SCIENCES .ENERGIOES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/WEEK 35 /LES HALOS DES GALAXIES

 

Chaque lundi m’apporte la sélection  américaine du  PHYS ORG/ SCIENCE X  ou anglaise du PHYSICS WORLD   dont j’extrais la quintessence  POUR MES CHERS LECTEURS   gentiment  paresseux  pour  lire en anglais ! Donc le  but  est :traduire  en français  compréhensible par tous ….!Mais le grand Age venant  j’en suis à me demander  si quelqu ‘un ayant une formation scientifique élargie  serait intéressé  à poursuivre dans le même esprit  ( blog sans censure  et gratuit   , même  site  ,intitulés et thèmes   identiques   etc ) ….Pertinence , respect ,tolérance   ETC  cela va de soi   ….Et je me mets à regarder autour de moi  si un retraité  serait intéressé  ( trilingue courant   et capable de lire et critiquer  une thèse de doctorat d’état comme je viens de le faire avec ma petite fille !)

AN  j’oubliais : salaire  zéro !( mais vous serez lu dans le monde entier   grâce à GOOGLE (« SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT « )

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En attendant un candidat je vous propose pour la semaine 35 le texte ci-après : Hubble maps giant halo around Andromeda Galaxy

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Hubble cartographie un halo géant autour de la galaxie d'Andromède

par Rob Garner, Centre de vol spatial Goddard de la NASA

 

PHOTO/Cette illustration montre l'emplacement des 43 quasars que les scientifiques ont utilisés pour sonder le halo gazeux d'Andromède. Ces quasars - les noyaux brillants et très éloignés de galaxies actives alimentées par des trous noirs - sont dispersés loin derrière le halo, permettant   donc aux scientifiques de sonder diverses  régions. En regardant à travers l'immense halo de la lumière des quasars, l'équipe a observé comment cette lumière est absorbée par le halo et comment cette absorption évolue dans différentes régions. En traçant l'absorption de la lumière provenant des quasars d'arrière-plan, les scientifiques sont capables de sonder le matériau  propre au  halo. Crédit: NASA, ESA et E. Wheatley (STScI)

Dans une étude historique, des scientifiques utilisant le télescope spatial Hubble de la NASA ont cartographié l'immense enveloppe de gaz, appelée halo, entourant la galaxie Andromède, notre plus proche grand voisin galactique. Les scientifiques ont été surpris de constater que ce halo ténu et presque invisible de plasma diffus s'étend  en fait sur 1,3 million d'années-lumière de la galaxie - environ à mi-chemin de notre Voie lactée - et jusqu'à 2 millions d'années-lumière dans certaines directions. Cela signifie que le halo d'Andromède se heurte  d’ores  et déjà au halo de notre propre galaxie.

 

 

Ils ont également constaté que le halo présente une structure en couches, avec deux coquilles de gaz principales imbriquées et distinctes. Il s'agit  là de l'étude la plus complète d'un halo entourant une galaxie.

 

"Comprendre les énormes halos de gaz entourant les galaxies est extrêmement important", a expliqué la co-investigatrice Samantha Berek de l'Université Yale à New Haven, Connecticut. "Ce réservoir de gaz contient du carburant pour la formation future d'étoiles dans la galaxie, ainsi que toutes sorties d'autres événements tels que les supernovae. Il est plein d'indices concernant l'évolution passée et future de la galaxie, et nous sommes enfin en mesure de l'étudier en grand détail chez notre plus proche voisin galactique. "

 

"Nous constatons que la coque interne qui s'étend sur environ un demi-million d'années-lumière est beaucoup plus complexe et dynamique", a expliqué Nicolas Lehner, responsable de l'étude de l'Université de Notre-Dame dans l'Indiana. "La coque extérieure est plus lisse et plus chaude. Cette différence est probablement le résultat de l'impact de l'activité de supernova dans le disque de la galaxie affectant plus directement le halo intérieur."

 

Une signature de cette activité est la découverte par l'équipe d'une grande quantité d'éléments lourds dans le halo gazeux d'Andromède. Des éléments plus lourds sont élaborés  à l'intérieur des étoiles puis éjectés dans l'espace - parfois violemment lorsqu'une étoile meurt. Le halo devient  alors contaminé par ce matériau provenant d'explosions stellaires.

 

La galaxie d'Andromède, également connue sous le nom de M31, est une spirale majestueuse  composé de peut-être jusqu'à 1 milliard  d'étoiles et de taille comparable à notre Voie lactée. À une distance de 2,5 millions d'années-lumière, elle est si proche de nous que la galaxie apparaît comme une tache de lumière en forme de cigare dans le ciel d'automne. Si son halo gazeux pouvait être observable  à l'œil nu, il ferait environ trois fois la largeur de la Grande Ourse. Ce serait facilement la plus grande caractéristique  visible du ciel nocturne.

 

À travers un programme appelé Projet AMIGA (Carte d'absorption des gaz ionisés à Andromède), l'étude a examiné la lumière de 43 quasars - ………

Les chercheurs ont utilisé la capacité unique du spectrographe Cosmic Origins (COS) de Hubble pour étudier la lumière ultraviolette des quasars. La lumière ultraviolette est absorbée par l'atmosphère terrestre, ce qui rend impossible l'observation avec des télescopes au sol. L'équipe a utilisé COS pour détecter les gaz ionisés du carbone, du silicium et de l'oxygène. Un atome s'ionise lorsque le rayonnement en dépouille un ou plusieurs électrons.

Le halo d'Andromeda a déjà été sondé par l'équipe de

Lehner. En 2015, ils ont découvert que le halo d'Andromède est grand et massif. Mais il y avait peu

 

d'indices de sa complexité; maintenant, il est cartographié plus en détail, ce qui permet de déterminer sa taille et sa masse avec beaucoup plus de précision.

 

"Auparavant, il y avait très peu d'informations - seulement six quasars - à moins d'un million d'années-lumière de la galaxie. Ce nouveau programme fournit beaucoup plus d'informations sur cette région intérieure du halo d'Andromède", a expliqué le co-investigateur J. Christopher Howk, également de Notre Dame. Careacteriser  le gaz est important, car il représente une sorte de sphère d'influence gravitationnelle pour Andromède."

 

Parce que nous vivons à l'intérieur de la Voie lactée, les scientifiques ne peuvent pas facilement interpréter la signature du halo de notre propre galaxie. Cependant, ils pensent que les halos d'Andromède et de la Voie lactée doivent être très similaires puisque ces deux galaxies sont déjà  assez similaires. Les deux galaxies sont sur une trajectoire de collision et fusionneront pour former une galaxie elliptique géante à partir d'environ 4 milliards d'années.

 

Les scientifiques ont étudié les halos gazeux de galaxies plus éloignées, mais ces galaxies sont beaucoup plus petites dans le ciel, ce qui signifie que le nombre de quasars d'arrière-plan suffisamment brillants pour sonder leur halo n'est généralement qu'un seul  par galaxie. Les informations spatiales sont donc essentiellement perdues. Avec sa proximité de la Terre, le halo gazeux d'Andromède occupe une place importante dans le ciel, permettant un échantillonnage beaucoup plus étendu.

 

«C'est vraiment une expérience unique car ce n'est qu'avec Andromeda que nous collectons de telles informations sur son halo non seulement sur une ou deux lignes de vue, mais sur 40», a expliqué Lehner. "C'est révolutionnaire pour capturer la complexité d'un halo de galaxie au-delà de notre propre Voie lactée."

 

En fait, Andromède est la seule galaxie de l'univers pour laquelle cette expérience peut être menée maintenant, et uniquement avec Hubble. Ce n'est qu'avec un futur télescope spatial sensible aux ultraviolets que les scientifiques seront en mesure d'entreprendre systématiquement ce type d'expérience au-delà des quelque 30 galaxies qui composent le groupe local.

 

"Le projet AMIGA nous a donc également donné un aperçu de l'avenir", a déclaré Lehner.

 

Les résultats de l'équipe apparaissent dans l'édition du 27 août de The Astrophysical Journal.

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Hubble Finds Giant Halo Around the Andromeda Galaxy

More information: Nicolas Lehner et al. Project AMIGA: The Circumgalactic Medium of Andromeda, The Astrophysical Journal (2020). DOI: 10.3847/1538-4357/aba49c

Journal information: Astrophysical Journal

Provided by NASA's Goddard Space Flight Center

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 MES COMMENTAIRES

Je suis enchanté qu’un tel développement de la connaissance des halos galactiques ait pu être menée   mais je rappelle que c’est grâce aux recherches connexes sur la reconnaissance et détection  de  quasars plus nombreux  que cela a pu se faire !  chaque petite branche de l’astronomie  apporte son petit caillou !

 

 

 

 

 

SCIENCES.ENERGIE.ENVIRONNEMENT/LEMONDE SELON LA PHYSIQUE/WEEK 34 /Bullet morose sur l 'énergie !!

 

-« Ah OLIVIER ! vous avez du grogner ce matin an apprenant que  l’EPR finlandais    différait encore sa mise en chargement d’un an  !

-«  Oui  PEPPER ! je reconnais que vraiment AREVA   avait loupé plein de choses   et que le projet a été lancé  avec précipitation   suivi de négligences redoutables. J’espère   que les EPR chinois vivront  ,eux,  leur vie sans histoires  …….Mais je reste un fan de l’électrique  malgré tout ce pataquès !  Ceci dit  je vois mal le développement  du transport électrique  sans percée scientifique et technologique  majeure sur les batteries

-« Votre boite, le CEA  travaille dessus ! Craignez-vous   ,du fait de la faible abondance du lithium ,à la surface terrestre  ( la croute  en contient environ 20 ppm (10−6), les océans environ 17 ppm.)  que nous devenions rapidement dépendants ???? Je vous ai présenté le graphique de répartition des ressources …..

-«  Pas pour l’immédiat … Tous  les labos travaillent sur les batteries électriques du futur  PEPPER !..Il y a tant d argent à gagner en brevets d abord et développement ensuite ….. Je reçois tous les jours de PHYS ORG/SCIENCE X , un énorme paquet de  nouveautés et découvertes en techno …Mais mon blog n’a pas le personnel pour traiter tout cela  ….Et je ne vais pas embaucher quelqu’un  et créer une   start-up  à mon age!

 Vous voulez quelques nouvelles ??? Prenez paar exemple : : 1 :www.uclouvain.be/decouvrir/presse/actualites/un-nouveau-materiau-pour-les-batteries-du-futur-made-in-uclouvain.html

2 :

Trois technologies de batterie qui pourraient révolutionner ...www.saftbatteries.com › nos-histoires

 Ou encore

3 : www.cea.fr › presse › pages › energies

Espace Presse - Inventer les batteries du futur – CEA etc

-«  Je suppose  OLIVIER que  vous avez cherché chez   nous, les USA, avec la batterie TESLA  qui  durerait 2 millions de km .. !

-«  Vous allez rigoler  PEPPER   : j’ai reçu  hier de SCIENCE X   l’article décrivant l’idée d’une batterie marchant au carbone 14  et au diamant  prenant   des millénaires !!!!!

 A suivre

 

 

 

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/WEEK 34/ CATASTROPHES COSMIQUES SUITE 4

 

Je vous propose  de continuer sur ce sujet (les catastrophes d’origine  cosmique) avec notre ami PEPPER

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-«  Votre dernier billet  OLIVIER  m’a paru   verser presque  dans le catastrophisme .Pourriez-vous situer les limites de ces extraordinaires éruptions de plasma à la surface du Soleil ??Existe –t-il une limite théorique connue  à ce phénomène ????

-« Presque PEPPER !!!Nous avons au  CEA  un service qui se consacre  notamment  à l’étude  des phénomènes  solaires …   Il est a l’intérieur de l’ Institut de recherche sur les lois fondamentales de l'univers , l IRFU  dont je vous ai parlé déjà N  fois ! …..  lequel   emploie près de 600 personnes , encadre environ 30 doctorants  et qui travaille en coopération avec de multiples organisation (ref.wikip.)…Mais comme je n’ai plus mis les pieds a SACLAY  depuis un certain temps et

.. Comme le magazine CLEFS  / CEA   consacré au SOLEIL  est très ancien  j’ai du «  partir à la pèche » de leurs publications  les plus récentes ….. J’ai notamment trouvé cette dernière (GOOGLE)

« Feb 8, 2018 - CEA | Saclay | DRF | DAp | DACM | DEDIP | DIS | DPhN | DPhP ... Pouvoir prévoir l'énergie des dangereuses éruptions solaires ... «

-« La NASA    semble pourtant  insatisfaite  OLIVIER     de ce que nous savons  sur ces éruptions plasmatiques solaires ! D’ où  la mission  NASA/ESA   dde Solar  Orbiter …

-« On n’en sait jamais assez  PEPPER ! En réalité   la connaissance avance … Et il semble qu’un seul et unique phénomène pourrait contrôler toutes les éruptions solaires. C’est ce que viennent de mettre en évidence des chercheurs de l’Ecole polytechnique, du CNRS, du CEA-Irfu, et d’Inria  dans un article à la Une de la revue Nature du 8 février 2018.  ( ref en fion de texte) Ils ont pu montrer la présence à la surface du Soleil d’une  sorte  de « cage » renforcée dans laquelle se développe un tissu de  « cordes magnétiques», ….On pourrait visualiser cela  comme  un  trellis ou  un enchevêtrement de lignes de force magnétiques torsadées….

-«  OLIVIER  , cela me fait penser à une cage de  Faraday magnétique ! Ai-je tort ?

-« Oui et non PEPPER !! C’est la résistance de cette cage aux assauts de  ces cordes  vibrantes  qui détermine la puissance et le type de l’éruption à venir. Leurs travaux ont débouché  sur un un modèle capable de prévoir l’énergie maximale qui peut être libérée lors d’une éruption solaire   Comme sur Terre,      ce type de tornade  ou de tempête peut balayer l’atmosphère  la plus externe  du Soleil, la  couronne. Mais  à l’intérieur du Soleil, ces phénomènes, seraient  causés par un reconfiguration brutale et soudaine du champ magnétique  et  produirait une intense libération d’énergie sous la forme d’émissions de rayonnements  et de particules ……Avec parfois l'éjection d'une bulle de plasma  au travers de la couronne …

-« Il y aurait donc une certain parallélisme  de situations  OLIVIER   entre Terre  et Soleil ?

-«  Le terme est  physiquement inadéquat  PEPPER ….Car une tornade terrestre   n’est qu une aspiration dynamique   et thermique des gaz et matières superficiels  …Alors que là  , il s’agit  du « pet » d’énergie interne solaire !Quoiqu’ il en soit grâce à leur méthode, permettant de suivre et modéliser une éruption  juste avant les dernières heures  de  sa naissance,  ils ont mis au point un modèle capable de prévoir l’énergie maximale qui peut être libérée par la zone du Soleil concernée. Ce modèle a ainsi montré que, pour la fameuse éruption du   23 juillet 2012,  révélée en 2014 ,  dont je vous ai parlé la dernière fois  une énorme éjection de plasma se serait produite si la cage avait été moins résistante.

Ce travail est un nouveau pas pour la prévision précoce des éruptions solaires dont les impacts sociétaux sont potentiellement importants.

 Ref : "Magnetic cage and rope as the key for solar eruptions"

Tahar Amari, Aurelien Canou, Jean-Jacques Aly , François Delyon et Frédéric Alauzet

publié dans la revue Nature du 8 février 2018

 

 

 

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT /LE MONDE SELON LA PHYSIQUE / WEEK 34 / CATASTROPHES ASTRALES N° 3 !!

 

Dans l’article d hier  , la NASA   se préoccupait plus des conséquences  de la perturbation de notre champ magnétique terrestre   spatial  externe  ( ceinture de VAN ALLEN )   que des causes de modifications … L’appel sur GOOGLE  du lien https://youtu.be/qpdQcw_52iM vous donnera  une vidéo  agréable et complète   du problème traité par la NASA

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MON COMMENTAIRE  

Premier point :Je suppose que mes lecteurs  savent que le Nord géographique  ne coïncide pas avec le Nord  magnétique . La localisation  de ce dernier   dérive lentement. Mais  si ce mouvement s'est considérablement accéléré depuis une quarantaine d'années - en passant de 15 à 55 km par an , force est de reconnaître  que   les scientifiques ne peuvent   en déterminer la cause exacte ….. pas davantage que   le dédoublement de  cette  anomalie de l'Atlantique Sud , le SAA ….. En résumé : mesuré en 2007 par le projet "Poly- Arctique", le pôle Nord magnétique  est à 673 km du pôle Nord géographique..

 Je rappelle  que  l ‘intérieur  de notre globe    est constitué d’un  noyau de fer liquide haute pression  à géométrie  sphéroïdale  douteuse   et dont la variabilité   est inconnue précisément  …Et c’est sur ce point que la NASA    cherche à  collecter et accumuler les données …..

  Deuxième point :le Soleil  est loin de mener une vie paisible  et de temps en temps il perce sa surface  par  une énorme éruption de plasma dont je vous présente une photo  spectaculaire

Solar Orbiter a été lancé  par l'ESA et de la Nasa en 2020  pour permettre d'étudier  en particulier ce problème   car  c'est ce phénomène qui menace les surfaces   ou le champ magnétique terrestre   présente des «  faiblesses » …. Et  sur ce point ils se  fondent  à mon avis  un   trop grand espoir ….

 Là aussi je dois rappeler que  le  23 juillet 2014, la NASA  a annoncé  que la Terre avait  échappé, le 23 juillet 2012, à une "gigantesque tempête solaire". Une tempête jamais vue depuis 1859 et qui, si elle avait atteint la Terre  aurait provoqué d’énormes dégâts  de diverses natures   ( et pas seulement sur les satellites !)

 A SUIVRE

SCIENCES .ENERGIES?ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/ WEEK 34/ SUITE N°2 DES CATASTROPHES ASTRALES POSSIBLES!

 

  Bien que je sois tenté de poursuivre la discussion  avec Mr  PEPPER   l intérêt  qu’a suscité l’article d hier  sur les catastrophes cosmiques atteignant la Terre   ( et  aussi le nombre de lecteurs !)  a changé ma cible  d’aujourd’hui ….Car il se trouve  que mon résumé  hebdo  de  SCIENCE X   m a signalé un très gros article que la  NASA  vient de faire paraître  en relation avec le sujet …

Mais il y a pourtant un problème : il est bien trop long  pour être intégralement traduit ici !Je vais donc vous en proposer   exceptionnellement  un très sévère résumé    qui dégagera   l’utilité  étendue du travail  et  mon commentaire suivra dans l’article suivant

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«NASA researchers track slowly splitting 'dent' in Earth's magnetic field”

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 Des chercheurs de la NASA retracent lentement une `` dérive  dans le champ magnétique terrestre

par Mara Johnson-Groh et Jessica Merzdorf, Centre de vol spatial Goddard de la NASA

 

Cette visualisation stéréoscopique montre un modèle simple du champ magnétique terrestre. Ce champ magnétique protège partiellement la Terre des particules chargées nocives émanant du Soleil. Crédit: Goddard Space Flight Center de la NASA

Une petite  partie  mais en évolution dans le champ magnétique terrestre peut causer de gros maux de tête aux satellites.

 

 

Le champ magnétique terrestre agit comme un bouclier protecteur autour de la planète, repoussant et piégeant les particules chargées du Soleil. Mais sur l'Amérique du Sud et le sud de l'océan Atlantique, il y a  un point inhabituellement faible s- appelé Anomalie de l'Atlantique Sud,  en abrégé SAA -  qui permet à ces particules de plonger plus près du sol  que la normale. Le rayonnement des particules  solaires dans cette région peut  «  détraquer »les ordinateurs de bord et interférer avec la collecte de données des satellites qui la traversent – Et c’est  une des principales raisons pour lesquelles les scientifiques de la NASA veulent suivre et étudier l'anomalie.

 

Cette anomalie de l'Atlantique Sud intéresse également les scientifiques de la NASA qui surveillent les changements d'intensité du champ magnétique, terrestre  à la fois pour la façon dont ces changements affectent  notre atmosphère  et comme indicateur de ce qui se passe  , au plus profond du globe.

 

Actuellement, le SAA ne crée aucun impact visible sur la vie quotidienne en surface. Cependant, des observations et des prévisions récentes montrent que la région s'étend vers l'ouest et continue de s'affaiblir.  Le SAA se divise également - des données récentes montrent que la vallée de l'anomalie, ou région d'intensité de champ minimale, s'est divisée en deux lobes, créant des défis supplémentaires pour les missions satellitaires.

 

Un grand nombre de scientifiques de la NASA dans des groupes de recherche géomagnétique, géophysique et hélio physique observent et modélisent la SAA, pour surveiller et prédire les changements futurs et aider à se préparer aux futurs défis des satellites et des humains dans l'espace. »

…………………………….

 Puisque  je vous ai montré  les cibles principales   je préfère abréger  la suite  en vous présentant  la vidéo NASA/ YOU TUBE  5  mais elle est en anglais !)  que vous devez appeler sur votre PC  en inscrivant sur GOOGLE  le lien :  https://youtu.be/qpdQcw_52iM

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Et pour finir je vous traduis leur conclusion :

« Afin de comprendre comment la SAA évolue et se prépare aux futures menaces pesant sur les satellites et les instruments, Sabaka, Kuang et leurs collègues utilisent les observations et la physique pour contribuer aux modèles globaux du champ magnétique terrestre.

 

Le Soleil expulse  avec un flux constant de particules et de champs magnétiques connus sous le nom de vent solaire de vastes nuages ​​de plasma chaud et de rayonnement appelés éjections de masse coronale. Ce matériau solaire traverse l’espace et frappe la magnétosphère terrestre, l’espace occupé par le champ magnétique terrestre, qui agit comme un bouclier protecteur autour de la planète. Crédit: NASA Goddard / Bailee DesRocher voir photo ci dessous 

L'équipe évalue l'état actuel du champ magnétique à l'aide des données de  Swarm de l'Agence spatiale européenne, des missions précédentes d'agences du monde entier et des mesures au sol. L'équipe de Sabaka analyse les données d'observation pour séparer leur source avant de les transmettre à l'équipe de Kuang. Ils combinent les données triées de l'équipe de Sabaka avec leur modèle de dynamique de base pour prévoir la variation séculaire géomagnétique (changements rapides du champ magnétique) dans le futur.

 

Les modèles géodynamiques sont uniques dans leur capacité à utiliser la physique de base pour créer des prévisions pour un avenir proche, a déclaré Andrew Tangborn, mathématicien au laboratoire de géodynamique planétaire de Goddard.

  vue d une éruption coronale qui va "aplatir " notre champ  terrestre protecteur 

"Ceci est similaire à la façon dont les prévisions météorologiques sont produites, mais nous travaillons avec des échelles de temps beaucoup plus longues", a-t-il déclaré. "C'est la différence fondamentale entre ce que nous faisons à Goddard et la plupart des autres groupes de recherche modélisant les changements dans le champ magnétique terrestre."

 

L'une de ces applications à laquelle Sabaka et Kuang ont contribué est le champ de référence géomagnétique international, ou IGRF. Utilisé pour diverses recherches, du noyau aux limites de l'atmosphère, l'IGRF est une collection de modèles candidats élaborés par des équipes de recherche mondiales qui décrivent le champ magnétique terrestre et suivent son évolution dans le temps.

 

"Même si la SAA évolue lentement, elle subit un changement de morphologie, il est donc également important que nous continuions à l'observer en poursuivant ses missions", a déclaré Sabaka. "Parce que c'est ce qui nous aide à faire des modèles et des prédictions."

 

L'évolution de la SAA offre aux chercheurs de nouvelles opportunités pour comprendre le noyau de la Terre et comment sa dynamique influence d'autres aspects du système terrestre, a déclaré Kuang. En suivant cette «bosse» qui évolue lentement dans le champ magnétique, les chercheurs peuvent mieux comprendre la façon dont notre planète évolue et aider à préparer un avenir plus sûr pour les satellites.

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Study reveals strange magnetic behaviour 8-11 million years ago

Provided by NASA's Goddard Space Flight Center

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 MES COMMENTAIRES FERONT L OBJET DU PROCHAIN ARTICLE

 

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE /WEEK 34/ CATASTROPHES ASTRALES ..POSSIBLES !!!

 

Après   réception de la sélection de PHYSORG/SCIENCE X je propose à mes lecteurs ma traduction et ma critique  de l’article suivant : Exploding stars may have caused mass extinction on Earth, study shows

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« Des étoiles qui explosent peuvent avoir causé une extinction massive sur Terre, selon une étude

par Lois Yoksoulian, Université de l'Illinois à Urbana-Champaign

 

Une équipe de chercheurs dirigée par le professeur Brian Fields émet l'hypothèse qu'une supernova à environ 65 années-lumière de distance pourrait avoir contribué à l'appauvrissement de la couche d'ozone et à l'extinction de masse subséquente du Dévonien tardif, il y a 359 millions d'années.

 Sur la photo,  est présentée une simulation d'une supernova proche heurtant et comprimant le vent solaire. L'orbite de la Terre, le cercle en pointillé bleu et le Soleil, le point rouge, sont indiqués à l'échelle. Crédits: Jesse Miller

Imaginez –vous  en train de lire à la lumière d'une étoile explosée, mais demeurant  plus brillante qu'une pleine lune - cela peut être amusant à concevoir , mais cette scène n’ est  que le prélude à un désastre lorsque le rayonnement dévaste la vie telle que nous la connaissons. Les rayons cosmiques tueurs des supernovae proches pourraient être à l'origine d'au moins un événement d'extinction de masse, ont déclaré les chercheurs, et la découverte de certains isotopes radioactifs dans les archives rocheuses de la Terre pourrait confirmer ce scénario.

 

 

Une nouvelle étude menée par l'Université de l'Illinois, professeur d'astronomie et de physique à Urbana-Champaign, Brian Fields, explore la possibilité que des événements astronomiques aient été responsables d'un événement d'extinction il y a 359 millions d'années, à la frontière entre les périodes Dévonienne et Carbonifère.

 

L'article est publié dans les Actes de l'Académie nationale des sciences.

 

L'équipe s'est concentrée sur la limite Dévonien-Carbonifère parce que ces roches contiennent des centaines de milliers de générations de spores végétales qui semblent être brûlées par le soleil par la lumière ultraviolette - preuve d'un événement d'appauvrissement de la couche d'ozone de longue durée.

 

"Les catastrophes terrestres telles que le volcanisme à grande échelle et le réchauffement climatique peuvent également détruire la couche d'ozone, mais les preuves de celles-ci ne sont pas concluantes pour l'intervalle de temps en question", a déclaré Fields. "A  la place , nous proposons qu'une ou plusieurs explosions de supernova, à environ 65 années-lumière de la Terre, auraient pu être responsables de la perte prolongée d'ozone."

 

"Pour mettre cela en perspective, l'une des menaces de supernova les plus proches aujourd'hui vient de l'étoile Bételgeuse, qui est à plus de 600 années-lumière et bien en dehors de la distance de destruction de 25 années-lumière", a déclaré un étudiant diplômé et co-auteur de l'étude. Adrienne Ertel.

 

L'équipe a exploré d'autres causes astrophysiques de l'appauvrissement de la couche d'ozone, telles que les impacts de météorites, les éruptions solaires et les sursauts gamma. "Mais ces événements se terminent rapidement et il est peu probable qu'ils causent l'appauvrissement durable de la couche d'ozone qui s'est produit à la fin de la période dévonienne", a déclaré Jesse Miller, étudiant diplômé et co-auteur de l'étude.

 

Une supernova, en revanche, délivre un double coup de poing, ont déclaré les chercheurs. L'explosion baigne immédiatement la Terre avec des UV, des rayons X et des rayons gamma dommageables. Plus tard, l'explosion de débris de supernova cogne  le système solaire, soumettant la planète à une irradiation de longue durée par les rayons cosmiques accélérés par la supernova. Les dommages causés à la Terre et à sa couche d'ozone peuvent durer jusqu'à 100 000 ans.

 

Cependant, des preuves fossiles indiquent un déclin de 300000 ans de la biodiversité menant à l'extinction de masse du  Dévonien-Carbonifère, suggérant la possibilité de multiples catastrophes, peut-être même de multiples explosions de supernovae. "C'est tout à fait possible", a déclaré Miller. "Les étoiles massives se produisent généralement en amas avec d'autres étoiles massives, et d'autres supernovae sont susceptibles de se produire peu de temps après la première explosion."

 

L'équipe a déclaré que la clé pour prouver qu'une supernova s'est produite serait de trouver les isotopes radioactifs plutonium-244 et samarium-146 dans les roches et les fossiles déposés au moment de l'extinction. "Aucun de ces isotopes ne se produit naturellement sur Terre aujourd'hui, et la seule façon de s'y rendre est via des explosions cosmiques", a déclaré Zhenghai Liu, étudiant de premier cycle et co-auteur.

 

Les espèces radioactives nées dans la supernova sont comme des bananes vertes, a déclaré Fields. "Quand vous voyez des bananes vertes dans l'Illinois, vous savez qu'elles sont  toutes fraîches,  mais vous savez  aussi qu'elles n'ont pas poussé ici. Comme les bananes, Pu-244 et Sm-146 se désintègrent avec le temps. Donc, si nous trouvons ces radio-isotopes sur Terre aujourd'hui, nous savons ils sont  tout frais mais  mais non d'ici - les bananes vertes du monde isotopique - et donc les armes fumantes d'une supernova proche. "

 

Les chercheurs n'ont pas encore recherché Pu-244 ou Sm-146 dans les roches de la limite Dévonien-Carbonifère. L'équipe de Fields a déclaré que son étude visait à définir les modèles de preuves dans les archives géologiques qui indiqueraient des explosions de supernovae.

 

"Le message principal de notre étude est que la vie sur Terre n'existe pas de manière isolée", a déclaré Fields. "Nous sommes citoyens d'un cosmos plus vaste, et le cosmos intervient dans nos vies - souvent imperceptiblement, mais parfois férocement."

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Could recent supernovae be responsible for mass extinctions?

More information: Supernova triggers for End-Devonian extinctions, Proceedings of the National Academy of Sciences (2020). DOI: 10.1073/pnas.2013774117 , www.pnas.org/content/early/2020/08/17/2013774117

Journal information: Proceedings of the National Academy of Sciences

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 COMMENTAIRES

 Ct article trait  de paléo géologie  théorique   mais  pas expérimentale …. Et surtout et  basiquement du problème de certaines conditions particulières de “spallation »……Bien que j’ai déjà traité ce sujet à propos du traitement de certains déchets radioactif S( en tant qu’ ancien du  CEA) ) je reviens sur le mécanisme du phénomène …La spallation nucléaire  est une réaction nucléaire au cours de laquelle un noyau atomique est frappé par une particule incidente (neutron, proton...) ou une onde électromagnétique de grande énergie (à partir de 50 MeV et jusqu'à quelques GeV). Sous la violence de l'impact, le noyau cible se décompose en produisant des jets de particules plus légères. Le noyau obtenu est  donc généralement de masse atomique plus faible que le noyau d'origine. Toutefois dans certaines réactions, la  décomposition explosive d’une supernova   est non seulement productrice  de  spallation   mais peut être accompagnée de  fusion nucléaire    par  laquelle, la particule résultante reste  dans une  masse du même ordre de grandeur

 En tout état de cause les chercheurs n n’ont pas encore validé leur hypohtèse, laquelle au demeurant reste plausible

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/2020WEEK 33 /IN DOWN JONES WE BET !!!!!!!

 Puisque mes lecteurs ont montré de l interet pour mes remarques sur les combustibles fossiles  je leur propose la poursuite  de la discussion avec Mr  PEPPER

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-« Sans quitter  ce sujet qui m’exaspère  PEPPER ;  à savoir  cette obstination américaine  a vouloir continuer  à faire feu  de tout bois  sur tous les fossiles ,charbon , shale gas,  oil   ,  Je voudrais aujourd’hui  commencer à vous taquiner    sur votre optimisme invétéré   , concernant l’impact de la crise du coronavirus sur l’économie américaine !!!!!

-« Ce n est pas à vous  OLIVIER   que je vais apprendre que nous nous trouvons déjà en pleine période  électorale !Il serait donc stupide pour un Président qui cherche à se faire réélire   de montrer spécialement du doigt les choses qui continuent à clocher  …D’ autant que les Etats-Unis ont débloqué l’équivalent de 10 % de la richesse nationale pour soutenir l’économie durant la crise sanitaire.

Mais il y a aussi un autre facteur : nous sommes  naturellement des challengers , des  joueurs  et  ne perdons  pas une seconde notre œil sur le Marché  ,Lequel n’est pas complètement déconnecté de l’économie réelle ….Je suis presque prêt OLIVIER  à dire que vos lecteurs vont être abasourdis par le graphique que je vais leur présenter sur les variations annuelles de la bourse   ( le Dow  Jones )

-«  C’est vrai PEPPER …Il  est sidérant , après l’effondrement du 1 er trimestre  ,il remonte à toute vapeur vers ses données de fin 2019   ….Votre confiance  dans l’économie libérale  et dans le Marché semble  inoxydable ….Et je s me suis laissé dire que  si les transports aériens  etc.   redémarrent  en octobre novembre, et si le coronavirus est soignable par vaccins   les choses redeviendraient comme avant

-‘ C est ce qu’espère le monsieur qui veut se faire réélire, en effet !

 A suivr

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/2020WEEK 33 P5

 

Puisque certaines circonstances  m’obligent à changer mon planning  je propose  d’adjoindre  Mr  PEPPER   à ma petite incursion  dans le domaine de  l’environnement

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-«  Je me suis étonné de vos reproches hier  OLIVIER    concernant l’Allemagne, pour son utilisation à marche forcée de son charbon ! Je m’attendais à ce que vous vitupériez  contre  nous aux  USA   qui s’efforcent   de faire la même chose : dépêchons nous de nous en servir au maximum   avant  que ce   fichu futur  climat nous ait rendu la planète à moitié invivable !!!

-« C’est vrai PEPPER   j’aurai pu le faire !  TRUMP  fait rouvrir se mines de charbon. Mais je deviens, comme  GAINSBOURG  un aquabondiste ! Tous les grands pays charbonniers le font : LES INDES LA CHINE L AUSTRALIE etc ….Je vous ai présenté la liste des 10 premiers 

…

 Mais l’EUROPE   a une excuse : ses ressources  en  énergies fossiles facilement  exploitables  sont épuisées   ….Donc je suis presque prêt à pardonner à l Allemagne  maintenant que je sais qu’ elle  transformera ses immenses fosses a lignite   en  grands lacs d’eau douce   et ( j espère)   consommable …Jouer sur le présent et le futur  me semble parfois conciliable  si l’extraction du charbon s’opère à ciel ouvert !

-« Je m ‘étonne OLIVIER ! n’avez-vous pas appris que l’on tire maintenant du combustible gazeux  des  vieilles mines en profondeur !  Le gaz de grisou !

-« Je le savais  mais le potentiel est limité .La société « La Française de l’Energie », depuis le rachat de la société Gazonor, ancienne filiale de Charbonnage de France, est la seule société qui exploite à ce jour le gaz de mine. La société opère dans deux concessions situées dans l’ancien bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, dites de Désirée et de Poissonnière. Mais j’ai entendu parler d’autres projets ……

  A suivre

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SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE /2020 WEEK 33 / L ALLEMAGNE JOUE GAGNANT A TOUS COUPS

 

Aucun lecteur ne s’étant risqué à  s’intéresser aux publications de PHYS ORG /SCIENCE  X    je m’écarte de ce sujet pour  aborder quelques thèmes récents  relatifs  à l’environnement

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Je vais faire allusion à quelques nouvelles diffusées sur les média radios ou tv ou internet

 1 : Pollution par les usines de dessalement de l es de mer

Les prévisions de réchauffement futur tout autant que les problèmes actuels de sécheresse  ont augmenté  le nombre   de ces usines  dans  diverses zones du monde et en voici la carte 

 Elle montre l’énorme développement  que cette industrie a pris. Rien d’étonnant donc que  l’ONU ait attiré l’attention sue les conséquences négatives   sur l’environnement   … notamment  les tonnages de sel remis en mer ….Et par ailleurs  le dessalement  s’avère   peu productif si  l’état et la vétusté  des réseaux d’acheminement de l’eau   ne sont pas  satisfaisants (Guadeloupe p.ex. ) ou par  la gabegie des utilisateurs .Quels  que soient les procédés utilisés et quels que soient les énergies utilisées  ( fossile ou  solaire ou éolienne ) ,  l’alarme que l’ONU  lance  n’est pas inutile  mais malheureusement  peu écoutée

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2 :La  stratégie allemande de l’électricité

JM JANCOVICI  et bien d’autres  ne manquent pas chaque semaine  de rappeler à quel point l’Allemagne   tente de racheter  son fort taux de CO2  actuel  en faisant toutes sortes de forcing  sur les énergies renouvelables   ….Mais j’avoue avoir été  frappé par les images passées la semaine dernière sur l’’étendue des champs  a lignite  qui s’y sont développé …  Ce charbon polluant représente 40% de la production électrique du pays, contre 25% en moyenne en Europe (il faut bien compenser l’arrêt des centrales nucléaires !). Je passe sur les problèmes que l’exportation en France  de  la pollution de son utilisation  posent ….

En réalité   chacun joue son jeu  ….Les règles de la real politik ne furent  pas inventées  par  BISMARCK  mais par MACHIAVEL  et perfectionnée par Frédéric II   de PRUSSE !  Mais la chancelière n’en a pas oublié une miette ! «  Dépêchons nous  d’utiliser ce fossile tant  que la température ne nous a pas pris de vitesse !!! » pense- t -elle !

  Ce que vous ignorez  c’est que c’est que tous ces  kilomètres carrés d’immenses  trous  seront transformés en fin d’exploitation en une grande collection de lacs d’eau douce qui serviront   de  réservoirs de secours lorsque les temps futurs nous apporteront sécheresses a répétition   et  problèmes d’irrigation     récurrents   

 Paz si bêtes nos voisins allemands ; ils jouent pour le présent et le futur!!!!

: a suivre 

 

 

SCIENCES.ENERGIERS.ENVIRONNEMENT/LE MONDE SELON LA PHYSIQUE / WEEK 33 P1

 

Le courrier du matin  a amené la sélection hebdomadaire de SCIENCE X .Exceptionnellement je ne vais vous proposer que les résumés des articles  qui ont attiré mon attention et et si l’un de mes lecteurs le demande en fournirai la traduction complète

  

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1 : Hubble découvre que la mystérieuse évolution de Betelgeuse est due à une explosion traumatique

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Des observations récentes de Bételgeuse ont révélé que les périodes de gradation inattendues et importantes de l'étoile à la fin de 2019 et au début de 2020 étaient très probablement causées par l'éjection et le refroidissement de gaz chauds denses, et que l'étoile pourrait traverser une autre période de gradation avec plus d'un an  encore plus tôt

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2 : Le réchauffement de la calotte glaciaire du Groenland dépasse le point de non-retour

« Près de 40 ans de données satellitaires du Groenland montrent que les glaciers de l'île ont tellement rétréci que même si le réchauffement climatique devait s'arrêter pile  aujourd'hui, la calotte glaciaire continuerait de se rétrécir !

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3 : Des scientifiques découvrent un moyen de faire durer les états quantiques 10000 fois plus longtemps

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Si nous arrivons à  l'exploiter, la technologie quantique promet de nouvelles possibilités fantastiques. Mais d'abord, les scientifiques doivent contraindre  les systèmes quantiques  à rester « tranquilles « et  sous  la contrainte  plus de quelques millionièmes de seconde.

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4 : La planète naine Ceres est un monde océanique:

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La planète naine Cérès - longtemps considérée comme une roche spatiale stérile – serait en fait un monde océanique avec des  poches d'eau de mer sous sa surface,  ….C ‘est ce  qu’ont montré les résultats d'une importante mission d'exploration lundi.

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5 : L’ Inversion temporelle d'un état quantique inconnu

Les physiciens ont longtemps cherché à comprendre l'irréversibilité du monde environnant et ont attribué son émergence aux lois fondamentales symétriques dans le temps de la physique. Selon la mécanique quantique, l'irréversibilité finale du renversement conceptuel du temps nécessiterait  des scénarios extrêmement complexes et invraisemblables qui sont peu susceptibles de se produire spontanément dans la nature. Les physiciens avaient précédemment montré que si la réversibilité temporelle est exponentiellement improbable dans un environnement naturel, il est possible de concevoir un algorithme pour inverser artificiellement une flèche temporelle vers un état connu ou donné dans un ordinateur quantique IBM. Cependant, cette version de la flèche du temps inversée n'embrasse qu'un état quantique connu et est donc comparable  à la version quantique du rem bobinage  classique  d une vidéo pour «inverser par artifice  le cours du temps».:

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 OMME JE NE VEUX INFLUENCER PARSONNE   je laisse au lecteur plus curieux le soin de me designer l’article à analyser   par commentaire DIRECT  sur  SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT /GOOGLE