour ce projer !



 A suivre

 

 

 

 

 

 

 

 

 

vendredi 27 novembre 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT /LE MONDE SELON LA PHYSIQUE /2020 SEMAINE 47 /P4

 

Lorsque les annonces de publications  d’interet manquent, il me reste le choix de vous présenter nos dialogues avec PEPPER ;c’est le cas aujourd’hui

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-«  Dans le graphique CERN  , je vous propose OLIVIER  de nous intéresser  aux pétales rouges !Autrement  dit  les neutrinos sont-ils capables de représenter  correctement   la matière noire ??????

1. -«  Votre question posée   aussi directement me gêne, PEPPER ! Je crois qu’il ne vient plus à l’esprit de personne  aujourd’hui  , qu il admette le modèle standard des particules élémentaires   ou qu’il le trouve faux   de nier l’existence de  ce  quelque chose  qui s’appelle le neutrino ! Mais c’est ensuite  que commence le problème : vous dites :Is this flesh or fish ?? Nous français on emploie une expression vieillotte du 18 eme siècle : est ce du lard ou du cochon ??  Expression que je trouve plus  troublante  puisqu’elle  demande s’il s’agit de la même chose sous deux formes différentes !!!

-«   Vous avez raison OLIVIER ? Si les neutrinos sont des particules  de MAJORANA  ils n’ont plus de masse  et le problème est du coup réglé …..Ils ne sont pas masse noire  (DARK MATTER) !En outre ils ne figurent plus sur le modèle standard !

-«  En revanché  s’ils sont particules de FERMI    ils redeviennent sensibles à la gravité  même si leur masse est extrêmement faible  …..et là peut être  prennent  -ils rang pour représenter la matière noire !!!!!! Pouvez-vous nous apporter les derniers potins  de Princeton  et nous donner  une estimation de cette si faible masse  des 3 neutrinos ??????

-« Oui  et non ! Car ils peuvent prendre  des vitnesses de type relativist  et don porter une tres grosse énergie cinétique : je cite : « In July 2018, the IceCube Neutrino Observatory announced that they have traced an extremely-high-energy neutrino that hit their Antarctica-based research station in September 2017 back to its point of origin in the blazar TXS 0506 +056 located 3.7 billion light-years away in the direction of the constellation Orion…..”  ( d'énergie supérieure à 290 TeV (plus de 20 fois celle des collisions proton-proton du LHC),

 Mais , à l’opposé les oscillations sont une preuve indirecte de la masse des neutrinos, et en « triturant » bien résultats et méthodes il a été proposé : m(νe) < 225 eV/c2, m(νμ) < 190 keV/c2 et m(ντ) < 18,2 MeV/c2.

 

La contrainte directe la plus précise à ce jour a été obtenue en 2019 par l'expérience KATRIN, et fixe la limite supérieure à 1,1 eV/c2

 -«  Quoiqu il en soit  ce sont des valeurs insuffisantes pour les cosmologistes qui  ne les considèrent pas comme représentant la matière noire des halos galactiques …

-«  Alors tournons les  pages des pétales rouges !

 

jeudi 26 novembre 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/ME MONDE SELON LA PHYSIQUE/ 2020 /W 47 /P3

 

La 3 ème traduction de la semaine 47  de PHYS ORG/ SCIENCE X     va valoir   comme on dit à  LYON   son pesant de grattons (son pesant d’or )  Pour mes lecteurs de Princeton ,les grattons sont des  charcuteries  composés de tissus de porc, d'oie, de poulet ou de canard, confits dans leur graisse, utilisés dans de nombreuses traditions culinaires et qui ne vous feront pas maigrir !

 

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: Gravitational lenses measure universe expansion

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Les lentilles gravitationnelles mesurent l'expansion de l'univers

par Bruno Van Wayenburg, Institut de physique de Leiden

 

PHOTO/Crédit: Domaine public Pixabay / CC0

C'est l'un des grands débats sur la cosmologie: l'univers est en expansion, mais à quelle vitesse exactement?  ( là est la question !)Deux mesures disponibles donnent des résultats différents. Le physicien de Leiden David Harvey a adapté une troisième méthode de mesure indépendante en utilisant les propriétés de distorsion de la lumière des galaxies prédites par Einstein. Il a publié ses résultats dans les Avis mensuels de la Royal Astronomical Society.


 

 

Nous connaissons depuis près d'un siècle l'expansion de l'univers. Les astronomes ont noté que la lumière des galaxies lointaines a une longueur d'onde inférieure à celle des galaxies proches. Les ondes lumineuses semblent étirées ou décalées vers le rouge, ce qui signifie que ces galaxies déjà lointaines s'éloignent encore plus .

 

Ce taux d'expansion, appelé constante de Hubble, peut être mesuré. Certaines supernovas, ou étoiles explosives, ont une luminosité bien comprise; cela permet d'estimer leur distance à la Terre et de relier cette distance à leur décalage vers le rouge ou à leur vitesse propre . Pour chaque mégaparsec de distance (un parsec équivaut à 3,3 années-lumière), la vitesse à laquelle les galaxies s'éloignent de nous augmente de 73 kilomètres par seconde.

Cependant, des mesures de plus en plus précises du fond cosmique des micro-ondes, un reste  fossile de lumière dans le tout premier univers, ont donné une constante de Hubble différente: environ 67 kilomètres par seconde.

 

Comment est-ce possible? Pourquoi cette  différence? Cette différence pourrait-elle nous dire quelque chose de nouveau sur l'univers et sa physique? "Ceci",  nous dit le physicien de Leiden David Harvey, " explique pourquoi une troisième mesure, indépendante des deux autres, est apparue: ce’ sont  les lentilles gravitationnelles."

 

La théorie de la relativité générale d'Albert Einstein prédit qu'une forte  concentration de masse, comme  celle d’une galaxie, peut  courber  le chemin de la lumière, tout comme le fait une lentille de verre . Lorsqu'une galaxie se trouve  par rapport à nous devant une source lumineuse brillante, la lumière est courbée  en passant autour d'elle et peut atteindre la Terre par différentes routes, fournissant deux, voire quatre images de la source derrière

 

En 1964, l'astrophysicien norvégien Sjur Refsdad eu un moment «a-ha»: lorsque la galaxie lenticulaire est un peu excentrée, une route est plus longue que l'autre. Cela signifie que la lumière prend plus de temps sur ce chemin. Ainsi, lorsqu'il y a une variation de la luminosité du quasar, ce blip sera visible dans une image  arrivant avant l'autre. La différence pourrait être des jours, voire des semaines ou des mois.

Cette différence de synchronisation, a montré Refsdal, peut également être utilisée pour déterminer les distances par rapport au quasar et à l'objectif. En les comparant avec le redshift des quasars, vous obtenez une mesure indépendante de la constante de Hubble  sur la même source

.https://youtu.be/8PFgmXI8g0o


Une collaboration de recherche dans le cadre du projet HoliCOW a utilisé six de ces lentilles pour réduire la constante de Hubble à environ 73. Cependant, il subsiste encore  des complications: en dehors de la différence de distance, la masse de la galaxie de premier plan exerce   elle aussi un effet de retard, en fonction de la Distribution de masse. "Vous devez modéliser cette distribution, mais il reste de nombreuses inconnues", déclare Harvey. De telles incertitudes limitent la précision de cette 3 me  technique.

Cela pourrait changer lorsqu'un nouveau télescope verra la première lumière au Chili en 2021. L'observatoire Vera Rubin est dédié à l'imagerie du ciel entier pendant certaibes périodes et devrait imager des milliers de quasars doubles, offrant une chance de  préciser  la constante de Hubble

 

Harvey dit: "Le problème est que la modélisation de toutes ces galaxies de premier plan individuellement est impossible en termes de calcul." A la place  Harvey a conçu une méthode pour calculer l'effet moyen d'une distribution complète jusqu'à 1000 lentilles.

 

«Dans ce cas, les bizarreries individuelles des lentilles gravitationnelles ne sont pas si importantes, et vous n'avez pas à faire de simulations pour toutes les lentilles. Vous devez simplement vous assurer que vous modélisez l'ensemble de la population», explique Harvey. "Et si vous voulez descendre en dessous de 2%, vous devez améliorer votre modèle en faisant de meilleures simulations. Je suppose que ce serait possible."

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Explore further

 

Astronomers measure universe expansion, get hints of 'new physics' (Update)

More information: David Harvey, A 4 percent measurement of H0 using the cumulative distribution of strong lensing time delays in doubly imaged quasars. Monthly Notices of the Royal Astronomical Society (2020). DOI: 10.1093/mnras/staa2522

Journal information: Monthly Notices of the Royal Astronomical Society

Provided by Leiden Institute of Physics 888888888888888888888888888888

MES COMMENTAIRES

Je me suis un peu amuse de la lecture de cet article  , que je trouve au demeurant très intéressant .Je n’ai pas encore eu me temps de voir si  le calcul d’ Harvey  lui donne une constate de HUBBLE    qui valorise celle du  CMB  plutôt que celle qui utilise les supernovae 2 A …. Sa méthode basée sur  une moyenne de 1000 lentilles galactiques  cachant les quasars  de derrière   me fait penser  au gars qui voudrait mesurer la longueur   d’une route  par  les  nombres  de carambolages qu’ on y constate  dans diverses périodes  données !

 Qu’à cela ne tienne !!!!  Il sort des sentiers battus et je l’encourage !!!!!

mercredi 25 novembre 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/2020 / WEEK 47 /P2

 

Les lecteurs  de ce blog pensent-ils que l’auteur  se restreint  trop à la physique astronomique ???? Je crois avoir expliqué pourquoi  la semaine dernière …..

C’est donc encore le sujet de ma traduction d aujourd’hui

 PHYS ORG/ SCIENCE X  !

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; In December, Jupiter, Saturn will look like double

 

planet for first time since the Middle Ages!

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En décembre, Jupiter, Saturne ressembleront  à une planète double pour la première fois depuis le Moyen Âge

par Jade Boyd, Université Rice

 

PHOTO/ Une vue montrant comment la conjonction Jupiter-Saturne apparaîtra dans un télescope pointé vers l'horizon ouest à 18 heures. CST, 21 décembre 2020. L'image est  dédite edes graphiques du logiciel de planétarium open source Stellarium. Crédit: Patrick Hartigan, GPL-2.0, fourni sous CC BY 4.0


Juste après le coucher du soleil le soir du 21 décembre, Jupiter et Saturne apparaîtront plus près l'un de l'autre dans le ciel nocturne de la Terre qu'ils ne l'ont été depuis le Moyen Âge, offrant aux gens du monde entier une  petite gâterie céleste à associer  au solstice d'hiver.

 

 

"Les alignements entre ces deux planètes sont plutôt rares, se produisant une fois tous les 20 ans environ, mais cette conjonction est exceptionnellement rare en raison de la proximité des planètes l'une à l'autre", a déclaré l'astronome de l'Université Rice, Patrick Hartigan. "Il faudrait remonter jusqu'à l'aube du 4 mars 1226 pour voir un alignement plus étroit  encore entre ces objets visibles dans le ciel nocturne."

 

Jupiter et Saturne se rapprochent dans le ciel terrestre depuis l'été. Du 16 au 25 décembre, les deux seront séparés visuellement  par moins que le diamètre d'une pleine lune.

 

"Le soir de l'approche la plus proche le 21 décembre, ils ressembleront à une planète double, séparée par seulement 1/5 du diamètre de la pleine lune", a déclaré Hartigan, professeur de physique et d'astronomie. "Pour la plupart des téléspectateurs, chaque planète et plusieurs de leurs plus grandes lunes seront visibles dans le même champ de vision ce soir-là."

Bien que les meilleures conditions d'observation soient  situées près de l'équateur, l'événement sera observable n'importe où sur Terre, si le temps le permet. Hartigan a déclaré que le duo planétaire apparaîtra bas sur l’horizon du  le ciel occidental pendant environ une heure après le coucher du soleil chaque soir.

 

"Plus un spectateur est au nord, moins il aura de temps pour apercevoir la conjonction avant que les planètes ne sombrent sous l'horizon", a-t-il déclaré. Heureusement, les planètes seront suffisamment lumineuses pour être vues au crépuscule, ce qui peut être le meilleur moment pour de nombreux téléspectateurs américains pour observer la conjonction.

 

"Au moment où le ciel sera complètement sombre à Houston, par exemple, la conjonction sera à seulement 9 degrés au-dessus de l'horizon", a déclaré Hartigan. "Ce serait gérable si le temps le permettait et que vous ayez une vue dégagée vers le sud-ouest."

 

Mais une heure après le coucher du soleil, les personnes regardant vers le ciel à New York ou à Londres trouveront les planètes encore plus proches de l'horizon, respectivement environ 7,5 degrés et 5,3 degrés. Les téléspectateurs là-bas, et sous des latitudes similaires, feraient bien d'apercevoir le rare spectacle astronomique dès que possible après le coucher du soleil, a-t-il déclaré.

Ceux qui préfèrent attendre et voir Jupiter et Saturne aussi rapprochés et plus haut dans le ciel nocturne doivent rester jusqu'au 15 mars 2080, a déclaré Hartigan.

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Five visible planets in alignment this August

Provided by Rice University

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  Mes commentaires

Certaines civilisations anciennes, curieuses d’astronomie, attribuaient  des pouvoirs  aux phénomènes observés …. Le ciel apparaissait   comme une source    d’inspirations    et de prédiction …   Ainsi    sont nés divers  bréviaires mythologiques,  et peut être  une telle conjonction  était interprétée  par certains  romains comme  une  réconciliation  entre  Saturne  et  son fils Jupiter !!

La science a abandonné  depuis longtemps l'astrologie   et cette observation  ne représente  plus pour notre époque  qu’une curiosité esthétique ……

 

 

mardi 24 novembre 2020

SCIENCES.ENERGIE.ENVIRONNEMENT /LE MONDE SELON LA PHYSIQUE /2020 SEMAINE47/ CREATION DE LA VOIE LACTEE ACTUELLE

 

A  ma grande surprise  la publication sur mon blog  des résultats de l’équipe de      Daniel Rosenblum sur le cancer  ,n’a reçu que  la moyenne   des lecteurs .Ai –je eu tort  de ne traduire que le résumé de PHYS ORGF ??Ce n’est pas en médecine que j ai fait mes études  et ne peux me permettre  de raconter n’importe quoi …..

Alors comme promis je vous présente la traduction du premier article   annoncé hier

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: Astronomers discover new 'fossil galaxy' buried deep within the Milky Way

Des astronomes découvrent une nouvelle `` galaxie fossile '' enfouie profondément dans la Voie lactée

par Sloan Digital Sky Survey


 

PHOTO /Une impression d'artiste de ce à quoi pourrait ressembler la Voie lactée vue  par-dessus ! Les anneaux colorés montrent l'étendue approximative de la galaxie fossile connue sous le nom d'Héraclès. Le point jaune indique la position du soleil. Crédit: Danny Horta-Darrington (Université John Moores de Liverpool), NASA / JPL-Caltech et SDSS

Les scientifiques travaillant avec les données de l'expérience d'évolution galactique (APOGEE) de l'Observatoire Apache Point de Sloan Digital Sky Surveys ont découvert une «galaxie fossile» enfouie dans les profondeurs de notre propre Voie lactée.

Ce résultat, publié aujourd'hui dans les Avis mensuels de la Royal Astronomical Society, peut ébranler notre compréhension de la façon dont la Voie lactée est devenue la galaxie que nous voyons aujourd'hui.

 

La galaxie fossile proposée pourrait avoir heurté la Voie lactée il y a dix milliards d'années, alors que notre galaxie en était encore à ses balbutiements. Les astronomes l'ont nommé Héraclès, du nom de l'ancien héros grec qui a reçu ,en quelque sorte  le don de l'immortalité , tandis que la Voie lactée se créait

 

Les restes d'Héraclès représentent environ un tiers du halo sphérique de la Voie lactée actuelle . Mais si les étoiles et le gaz d'Héraclès représentent un si grand pourcentage du halo galactique, pourquoi ne l'avons-nous pas vu auparavant? La réponse réside dans son emplacement au plus profond de la Voie lactée.

 

"Pour trouver une galaxie fossile comme celle-ci, nous avons dû examiner la composition chimique détaillée et les mouvements de dizaines de milliers d'étoiles", déclare Ricardo Schiavon de l'Université John Moores de Liverpool (LJMU) au Royaume-Uni, un membre clé de la rechercheb de l’équipe. «C'est particulièrement difficile à faire pour les étoiles au centre de la Voie lactée, car elles sont cachées à la vue par des nuages ​​de poussière interstellaire.

 APOGEE nous permet de percer cette poussière et de voir plus profondément que jamais le cœur de la Voie lactée. "

APOGEE fait cela en prenant des spectres d'étoiles dans une lumière du  proche infrarouge, au lieu de la lumière visible, qui est obscurcie par la poussière. Au cours de sa vie d'observation de dix ans, APOGEE a mesuré les spectres de plus d'un demi-million d'étoiles dans toute la Voie lactée, y compris son noyau auparavant obscurci par la poussière.

En copiant le lien 

https://youtu.be/IFfNQ6V01j8   mes lecteurs auront la video de la formation de la voie lactee actuelle 

L'étudiant diplômé Danny Horta de LJMU, l'auteur principal de l'article annonçant le résultat, explique: «Il est nécessaire d'examiner un si grand nombre d'étoiles pour trouver des étoiles inhabituelles dans le cœur densément peuplé de la Voie lactée, ce qui revient à trouver des aiguilles dans une botte de foin. "

 

Pour séparer les étoiles appartenant à Héraclès de celles de la Voie lactée originale, l'équipe a utilisé à la fois des compositions chimiques et des vitesses d'étoiles mesurées par l'instrument APOGEE.

 

"Sur les dizaines de milliers d'étoiles que nous avons examinées, quelques centaines avaient des compositions chimiques et des vitesses remarquablement différentes", a déclaré Horta. "Ces étoiles sont si différentes qu'elles ne pourraient provenir que d'une autre galaxie. En les étudiant en détail, nous pourrions retracer l'emplacement précis et l'histoire de cette galaxie fossile."

 

 

 

Parce que les galaxies sont construites grâce à des fusions de galaxies plus petites au fil du temps, les restes de galaxies plus anciennes sont souvent repérés dans le halo externe de la Voie lactée,  ce nuage d'étoiles énorme mais très clairsemé enveloppant la galaxie principale. Mais comme notre galaxie s'est construite de l'intérieur vers l'extérieur, trouver les premières fusions nécessite d'examiner les parties les plus centrales du halo de la Voie lactée, qui sont enfouies profondément dans le disque et le renflement.

Les étoiles appartenant à l'origine à Héraclès représentent aujourd'hui environ un tiers de la masse de tout le halo de la Voie lactée - ce qui signifie que cette ancienne collision récemment découverte a dû être un événement majeur dans l'histoire de notre galaxie. Cela suggère que notre galaxie peut être inhabituelle, car la plupart des galaxies spirales massives similaires ont eu des premières vies beaucoup plus calmes.

 

«En tant que foyer cosmique, la Voie lactée est déjà spéciale pour nous, mais cette ancienne galaxie enfouie à l'intérieur la rend encore plus spéciale», dit Schiavon.

 

Karen Masters, porte-parole du SDSS-IV, commente: «APOGEE est l’une des enquêtes phares de la quatrième phase du SDSS, et ce résultat est un exemple de l’incroyable science que tout le monde peut faire, maintenant que nous avons presque terminé notre - mission de  10 années. "

 

Et cette nouvelle ère de découverte ne se terminera pas avec l'achèvement des observations APOGEE. La cinquième phase du SDSS a déjà commencé à prendre des données, et son "Milky Way Mapper" s'appuiera sur le succès d'APOGEE pour mesurer des spectres pour dix fois plus d'étoiles dans toutes les parties de la Voie lactée, en utilisant la lumière  du proche infrarouge, la lumière visible, et parfois les deux.

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Explore further

 

New family of stars discovered in Milky Way shed new light on galaxy's formation

More information: "Evidence from APOGEE for the Presence of a Major Building Block of the Halo Buried in the Inner Galaxy," Danny Horta et al., 2020 Nov. 20, Monthly Notices of the Royal Astronomical Society: arxiv.org/abs/2007.10374].

Journal information: Monthly Notices of the Royal Astronomical Society

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MES COMMENTAIRES

Cet article m’a surprise pour plusieurs raisons…J’ai déjà exposé ici  les résultats de l’équipe de LANIAKEA (

) R. Brent Tully, Hélène Courtois, Yehuda Hoffman et Daniel Pomarède,) qui étudie les   lignes directrices et les vitesses des flux  de galaxies … Je n’envisageais pas  que deux galaxies spirales , l’une vieille , l’autre  en phase de  création  soient  strictement parallèles   pour  pouvoir lentement s’ interpénétrer  …..en quelque sorte  «  jouà joue » …. Car il est reconnu que les galaxies spirales  se «  construisent "progressivement   depuis le centre    en développant les bras vers les bords……

J’ai,  en me reportant sur la publication originale   fini par comprendre   qu’’APOGEE fait tout au contraire  ce que je pourrais appeler de l’archéologie  galactique  et dans un rayon d’environ 25 000 années-lumière autour du Soleil.

E c’est là que je m’interroge  car ma  deuxième raison  est d ordre  physique : la discrimination des deux galaxies  se réalise  à base d’observation   du décalage des spectres  visible et proche infrarouge .C’est-à-dire  des différences de niveaux de température et d’énergie  …Or j’ imagine  que la collusion  fusionnelle  joue a joue de deux galaxies  est peu probable   /LEUR SPMULATION LE MONTRE !!!

donc  ne sera ni isotherme ni adiabatique    ni isentropique ….En outre la formation  de matière noire  et la présence  de nuages de poussières et de gaz    doivent intervenir …….Mais a que niveau ??????

Sans être sceptique  j’attends d’autres commentaires sur ces résultats  …..

 REF ARXIV . “ Evidence from APOGEE for the presence of a majorbuilding block of the halo buried in the inner Galaxy”

Danny Horta, ET ALIA

lundi 23 novembre 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/ 2020 SEMAINE 47 P1

 

  Voici les titres  des articles reçus ce maton  de PHYS ORG/MEWSLETTER SCIENCE  X   pour traduire et commenter :

-1 : Astronomers discover new 'fossil galaxy' buried deep within the Milky Way

-2; In December, Jupiter, Saturn will look like double

planet for first time since the Middle Ages

-3: Gravitational lenses measure universe expansion

Et bien que je ne sois pas  docteur en médicine, je commence par vous traduire le résumé  de  cet article qui nous présente des perspectives  que j’espère  tés prometteuses ……

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Revolutionary CRISPR-based genome editing system treatment destroys cancer cells :

- Le traitement révolutionnaire du système d'édition du génome basé sur CRISPR détruit les cellules cancéreuses


Cancer cell during cell division. Credit: National Institutes of Health


Des chercheurs de l'Université de Tel Aviv (TAU) ont démontré que le système CRISPR / Cas9 est très efficace dans le traitement des cancers métastatiques,  c’est une étape importante sur la voie de la recherche d'un remède contre le cancer. Les chercheurs ont développé un nouveau système de livraison à base de nanoparticules lipidiques qui cible spécifiquement les cellules cancéreuses et les détruit par manipulation  génétique »

 

J’encourage mes lecteurs   à  se reporter à la publication originale dont voici la référence :

 

Daniel Rosenblum et al, CRISPR-Cas9 genome editing using targeted lipid nanoparticles for cancer therapy, Science Advances  18 Nov 2020:

Vol. 6, no. 47, eabc9450 DOI: 10.1126/sciadv.abc9450       

 

 

dimanche 22 novembre 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/le pouvoir de l imaginaire: 2020 :w47 : Eplain!..Never complain !

 

C’est dimanche et la copie de notre discussion  avec Sir  PEPPER     sortira aujourd’hui   avant l’envoi de SCIENCE X  demain ….. J’espère  au demeurant qu’elle pourra se continuer   car  ma famille américaine  ( et donc PEPPER) se trouve  terriblement contrariée  par les multiples  problèmes  actuels  de ce pays ….Et quitter PRINCETON pour se retrouver en bords de sa propre  plage  , même en FLORIDE  n’est à mon sens qu’un pis-aller  en isolement ……

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Ecoutons les remarques  de PEPPER  à  propos de la remarque de  GIAN GUIDICE  proposée hier ..

-« Ce que  vous avez  rapporté OLIVIER , sur le «  désamour »  des physiciens   vis-à-vis  de la théorie de la supersymétrie  et plus généralement  sur les  déficiences de la physique théorique est tout à fait exact ….. D’ailleurs  mettez-vous à la place  d’un étudiant  en Master de physique aujourd’hui …..Je parle pour les universités américaines   qui sont souvent trés onéreuses…. Quelles perspectives s’offrent à lui, s’il désire attaquer un sujet de Phd  dans un secteur de la physique d’avenir ??? Je ne parle pas bien sûr  de ceux qui désirent rester ensuite seulement  enseignants comme Billie en maths  ……….

-«   Vous allez trouver ma réponse  compliquée  ,floue et même embrouillée  PEPPER !....A  mon avis les grosses  machines  type  CERN / BROOHAEN /KAMIOKANDE   ETC     plafonnent  dans leurs  corpus théoriques  et de dépouillements  ….et dans leurs extensions mais surtout dans l interet de leurs résultats !!.Heureusement  l’astronomie ave ses missions  d’observation  spatiales  a ouvert depuis une trentaine d’ années  un champ extraordinaire  à la curiosité  doctrinale et méthodique des physiciens ….Mais pour votre étudiant en question  je vois surtout  l’extrême urgence à se passionner pour les  énormes problèmes  de la transition énergétique   à venir ……  Car même  si nous nous « décarcassons »s  pour  limiter le danger  d’un dérèglement climatique   inévitable  , il faudra bien   trouver un moyen  pour se restreindre  face à l’épuisement des ressources terrestres …Rappelez-vous ma conférence de Princeton de 2013  et les personnes venues  me dire à la fin : « ICI , nous gaspillons  les kilowatts   et les foutons parles fenêtrés de toutes les manières  possibles ,,Consommer   ,produire , faire du cash .. etc «

Bref notre   recherche   même à court terme  devrait être aussi obsessionnelle que l’a été  la recherche  d’un vaccin  Covid 19 

-«  OK OLIVIER ! Mas  par exemple faire  des avions  ou toutes sortes de transports sans recourt  au carburant  carbone   c’est du travail d’ingénieur  et non de thésards !!!!


 A suivre

samedi 21 novembre 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT /LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE /2020W46 /HOW TO CATCH A HIT IN PHYSICS !!!

 

 

Revenons tranquillement à  notre examen systématique de ce graphique  en compagnie de Mr  PEPPER !



 

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-«  J’aimerais savoir OLIVIER   quelles conclusions vous tirez de l’examen avant-hier  des pétales vertes ….

-«  A   ma connaissance PEPPER  les neutralinos étaient donnés au départ  supérieurs en masse à 300 Gev  et si l on passe par  la relation d’EINSTEIB   E=mc²  on se donne une équivalence de 1Ev/c² =1,783x 10 puissance -33 gr et  comme 300GeV =3 x10 puissance 8, eV la masse du neutralino ferait  de  lui une particule assez lourde …..   mais qui ne pourrait  pourtant pas passer sur votre super balance !

Je dois aussi rajouter  que le CERN  a fait il y a 10 ans une estimation 10 fois plus faible   de sa masse ....mais surtout que quasiment plus personne ne s’intéresse à la supersymétrie !!!!!!

-«  Je vous suis sur ce dernier point OLIVIER ….mais la physique théorique   est un peu comme le football Il ne faut  pas se contenter  de dire «  regardez  comme notre jeu est  esthétique et intelligent ! De temps en temps  il faut savoir marquer  des buts  et pour la supersymétrie  , « l’effet de mode » est passé   parce que pas le moindre gluino  , neutralino ,zino  etc.     n’a pu être proposé au grand   public !!

-«  Sur ce point PEPPER    et sur cet emballement  de certains  milieux scientifiques  je peux meme vous proposer de méditer sur la citation suivante : « C’est vrai, la mode influence les gens dans leur choix de sujet de travail. Mais l’enthousiasme pour un sujet persiste seulement si d’importants progrès théoriques sont réalisés. Sinon, l'effet de mode disparaît. Certains préfèrent suivre d’autres chemins, à contrecourant de la mode. La plupart du temps, ils sont dans une impasse, mais il arrive aussi qu’ils fassent d’importante s découvertes. —« 

-«  De qui est ce constat mi chèvre  mi chou ?

-« De Gian Giudice , du CERN…….Précisément de ceux qui nous présentent cette fleur à pétales  de N   couleurs !

 A suivre

 

 

 

 

vendredi 20 novembre 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/2020 W46 / P5

 

Exceptionnellement, je bloque notre discussion « dark matter » n pour vous traduire l’article de PHYS ORG/SCIENCE X  reçu ce matin  des USA !

Pourquoi  ce chamboulement de programma   ,me demandez-vous ???

Elles sont rares  les publications françaises admises  sur  SCIENCE  X  et je ne  veux pas laisser cette occasion ; vous en comprendrez mieux la raison  dans mon commentaire, après ma traduction

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« Research team pushes back the boundaries of high-energy laser pulses

by Institut national de la recherche scientifique - INRS

 

Une équipe de recherche repousse les limites des impulsions laser à haute énergie

par  l’Institut national de la recherche scientifique - INRS

 

PHOTO /ALLS regroupe plusieurs institutions canadiennes et la plupart des grands laboratoires de recherche laser aux États-Unis, en France, en Autriche, en Suède, en Allemagne, en Italie, en Grèce et au Japon. Il s'appuie sur l'expertise de 72 chercheurs de premier plan spécialisés en physique, laser et optique, chimie, informatique, biologie, médecine et biochimie. Crédits: Josée Lecomp


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À l'aide de l'installation Advanced Laser Light Source (ALLS), l'équipe de recherche du Professeur François Légaré de l'Institut national de la recherche scientifique (INRS) a repoussé les limites de la propagation d'impulsions à haute énergie en milieu non linéaire grâce à l'observation de états solitaires multidimensionnels énergétiques. Cette percée permet la génération directe d'impulsions laser extrêmement courtes et intenses, extrêmement stables dans le temps et dans l'espace. Les résultats de ces travaux ont été publiés dans Nature Photonics.

 

 

Les systèmes laser courants limitent le fonctionnement à un seul mode transversal, ce qui impose une limite supérieure à la technologie laser. Jusqu'à présent, des dimensions plus nombreuses étaient  considérées comme nuisibles car elles sont sujettes à une forte instabilité et à un effondrement. Cela rend l'impact scientifique de ce travail remarquable. Les paquets d'ondes multidimensionnels auto-entretenus observés sont  conduites par  un pompage impulsif picoseconde dans le proche infrarouge dans une fibre à âme creuse remplie de gaz, ce qui sera d'un intérêt significatif pour de nombreux scientifiques du monde entier.

Ces États solitaires multidimensionnels ont également un impact technologique énorme.

 

Les chercheurs de l'INRS ont pu générer des champs lumineux cohérents à haute énergie et spatio-temporels. Cette découverte pourrait conduire à des percées dans la science du laser pour un large éventail d'applications. La recherche implique d'énormes avancées théoriques, des simulations numériques très complexes et des études expérimentales systématiques. Elle a été réalisée dans l'installation ALLS de l'INRS, une installation de recherche de classe mondiale axée sur le développement de nouveaux types de lasers aux applications révolutionnaires.

 

«La lumière à des niveaux d'énergie élevés se comporte différemment de ce que nous pensions», déclare Reza Safaei, Ph.D. étudiant à l'INRS, «Nous avons pu concevoir le système fonctionnant dans un régime chaotique surmultiplié où une amélioration non linéaire spectaculaire se produit d'elle-même. Les interactions entre les états multidimensionnel induisent en fait la lumière dans les impulsions laser  à s'auto-organiser vers des états multidimensionnels hautement stables. C'est une énorme surprise, puisque ces états solitaires sortent d'un chaos hautement instable, comme si on entendait une note sortir d'un tambour! "

 

«L'impact technologique immédiat de ce travail est la génération d'impulsions à quelques cycles à partir de lasers picosecondes Yb à l'aide d'une approche simple, robuste et efficace qui fournit une nouvelle technologie laser pour la physique des champs forts», a déclaré Guangyu Fan, Ph.D . étudiant à l'INRS.

 

«Il est particulièrement utile pour mettre à l'échelle des sources de rayons X extrêmes (XUV) et de rayons X mous à des énergies photoniques plus élevées en raison de la longueur d'onde centrale plus longue du faisceau de sortie», a déclaré le professeur François Légaré. «Alors que nous nous tournons vers l'avenir, les lasers et les amplificateurs qui peuvent fonctionner avec élégance dans des états multidimensionnels peuvent avoir une puissance nettement plus élevée que les appareils basés sur un seul mode, avec une amélioration non linéaire contrôlable significative. Cette possibilité s'étend au-delà de la technologie laser ultra-rapide à toute la science du laser, puisque la dimensionnalité et les non-linéarités spatiales / spatio-temporelles représentent des limitations clés pour les lasers haute puissance de toutes sortes. "

 

L'équipe pense que cette idée pourrait faire progresser la technologie laser, qui est pratiquement verrouillée dans le même  mode depuis plus de 20 ans. Cela permettra le développement de systèmes laser très compacts et de haute puissance avec une grande variété d'applications industrielles, y compris le micro-usinage et le traitement des matériaux. De plus, cette technologie laser innovante est maintenant utilisée pour développer des sources de rayons X ultra-courtes de  labo  très compactes avec des applications potentielles pour le suivi de phénomènes ultra-rapides tels que les réactions chimiques et la dynamique de magnétisation, ainsi que pour l'imagerie biomédicale à haute résolution spatiale dans  la gamme spectrale de l eau . L'INRS a également protégé la propriété intellectuelle liée à cette méthode laser potentiellement révolutionnaire.

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An innovative method to tune lasers toward infrared wavelengths

More information: Reza Safaei et al, High-energy multidimensional solitary states in hollow-core fibers, Nature Photonics (2020). DOI: 10.1038/s41566-020-00699-2

Journal information: Nature Photonics

Provided by Institut national de la recherche scientifique – INRS

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MES COMMENTAIRES $

Je comprends   l’énorme interet  à la multiplication de ces lasers  et  surtout a la nécessité de continuer à rechercher   théoriquement  et expérimentalement  si on peut  sortir de l’unique mode transversal  ,  dans lequel on s’était confiné jusque ‘à présent

J’espère  surtout   toutr une gamme de brevets  à venir : dont forget MONEY   ,happy guys !