jeudi 6 août 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LA POUVOIR DE L IMAGINAIRE/ WEEK 30 P2

 Reprenons la suite du dialogue  avec Mr PEPPER  sur  l’origine de la charge électrique et l’existence  possible de charges  fractionnaires très inférieures à celles de l’électron …. 

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-«  Je ne vois pas clairement  dans quelle direction vous désirez  vous tourner  OLIVIER  puisque  des recherches déjà vieilles de plus de 20 ans  ont démontré l’existence de flux  électriques de l’ordre de e/ 3   et même de   e/5  sur des sortes  d’assemblages composites   dénommées  quasi particules …..

-«  C’est de là  , en effet  PEPPER  que je voulais redémarrer ! Je me suis dit  qu’il fallait que je regarde les conditions de travail ( de manip !) de l’équipe  que avait obtenu  ces résultats  … C’est The Braun Center for Submicron Research,  au  Weizmann Institute of Science,  (Israel) qui a depuis change son fusil d ‘épaule et se préoccupe de  développer   des  structures semi-conductrices   de la taille du sub- micron  ….Or ce n’est pas du tout   dans cette direction que l’équipe  de  SEOUL  ou du CERN    travaille  …..Il ne me restait plus, en définitive  PEPPER    que de partir     dans mon imaginaire  ….. Je vais donc  recommencer à vous parle de l’effet COMPTON !

-«  Je connais !Quand un photon primaire heurte une particule libre, un photon secondaire est émis dont la longueur d’onde est plus grande e que celle du photon primaire, c'est l'effet Compton

-« La différence de longueur d’onde entre le photon primaire et le photon émis, est proportionnelle à une valeur constante portant le nom de longueur d’onde de Compton, couramment notée lambda   C

Elle a les dimensions d’une longueur de valeur 2,426 310 238 9 × 10−12 m ,pour l’électron  , Mais ce que je trouve intéressant c’est que la longueur d'onde de Compton peut être considérée comme une limitation fondamentale à la mesure de sa  position  compte tenu du principe d incertitude d’Heisenberg  et de la relativité restreinte.

-«  Fort bien  OLIVIER    mais cela représente quoi en regard de sa taille ?

-«  Comme vous n’ignorez plus cher PEPPER    que je me suis transmuté  en disciple de la théorie des  Cordes   ,donc devenu   physicien hérétique , cette  question    je ne peux y répondre   qu’en fonction   de la technique de mesure  liée au phénomène électronique mesuré !!!! Autrement dit mon crédo  m’interdit toute représentation   figurée précise  de l’électrons….  puisqu’en définitive toute matière  fini par se «  dissoudre «  en  un assemblage d’ondes  confinées dans un volume    certes  limité mais  malgré tout mobiles …..

Mais   je ne veux pas oublier   l’expérimentateur que je fus !Donc je vous livre  PEPPER quelques réflexions …. Pa exemple  si   je choisis le rayonnement émis lors de l'annihilation électron-positon   qui  est à fréquence fixe ,cela indique qu'un électron a une structure sphérique et que  sa charge est uniformément répartie à l'intérieur.

 

Si un électron et un positron devaient osciller l'un à travers l'autre, ils le feraient dans un mouvement sinusoïdal, générant un court « spasme » de rayonnement électromagnétique d'une fréquence spécifique. Si nous  arrivions à connaitre cette fréquence, il devrait être possible de déterminer le rayon d’un électron. Eh bien la fréquence  tirée  du rayonnement gamma généré donne un rayon trop grand par rapport à un proton, mais pas excessif par rapport à un atome.

 

_ »Mais  OLIVIER il s'agit d'une valeur calculée plutôt que mesurée. Si la fréquence était supérieure de plusieurs ordres de 10, un rayon plus réaliste émergerait. Hélas , si pas de   fréquence correcte, dpnc pas de valeur  précise du rayon !

 

-«  Exact  PEPPER !La relation entre l'énergie et la fréquence donnée par l'équation E = hf n'est pas nécessairement vraie pour les photons générés par des moyens autres que des électrons en orbite autour d'un noyau . Et c’est pareil pour d’autres approches  expérimentales

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1 commentaire:

  1. Ce sujet est délicat car il s'agit en quelque sorte de l'ergonomie de l'électron-roi.

    Pour moi lambda(e) est en effet l'amplitude maximale de l'électron oscillant monopolaire. L'incertitude liée à cette taille L correspond à une masse M, xi² fois plus faible que celle mesurée à me = 10^-30 kg. La mesure (impossible à cette taille) dirait faussement me (L) = 0.

    Selon ML = Cte, la masse M maximale de l'électron est celle mesurée comme étant (faussement) ponctuelle. La mesure étant une perturbation comme une autre, elle se fait à la taille de Planck (subquantique).

    Dans le proton, les couches sphériques neutres s'empilent en 4 groupes (3 intervalles → 3 quarks induits) et on vérifie que le rayon du proton vaut effectivement 4 lambda(e) / 1836,15 ! On retrouve bien ML = Cte pour un groupe. On vérifie aussi que la charge du proton est celle du positron célibataire (confiné)!

    La perturbation intrinsèque de l'électron se mesure à son habillage (virtuel) qui est une extraction subquantique permanente . Si on savait mesurer l'électron nu, on verrait que le proton pèserait 1840 +1 électrons nus plutôt que 1836.15.

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